n° 15783 | Fiche technique | 7391 caractères | 7391 1357 Temps de lecture estimé : 6 mn |
04/09/13 |
Résumé: Difficile de se réveiller très tôt lorsque l'on a une forte érection et que l'on ne souhaite pas réveiller sa femme. | ||||
Critères: fh couple entreseins fellation | ||||
Auteur : lamenacemax47 Envoi mini-message |
Je me réveille en sursaut. Je sors lentement d’un rêve étrange. Je sais qu’il y avait du sexe, c’était même certainement torride, mais impossible de mettre une image dessus. J’ai le sexe bandé à l’extrême. Il est bien trop tôt pour se lever, et encore plus pour réveiller ma femme. Je me couche sur le côté et essaye de me rendormir, avec un peu de chance, je vais retourner dans mon rêve.
Je ne sais pas si j’ai dormi 17 minutes ou si je suis resté éveillé. Mon sexe tire toujours autant. Je ne vais quand même pas me masturber dans le lit pour le calmer… Ma femme est allongée sur le côté. Elle a une nuisette légère qui ne cache rien de ses fesses et laisse même un peu voir son petit minou. J’en aurais bien profité mais je risque gros, surtout aussi tôt. Je me retourne et tente de penser à autre chose.
À partir de combien de temps on estime que l’on est atteint de priapisme ? Ceci dit, il tire, mais il est extrêmement réactif. Le fait de le prendre en main et de l’agiter un peu me procure déjà du plaisir. Ma femme est maintenant sur le dos, chaque respiration gonfle sa jolie poitrine. J’ai une envie folle de caresser ses seins, voire même de placer ma bite tendue entre les deux, de profiter d’une bonne cravate de notaire et enfin de tout arroser. Ce n’est pas avec ce genre d’idées que je vais arrêter de bander. Je reste sur le dos et fais un chapiteau avec le drap. Je referme les yeux.
Je commence à détester ce réveil. Vivement qu’il sonne à 7 h 30 que l’on puisse se lever et partir au boulot, cette érection devient pénible. Je pourrais sortir du lit et tranquillement aller me soulager en allant lire une petite histoire érotique sur le PC, mais j’ai la flemme. Ma femme s’est replacée sur le côté. Tant pis, je le tente. J’enlève mon boxer, et je cale mon sexe entre ses fesses, vers son abricot, puis fait de très lents et longs va-et-vient. Mon bout se décalotte, mon sexe est totalement trempé sur l’extrémité. C’est tellement bon que je m’assoupis presque rassasié.
Ce n’est pas possible, j’ai dû dormir, mais mon sexe est resté dur comme un rocher entre les fesses de ma femme. Nous n’avons pas dû bouger pendant une bonne demi-heure. Je le retire doucement en le faisant glisser. Il est toujours aussi réactif, ce n’est que du bonheur, mais il faut absolument qu’il se vide. Ma femme bouge, j’espère que je ne l’ai pas réveillée. Elle se met sur le ventre. Ses fesses rebondies sont nues, la nuisette est presque au niveau de son bassin. J’ai bien fait de lui en avoir acheté des si sexy. De la main gauche je prends sa fesse gauche, et de l’autre je m’asticote un peu. Je suis toujours en état de super excitation. Je crois que je me rendors le sexe à la main.
Les battements de mon cœur se répercutent dans ma main. Ah oui, j’ai toujours mon sexe dur dedans, toujours avec le bout ultra réactif. Ma femme s’est replacée sur le côté. Je me colle à elle, toujours contre ses fesses, mais sexe levé ce coup-là. Je la sens un peu moins, mais c’est toujours agréable. Sa raie des fesses va être toute collante. Mes yeux se referment lentement, bercés par le rythme de mon bassin.
J’ouvre les yeux. Toujours dur. Je me retire de ses fesses, me retourne vers le réveil. Bientôt la délivrance, plus que 28 minutes. Je reste de ce côté et colle mes fesses aux siennes.
Hum, 10 minutes avant la sonnerie, je pourrais prendre ma douche en avance et me faire plaisir, ma bite est toujours aussi sensible. On dirait qu’elle palpite toute seule, voire même qu’elle bouge toute seule. Ma femme est collée contre moi, mais pas seulement, elle est en fait en train de me masturber tout doucement ! Je comprends mieux cet agréable réveil. Elle décalotte tout doucement le bout puis le remet, tout en me mordillant l’oreille. Je retourne ma tête, elle me sourit, et m’embrasse goulûment tout en continuant de me caresser. Je lui rends son baiser avec passion. Dire que j’attends ça depuis 5 heures. Est-ce juste un réveil amical ou va-t-il y avoir plus ?
Je bascule sur le dos, nous continuons à nous embrasser. Je prends son sein gauche dans la main et commence à le caresser doucement. Quand je lui pince le téton, elle émet un petit soupir. Je la regarde dans les yeux, regarde sa main s’agiter sur mon sexe, la regarde dans les yeux, et l’embrasse en enroulant ma langue autour de la sienne.
Elle me regarde, du genre « c’est ça que tu veux ? ». J’acquiesce. Elle m’embrasse la bouche, le cou, le torse, le ventre, puis se met en position plus bas pour embrasser mon gland tout luisant, plusieurs fois. Elle place mon sexe droit, met ses yeux dans les miens, et tout doucement, enfonce mon bâton dans sa bouche, tout en enroulant sa langue autour, puis referme ses lèvres dessus. J’ai comme un orgasme mental. Avec sa main droite, elle masturbe la base de mon sexe, et fait aller ma bite entre ses lèvres sur de lents allers-retours. Mon gland est aux anges. J’ai l’impression que je vais exploser dans sa bouche.
Elle sort ma bite de sa bouche, un petit filet de salive coule de ses lèvres, j’adore cette vision. Mon sexe est en feu, il faut qu’elle me pardonne si tout sort dans sa bouche. Elle l’embrasse, puis le lèche du bas vers le haut. J’aurais adoré tout lâcher à ce moment, un fabuleux geyser. Elle insiste avec sa langue sur le gland, puis le renfourne dans sa bouche brûlante sans ménagement. Elle accélère le mouvement avec sa main et avec ses lèvres, je vais tout lâcher, je jappe tout doucement pour qu’elle comprenne que l’explosion est imminente et qu’elle doit se retirer si elle ne veut pas tout avaler.
Elle a retiré mon sexe de sa bouche, et l’enserre avec force dans sa main. Elle me regarde. Je n’ai pas encore éjaculé. Je suis totalement à sa merci, elle peut choisir la fin. Elle me relâche, et se place moitié assise moitié allongée à côté de moi. Elle descend tout doucement le haut de sa nuisette et fait sortir sa jolie poitrine. D’un regard, elle me fait comprendre où je dois me placer. Ce sera une branlette espagnole. Je place ma bite entre ses deux seins, je suis vraiment au bord de l’explosion. Elle serre ses deux superbes rondeurs autour de mon bâton, et commence le voyage. À chaque descente, mon gland ressort du fourreau, et s’approche de son visage. Elle tente à chaque passage de le laper. Puis elle change le mouvement, d’abord en serrant encore plus fort, puis en accélérant, jusqu’à ce que mon sexe se déverse sur sa poitrine, puis un jet s’écrase sur sa langue et sa lèvre supérieure, puis encore entre ses seins. Sa poitrine est totalement maculée de sperme. Je n’en avais jamais sorti autant, mais je n’avais jamais été autant bouillant. Une petite quantité de sperme est restée sur sa langue. Certainement pour me remercier de l’avoir prévenue à temps juste avant, elle rentre sa langue dans sa bouche, et avale le liquide chaud. Je sais qu’elle n’aime pas cela, le geste est encore plus excitant. Mon sexe, rassasié, me laisse enfin tranquille et palpite tout doucement entre ses seins. Elle en profite ensuite pour téter une dernière fois le gland, c’est trop bon, je pousse un soupir d’extase.
Le réveil sonne, elle se lève et fonce sous la douche. Nous n’aurons pas prononcé un mot, et ce jour est le plus merveilleux mardi matin de ma vie. Une journée de boulot ne fait plus peur après ça. Je m’habille et pars acheter croissants et pains au chocolat.