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n° 15782Fiche technique70614 caractères70614
Temps de lecture estimé : 40 mn
04/09/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  La rencontre d'un libertin avec une mère de famille dont la libido endormie se réveille au-delà de toute espérance...
Critères:  fh inconnu vacances sauna bain noculotte pied facial fellation cunnilingu pénétratio double
Auteur : Game33            Envoi mini-message
Mes vacances imprévues avec Muriel

Rencontre au clair de lune



Cette année-là, Stéphane passait ses vacances seul. Il n’était pas allé à Lacanau Océan, comme il en avait l’habitude. Il en avait assez de cette surpopulation, de tous ces surfeurs qui se garaient n’importe où et de cette ville artificielle qui se montait et se démontait chaque été. Il avait choisi d’aller plus au nord, à Soulac-sur-Mer. La station était de taille plus modeste. Il y régnait encore une ambiance moins « industrielle » ; et puis, il y avait la plage naturiste…


Cette année, il ne voulait pas passer ses vacances seul et une belle femme de 35 ans devait l’accompagner. Il l’avait draguée sur Internet pendant plusieurs mois avant qu’elle lui promette de venir passer cette semaine avec lui. Tant qu’à faire, il avait donc choisi un endroit où le naturisme était pratiqué sur la plage pour se rincer l’œil à défaut de parvenir à autre chose…


Malheureusement, la belle inconnue s’était dégonflée et elle s’était décommandée au dernier moment. Il se retrouvait donc seul dans son appartement et s’était dit qu’il trouverait « la marchandise » sur place. Mais la drague dans les boîtes au volume sonore infernal, aux terrasses des cafés ou même sur la plage, ce n’était décidément pas son truc. Finalement, il était assez timide ; ce n’était pas un Apollon et il était plus doué à l’écrit qu’à l’oral. D’où ses contacts via Internet.


Avec sa cinquantaine passée, ses cheveux qui commençaient à grisonner et ses yeux bleus, il avait un certain charme. Il n’était pas très grand, et avait reperdu le surpoids consécutif à un arrêt du tabac. Ce soir-là, il marchait sur la plage quand il vit une femme prostrée sur le sable et qui pleurait. Il s’approcha d’elle et vint lui parler :



Pour lui répondre, elle n’avait même pas relevé la tête, posée sur ses genoux. Elle portait une jupe en jean et un débardeur blanc. Ses sandales à lanières étaient posées sur la plage et elle avait les pieds dans le sable. Ses cheveux bruns qui paraissaient assez longs étaient relevés et attachés par une grosse pince en bois. Stéphane avait une vue sur sa nuque très belle et très excitante. Malgré l’accueil glacial, il insista.



Pour lui répondre, elle avait enfin relevé la tête. Ses yeux étaient embués de larmes, mais il la trouva très belle. Il ne put s’empêcher de remarquer ses seins qui pointaient sous le débardeur. Ils étaient petits mais avaient l’air très mignon.



Elle leva les yeux et le regarda enfin. Il n’était pas trop moche et avait l’air gentil. Après tout, pourquoi pas… Il commençait à faire froid et elle n’avait pas envie de rentrer, alors pourquoi pas aller boire un café ?

Elle tendit la main vers lui et il l’aida à se relever. Elle remit ses chaussures en prenant appui sur son épaule. Une fois qu’elle fut debout, il vit qu’elle n’était pas très grande : à peine un mètre soixante… Tant mieux ! Il était lui-même de taille assez modeste et craignait de tomber sur une de ces géantes comme les Allemandes et les Hollandaises qui pullulaient ici.

Il lui dit qu’il se prénommait Stéphane et elle ne fit aucune difficulté pour lui révéler qu’elle, c’était Muriel. Ils remontèrent la plage en direction de la route et il la regarda plus attentivement. Elle était fine, et ses hanches qui roulaient sous ses pas faisaient onduler un fessier dont il ne parvenait pas à détacher son regard.


Ils arrivèrent en pleine lumière et s’attablèrent à la terrasse d’un café. Sa vacancière en détresse lui plaisait beaucoup et elle devait avoir moins de quarante ans. Elle sourit enfin et son visage s’illumina d’un seul coup. Ses yeux, encore brillants d’avoir pleuré, étaient magnifiques et vifs.

Stéphane lui commanda un cocktail maison et elle le laissa faire. Après tout, un peu d’alcool serait aussi efficace qu’un café pour lui remonter le moral. Il était assez doué pour la faire parler et elle lui confia rapidement la source de ses soucis et pas mal de détails sur sa vie. Elle était mariée, avait deux enfants et était en vacances ici pour deux semaines. Il ne comprit pas très bien quelle était son activité professionnelle. Il la situait dans le domaine administratif des activités d’un grand groupe, mais cela n’avait pas une grande importance.


Muriel lui confia progressivement ses problèmes. Elle se sentait en confiance et avait besoin de parler. Tant pis s’il s’en foutait. Il faisait très bien semblant et cela lui faisait du bien.

Quand il commanda deux autres cocktails, elle ne protesta même pas. Elle commençait à se sentir bien dans les fauteuils en rotin de ce bar un peu sélect. Il l’écoutait, posait des questions judicieuses, et ne parlait pas trop de lui. Souvent le défaut des mecs…

Par contre, il ne perdait pas un détail de ses mouvements et de ses gestes. Sa jupe était courte et il avait déjà pu apercevoir à deux reprises une magnifique culotte de dentelle blanche. Stéphane lui expliqua qu’il était seul en vacances à Soulac et essaya tout de suite de lui donner rendez-vous le lendemain à la plage. Tant qu’à faire, autant ancrer tout de suite cette relation d’un soir…


Quand il approcha ses mains de celles de Muriel et que ses doigts se mêlèrent aux siens, elle ne se recula même pas. Ce n’était pas vraiment le type d’homme qui lui plaisait habituellement ; pourtant, ce soir, elle avait besoin d’être réconfortée. Elle le laissa poser la main sur son genou, puis remonter vers ses cuisses. Stéphane sentait le grain de sa peau très douce, signe qu’elle était parfaitement épilée, et il avait envie d’elle. Ce simple contact tactile commençait à provoquer une érection que son pantalon de toile légère ne dissimulait guère.


Il vit que les yeux de Muriel plongeaient régulièrement vers son entrejambe et que le changement de dimension de son sexe n’était pas passé inaperçu. Il voulut remonter plus haut sur ses cuisses et partir à la conquête de cette petite culotte qu’elle lui avait laissé deviner, mais Muriel était pudique. D’autres consommateurs les regardaient et elle l’arrêta aussitôt.



Muriel rougit. Elle avait été trahie par son absence de soutien-gorge et il lui était difficile de nier. Stéphane lui demanda si elle voulait un troisième cocktail, mais elle sentait que sa tête commençait déjà à tourner un peu et elle n’avait pas l’intention de perdre tout contrôle.



Il alla régler les consommations et la rejoignit devant le bar. Pour traverser la rue, il la prit par la taille et elle accepta ce geste compromettant. Ils retournèrent sur la plage et se mirent pieds nus. Ils marchèrent au bord de l’océan dans lequel les vagues rugissaient en ce début de marée montante. L’Atlantique et son immensité s’étendaient à perte de vue et l’horizon était encore un peu éclairé par le soleil qui avait pourtant maintenant complètement disparu. L’écume de vagues un peu plus fortes éclaboussait de temps à autre leurs pieds nus et leur apportait un peu de fraîcheur. La pleine lune éclairait la plage.


Stéphane tenait la main de Muriel et il l’attira contre son torse. Il la pressa contre lui, voulant sentir la chaleur de ses seins contre son corps. Ses mains se posèrent sur ses hanches, tandis que sa bouche déposait un baiser léger à la base de son cou. Muriel frissonna. Elle était une mère de famille mariée, mais ce n’était pas non plus une oie blanche. Avec son mari, ils avaient même eu une sexualité plutôt débridée, mais les choses avaient progressivement changé, sans qu’elle sache réellement à quoi en attribuer la cause. Sans doute une accumulation de petites choses…


Quand il posa les lèvres sur les siennes, elle ne refusa pas son baiser. Sa langue se glissa entre ses lèvres et elle la laissa explorer sa bouche. Il embrassait plutôt bien. Un signe positif.

Elle s’attendait à ce qu’il profite de sa faiblesse pour la tripoter, pour prendre ses seins dans ses mains, pour glisser sous sa jupe, et d’ailleurs elle en avait envie. Pourtant, il réagit de manière déconcertante. Après l’avoir embrassée. Il la reprit par la main et lui proposa de marcher encore.



Il ne lui laissa même pas le temps de répondre et se déshabilla intégralement avant d’aller poser ses vêtements assez loin pour que les vagues ne les emportent pas. Muriel resta sur place, mais elle ne manqua pas de regarder ses fesses qu’elle trouva plutôt bien faites. Il revint vers elle et lui releva son débardeur. Elle avait vraiment une poitrine magnifique ! Des seins plutôt petits mais avec une forme très sensuelle et des aréoles brunes qui le firent bander immédiatement. Il fit passer le débardeur de Muriel par-dessus sa tête, puis il dégrafa la jupe et l’aida à l’enjamber.


Un peu grisée par l’alcool, elle avait perdu tout contrôle et laissait un inconnu la déshabiller sur la plage. Il lui retira sa belle culotte de dentelle et la vit enfin entièrement nue. Qu’elle était belle avec ses fesses galbées et cette toison réduite au minimum qui ornait un mont de Vénus dont il ne pouvait détourner son regard !

Il alla poser les affaires de Muriel avec les siennes et en profita pour sentir discrètement sa petite culotte. Un fétichisme qui ne le quittait pas, mais qu’il ne voulait pas qu’elle remarque trop tôt.


Il revint vers elle et la prit par la main. Elle ne pouvait plus ignorer qu’il avait envie d’elle : son sexe faisait un angle droit avec le reste du corps et les proportions étaient intéressantes. Beaucoup plus intéressantes que celles que lui proposait son mari… À ce moment-là, Muriel avait envie que ce pieu de chair la pénètre. Elle voulait le sentir au fond de son intimité. Immédiatement, elle sentit une humidité coupable envahir son entrejambe.

Stéphane l’entraîna dans les vagues et ils se mouillèrent rapidement. Ils jouaient et criaient comme deux adolescents, puis il la prit de nouveau dans ses bras pour l’embrasser. Ce fut elle qui colla son corps contre le sien. Elle le prit par le cou et ses jambes vinrent s’accrocher autour de sa taille. Elle avança son bassin vers lui et sentit son gland qui écartait les lèvres de son sexe. Stéphane la regarda amoureusement.



Complètement dopé par cet encouragement salace, il donna un grand coup de reins et s’enfonça sans difficulté dans le sexe parfaitement lubrifié de la belle brune. Il avait du mal à garder l’équilibre, mais il la « défonçait » comme elle l’avait elle-même demandé. Muriel répondait à ses coups de boutoir par des mouvements circulaires du bassin qui rendaient cette pénétration encore plus sauvage. Elle sentit monter le plaisir très vite et se mit à haleter rapidement, poussant un cri aigu au moment de l’orgasme. Follement excité par sa fougue, il jouit en elle et l’inonda se sa semence.


Ils mirent un moment à reprendre leurs esprits et échangèrent de doux et langoureux baisers avant de retourner sur la plage. Maintenant, ils avaient froid, mais qu’ils se sentaient bien ! Muriel, énervée quelques heures plus tôt que son mari reparte et la laisse seule avec les enfants, était en train de changer d’avis. Être libre de revoir cet homme doux et vigoureux qui venait de lui procurer un orgasme de qualité n’était pas pour lui déplaire.

Elle chassa cette pensée coupable de son esprit rapidement. Avec les enfants, ce ne serait pas possible ; et puis elle se connaissait : s’il la baisait trop bien, elle était foutue de tomber amoureuse… Non, c’était un coup d’un soir. Elle regrettait déjà de lui avoir donné rendez-vous le lendemain sur la plage.

Un très bon coup, mais elle en resterait là.


Ils se rhabillèrent et remontèrent de la plage main dans la main. Stéphane essaya bien de pousser son avantage en lui proposant de venir dormir chez lui, mais elle refusa fermement. Elle allait rentrer chez elle. Surprendrait son mari une fois de plus en rentrant les cheveux mouillés et les vêtements humides et lui ferait l’amour pour dissiper leur brouille passagère.

Elle était ainsi faite. Un contraste de folie et de sagesse ; mais avec elle, on ne s’ennuyait jamais…



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Sea, sex and sun



Le lendemain, le mari de Muriel partit en direction de leur domicile à plusieurs centaines de kilomètres, comme il l’avait prévu. Elle se retrouvait donc seule avec les enfants pour une semaine. L’après-midi, elle se rendit à la plage et s’installa à peu près à l’endroit qu’elle avait indiqué à Stéphane.

Moins d’une demi-heure après son arrivée, elle le voyait arriver tranquillement. Constatant qu’elle était avec ses enfants, il ne se précipita pas vers elle, mais s’installa à quelques mètres. C’est une délicatesse qu’elle apprécia beaucoup. Il attendit qu’ils partent se baigner pour se rapprocher.

Les enfants de Muriel avaient intégré un groupe de copains et ils semblaient partis pour un bon moment. Stéphane rapprocha donc sa serviette de celle de Muriel et la regarda bronzer, allongée sur le ventre, avant de lui adresser la parole. Elle était belle et il ne parvenait pas à oublier la fougue dont elle avait fait preuve la veille lors de leurs ébats amoureux dans les vagues.



Elle éclata de rire. Elle adorait ce genre d’humour et se retourna enfin vers lui.



Muriel éclata une nouvelle fois de rire. Décidément, il avait l’œil, le bougre ! Elle le laissa caresser ses seins, jetant tout de même un regard inquiet dans la direction dans laquelle étaient partis ses enfants. Rien à craindre de ce côté-là… Il se pencha vers elle et déposa un baiser furtif sur ses lèvres.



Elle se leva et le suivit discrètement. Un vent de terre s’était levé et aplanissait les vagues. C’était idéal pour rester tranquillement dans l’eau, même si elle était un peu plus froide. Muriel se mouilla rapidement et Stéphane la suivit. Ils avancèrent jusqu’à ce que l’eau recouvre leurs corps, puis il se rapprocha d’elle.

Elle sentit ses mains se poser sur ses hanches, remonter vers sa poitrine et palper ses seins. Ils s’étaient installés un peu à l’écart des autres baigneurs, et les enfants de Muriel ne pouvaient pas la voir de l’endroit où ils se trouvaient.



Décidément, cet homme était déroutant. Il était courtois, bien élevé, toujours à l’écoute des problèmes que lui exposait Muriel ; et puis, il était capable de sortir une chose pareille au moment où on s’y attendait le moins ! Finalement, elle adorait ce genre de personnage plein de contrastes, un peu comme elle…



En essayant de ne pas trop se faire remarquer, elle fit glisser son maillot de bain jusqu’à ses chevilles, le récupéra et le tendit à Stéphane. Il l’attrapa et fit semblant de le jeter au large, mais ce n’était – une fois encore – qu’une plaisanterie. Il s’avança vers Muriel et se colla contre son corps. Lui aussi avait retiré son maillot sans qu’elle s’en rende compte, et elle sentit sa virilité venir frotter contre son pubis. Il posa les mains sur ses fesses et les agrippa fermement. Sans lui demander son avis, il l’embrassa à pleine bouche et elle ne résista pas.

Sa main se glissa entre les jambes de la belle femme brune et son majeur caressa l’entrée de son vagin avant de s’y enfoncer tout doucement. Elle rejeta la tête en arrière et le laissa partir à la recherche de son point G.

Il n’était pas maladroit du tout et ses caresses firent rapidement de l’effet à Muriel. Elle contractait son périnée pour mieux les ressentir et faire de ce doigt son prisonnier. Le plaisir commençait à monter par vagues successives, quand elle l’arrêta enfin.



Mise au défi de réaliser ce qu’il lui demandait, Muriel se saisit de son membre et commença à le masturber doucement. Stéphane appréciait son audace et il se laissait branler à moins de cinq mètres d’autres baigneurs, ce qu’il trouva très excitant.

La main de cette brune encore inconnue vingt-quatre heures plus tôt était très experte. Elle serrait la hampe de son sexe, sans pour autant lui faire mal.



Trop excitée par cette idée de se faire baiser au beau milieu de la plage, elle le laissa faire, même si elle le trouvait complètement fou. Elle se pencha légèrement en avant et écarta les jambes. Stéphane la pénétra vigoureusement et elle sentit son gland heurter le col de son utérus. Il la maintenait par les hanches et poussait fort pour essayer de la faire crier. Muriel serrait les dents, mais elle n’avait pas envie que tout le monde se retourne. Il était doué, le bougre ! Et elle avait vraiment du mal à se retenir…

D’un seul coup, il se retira. Il lui écarta les fesses et la sodomisa sans préavis. Cette fois, elle poussa un cri. Il avait réussi à ce qu’on la remarque. C’est dans l’étroit corridor de son cul qu’il se vida. Le salaud n’y était pas allé de main morte, mais Muriel avait aimé.

Au bout d’un moment, il lui rendit enfin son maillot et remit le sien. Ils sortirent comme si de rien n’était et allèrent s’essuyer.


Il lui fit un petit bisou et reprit ses distances parce que ses enfants revenaient. Tant de complicité et d’audace dans la clandestinité était troublant.

Un moment après, il lui demanda par quelle agence elle avait loué son appartement. Elle ne comprit pas pourquoi il lui posait cette question, mais elle lui répondit. Sans lui donner d’explication, il lui annonça qu’elle aurait une surprise et indiqua qu’il faudrait qu’elle surveille son courrier.

Décidément, cet homme semblait lui réserver bien des surprises. Elle aurait aimé qu’il vienne s’installer tout près d’elle et la prenne dans ses bras ; mais avec ses enfants, ce n’était vraiment pas possible…

Ils passèrent le reste de l’après-midi à échanger discrètement des regards complices, mais il ne se passa plus rien. Vers 18 heures, Stéphane quitta la plage et lui fit comprendre qu’il l’attendrait à minuit. C’était encore un projet complètement fou, mais elle savait déjà qu’elle le rejoindrait. Enfin, si ses enfants dormaient…


Durant toute la soirée, Muriel fut nerveuse. L’idée de rejoindre Stéphane sur la plage pour un nouveau bain de minuit l’excitait terriblement. Son mari l’appela au téléphone. Il était bien rentré et fut satisfait de constater qu’elle n’avait plus l’air de lui en vouloir du tout de l’avoir laissée seule avec les enfants. Évidemment, elle ne lui parla pas de Stéphane et écourta la conversation. Elle voulait que les enfants aillent au lit de bonne heure. Elle avait déjà prévu que, s’ils ne dormaient pas encore, vers minuit moins le quart elle leur dirait qu’elle partait à la recherche d’un paquet de cigarettes. À 23 heures 30, elle passa voir. Ils dormaient tous les deux ! Elle enfila une robe légère sans rien dessous. Pour ce qu’elle avait à faire, pas besoin de s’encombrer de sous-vêtements.

À minuit pile, elle se rendit, le cœur battant, sur la plage. Il était là et l’attendait déjà. Elle s’avança vers lui et se jeta dans ses bras.



Muriel le vit sourire et retira sa robe avec empressement. Elle se présenta nue devant lui et il prit tout son temps pour se déshabiller à son tour. Elle le prit par la main et voulut l’entraîner vers la plage, mais il s’arrêta.



Excitée par cette idée, Muriel accepta sa proposition. Elle exigea cependant qu’ils s’installent dans un endroit plus loin de la route et moins éclairé. Il déplia la serviette et elle s’allongea immédiatement. Stéphane s’installa entre ses cuisses. Sa langue explora lentement l’intérieur de ses cuisses, remonta lentement vers son sexe, l’effleurant mais ne l’atteignant jamais. Il remonta vers son nombril et s’y attarda un moment, puis langue redescendit vers les cuisses et descendit jusqu’à ses pieds, que Stéphane lécha longuement malgré le sable.


Muriel était comme folle. Son excitation ne cessait de grandir et son envie était si forte que son abricot juteux coulait littéralement. Il la fit encore patienter de longues minutes avant que sa langue atteigne enfin le trésor qu’il convoitait. Il lécha doucement ses grandes lèvres, puis sa langue se durcit et la pénétra comme un sexe miniature. Il n’en fallut pas plus pour qu’elle jouisse.

La langue de Stéphane épongea les abondantes secrétions, puis elle remonta vers son clitoris. Il le titilla lentement, tournant autour avec science. Quand il vit qu’elle commençait de nouveau à haleter, il la prit dans la position du missionnaire. Son sexe entra dans la cavité vaginale comme dans du beurre. Il fit de rapides allers-retours en elle, puis, alors qu’elle venait de connaître un nouvel orgasme, il se retira et éjacula dans les poils sombres de sa toison.



Dans l’eau, ils se blottirent l’un contre l’autre et refirent l’amour une deuxième fois. C’est épuisée, mais heureuse que Muriel rentra chez elle vers 1 heure 30. Ses deux enfants dormaient à poings fermés. Finalement, cette seconde semaine de vacances qu’elle redoutait serait la meilleure, et de loin…



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Une drôle de surprise



À la demande leur mère, les enfants étaient allés voir si la boîte aux lettres ne contenait pas de courrier. Ils revinrent en brandissant une enveloppe blanche marquée au nom de leurs parents.



Un peu surprise, Muriel déchira l’enveloppe et sortit le papier qui se trouvait à l’intérieur. C’était un papier à en-tête de l’agence qui leur avait loué l’appartement. Il comportait le texte suivant :


« Madame, Monsieur, félicitations : vous avez été sélectionnés lors de notre tirage au sort et notre agence a le plaisir de vous inviter à une soirée organisée au Casino de Lacanau Océan. Votre entrée, vos consommations et 50 euros de jetons pour jouer à la roulette sont offerts.


(Attention, l’entrée du casino est interdite aux mineurs). »


Elle regarda l’invitation, incrédule. Jamais elle n’avait entendu parler de ce tirage au sort et elle se souvenait de la question de Stéphane et du fait qu’il lui avait dit de surveiller son courrier. À n’en pas douter, c’était lui qui était derrière ce lot tombé du ciel.

Dans l’après-midi, elle retrouva Stéphane à la plage. Comme il en avait désormais pris l’habitude, il s’asseyait à quelques mètres et attendait que les enfants soient partis pour venir auprès d’elle. À peine s’était-il installé qu’elle lui demanda :



Il éclata de rire.



Encore une fois, il avait réponse à tout, et il avait su s’y prendre pour lui faire faire ce qu’il voulait. Muriel se demanda si elle n’était pas en train de devenir dépendante de cet homme qu’elle connaissait à peine et s’il n’exerçait pas une certaine forme de domination sur elle. Elle, qui était très affirmée dans sa vie professionnelle et sa vie personnelle, adorait qu’on la guide et qu’on lui impose les choses dans sa vie sexuelle. Avec Stéphane, c’est exactement ce qui était en train de se passer… Il l’avait entraînée dans un bain de minuit dès leur première rencontre ; le lendemain, il lui avait fait l’amour dans l’eau presque au milieu des baigneurs ; hier, il l’avait léchée et prise sur la plage alors qu’elle ne le voulait pas… Et maintenant, il décidait du jour et de l’heure où il viendrait la chercher.


Toujours aussi joueur, il lui proposa de relever un nouveau défi : aller prendre un verre le soir même au bar où ils s’étaient retrouvés la première fois, vêtue de sa petite robe blanche sans rien dessous. Elle devrait s’arranger pour que trois consommateurs au moins voient qu’elle n’avait pas de culotte. Muriel protesta pour la forme, mais ce petit jeu l’excitait vraiment. Elle imaginait déjà la tête de ceux qui découvriraient sa toison au cours d’un de ses croisements ou décroisements de jambes parfaitement volontaires, mais ayant l’air tellement involontaires.


À l’heure du dîner, Muriel eut un regain d’instinct maternel. Elle n’allait pas gâcher les vacances de ses enfants uniquement pour satisfaire ses pulsions ! Ce soir-là, elle sortirait avec ses enfants. Tant pis pour Stéphane ! Elle aurait bien le temps d’en profiter demain, surtout s’ils allaient au casino ensemble…

Ils se retrouvèrent donc tous les trois dans les rues de la ville et marchèrent un moment. Les enfants entraînèrent leur mère vers une salle de jeux. Il y avait des flippers, des simulateurs de conduite ou de pilotage ; mais ce n’étaient pas ces jeux électroniques qui attiraient les enfants. Ils voulaient jouer au baby-foot…

Muriel alla faire de la monnaie au guichet et accompagna ses enfants près du jeu.



C’est le moment que choisit Stéphane, qui les avait suivis, pour apparaître dans leur champ de vision.



Stéphane était un excellent joueur de baby-foot quand il était jeune, et il n’avait pas totalement perdu la main. Malgré le jeu de piètre qualité que produisait Muriel, ils gagnèrent trois parties de suite. Évidemment, il faisait comme s’il ne connaissait pas sa partenaire, qui s’amusait beaucoup et riait aux éclats.

Après trois parties, il était devenu le vieux pote de ses enfants. C’est alors qu’il montra qu’il n’avait pas abandonné son objectif initial.



Stéphane prit de la monnaie dans sa poche et crédita les parties au flipper. Muriel avait fait mine de montrer une certaine réserve, mais elle était évidemment ravie de s’éclipser avec son prétendant. Ils rejoignirent le café qui se trouvait à moins de vingt mètres de la salle de jeux.

Ils s’installèrent dans des fauteuils en rotin presque identiques à ceux qui se trouvaient dans l’établissement où ils étaient allés le premier soir. Stéphane commanda deux cocktails sans même demander l’avis de Muriel. Il la regarda en souriant et lui prit la main.



Muriel baissa les yeux, comme si elle se sentait prise en faute. Sortant avec ses enfants et ne pensant pas rencontrer Stéphane, elle n’avait, bien sûr, pas respecté cet engagement.



Comme hypnotisée par son regard, elle écarta lentement les jambes. Il vit la petite culotte blanche qu’elle portait sous sa robe. Il fronça les sourcils.



Tout excitée par cet ordre incongru qu’elle venait de recevoir, Muriel se leva et s’absenta quelques minutes. L’emprise qu’il prenait progressivement sur elle était incompréhensible. Jamais elle ne s’était considérée comme une femme soumise, mais il pouvait lui demander ce qu’il voulait. Elle se rendit dans les toilettes et retira sa petite culotte qui était trempée, puis elle revint s’asseoir en face de Stéphane.



Une nouvelle fois, elle écarta les cuisses. Légèrement d’abord…



Inquiète des regards des autres consommateurs, elle s’exécuta pourtant. Stéphane vit nettement la toison brune de la mère de famille. Le sourire revint sur son visage. À la table voisine, deux jeunes vacanciers d’une vingtaine d’années en avaient pris plein les mirettes.



Muriel était morte de honte, mais elle se rendit compte qu’une fois de plus, elle allait lui obéir. Elle sortit sa petite culotte trempée de son sac et la lui tendit discrètement. Au lieu de la planquer, il la déplia et en respira le gousset à pleins poumons. Elle ne savait plus où se mettre, mais heureusement, personne ne semblait les regarder. Il rangea enfin la pièce de lingerie dans sa poche et commenta sa découverte.



Stéphane lui adressa un sourire charmeur qui la fit fondre. Magnanime, il ne lui imposa pas de montrer son intimité à un troisième consommateur, mais il avait envie d’elle. Cette femme qu’il avait rencontrée seulement quelques jours plus tôt le fascinait de plus en plus. Il aimait ce contraste entre la bourgeoise BCBG, avec un vocabulaire châtié, des attitudes un peu prudes et en même temps les tenues parfois à la limite de l’indécence qu’elle portait. C’était comme si une coquine exhibitionniste avait toujours sommeillé en elle et que la femme pétrie d’éducation l’empêchait d’exprimer totalement ses envies. Lui, c’est la cochonne un peu perverse qu’il voulait révéler. Progressivement, il l’amenait à faire des choses dont elle ne se serait pas crue capable. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que c’était loin d’être terminé ; il avait encore tellement d’idées en réserve !


Au bout d’une demi-heure, ils retournèrent à la salle de jeux. Les enfants n’avaient pas été brillants et il ne restait plus qu’une partie au compteur du flipper. Ils la perdirent également et Muriel leur annonça qu’il était l’heure d’aller au lit.

Afin de les mettre définitivement dans sa poche, Stéphane insista pour qu’ils fassent une dernière partie de baby-foot. Cette fois, il joua moins bien et les enfants restèrent sur une victoire.

Il accompagna Muriel et ses deux garçons sur le trajet du retour. Avant d’arriver devant l’immeuble où ils devaient se séparer, il glissa un mot à l’oreille de Muriel.



Muriel regagna l’appartement avec ses enfants et prit congé de Stéphane en lui serrant la main avec un air guindé. Une fois dans l’appartement, elle ouvrit son sac et fit mine de trouver le briquet.



Les enfants ne réagirent même pas quand elle quitta l’appartement. Stéphane n’était pas resté dans le hall d’entrée, il l’attendait dans l’escalier. Sans même qu’elle ne se rende compte qu’il était là, il se jeta sur elle et la plaqua contre le mur. Il l’embrassa avec fougue, puis il releva sa robe jusqu’à la taille et la pénétra sans préliminaires. Il lui fit l’amour d’une manière sauvage, la baisant contre le mur sans aucun ménagement. Muriel qui se disait fan de longs préliminaires adora cet assaut presque animal. Elle jouit comme une femelle en rut, et lui aussi se vida dans sa chatte. Elle l’embrassa une dernière fois et remonta l’escalier, chancelante. Leur étreinte n’avait pas duré plus de deux minutes, mais quelle intensité et quel orgasme !

Quand elle retrouva ses enfants, du sperme coulait le long de ses cuisses et elle eut honte, mais ils ne le virent pas. Elle se rendit compte qu’elle avait gardé le briquet de Stéphane à la main et elle le planqua en vitesse dans son sac en souriant. Cet homme était en train de lui faire perdre la tête !



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Un jour de pluie



Le lendemain, le temps était gris. Le ciel était couvert, même au-dessus de l’océan, preuve que cela n’allait pas s’arranger. La température avait baissé d’au moins dix degrés. À part quelques surfeurs courageux, il n’y avait personne sur la plage.

Vers midi, il se mit même à pleuvoir. D’abord de grosses gouttes qui pouvaient trahir un orage passager, mais la pluie devint plus fine et plus pénétrante, signe que cela allait durer.

Muriel se dit qu’il fallait qu’elle trouve une activité pour ses ados. Rester enfermés dans 25 mètres carrés avec eux toute une journée ? Elle ne s’en sentait pas capable, ils allaient la rendre chèvre !

Bien sûr, elle pouvait leur proposer de retourner à la salle de jeux, mais ce n’était pas très enrichissant sur le plan intellectuel ; et surtout, elle n’avait pas envie de passer son après-midi à jouer au baby-foot ! Si encore Stéphane avait été là…

Elle en était là de ses réflexions quand on sonna à la porte. Elle n’attendait personne et envoya le plus jeune de ses fils ouvrir, car elle était dans la salle de bain en train de se laver les cheveux.



Le cœur de Muriel se mit à battre plus fort. Bien sûr, elle était contente de voir celui qui était en train de réveiller sa sexualité ; mais, quand même, il était gonflé ! Venir chez elle sans prévenir alors qu’elle était en famille…



Il fit entrer Stéphane et le fit asseoir dans le canapé convertible. La maison était en désordre, mais il n’y fit même pas attention. Muriel se dépêcha. Ses longs cheveux dégoulinaient et elle les essora vigoureusement. Elle le rejoignit moins de cinq minutes plus tard, la tête enroulée dans une serviette. Elle avait enfilé un peignoir à la hâte.



Stéphane lui sourit et hocha la tête négativement.



Muriel sembla réfléchir. Après tout, pourquoi pas ? Elle ne savait pas comment occuper ses enfants ; et puis, passer la journée avec Stéphane ne lui déplaisait pas, loin de là…



Elle se sécha les cheveux rapidement et enfila une robe de lin blanc assez décolletée sous laquelle elle ne mit pas de soutien-gorge. L’idée de passer le reste de la journée avec celui qui était devenu son amant quelques jours plus tôt l’émoustillait, et elle avait envie de lui plaire. Une heure plus tard, Stéphane les attendait dans sa voiture devant la porte de l’immeuble. Muriel monta à l’avant avec lui et les deux enfants prirent place à l’arrière. Le bac de la pointe de Grave n’était qu’à quelques kilomètres et ils arrivèrent en avance. La voiture fut embarquée sur le bateau et ils allèrent sur le pont pour la traversée qui ne durait pas plus de vingt minutes. Les enfants semblaient ravis de cette escapade et Stéphane s’isola avec Muriel.



Pourtant, elle le suivit et ils se retrouvèrent rapidement dans la voiture. Il la fit monter à l’arrière et releva sa robe. Lentement, il fit glisser sa culotte et embrassa la chatte qu’elle lui présentait. Elle mouillait déjà beaucoup, mais sa caresse buccale finit de la rendre trempée. Il s’allongea sur elle et la pénétra en douceur. Avec beaucoup d’envie, il fit coulisser son membre dans cette intimité offerte. Le plaisir de l’interdit les excitait tous les deux, encore plus que l’acte lui-même.

Quand ils entendirent la porte d’une des voitures voisines s’ouvrir, ils arrêtèrent leurs mouvements quelques secondes, le cœur battant. Heureusement, ce n’était qu’un passager qui avait oublié ses cigarettes et revenait les chercher. Il ne les remarqua pas et repartit comme il était venu. Stéphane reprit ses allers-retours vigoureux et il fit jouir Muriel qui essaya de retenir un cri, mais n’y parvint pas totalement. Lui aussi arriva à l’orgasme peu de temps après et laissa échapper un râle un peu rauque. Ils s’étreignirent quelques instants, puis jugèrent qu’il était grand temps de remonter sur le pont pour récupérer les enfants.

Effectivement, l’accostage n’allait pas tarder et quand ils les rejoignirent, ceux-ci prétendirent les avoir cherchés un bon moment. Avec une mauvaise fois évidente, Muriel leur répondit qu’ils les cherchaient eux-aussi et qu’ils avaient dû se croiser sans se voir.


Une fois la voiture débarquée, Stéphane traversa Royan et prit la direction du nord. La circulation était conséquente, mais moins que les jours où les touristes envahissaient les plages. Le parc zoologique n’était qu’à une quinzaine de kilomètres. Plus ils se rapprochaient de La Palmyre ; plus le temps s’arrangeait. La pluie avait complètement cessé et les nuages commençaient à s’effilocher dans le ciel.

Ils se garèrent sur l’immense parking et pénétrèrent dans le grand zoo. Un des plus grands d’Europe avec plus de 100 espèces d’animaux, des aménagements très originaux et une superficie de près de vingt hectares…

À l’entrée, les girafes réclamaient à manger, baissant leur long cou vers les nouveaux arrivants. Comme tout le monde, ils restèrent un moment à les regarder, puis ils suivirent le circuit fléché, se mêlant au flot de visiteurs. Devant les enfants, Stéphane restait très correct ; mais dès qu’ils prenaient un peu d’avance pour aller voir quelque chose, il ne se privait pas pour mettre la main aux fesses de Muriel. D’habitude, elle aurait hurlé au scandale ; mais avec lui, tout passait bien. Au contraire, chacun de ses gestes déplacés provoquaient une vague d’humidité entre ses cuisses.


Après avoir fait le tour de toutes les espèces d’animaux proposés, les enfants voulurent aller voir le spectacle d’otaries. Ils les y amenèrent sans rechigner, mais une fois qu’ils furent installés, Muriel et Stéphane leur proposèrent de les laisser seuls pendant qu’ils allaient se rafraîchir au bar.

En réalité, ils n’avaient nullement l’intention d’aller boire, mais ils avaient envie l’un de l’autre. Ils n’avaient pas besoin de se parler pour le savoir. Leurs regards en disaient assez long. Dès qu’ils furent hors de la vision des enfants, Stéphane embrassa Muriel de toutes ses forces. Il l’entraîna dans un coin plus isolé du parc, derrière un bosquet d’arbres, et se mit à la tripoter outrageusement. Ses mains malaxaient ses seins, les écrasaient presque, et elles remontaient sous sa jupe, offrant la vision de sa culotte en dentelle à tous les passants. Leur étreinte était animale, plus encore que celle des gorilles ou des chimpanzés dont les enclos jouxtaient l’endroit où ils se trouvaient.

Ils s’enfoncèrent un peu plus dans le bosquet pour échapper aux regards. Les branches leur griffaient les bras, mais ils n’en avaient que faire. Ce qu’elle voulait, c’est qu’il la pénètre, qu’il s’enfonce en elle, qu’il la défonce, qu’il lui fasse mal !


Stéphane baissa sa culotte jusqu’en dessous du genou et il la pénétra sans ménagement. Sa queue frappait le col de son utérus et elle mouillait tellement que cela coulait sur ses cuisses. Leurs pubis allaient à la rencontre l’un de l’autre, leurs bouches se dévoraient… Le coït était bestial ! Ils jouirent en même temps et ne purent retenir leurs cris. Le plus amusant, c’est qu’un vieux chimpanzé, situé de l’autre côté du grillage se mit à applaudir.

Après cette débauche d’énergie, ils transpiraient et s’accordèrent un moment de calme, comme après chacune de leurs étreintes. Ils s’embrassèrent et restèrent dans les bras l’un de l’autre. Stéphane caressa les cheveux de Muriel et lui dit :



Ils ressortirent enfin de leur cachette, passèrent se rafraîchir aux lavabos et retournèrent auprès des enfants. Le spectacle allait bientôt se terminer…

Ils emmenèrent les deux adolescents se restaurer avec des gaufres chaudes et croustillantes qu’ils dévorèrent de bon cœur.

Le trajet retour se passa dans la bonne humeur. Les enfants étaient ravis de leur journée. Muriel et Stéphane avaient beaucoup de mal à ne pas se toucher et même à ne pas se tutoyer, mais ils tinrent leur rôle jusqu’au bout.

Au moment où il les déposa devant leur immeuble, Stéphana rappela à Muriel leur rendez-vous du soir. Elle n’en avait pas encore parlé à ses enfants, mais ils savaient qu’elle devait aller passer cette soirée au casino. Ils en avaient d’ailleurs parlé à leur père au téléphone.

Quand elle leur proposa de les laisser seuls avec des hamburgers et des frites, ils se dirent qu’après la visite au zoo, cette journée était la meilleure qu’ils aient passée de toutes les vacances.

Stéphane passa chercher Muriel vers 20 heures. Ils s’étaient mis d’accord : il ne monterait pas. Elle le rejoignit et monta rapidement à ses côtés. Il la regarda et lui sourit.



Il démarra en douceur et elle posa la tête sur son épaule. Elle était contente de pouvoir passer enfin une vraie soirée avec lui. Il roula lentement, beaucoup plus concentré sur les cuisses de Muriel qu’il caressait doucement que sur sa conduite. Sa voiture rejoignit la route principale, la départementale D215. Il prit la direction du sud Médoc. Lacanau se trouvait à une soixantaine de kilomètres de Soulac-sur-Mer. Il roula un bon moment, puis Muriel lui fit remarquer que les panneaux indiquaient Lacanau à droite, alors qu’il avait continué tout droit.

Il la regarda en souriant.



Il se montra taquin et la laissa attendre un long moment avant de lui répondre. L’incertitude et l’angoisse de l’inconnu faisaient partie du jeu. Enfin, il la regarda et lui avoua quel était son projet.




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La soirée au sauna



Quittant la rocade bordelaise, la voiture de Stéphane s’engage dans la ville et rejoint les quais de la Garonne. Il se gare dans une petite rue, la rue Saint-Joseph. Avec beaucoup de chance, il trouve une place juste en face de l’entrée du lieu qui les attend.



Ils rejoignent à pied la porte rouge entrouverte au-dessus de laquelle trône une lampe allumée, indiquant que le sauna est ouvert.

Tous deux pénètrent dans le petit sas un peu inquiétant et une petite fenêtre s’ouvre sur eux. Philippe, le patron, reconnaît immédiatement Stéphane. Avec un sourire avenant, il ouvre la porte principale et le couple entre directement dans le bar. Stéphane lui explique qu’il est venu avec une amie qui ne connaît pas les saunas. Philippe lui débite son couplet habituel, expliquant qu’ici les clients sont respectueux et que chacun est libre de faire ce qu’il veut : seulement regarder ou donner libre cours à ses envies. Pour mettre Muriel en confiance, il commence par leur offrir une consommation, puis Stéphane lui règle le prix de l’entrée et il leur donne les traditionnels cadenas des vestiaires avec deux grandes serviettes.

Le couple prend un verre au bar, puis ils vont se changer. Muriel semble un peu inquiète car ils n’ont encore vu aucun des clients présents dans l’établissement.


Lorsqu’ils ressortent des vestiaires, ils ne portent qu’une serviette autour de la taille. Stéphane conduit Muriel et, plutôt que de lui faire visiter les lieux, il décide de lui laisser la surprise d’une découverte progressive. Il sait que cette situation anxiogène de l’inconnu va augmenter son excitation.

Dans les couloirs qui mènent aux différentes pièces, une pénombre un peu inquiétante les enveloppe. Ils prennent une douche. L’eau est tiède mais ils la trouvent un peu fraîche.

En sortant de la douche, Stéphane conduit Muriel dans le sauna où règne une chaleur sèche un peu étouffante. Deux hommes s’y trouvent déjà et sont allongés sur les bancs supérieurs.

Il la fait asseoir et caresse son corps encore humide. Il lui masse les pieds. Il sait qu’elle adore cela et que sa caresse va la détendre.

Leurs deux voisins ne sont pas insensibles au charme de la belle brune qu’il caresse devant eux. L’un d’eux, un homme d’une trentaine d’années assez athlétique, s’est relevé et se masturbe lentement. L’autre se contente de regarder.

Stéphane embrasse Muriel avec douceur, puis il lui demande de se relever. Une fois de plus, elle obéit docilement.



Elle semble hésiter, mais sa bouche s’approche du sexe durci de l’inconnu qui bande aussi fort qu’il peut… Stéphane pose sa main derrière sa tête et la pousse vers cette queue inconnue. Le gland effleure ses lèvres et il voit la langue de Muriel qui sort pour le titiller doucement.

L’autre homme s’est rapproché et se branle maintenant franchement à côté de Muriel. Il est petit, un peu chauve et transpire beaucoup. Pendant qu’elle enfourne le sexe du premier, Muriel tend la main vers le sexe court et large que lui propose l’homme plus âgé. Elle l’entoure de sa main droite et le branle avec vigueur. Les deux hommes éjaculent ensemble sur ses seins. On dirait que sa poitrine les excite particulièrement.


Le couple retourne prendre une douche, puis il l’emmène au jacuzzi. Ils posent leurs serviettes et entrent dans l’eau à 34°. Ils s’assoient dans un coin et Muriel est rapidement entourée par les hommes qui étaient déjà dans l’eau. Des mains se posent un peu partout sur elle. Sur ses seins, sur ses fesses, sur ses cuisses…

Au début, elle se colle contre lui. Elle est un peu effrayée par cette marée humaine, mais Stéphane la pousse vers le centre du jacuzzi et les hommes se pressent autour d’elle. Ils la palpent, la malaxent…

Elle ne sait plus à qui est la main qui lui caresse la chatte, ni celle qui lui écarte les fesses pour chercher son petit trou. Stéphane sait que cela l’excite, mais il ne veut quand même pas la livrer sans défense à cette horde de mâles ; alors, au bout d’un moment, il reprend ses droits et il la prend par la taille pour l’aider à sortir de l’eau.


Il reste des endroits intéressants qu’elle n’a pas encore eu l’occasion de découvrir. Stéphane l’emmène dans une pièce où se trouve un lit situé en face d’un écran qui projette une vidéo porno. Ils s’installent et il décide enfin de lui offrir un moment de tendresse. Il s’allonge à ses côtés et la masse avec douceur. Elle s’abandonne complètement.

Stéphane l’allonge d’abord à plat-ventre… Sa poitrine se presse contre le cuir un peu froid de la banquette lorsqu’il malaxe ses fesses. Elle a droit à une petite claque l’invitant à se retourner, puis il s’allonge sur elle pour lui faire sentir le grain de sa peau. Après avoir fait rouler légèrement les pointes de ses seins pour les faire durcir un peu plus, il descend vers son ventre… Sa langue visite son nombril, puis il repart vers le trésor que cache sa toison. Avec machiavélisme, il évite soigneusement ce sexe que son bassin fait avancer vers lui. Il attendra de la sentir folle de désir avant que ses doigts ne vérifient enfin le degré d’humidité qu’il a provoqué, puis sa bouche jouera avec son clitoris et il l’attirera vers le bord du lit, les jambes nouées autour de sa taille, pour la pénétrer lentement et profondément…

Trois des hommes qui étaient dans le jacuzzi les avaient suivis et attendaient dans la pièce voisine. Pendant que Stéphane baisait Muriel, ils avaient passé leurs queues dans les trous la cloison.



Muriel n’avait même pas remarqué les bites qui lui étaient proposées par les orifices de la cloison. Elle s’approche de la plus grosse et la prend dans ses mains, puis elle passe à la seconde et la branle également. Elle s’est mise à quatre pattes. Stéphane s’agenouille derrière elle et la prend en levrette. Elle mouille énormément.



Elle prend à nouveau la première bite et referme ses lèvres dessus. Stéphane ne la sent pas très à l’aise et elle perd l’équilibre sur la banquette. Il intervient de nouveau.



Il la prend par la main et l’entraîne dans la salle suivante. Une sorte de cage de bois se trouve dans un coin de la pièce. Dessus, une sorte de plaque indicatrice est affichée :


Place de la Pipe. Il fait passer Muriel derrière les panneaux de bois et elle s’agenouille. Trois trous sont percés dans la cloison et chacun des hommes qui étaient avec eux y glisse son sexe. Sa bouche peut passer de l’un à l’autre et, pendant qu’elle suce une bite, elle peut branler les deux autres.



Muriel fait de son mieux pour les satisfaire. Elle fait jouir les trois mecs en quelques minutes. Deux autres arrivent et prennent leur place. Stéphane se met dans le troisième trou.



Elle vide les deux autres et Stéphane lui demande de ressortir. Elle a du sperme partout ! Le liquide blanchâtre coule de ses lèvres et elle en a plein les cheveux. Il la ramène vers le bar, lui interdisant de prendre sa serviette et l’obligeant à s’exposer aux regards en pleine lumière.

Trois hommes sont accoudés au comptoir. Stéphane leur amène Muriel.



Ils le regardent d’un air un peu surpris, mais il voit bien que Muriel les excite. Il lui demande de se pencher en avant et elle prend appui sur un tabouret. Il lui écarte les fesses pour bien leur montrer le cul de sa soumise. Son petit trou est exposé aux regards. Lentement, il introduit un doigt dans son cul et le fait tourner.



L’un d’eux s’approche et pose ses mains sur les fesses de Muriel, puis il descend vers sa chatte et cherche son clitoris. Stéphane la voit qui frémit. Comme il n’est pas maladroit, elle se met à haleter et finit par jouir sous ses caresses.



Elle le regarde d’un air implorant. Ce sont des paroles qu’elle a trop honte de prononcer ; pourtant, au fond d’elle-même, elle voudrait que cela se réalise. Ce soir, elle a décidé qu’elle ne lui refuserait rien et qu’il pourrait lui faire faire toutes les cochonneries qu’il voudra. Pourtant, il insiste. Et lui donne une claque sur les fesses.



Stéphane la prend par la main et l’entraîne dans la chambre décorée avec des peaux de zèbre. Les trois hommes les suivent, évidemment ; il referme la porte quand ils sont entrés. Muriel est plus désirable que jamais. Franchement, en la rencontrant, il ne s’attendait pas à tomber sur une telle salope. Il a vraiment tiré le gros lot !


Les trois hommes sont un peu trop réservés au goût de Stéphane et il décide de jouer les metteurs en scène, comme s’il se trouvait sur le tournage d’un film porno. Il demande au plus grand de s’allonger sur le dos, puis guide Muriel pour qu’elle s’empale sur son sexe dressé. Le second, un homme d’une quarantaine d’années, se met derrière elle et la fait pencher en avant. Il a compris ce que souhaitait ce pervers de Stéphane et il lui écarte les fesses. Pendant que celui du dessous commence à lui palper les seins avec vigueur, l’autre s’introduit dans le joli cul de la belle soumise d’un soir. Elle a de la chance : sa queue est longue, mais c’est la plus fine.

Le troisième se met debout, jambes écartées, et vient se faire sucer par Muriel. Elle est remplie par tous les trous, et Stéphane se régale de voir ces trois mecs qui profitent de son corps avec tant d’enthousiasme.

Ils la font jouir avec beaucoup d’application. Celui qui avait sa queue dans sa bouche éjacule sur son visage, et le sperme lui coule jusqu’à la commissure des lèvres. Elle sort sa langue et goûte la semence inconnue.



Il l’emmène dans le hammam. Stéphane adore la chaleur gorgée d’humidité et parfumée à l’eucalyptus de cet endroit. Il supporte beaucoup mieux la chaleur qui règne ici que dans le sauna. Tous deux s’allongent sur les marches carrelées de ce lieu embué. Tous les hommes qui se trouvaient dans l’établissement ce soir ont vidé leur queue sur Muriel ou en elle.


Stéphane lui écarte les cuisses et la pénètre aussitôt. Depuis le temps qu’il la voit faire jouir les autres mecs, il a une envie furieuse de jouir dans sa chatte ! Elle lui a fait passer une soirée inoubliable et il veut enfin la baiser comme elle le mérite, sa salope ! Il s’enfonce en elle aussi loin qu’il peut. Son gland vient frapper le col de son utérus et il pince la pointe de ses seins, de plus en plus fort. Il l’embrasse avec passion, il tète sa langue, il dévore ses lèvres…


Elle change de position, relevant les jambes pour que l’excitation de son point G soit maximale. Stéphane sent le plaisir qui monte en elle. Son orgasme est dévastateur. Elle crie aussi fort qu’elle peut et balance la tête de droite à gauche. Il est, lui aussi, au comble de l’excitation, mais parvient à se retenir par on ne sait quel miracle. Il veut qu’elle enchaîne plusieurs orgasmes ; elle les a bien mérités…

Son plaisir monte à nouveau. Elle halète de plus en plus vite… Son bassin accompagne les mouvements du mâle qui la pénètre… Il sent qu’elle va jouir de nouveau, mais soudain elle s’arrête.



Elle le regarde avec un regard mêlé de surprise et de lubricité ; et soudain elle se lâche. Son urine chaude inonde la queue de Stéphane et son ventre. Elle est si heureuse de pouvoir se soulager que c’est comme si elle avait un nouvel orgasme. Au prix d’un effort important, il parvient, lui-aussi, à expulser un jet d’urine au fond de son vagin. Elle le regarde, étonnée, se rendant compte de ce qu’il vient de faire, puis c’est elle qui lui demande de poursuivre.



Stéphane ne lui répond pas, mais il se lâche complètement. Elle aussi reprend sa miction, et le liquide jaunâtre et chaud coule à flot, inondant leur ventre et leurs cuisses. Elle a un nouvel orgasme et il explose enfin en elle, la remplissant d’une quantité de sperme qui l’impressionne.


Comblé et heureux, le couple reste enlacé dans les bras l’un de l’autre pendant de longues minutes, sans bouger, souillés par leurs secrétions intimes. Elle a du sperme et de l’urine partout, mais elle s’en fout. Elle a joui comme jamais, et Stéphane sait que cette première expérience n’est pas la dernière.

Ils vont ensuite prendre une douche dont ils ont absolument besoin et partent se rhabiller pour quitter l’établissement.

Ils ont retrouvé la raison ; et quand Stéphane la ramène chez elle à Soulac, personne ne pourrait se douter de ce qu’ils viennent de faire.


Malheureusement, Muriel et ses enfants doivent repartir le lendemain. Stéphane a bien sûr pris ses coordonnées, mais il sait qu’il n’aura probablement pas l’occasion de la voir avant l’année suivante. Avec les talents de grosse cochonne dont elle a fait preuve ce soir, il sait que sa vie sexuelle va changer de dimension. Son mari va probablement tirer les bénéfices de la transformation et il est à peu près sûr qu’elle prendra un amant.