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Temps de lecture estimé : 7 mn
02/09/13
Résumé:  Comment je me suis révélée grâce à ma collègue de boulot et désormais Maîtresse.
Critères:  ff fplusag couleurs collègues travail fsoumise fdomine fellation fgode fsodo sm donjon fouetfesse init confession -extraconj -bourge -sm -fsoumisaf
Auteur : Patricia Cammarena
Soumise

Je suis Véronique, une femme de cinquante-cinq ans, mariée depuis vingt-cinq ans et bourgeoise. J’ai un poste à responsabilités dans une grande entreprise française. La sexualité avec mon mari est pauvre : rapports de plus en plus espacés et conventionnels, manque de désir de la part de mon mari, bref j’ai besoin de beaucoup plus pour m’épanouir. Les fantasmes courent dans mon esprit, mais un revient de plus en plus fréquemment quand je fais l’amour avec mon mari : la soumission. En effet je rêve d’être soumise, de préférence à une femme. Je commence à consulter sur le net des photos et vidéos de femmes en cuir, qui martyrisent des femmes soumises à elles et cela m’excite, plus que la perspective de coucher avec mon pauvre mari.


Il y a six mois, une nouvelle collaboratrice a été recrutée, une jeune femme de trente-cinq ans, très belle, d’origine africaine. Son allure est remarquable, mais la lueur qui brille dans son regard l’est d’autant plus. Quiconque soutient son regard, sent une confiance et un sentiment de domination assez peu commun chez une femme.


À tel point que les hommes n’osent pas l’aborder ou la regarder dans les yeux. Je dois avouer que son arrivée a réveillé mes désirs de soumission. J’étais obsédée par elle, mes pensées étaient envahies par sa silhouette et surtout je ne rêvais que d’une seule chose : être son esclave… Je sentais le pouvoir qu’elle pouvait exercer sur moi, révéler la femme soumise qui dort en moi.


Au bureau je ne pouvais m’empêcher de la regarder avec insistance lorsqu’elle déambulait dans les couloirs ou bien lors de la pause déjeuner à la cantine de la société. Ma culotte en était mouillée à chacune de ses apparitions.


Mais tout a basculé un matin. Attablée à mon bureau en train de parcourir un dossier important, elle entre sans prévenir dans mon bureau. Surprise, je relève la tête brusquement et je découvre cette jeune femme, objet de mes fantasmes, entièrement vêtue de cuir et chaussée de talons aiguilles vertigineux. Ébahie, je reste interdite devant ce spectacle qui, je l’avoue, m’angoisse mais m’excite terriblement.



Voyant que j’en ai le souffle coupé, elle répète :



Je balbutie quelques mots maladroitement et, sans coup férir, elle me coupe la parole avec ces mots, qui résonnent encore en moi :



Mon Dieu, elle m’a découverte… J’ai beau nier timidement, elle insiste, m’agrippe par les cheveux et plaque mon visage sur ses fesses moulées dans son pantalon de cuir noir.



Mes dénégations sont de plus en plus faibles. Le visage collé à ces fesses sublimement moulées dans le cuir me fait perdre toute volonté. Je m’abandonne littéralement à elle. Un « Lèche ! » résonne dans le bureau. Elle appuie sur ma nuque et je passe ma langue sur ses fesses. Ma langue court sur toute la surface, je lèche chaque zone de son postérieur, l’odeur du cuir m’enivre, ma culotte commence à devenir humide et pendant que je lèche les coutures de son pantalon, je l’entends me complimenter :



Elle défait son étreinte sur ma nuque, mais je continue à la lécher. Alors elle dit, d’un ton martial :



Je tressaute en entendant ces paroles. Le stress lié à son arrivée dans mon bureau et le fait qu’elle ait découvert mes penchants a laissé place à l’excitation et l’envie d’être à ses pieds.


Groggy, je hoche la tête positivement, ce à quoi elle répond :



« Quelle poigne… » me dis-je, surprise ; mais la plus grande surprise a été de découvrir que j’en ai trempé ma culotte… Je passe la journée enfermée dans mon bureau, essayant de reprendre mes esprits et me demandant ce qu’il adviendrait de moi ce soir.


Dix-neuf heures venues, je me dirige vers ma voiture et aperçois sa silhouette à côté de mon véhicule. Un « Monte, salope ! » résonne dans le parking souterrain. Rouge de honte, je déverrouille les portes et monte à l’avant, côté conducteur. Le trajet est silencieux, seules les indications sur notre destination rompent le silence pesant.


Arrivées chez elle, dans une banlieue chaude de la ville, je suis stupéfaite de l’agencement de son appartement : un donjon est aménagé dans le salon. Cage, croix, laisses et fouets apparents sur le mur et d’autres choses ayant trait au milieu de la soumission…


Hébétée, elle me tire par le bras et me place à genoux à ses pieds.



Elle tend ses bottes vers mon visage et, avec sa main, dirige mon visage sur le cuir de ses chaussures. Je lèche ses bottes ; la tige, les talons, les semelles… J’ai cœur à nettoyer entièrement ses bottes, qui m’impressionnent. Alors que je suce le talon avec plaisir, je l’aperçois en train de se caresser à travers le cuir de son pantalon. Elle maintient sa main sur ma nuque pendant que je nettoie ses semelles.


Puis elle me tire par les cheveux, place un collier en cuir autour de mon cou, y attache une laisse en cuir elle aussi et, à quatre pattes, me dirige vers une croix située dans sa chambre. Elle me place dessus, dos à elle, retire ma jupe et ma culotte et se dirige vers un étal où sont situés godes et fouets…


Un premier coup de fouet claque sur mes fesses ; je sursaute en criant de surprise.


Les coups se succèdent, mes fesses me brûlent rapidement mais j’adore ça. Petit à petit, je m’habitue à la douleur, et le plaisir prend le pas. Mes tétons durcissent, mon clitoris aussi, mon vagin s’humidifie, je suis aux portes de l’orgasme. Après un bon quart d’heure de ce traitement, elle arrête et me détache. Je tombe à quatre pattes, lasse, humiliée, mais comblée de plaisir.


Sa main agrippe mon collier et je me retrouve attachée à une table de gynécologie, les jambes en l’air, écartées en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « ouf ». Elle se présente à moi, un gode-ceinture noir attaché à ses hanches, noir comme sa peau d’ébène.



Elle se positionne à proximité de mon visage et m’oblige à sucer ce sexe de plastique noir. Je n’ai jamais sucé de ma vie et, comme ma Maîtresse voit mon hésitation, elle place sa main derrière ma nuque et l’enfonce dans ma bouche et ma gorge, jusqu’à la garde. Je suis proche de l’étouffement, j’en ai des haut-le-cœur pendant qu’elle m’encourage avec ses « Suce bien ma bite, soumise… », ou encore ses « Tu l’aimes, cette queue ? », ce à quoi je réponds par l’affirmative, par le biais de hochements de tête… Puis elle relâche ma nuque et je suce, avec gourmandise, sans contraintes.


Elle se retire de ma bouche, le sexe plein de salive, et se présente près de mon sexe. Elle me pénètre sans aucun avertissement et me défonce à couilles rabattues (si elle en avait). Au début, la pénétration est violente malgré le fait que mon vagin soit très humide ; malgré tout, je ressens un plaisir sans borne. Elle me baise comme j’ai toujours voulue être baisée. Son sexe de plastique écarte mes parois, titille des endroits inexplorés de mon con. J’aime ce traitement, et à chaque injonction de ma Maîtresse, je dis :



La séance dure plusieurs minutes ; elle se rapproche de mon visage et, empoignant mes seins, elle m’embrasse fougueusement en me disant que je suis une « bonne soumise » et que je suis « bonne ». Suit une sodomie à sec qui dilate mon anus (c’est la première fois pour moi) et me tire plusieurs orgasmes.


Alors que je reprends mes esprits, elle me caresse tendrement les cheveux en léchant ma poitrine, alors que son gode est toujours dans mon anus. Maîtresse Clara me dit alors que je suis la meilleure soumise qu’elle ait connue, et qu’elle est excitée à l’idée de me prendre en main. Je ressens la même chose, mais je suis trop surprise pour répondre. Elle m’ordonne de prendre ma semaine pour refaire ma garde-robe et me remettre, car la semaine prochaine « les choses sérieuses commencent ! » dixit ma Maîtresse…


Enfin, alors qu’elle me détache et m’ordonne de me rhabiller, elle m’ordonne de rentrer chez moi retrouver mon « cocu de mari ». Je m’aperçois alors qu’il est minuit… Rouge de honte, je rentre chez moi. Questionnée à mon arrivée par mon mari et ma fille, je prétexte une sortie entre collègues de boulot et une panne de batterie de téléphone pour ne pas les avoir prévenus. Sous la douche, je me caresse en repensant à ce que je viens de faire…


Le lendemain, je jette la majorité de mes vêtements de grand-mère pour acheter des pièces en cuir, vinyle et latex, comme ma Maîtresse Clara me l’a ordonné, sous les yeux ébahis de ma famille… Personne ne sait alors que je suis désormais Soumise Véronique, aux ordres d’une Maîtresse de vingt ans de moins que moi.


Le lundi suivant, je me présente au travail en jupe en cuir et veste en cuir, avec des talons aiguilles vertigineux. Ma Maîtresse me passe un coup de fil dans mon bureau, me disant :



Voilà comment je suis devenue la soumise d’une femme noire de vingt ans de moins que moi…