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n° 15760Fiche technique9189 caractères9189
Temps de lecture estimé : 6 mn
23/08/13
Résumé:  Un autre nageur me trouble, et je ne résiste pas à son appel.
Critères:  hh couleurs piscine sport intermast facial fellation anulingus hdanus
Auteur : Olivier            Envoi mini-message
La piscine

Bonjour ; voici une histoire vraie pour votre site.



Depuis quelques semaines, je me rends tous les mardis midi à la piscine pour soigner un mal de dos récurrent dû à un manque de musculature dorsale. Bref, je vais nager, et j’avoue que j’y ai pris goût. Pour autant, jamais je n’avais songé à autre chose qu’au sport dans cette enceinte. Donc ce mardi, comme d’habitude, je fais mes longueurs et je commence au bout de 600 à vraiment être fatigué. Je m’arrête donc au bord du bassin, me mets sur le côté pour ne gêner personne et reprends mon souffle.


La personne qui est dans la même ligne de nage que moi est un Noir hyper musclé qui enchaîne les longueurs, mais sans pour autant sembler être un nageur hors pair. Cela se confirme quand il commence une longueur en dos crawlé qui est presque risible, mais son paquet – qui sort de l’eau – m’interpelle. Il revient en brasse et repart en dos. Je me mets derrière lui et je nage tranquillement en regardant brièvement ce slip bien rempli qui me précède J’ai des pensées qui montent et qui m’empêchent de bien me concentrer. Est-elle aussi grosse que ça ? Est-ce qu’il fait exprès de se mettre dans cette situation ? Est-ce qu’il me laisserait le sucer ?


Je suis marié ; j’ai déjà eu quelques aventures avec un ami à moi, mais c’est la première fois que je suis troublé par un mec dans un lieu public. De retour là où l’on a pied, ce beau Black se lève ; il est vraiment très bien bâti : des muscles saillants partout. J’ai une envie soudaine de lécher ses tétons, de malaxer ses pectoraux, de sentir ses bras puissants autour de ma taille.


Je ne sais pas trop ce qui se passe ; je suis en train de me focaliser sur ce paquet que je mate à chaque fois que l’on se croise dans la piscine, chaque fois que je me retrouve derrière lui et que je dois ralentir pour ne pas le doubler mais mater son cul rebondi qui m’appelle lui aussi.


Nous nous retrouvons tous les deux au bout de la piscine ; pas un mot, pas un regard : je sens que je me fais un film depuis le début. Il repart en dos et me jette un coup d’œil en souriant ; je démarre tout de suite. Il nage lentement en écartant le plus possible les jambes, faisant une sorte de brasse sur le dos ; je vois son sexe et je meurs d’envie de le prendre là, dans la piscine, de le toucher, de le sentir… Bref, je veux pomper ce gros morceau !


Arrivé au bout, il me sourit ; je crois qu’il m’allume, le salaud… Une dernière longueur et il sort. Je le regarde partir ; il me jette un coup d’œil. Je sors rapidement et le retrouve sous la douche.



Je vais prendre mon gel douche et ma serviette, et reviens sous l’eau chaude ; je fais tout pour contenir ma bite qui veut se dresser. D’autres personnes arrivent pour aller nager ; elles discutent et rigolent. Mon beau Black se dirige, une fois lavé, vers une cabine ; et au moment de fermer, il me regarde et me fait un clin d’œil. Je sors de la douche et regarde aux alentours : personne. Je rentre rapidement dans la cabine ; je suis face à lui. Il me pousse à l’intérieur, vérifiant que personne ne nous a vus, et ferme la porte



Nous chuchotons pour ne pas être surpris.



Je m’assois sur le banc, encore tout mouillé. Il baisse son slip de bain et une belle grosse queue apparaît, encore mollassonne, avec un gland majestueux. Je le branle doucement et pose mes lèvres dessus. Je lèche son gland en le regardant dans les yeux.



J’engloutis son sexe qui grossit rapidement pour atteindre au moins 21/22 cm ; lavé par la piscine, il est divin. Je le pompe sans réfléchir, prenant un plaisir fou à sentir ce gros engin coulisser entre mes lèvres. Je ne peux prendre que la moitié dans la bouche, alors je le branle vivement en gardant son gland en bouche et en faisant tourner ma langue autour. Je le regarde dans les yeux, il me sourit.



Pour toute réponse, je sors ma langue et pose son gland dessus en le branlant à toute vitesse, puis je remets son vit dans ma bouche. Je caresse son torse musclé, me lève, lèche ses tétons, ce qui le fait soupirer. Je bouffe ses seins, puis retourne enfourner ce pieu noir imposant.



Je me lève. Il prend ma place, enlève mon maillot et embrasse tendrement mes 18 cm de chair dressée, lèche doucement mon gland, prend mes couilles dans ses mains. Il met ensuite mon sexe entier dans sa bouche. Je pose mes mains sur sa tête et donne le rythme : je veux qu’il me suce longtemps, doucement, qu’il fasse monter mon jus en douceur. Il suce divinement bien, alterne les aspirations et les petits coups de langue, lèche mes couilles.



Je me retourne, m’appuie sur la porte et sens son souffle sur ma raie. Il pose sa langue sur mon œillet et commence à la faire tourner sur mes chairs intimes, lèche doucement mon trou et darde sa langue pour entrer dans mon cul. Je suis à deux doigts de hurler, tellement la sensation est superbe. Je me sens chienne ; j’ai envie de lui gueuler de me bouffer le cul, de me baiser là, maintenant, de m’asseoir sur cette queue énorme. Il continue le ballet avec sa langue ; je pars complètement et sens son doigt entrer sans problème. Il commence tranquillement à me doigter, allant de plus en plus vite. Je le regarde : il se branle en regardant son doigt dans mon fion.



Il en met un deuxième, et après quelques secondes, un troisième. Il me laboure maintenant le cul avec ses gros doigts qui me remplissent. Je n’en peux plus. Il retire ses doigts, se lève et vient se frotter contre moi. Je sens son sexe dur coulisser entre mes fesses.



Il me prend dans ses bras, me caresse les tétons pendant qu’il se branle contre mes fesses. Il continue un moment à se frotter, moment hyper excitant et tellement frustrant car je voudrais le sentir en moi, son gland accrochant de temps en temps mon anus. J’ai mes deux mains autour de son cou, cambré pour bien lui ouvrir mes fesses. Il me mord l’oreille, me dit qu’il voudrait entrer, que mon cul va le faire jouir. Je n’en peux plus ; je prends sa queue et pose son gland sur mon anus, me recule pour faire entrer son gland qui entre dans mon intimité sans trop de souci. Je sens son énorme sexe qui est arrêté par mes sphincters, je le veux.



Je me retourne, m’agenouille et le branle, le suce, le suppliant du regard de me remplir la bouche avec son sperme. Je sors ma langue et astique le plus vite possible ce chibre qui tressaute ; et le sperme sort enfin ! Je recueille tout le nectar sur ma langue, engloutis sa queue qui lâche encore les dernières gouttes. Je le regarde : il a la main devant la bouche pour ne pas faire de bruit. Une fois tout son foutre sorti, il me regarde, sourit et me relève doucement, s’assoit sur le banc et reprend ma bite dans sa bouche. Il me suce doucement, lentement, et je sens mon orgasme monter dans le creux des reins. Il me met un doigt et fouille mon trou, appuyant sur ma prostate ; je ne tiens pas longtemps et jouis longuement dans sa bouche, évitant de crier. J’ai les jambes qui ne me tiennent pratiquement plus ; je n’ai pas autant joui depuis des années ! Il sort un mouchoir, recrache mon sperme dedans, me sourit. Je remets mon maillot, j’ouvre la cabine : personne. Je sors reprendre une douche.


Je le vois partir ; il me regarde et vient me dire qu’il va sûrement revenir les mardis midi, et que la prochaine fois il aura tout ce qu’il faut.