n° 15759 | Fiche technique | 9463 caractères | 9463Temps de lecture estimé : 6 mn | 23/08/13 |
Résumé: Un homme et une femme se rencontrent sur le net et se mettent à découvrir la perversion de la domination douce. | ||||
Critères: hplusag gros(ses) groscul campagne froid fsoumise coprolalie | ||||
Auteur : Achille |
Nous nous sommes rencontrés de la façon la plus banale qui soit de nos jours, un site de rencontre. Elle avait un joli minois et se décrivait comme étant belle et ronde. Mes premiers émois devant la nudité féminine, vers l’âge de douze ans, ont eu lieu dans les musées de peinture européens en admirant les toiles de David, Delacroix, Rubens et tant d’autres encore.
Les femmes nues qu’on pouvait y admirer étaient toutes bien en chair avec une peau souvent laiteuse, tout le contraire des critères de beauté actuels que les magazines et les créateurs de mode veulent nous imposer. C’est de là que vient mon goût pour les femmes opulentes aux formes arrondies et harmonieuses. Annie, en ce sens, comblait mon attirance pour ces formes généreuses, bien que je sois également attiré par tous les genres de physique. L’important pour moi étant de ressentir les émotions que telle ou telle femme peut me provoquer par sa sensualité.
Ensuite, en faisant plus ample connaissance, elle doit être une « jouisseuse » au sens noble du terme et pouvoir atteindre plusieurs fois le plaisir suprême par les caresses de ma langue et de mes doigts avant de connaître à mon tour l’orgasme. Les femmes ont cette faculté de pouvoir jouir plusieurs fois de suite sans répit… enfin, certaines femmes du moins.
Au fil de nos discussions, je me suis rendu compte qu’Annie correspondait en tout point à mes fantasmes, même si elle l’ignorait elle-même. Elle avait 42 ans, veuve depuis un mois mais en manque de sexe depuis longtemps du fait de la longue maladie qui devait finalement emporter son mari. Ce n’est évidemment qu’au bout de quelques jours d’échanges sur le net qu’elle m’en a fait part. Je ne lui ai nullement caché que j’étais marié depuis une trentaine d’années, heureux mais insatisfait sur le plan sexuel dans le sens que ma femme se bornait à des pratiques tout ce qu’il y a de classiques.
Durant nos échanges épistolaires, elle m’avait avoué n’avoir connu que trois hommes dans sa vie et ne pas avoir exploré d’autres pratiques que celles que l’on nomme classiques. Donc pas forcément ce que je recherchais ; pourtant, je pressentais qu’elle avait envie de découvertes. La sodomie n’était par exemple pas dans ses préférences bien qu’elle en ait fait l’expérience lors de son premier mariage avec un alcoolique qui la prenait de force. Après deux semaines de chaude correspondance et de quelques téléphones encourageants, nous avons convenu d’une première rencontre, chez elle.
C’était en fin de journée, après mon travail. Elle vint m’ouvrir sa porte, enveloppée dans une serviette de bain, et m’invita à entrer dans son salon. N’ayant pas plus de deux heures de libre, j’ai refusé le verre qu’elle me proposait et c’est le plus naturellement du monde qu’elle se trouva nue après à peine deux minutes. J’étais totalement comblé par ses rondeurs… Deux seins lourds et volumineux, dotés de mamelons qui pointaient déjà fièrement. Je la fis se lever et tourner sur elle-même pour admirer son fessier de forte dimension, mais sans aucune trace de cellulite. Une main se faufila entre ses cuisses opulentes et deux de mes doigts découvrirent sa chatte détrempée. Je me levai à mon tour et posai mes doigts sur ses lèvres et nous les léchâmes ensemble, laissant nos langues se caresser.
Après ce premier baiser, elle m’emmena dans sa chambre et je la fis asseoir sur le bord de son lit, les pieds reposant sur le sol. Toujours habillé, je sortis mon sexe de mon pantalon et le présentai à sa bouche qui s’en empara goulûment. La suite fut assez classique et ne mérite pas que je la raconte en détail, si ce n’est qu’après l’avoir léchée, doigtée et finalement pénétrée, elle sortit d’un tiroir de sa table de nuit une panoplie de godes, vibros et autres jouets.
J’avoue avoir été surpris, mais elle me répondit que son défunt mari n’étant pas très endurant ni très expert, par contre ne rechignait pas à lui donner quelques plaisirs avec les jouets qu’elle s’était achetés, la plupart d’entre eux n’ayant jamais servi. J’en profitai pour jouer avec ses orifices en attendant que ma queue reprenne de la vigueur ; et dès qu’elle fut à nouveau dure, je me suis permis de frotter mon gland sur sa rosace. Comme ses gémissements m’indiquaient qu’elle semblait y prendre plaisir, je l’ai pénétrée par la petite porte, qui n’était d’ailleurs pas si petite que ça. Comme je l’avais suspecté, elle était avide de nouveaux plaisirs.
Les jours qui suivirent nous permirent d’aller plus loin dans nos fantasmes, elle surtout. Nous nous revîmes encore quelques fois, et très vite nous utilisâmes des mots crus en alternance avec les moments de douceur. Elle a découvert la domination douce et verbale. Elle prit goût à mes ordres, du genre « Tourne-toi, salope ! Je vais te défoncer le cul… » ou encore « Suce-moi mieux que ça ! » tout en la gratifiant de quelques claques sèches sur les fesses.
Son fils étant revenu vivre sous son toit, il nous fut impossible de nous voir chez elle, à part quelques séances rapides entre midi et deux heures quand mon travail m’en laissait le loisir. Nous convînmes donc de nous voir dans la nature ; mais comme nous étions en hiver, nos ébats eurent lieu à l’arrière de mon gros 4x4, sièges arrière déployés pour nous donner un semblant de grand lit. Notre relation était parfois houleuse du fait de son très grand appétit sexuel que mon emploi du temps ne permettait pas toujours de combler. Quand elle devenait trop exigeante, je ne lui répondais plus pendant plusieurs jours ; et quand enfin je la recontactais, c’était pour lui donner – sous forme d’ordre – un rendez-vous libidineux à notre endroit habituel. J’accompagnais mon ordre d’exigences diverses, comme d’arriver nue sous sa robe et de mettre sa chaînette pourvue de trois pinces, une pour chaque téton et une pour son clito. Le gel lubrifiant ne quittait plus son sac à main et la sodomie faisait partie de la routine.
À mon arrivée sur le parking d’une sortie d’autoroute, elle s’empressait de monter dans ma voiture et notre rituel était de commencer par un long baiser pendant que mes mains passaient sous sa robe pour vérifier qu’elle était nue. Très souvent, elle m’avait désobéi en mettant un leggins qui moulait ses cuisses puissantes et son énorme cul. Elle savait qu’elle serait punie et y avait vraiment pris goût. La première des punitions, en-dehors de la désormais traditionnelle fessée, fut de jouir dans sa bouche, chose dont elle avait horreur… Elle y prit goût également. Alors qu’au début de notre relation je la faisais jouir beaucoup avec ma langue et un peu avec mes doigts, elle devint rapidement une vraie femme fontaine. Elle ne giclait pas en longs jets, mais coulait à flots quand mes doigts tournaient sur son point G que personne n’avait cherché avant. Sentir ses muqueuses vaginales enfler au point de devoir forcer pour que mes doigts ne se fassent pas éjecter était très excitant pour moi et très jouissif pour elle.
Ses seins étaient également extrêmement sensibles, et elle adorait que je pince le plus fort possible ses tétons en les étirant. Désormais, le rituel était devenu immuable. Arrivés dans notre coin au fond d’un bois, nous passions à l’arrière de mon 4x4, nous mettions nus et je commençais par la lécher et la sucer pour un premier orgasme dans la douceur. Ensuite, elle me demandait de la doigter : deux doigts dans la chatte et un entre ses fesses tandis que mon pouce tournait sur son bouton d’amour. Je l’encourageais dans ses nombreux orgasmes en lui parlant crûment :
Quand elle avait joui plusieurs fois de suite, c’était à elle de me demander ce qu’elle voulait que je lui fasse… À chaque fois, elle me demandait sans plus aucune gêne :
Alors nous sortions souvent de la voiture et je la faisais se plier en avant, jambes écartées et mains appuyées contre un arbre.
Un jour, j’ai commencé par la fesser vigoureusement en exigeant qu’elle se caresse la chatte pendant ce temps. Puis je l’ai doigtée par les deux trous jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus et m’implore de l’enculer. Mais j’ai voulu pousser plus loin la perversion et j’ai exigé qu’elle urine sur mes doigts pendant que je la faisais jouir.
Alors seulement je répartis du gel sur et dans sa rosace et la pris sauvagement entre ses fesses que je claquais en même temps que je la défonçais, me vidant très vite au plus profond de ses entrailles… Dès que ma queue s’est mise à mollir, je ressortis de son cul rougi par mes claques et urinai de suite sur sa rosace.
Notre histoire a vécu encore quelques semaines, jusqu’à ce qu’elle tombe complètement amoureuse bien que sachant que jamais je ne quitterais ma femme. Ce fut la fin de notre relation et je n’ai plus entendu parler d’elle.