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n° 15769Fiche technique8401 caractères8401
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/08/13
Résumé:  Un couple de jeunes mariés fait l'amour sur un parking de supermarché.
Critères:  fh
Auteur : Bernard      Envoi mini-message
Merci à la Collection Aphrodite !

Il fait un temps magnifique en ce mois d’août 1977, près de Rodez, dans l’Aveyron. Je regarde tendrement Caroline ; cela fait deux ans que je l’ai épousée. C’est une jolie femme fine, brune, d’un mètre soixante-dix, avec une petite poitrine très ferme et des yeux bleus très clairs que le bronzage met encore plus en valeur. Elle attire le regard des hommes ; j’avoue que j’en suis jaloux, mais je ne peux pas leur reprocher d’avoir bon goût.


Par contre, en ce qui concerne notre vie amoureuse, c’est un peu plus compliqué. Une éducation plutôt stricte, probablement où la sexualité était un sujet tabou ; elle m’a offert sa virginité après de longs mois de fréquentation. Nos ébats ont toujours été plutôt classiques : elle a toujours refusé les petites fantaisies, à mon grand regret d’ailleurs. Mais aujourd’hui, je suis plutôt surpris : elle m’a emprunté un bouquin. Je suis lecteur de la Collection Aphrodite ; c’est particulier car ce sont des romans érotiques.


Je l’observe discrètement ; je la sens perturbée. Elle est assise dans une chaise longue, croisant et décroisant ses jambes. Elle est seulement vêtue d’un long tee-shirt avec une rose en motif qui lui arrive à mi-cuisses. Elle s’en sert surtout comme robe de plage, et je sais qu’en dessous elle ne porte qu’une petite culotte ; d’ailleurs, j’en vois la blancheur chaque fois qu’elle fait un mouvement de jambes. Ses petits seins ne sont pas entravés par un soutien-gorge. Je la sens nerveuse : visiblement, elle est passionnée par le roman. Je lui signale qu’il est grand temps d’aller faire des courses, sinon il va y avoir trop de monde. Elle semble agacée par ma demande, elle a du mal à se détacher de sa lecture ; à contrecœur, elle marque sa page et se lève.


Nous voilà dans la voiture, nous roulons tranquillement, elle n’a pas voulu se changer avant de partir. Je lui fais remarquer que le roman ne la laisse pas indifférente ; tout en le lui disant, je pose une main sur sa cuisse et la caresse doucement.



Je continue à la caresser en remontant sur le haut de la cuisse. À ce moment-là, je suis persuadé qu’elle va me repousser ; au contraire, elle écarte légèrement les jambes : elle est très réceptive à mes caresses, c’est incroyable ! Je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon short… Mes doigts ont atteint la lisière de sa petite culotte ; je passe un doigt par l’entrejambe. Comme le sous-vêtement me gêne, je lui demande de la retirer. Elle va m’envoyer paître ! Je reste sans voix ; elle n’hésite pas une seconde : elle l’enlève et la range dans la boîte à gants. Je réduis ma vitesse de plus en plus ; elle s’enfonce bien dans le fauteuil et écarte impudiquement les cuisses. Je crois rêver… Je lui caresse son minou, ses lèvres, la pénètre d’un doigt puis de deux tout en jouant avec son clitoris ; elle ferme les yeux et gémit sans retenue. Hélas, nous approchons de l’agglomération et nous devons arrêter les caresses. Elle est déçue, moi aussi. Elle veut récupérer sa petite culotte.



Elle me regarde malicieusement et la remet en place. Décidément, c’est vraiment une matinée particulière !


Comme prévu, il y a un monde fou : difficile de trouver une place sur le parking. Je passe le long d’une haie de thuyas où il y a une dizaine de places occupées. Coup de chance, une voiture part. Vite fait, marche arrière et nous voilà garés.


Nous prenons un caddy. Je regarde ma femme qui déambule devant moi ; de la savoir toute nue dessous me met dans un état second. Sa démarche est gracieuse, mon short est tendu ; heureusement que le caddy me protège de mon émoi ! Caroline s’en aperçoit, ne fait rien pour me calmer : bien au contraire, elle profite qu’il n’y ait personne dans un rayon pour faire semblant de chercher un article tout en bas, sans plier les jambes ; j’ai une vue plongeante sur ses fesses toutes blanches, un supplice, mais un vrai bonheur… Je découvre une Caroline que je ne connaissais pas.

J’avais besoin d’un nouveau maillot de bain. Me voilà dans la cabine, je retire mon short et mon slip pour l’essayer ; je sens une main qui me caresse les fesses : ma femme a passé son bras à travers le rideau. Je me retourne, et elle prend ma verge en main, me caresse, me masturbe, masse mes bourses et disparaît. Décidément, je vais de surprise en surprise !


Nous voilà de retour sur le parking ; à côté de notre voiture, une camionnette est garée. Collés à la haie, nous rangeons les courses. Chaque fois que Caroline dépose les sacs au fond du coffre, je vois son petit cul blanc apparaître ; et là, je n’en peux plus : je me colle à elle.



Je lui remonte son tee-shirt au milieu du dos et j’abaisse mon short et mon slip ; elle n’essaie même pas de protester : elle a autant envie que moi. Au contraire, elle se cale bien les mains dans le coffre, les fesses bien en arrière, les cuisses écartées, formidablement impudique. Mes vêtements me gênent : ils se retrouvent vite fait sur le bitume. Sa petite chatte est trempée ; mon sexe hyper tendu la pénètre sans difficulté, je vais et je viens, j’en profite pour passer mes mains devant et lui caresser les tétons de ses seins. Heureusement que le bruit qui nous entoure couvre les gémissements de Caroline et les claquements de ses fesses contre mon pubis. C’est un peu bestial, certes, mais la situation l’exige : il faut que ça soit bref, mais hyper intense ; et croyez moi, c’est le cas ! Elle se tourne vers moi, le visage défiguré par la jouissance, les larmes aux yeux ; je jouis abondamment en elle puis on reste là, inertes, épuisés mais heureux. Je lui prends le visage, l’embrasse ; nos langues se mélangent, mais on prend vite conscience en riant qu’il est temps de se rhabiller : nous sommes complètement indécents.


Sur le chemin du retour, je propose à Caroline de nous arrêter pour pique-niquer au bord de la rivière ; nous avions découvert cet endroit lors d’une randonnée. Elle accepte avec joie. Nous avons ce qu’il faut dans le coffre pour nous restaurer ; je trouve une place à l’ombre, on prend quelque victuailles et, après dix petites minutes de marche, nous nous retrouvons dans notre petit coin de paradis : c’est plutôt un ruisseau, mais à un endroit il forme une espèce de petite piscine naturelle avec un rocher tout plat qui fait office de plage.



Caroline regarde autour d’elle, inquiète ; elle sourit puis se dévêt. Je remarque qu’elle n’a pas remis sa petite culotte et, après quelques réticences dues à la fraîcheur de l’eau, elle plonge. Je la rejoins immédiatement ; on chahute, on s’embrasse, on se caresse. Nous sommes seuls au monde, heureux. Caroline s’allonge sur la pierre plate, les jambes pendant dans l’eau ; je m’approche, dépose des baisers sur ses cuisses, remonte vers son mont de Vénus… Elle ferme les yeux. J’écarte délicatement ses cuisses, elle se laisse faire ; ma bouche est contre son pubis soyeux. J’écarte ses lèvres, aspire son clitoris, lui lèche le vagin ; elle gémit de plus en plus : je l’ai jamais vue aussi réceptive… Un nouvel orgasme la foudroie ; elle se tord dans tous les sens, son plaisir est le mien.


Après avoir dévoré notre pique-nique, nous sommes restés là une partie de l’après-midi, tout nus sur la pierre plate.


Hélas, il a fallu que j’attende plusieurs années avant de recommencer une autre expérience aussi intense. En tout cas, merci à la Collection Aphrodite !