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n° 15772Fiche technique22985 caractères22985
Temps de lecture estimé : 14 mn
30/08/13
Résumé:  Comment une quadra plutôt coincée va se faire prendre à son propre piège...
Critères:  fh fhh fplusag collègues grossexe grosseins travail contrainte exhib fellation fsodo
Auteur : Roadrunner59      Envoi mini-message
Jeu dangereux

Les aventures de Sandrine au travail




Sandrine est une femme de 45 ans, blonde, un peu ronde, dotée d’une grosse poitrine.

Elle a depuis peu un stagiaire qu’elle doit former ; il s’appelle Stéphane, un jeune Noir d’origine congolaise, il a 25 ans, est assez petit mais n’est pas désagréable à regarder.

Ce n’est pas son premier stagiaire, mais elle n’est pas près d’oublier celui-là. C’est une conversation avec Brigitte, sa collègue, qui va être le point de départ de cette histoire. Réunies autour de la machine à café – les sujets les plus chauds sont les plus appréciés – Brigitte demande à Sandrine :



À ce moment, Stéphane arrive.



Stéphane revient s’asseoir à son bureau, face à Sandrine, et se sent un peu gêné.



Sandrine vient se placer à côté de lui et se penche pour lui expliquer. Mais tandis qu’elle lui montre comment faire, les propos de Brigitte lui reviennent en mémoire : « Tu n’as jamais senti qu’il te regardait quand tu te penches, par exemple ? » Elle le regarde et découvre qu’il a les yeux complètement perdus dans son décolleté ; il est vrai qu’en se penchant, son chemisier s’entrouvre et laisse voir le haut de ses seins et son soutien-gorge.


Sans rien dire, Sandrine revient à son bureau ; elle est très troublée : elle a vu que Stéphane profitait de la vue plongeante dans son décolleté, et en est flattée. Elle qui a toujours été complexée par ses kilos superflus, n’aurait jamais pensé attirer les regards d’autres hommes. Même si, bien sûr, la fidélité est l’une de ses règles de vie ; mais se savoir désirée par un autre homme que son mari est très excitant.


Se rendant aux toilettes, elle ne peut s’empêcher de se caresser un peu en pensant à Stéphane, et décide même d’ouvrir un bouton de plus de son chemisier. La naissance de ses seins est nettement plus visible ; elle s’amuse de voir que son stagiaire l’a tout de suite remarqué et multiplie les occasions de venir lui demander des renseignements à son bureau pour pouvoir se poster au-dessus d’elle et profiter de la vue.




—ooOoo—




Le lendemain, du rangement est au programme ; il s’agit d’archiver les dossiers dans une salle au sous-sol, et bien sûr, ce sont souvent les mêmes qui s’y collent, Sandrine et Stéphane.


Le matin, lorsque Sandrine a choisi ses vêtements, elle a réfléchi longuement à ce qu’elle allait mettre ; une petite voix lui disait : « Vas-y, mets quelque chose de plus sexy. Tu vas te retrouver seule avec Stéphane : tu pourras enfin donner sa réponse à Brigitte. » « Tu devrais te faire soigner aussi, ma vieille ! » se dit-elle. Malgré cela, elle a quand même envie de pousser un peu plus l’expérience, et choisit un pull avec un col en V, un peu décolleté, et qui peut devenir très provocateur si elle se penche vraiment ; elle opte pour une jupe un peu plus courte.


Dès le début, elle sent l’ambiance devenir électrique ; Stéphane apporte les boîtes et elle écrit dessus ce qu’elles contiennent. Il est obligé d’attendre devant elle. Elle s’amuse à se pencher en écrivant les étiquettes ; son décolleté est profond : il doit sûrement apercevoir les deux globes de ses seins bouger dans l’encolure… Elle sent son regard sur elle. De plus, il ne fait pas très chaud dans cette réserve, et ses tétons pointent outrageusement.



Sandrine monte quelques marches et essaie de lire les étiquettes. Lui s’est assis sur une boîte en bas de l’escabeau et regarde… Nul doute que, de sa position, il doit avoir une belle vue sur ses jambes, et même un peu plus haut, surtout avec cette jupe. Sandrine décide de garder la position un moment ; après tout, cela lui plaît aussi d’exciter ce jeune homme… Il semble qu’une grosse bosse s’est formée sur le devant de son pantalon. Elle s’amuse même à écarter un peu les jambes.

Finalement, elle redescend.



Surprise, un peu gênée – et surtout très troublée – elle n’arrive pas à protester. Il procède doucement, la caressant plus qu’autre chose ; ses mains descendent le long de son dos et revienne sur sa taille. Surprise, son cœur s’emballe, mais elle ne dit rien et plaisante pour essayer de masquer son trouble.



Et il les fait doucement remonter vers le haut et les pose sur ses seins.



Tout en disant cela, il commence à presser les gros seins de Sandrine.



Sandrine a le souffle court, elle n’ose pas faire de scandale. Stéphane, de son côté, commence à jouer avec les tétons de Sandrine qui pointent d’excitation.



Elle a posé ses mains sur celles de Stéphane. Celui-ci les redescend.



Stéphane en profite pour glisser ses mains sous le pull de Sandrine et lui saisit les seins.



Il les serre un peu plus.



Tandis que Stéphane se frotte contre son derrière, Sandrine peut sentir quelque chose de très dur contre elle. Les mots crus qu’il a prononcés, bizarrement l’excitent. Elle a, de plus, toujours été très sensible des seins. Elle sait qu’elle est déjà trempée.

Stéphane recule et déboutonne son jean ; son sexe en érection jaillit de son boxer : il est énorme ! Jamais Sandrine n’en a vus d’aussi longs et d’aussi gros. Elle est paralysée par la vue de ce pénis tout près d’elle. Il est noir et sent très fort.



Stéphane la saisit par les poignets et l’oblige à se mettre à genoux ; son pénis est maintenant juste devant sa bouche. Il lui donne des coups de sexe sur le visage, elle le laisse faire.

Saisissant la tête de Sandrine d’une main, il lui met son sexe dans la bouche.



Sandrine, bien que réticente au début, commence à ne plus se contrôler. Cette brutalité pour la forcer à sucer cet énorme pénis et les choses vulgaires qu’il lui a dites la troublent au plus haut point ; elle n’a plus ses repères. Elle commence à prendre goût à sucer et à lécher ce sexe. Elle l’attrape à deux mains et commence des va-et-vient avec sa bouche ; il est vraiment énorme ! Stéphane gémit.



Sandrine continue et la fellation dure dix minutes.

N’y tenant plus, Stéphane éjacule un long flot de sperme dans la bouche de Sandrine ; il n’a pas lâché sa tête, elle est forcée d’avaler, elle qui n’avait jamais voulu céder au caprice de son mari, se retrouve à boire tout ce que le Black lui crache dans la bouche. Enfin, il la lâche ; elle a presque tout avalé, un peu de sperme lui coule du bord de la bouche.



Et il la laisse dans la réserve, reprend ses affaires dans le bureau et part comme s’il ne s’était rien passé.

Sandrine est complètement perdue ; elle a conscience qu’il la forcée à le sucer, mais elle a aimé ça. Elle est prête à ne pas aller travailler le lendemain, mais décide d’y aller et de résister.




—ooOoo—




Elle a quand même mis une jupe, a opté pour un top à fines bretelles et a mis une culotte. Elle arrive en avance pour avancer un maximum sur le rangement et peut-être ne plus devoir rester au sous-sol avec Stéphane. Malheureusement, lui aussi est arrivé tôt.



Il sort son portable et montre une photo qu’il a prise la veille : on la voit nettement sucer Stéphane, elle tient son pénis à deux mains.



Sandrine est muette de stupeur. Il s’approche d’elle et commence à faire glisser ses bretelles de top et de soutien-gorge ; elle ne bouge pas. Ses mains descendent vers ses seins. Il abaisse doucement son top et son soutien-gorge dans un même mouvement ; ses gros seins jaillissent : les aréoles sont larges, et les tétons dressés. Elle frémit sous le regard de Stéphane.



Il les prend en main, commence à les caresser et se met rapidement à les pétrir, en suçant les bouts. Ceux-ci durcissent de plaisir.

Pour Sandrine, il faut qu’elle résiste : le chantage qu’elle subit est insupportable, mais les révélations sur ses collègues masculins – et surtout les caresses de Stéphane – commencent, malgré elle, à beaucoup l’exciter.



Il déboutonne son jean et laisse sortir son sexe en érection. Comme la veille, Sandrine est impressionnée par la taille. Il lui glisse son pénis dans la bouche et l’enfonce doucement. Elle manque d’étouffer, mais cela le fait rire.



Elle commence par des va-et-vient avec sa tête pendant quelques minutes, puis elle dégage son sexe de sa bouche et donne des coups de langue sur le bout. Stéphane ne peut s’empêcher de gémir.



Elle se retourne ; il l’appuie sur les cartons et relève sa jupe d’un coup sec.



Il arrache d’un coup sa culotte, dévoilant ainsi son derrière blanc et son sexe, et commence à lui claquer les fesses.



Et il continue de la fesser de plus en plus fort. Sandrine commence à gémir ; la douleur de chaque claque lui procure également du plaisir, elle ne se reconnaît plus.



Il approche le bout de son gland des lèvres du sexe de Sandrine et la pénètre brutalement, la faisant crier de surprise et de plaisir. Les coups de boutoir se succèdent à un rythme effréné ; elle a l’impression d’avoir le sexe d’un cheval en elle, et pourtant son sexe énorme entre sans problème tellement elle est trempée. Elle n’a jamais connu une telle jouissance, elle va exploser… Il la besogne de nombreuses minutes en poussant des grognements, il semble infatigable ; Sandrine elle aussi pousse des cris de plaisir à chaque coup de boutoir. Enfin, il se retire et lui dit :



Complètement obéissante, elle s’exécute et il entre à nouveau son pénis dans la bouche de Sandrine pour pouvoir éjaculer. Le flot est bien plus important que la veille, mais Sandrine avale tout avec application.





—ooOoo—




Le lendemain midi, Sandrine est nerveuse ; elle a peine dormi. Elle a prétexté un rendez-vous médical pour prendre son après-midi. Arrivée dans la rue où habite Stéphane, elle se débarrasse de son soutien-gorge. Elle ne se reconnaît plus : elle est tout excitée mais est décidée à clôturer aujourd’hui cette relation trop extrême pour elle. Elle traverse la rue. Des ouvriers la sifflent et lui font des remarques salaces ; il faut dire que sans soutien-gorge, ses gros seins bougent en rythme.

Elle frappe à la porte ; Stéphane lui ouvre, il est en short et torse nu.



Effectivement, un autre Noir est là : il est nettement plus grand et plus musclé que Stéphane ; il est lui aussi juste en short, assis dans le canapé.



Stéphane la pousse dans la pièce. Elle est paniquée ; elle croise les bras pour cacher ses seins, mais Stéphane passe derrière elle et lui claque les fesses.



Sandrine, timidement, retire son haut mais cache ses seins. Stéphane, qui est resté derrière elle, lui maintient les bras dans le dos, la faisant se cambrer et donnant ainsi à sa poitrine un volume plus important. Ses tétons se dressent fièrement. Elle se débat ; ses gros seins balancent, le cousin est aux anges. Stéphane la pousse vers son cousin.



Il pose ses grosses mains dessus, commence par les soupeser, donnant de grands coups de langue qui font dresser les tétons. Les aréoles sont très grandes. Une bosse énorme s’est formée dans son short. Il les pelote franchement, faisant gémir Sandrine.



Stéphane l’oblige à se mettre à terre. Nabis sort son sexe du short devenu trop petit pour lui et le place devant le visage de Sandrine.

Elle ne réfléchit plus : le sexe est devant sa bouche, ses effluves l’excitent, et Nabis est assez attirant dans son genre. Elle n’a pas le choix. Elle le saisit à deux mains et commence à le lécher comme elle le ferait avec une bonne glace ; il paraît presque trop gros pour sa bouche. Elle réussit quand même à le prendre en bouche et commence des va-et-vient. Nabis la regarde faire, impressionné par cette femme qui s’applique à lui donner du plaisir. Ses gros seins l’excitent particulièrement.


Nabis a très envie de la pénétrer ; il la fait se relever et la soulève en lui tenant les fesses. Il est très fort, et peut ainsi la pénétrer ; elle pousse un cri de plaisir quand son énorme pénis entre en elle. Il joue avec elle comme si elle était une poupée, elle l’enlace et l’embrasse fougueusement ; ils semblent danser ensemble, ne faisant qu’un, lui en elle et elle l’embrassant.



Nabis explose de rire.



Il la plaque contre le mur et commence des va-et-vient en lui pétrissant le cul. Elle pousse des cris de plaisir chaque fois que son sexe énorme la pénètre à fond. Toujours en la portant, il vient se coucher sur le canapé ; elle le chevauche, il peut ainsi lui peloter les seins.

Stéphane n’a pas envie de rester à l’écart ; se présentant derrière Sandrine, il approche son sexe de son anus : il envie d’enculer cette bourgeoise. Il lui attrape le derrière à deux mains et positionne son énorme pénis contre le petit trou.



Et il commence à la sodomiser doucement ; Sandrine gémit. Il continue de la pénétrer, pour finalement être complètement entré en elle.

Elle a maintenant deux sexes énormes qui la besognent ; elle n’a jamais connu ça. C’est un peu douloureux au début, mais au final, c’est l’extase.



Ils lui font mal, elle n’est pas habituée à avoir en elle des sexes aussi gros ; elle jouit en criant et en frappant Nabis au torse lorsque celui-ci jouit à son tour et la remplit de sperme. Stéphane le suit de près, et se décharge dans le cul de Sandrine.



Sandrine n’a même pas entendu ce que Stéphane lui a dit ; elle se rhabille comme elle peut et repart sans un mot.



À suivre…