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n° 15785Fiche technique16944 caractères16944
Temps de lecture estimé : 11 mn
05/09/13
Résumé:  Damien me réserve une sacrée surprise...
Critères:  fhh fplusag extracon inconnu contrainte double sandwich confession
Auteur : Kokinette      
Apéro-sandwich

Ma première expérience extra-conjugale – ou plutôt petite escapade – de l’été dernier est encore très présente dans mon esprit, d’autant que l’état de mon mari n’a pas évolué. J’ai régulièrement en tête tous ces moments de jouissances passés avec mon Damien. L’état de ma culotte en est d’ailleurs souvent la preuve…








Quelques mois après cette histoire, je reçois un coup de téléphone. C’est Damien qui m’annonce qu’il va bientôt être de passage dans ma région. Surprise, je lui demande où il avait eu mes coordonnées car nous nous étions quittés sans nous les transmettre. Il me répond que c’est le gérant du camping qui les lui avait gentiment données. Je suis à la fois ravie et troublée de l’avoir au téléphone. Il m’apprend qu’il venait malheureusement de se séparer de sa femme ; le couple n’allait en effet déjà pas très bien avant la naissance de leur fils. Damien me fait rapidement comprendre qu’il pense souvent à moi et que ça serait bien que l’on se revoie, mais aussi que l’on soit tranquille… Je comprends immédiatement son intention ; j’hésite un moment avant de finalement lui répondre que mon mari partait en randonnée cyclo pour la journée le dimanche suivant, et qu’il pouvait passer pour l’heure de l’apéritif par exemple. Je suis finalement tout émoustillée à l’idée de bientôt le revoir, d’autant plus qu’il me dit qu’il a une surprise pour moi avant de raccrocher.


Le jour J, mon mari est à peine parti que je monte me faire belle ; je commence par m’épiler les jambes, les aisselles, avant de passer au maillot, pour lequel il y avait un peu de laisser-aller ces derniers temps : je taille minutieusement et très proprement mon sexe en l’épilant consciencieusement ; Damien appréciait particulièrement le « ticket de métro » comme il disait. Ce fut chose faite. Ensuite, je prends une bonne douche, je me fais une manucure, mets du vernis à ongles aux mains et doigts de pieds, me maquille et me parfume. Enfin, j’enfile une jolie robe blanche en coton à fleurs bleues sous laquelle je ne mets pas de soutien-gorge, ce qui a l’art de rendre mes seins plus lourds, et juste un string noir qu’on distingue aisément sous la robe par transparence… J’oublie volontairement de fermer les deux boutons du haut pour le laisser découvrir un décolleté très plongeant qui allait sans aucun doute lui donner envie de me sauter dessus, le connaissant. J’enfile à peine des chaussures à talons qu’une voiture arrive dans la cour sur le coup de 11 heures…


Je ne vous raconte pas la déception quand je vois qu’il n’est pas seul. Je reboutonne rapidement un des deux boutons de ma robe avant d’aller l’accueillir. En m’embrassant, il me glisse un « Tu es vraiment ravissante ! » dans le creux de l’oreille. Puis il me présente l’ami chez qui il est venu passer quelques jours, et qui finalement n’habite pas très loin de la maison. Thibault, un peu plus jeune, est nettement moins grand que Damien mais beaucoup plus corpulent : avec mes talons, il fait à peine une demi-tête de plus que moi.


Je leur propose d’entrer prendre l’apéritif ; ils acceptent volontiers. Nous nous installons dans le salon et discutons de choses et d’autres. Je m’aperçois que leur apéritif est vite ingurgité et leur en sers rapidement un deuxième, puis un troisième… Petit à petit, les langues se délient et les deux garçons s’accordent à dire que ma robe est « excessivement jolie ». Je les soupçonne plutôt de s’être vite rendu compte de ce que je portais (mais aussi et surtout de ce que je ne portais pas !) en dessous… L’alcool aidant, je me décontracte un peu aussi tandis qu’ils commencent à s’enhardir, me complimentant maintenant sur mes formes voluptueuses joliment mises en valeur. Damien vient s’asseoir à côté de moi et m’avoue que Thibault est son meilleur ami, son confident, et qu’il sait tout dans les moindres détails de notre relation. Je pense que je suis devenue rouge écarlate tellement j’étais gênée ; Damien m’indique immédiatement qu’il n’y a pas de quoi l’être en posant sa main sur ma cuisse, et que lorsqu’il avait raconté ça à Thibault, celui-ci avait immédiatement demandé à me connaître.


Thibault, comme pour appuyer les dires de son camarade, se lève et vient s’installer de l’autre côté sur le canapé… Ils me disent qu’ils me sentent crispée et qu’ils aimeraient bien que je me « lâche » un peu ; Damien me flatte en indiquant d’ailleurs que j’étais plutôt « ouverte et large… d’esprit » d’habitude, alors que Thibault m’avoue que je le trouble. Je comprends rapidement leur intention. La morale aurait voulu que je les repousse, mais m’étant plus ou moins préparée à recevoir mon Damien, la terrible envie de faire l’amour que j’avais depuis le matin revient d’autant plus vite au galop que leurs mains deviennent très baladeuses.


En quelques secondes, voilà ma bouche collée à celle de Damien, qui commence déjà à me caresser les seins. Pendant ce temps, la main de Thibault est partie à l’aventure sous ma jupe, remontant le long de ma cuisse, alors que l’autre déboutonne le haut de ma robe. Ma généreuse poitrine se retrouve rapidement à l’air libre. Les deux énergumènes que j’ai à mes côtés me font immédiatement des éloges sur la forme et la taille de mes seins, mais aussi de mes mamelons qui durcissent à vue d’œil… et je me retrouve vite avec une bouche autour de chaque téton. Ils se mettent à dévorer mes seins et cette nouvelle sensation fait réagir mon corps tout entier. Les deux garçons ne s’en rendent pas compte, mais je les vois se faire un petit clin d’œil en prenant chacun une de mes mains qu’ils déposent sur leur sexe qui ne demandait qu’à sortir de sa cachette… La surprise ayant très vite laissé place à l’excitation, je joue le jeu, et je leur dis :



Damien m’avait sûrement décrite comme étant une belle chienne auprès de son ami. C’est pour moi contre nature, mais je me dis finalement qu’une fois n’est pas coutume : c’est peut-être l’occasion ou jamais de rentrer dans leur jeu et de faire au moins une fois la salope dans ma vie afin de connaître de nouvelles sensations.


Je sens les deux garçons ravis et aussi excités que moi ; ils continuent à me dévorer les seins pendant que leurs mains courent sur mon corps. Le résultat est véritablement exquis : l’effet conjugué de leur bouche et de leurs mains me rend folle d’excitation, et je prends bien volontiers ces deux sexes tendus à l’extrême rien que pour moi, dans chaque main. Le sexe de Damien ne m’est pas inconnu, et il est toujours aussi magnifique : sa queue est très longue et d’un diamètre plus qu’honorable. Par contre, celle de Thibault semble nettement plus courte, mais aussi bien plus grosse que celle de son ami. Ils m’avouent tous les deux qu’ils n’avaient pas baisé depuis un sacré moment et qu’ils avaient pensé à moi.


Mes mains astiquent maintenant vigoureusement les deux gourdins bien raides depuis quelques minutes quand Damien me demande de me lever et de me mettre à quatre pattes pour mieux les sucer pendant qu’ils se rapprochent sur le canapé. Je me retrouve vite à genoux sur la moquette, avec deux belles queues à portée de bouche. Ma langue monte et descend tour à tour sur chacune des queues qui se présente à moi en n’oubliant pas le petit coup de langue sur les couilles à chaque descente. Celles-ci semblent bien pleines, et la vue de ces deux gourdins bien raides se promenant sous mon nez m’excite au plus haut point. Je ne tarde pas à prendre Damien en bouche ; je retrouve vite les sensations éprouvées autrefois. Je ne manque pas de regarder mes deux salopards bien dans les yeux, pour jouer au mieux le rôle attendu, ce qui a le don de les rendre gonflés à bloc. Dans un premier temps, je suce goulûment Damien pendant que je branle Thibault et, après quelques allers et retours, il me prend la tête et la dirige vers le sexe de Thibault.



Je m’enhardis donc et je vais pour le prendre en bouche quand je me rends véritablement compte de la taille exceptionnelle de son engin, vraiment très courte par rapport à Damien (elle doit faire les 2/3 en longueur) mais d’un diamètre que je n’ai encore jamais vu : elle approche franchement de la canette de Coca ! Ainsi, une fois le gland en bouche, je dois m’y prendre à deux reprises en salivant davantage pour enfin glisser une partie de l’engin en bouche. Je pouvais gober au mieux la moitié de sa queue qui me déformait complètement la mâchoire…



Sitôt ces paroles prononcées, Damien vient se positionner derrière moi alors que je suis toujours à quatre pattes sur la moquette, soulève ma robe sur mon dos et m’enlève mon string en me félicitant d’avoir aussi bon goût. Alors que je m’active sur la grosse queue de Thibault, Damien me donne quelques coups de langue sur ma chatte dont le ticket de métro fait sensation et déjà complètement ruisselante ; dès qu’il le constate, il s’empresse de venir appuyer son gland sur l’entrée de mon vagin qui semble l’aspirer, tellement le conduit est humide. Il ne tarde pas à attraper mes hanches pour mieux me pilonner, pendant que Thibault fait maintenant aller et venir ma tête sur sa queue… Je suis alors dans un état second d’excitation ; mon corps est pris de spasmes et je sens un truc énorme monter en moi…


Damien impose rapidement un bon rythme, et après quelques minutes – à mon grand regret – il ressort en me mettant une petite claque sur mes grosses fesses, me faisant comprendre qu’il fallait que je m’occupe un peu de Thibault aussi. Ce dernier reste en place, bien calé dans le canapé. Je décide de venir me présenter en lui grimpant dessus ; je fais donc face à lui, relève ma robe qui commence à être débraillée et viens positionner mon sexe au-dessus du sien. Très excité, il le guide vers l’entrée de ma fente ; son gland entre assez facilement, mais même complètement trempée, je sens que je dois forcer un peu pour faire entrer le reste, tellement le calibre est important. Je m’assois donc dessus et sens son truc énorme coulisser et entrer petit à petit en moi ; je ne me suis jamais sentie aussi remplie ! Il ne tarde pas à agripper mes fesses pour les faire monter et descendre le long de son engin, et je me mets rapidement à gémir de bonheur.


Quelques va-et-vient plus tard, Thibault est à nouveau en train de me bouffer les nichons, tandis que Damien présente sa queue tendue devant ma bouche : je le satisfais immédiatement en le prenant entre mes lèvres, et c’est reparti pour un tour… Thibault se met à marteler ma chatte pendant que je m’acharne sur la splendide queue de Damien, qui me dit de bien saliver dessus ; je m’exécute en l’enduisant presque sur toute sa longueur.


Puis Damien redescend du canapé alors que je suis toujours empalée sur Thibault ; il me demande de me pencher un peu plus en avant et de bien me cambrer, tout en mettant son doigt à la bouche pour y déposer de la salive. Je m’exécute à peine que je comprends immédiatement ce qu’il a derrière la tête : je prends peur et refuse catégoriquement de me plier à ses nouvelles exigences. Une énorme claque retentit sur mes grosses fesses.



Pendant qu’il applique un plot de salive sur mon petit trou, je sens Thibault, encore en moi, me maintenir très fermement ; je me sens prisonnière, sentant qu’il n’y a plus d’échappatoire possible. Pour éviter un nouveau refus de ma part, Damien se dépêche de venir poser son gland encore tout enduit de salive à l’entrée de mon petit orifice et pousse d’un coup. Il y introduit petit à petit – et somme toute assez facilement – la moitié de sa queue grâce à l’abondance de salive. À ce moment-là, j’ai l’impression qu’un train tout en entier me passe dessus, mais finalement je me détends assez rapidement, et plus je me détends, plus la douleur laisse petit à petit place au plaisir.


Je commence peu à peu à découvrir de nouvelles sensations. À force de persévérance, Damien arrive à faire entrer entièrement sa queue, alors que Thibault reste toujours immobile. Le rythme entre mes fesses s’accélère, ce qui me fait pousser de petits cris malgré moi. Damien se met progressivement à m’enculer avec force, se cramponnant fermement à mes hanches tandis que Thibault remet les mains sur mes fesses avec la ferme intention de me pilonner à nouveau. Dès qu’il reprend son activité, je sens quelque chose de monstrueux monter en moi, quelque chose de jamais ressenti auparavant, comme un volcan qui se réveille ; je me mets à hurler tellement la jouissance est forte, et plus je hurle, plus les gars s’activent et me défoncent…


Mes deux trous sont assaillis en même temps tandis que mes seins ballottent à tout-va au-dessus du visage de Thibault ; les deux garçons sont fous d’excitation : ils se déchaînent littéralement et me prennent vigoureusement de la sorte pendant de longues minutes. Les deux compères mettent beaucoup d’ardeur, et les queues me pénètrent tantôt de façon simultanée (les deux entrent et sortent en même temps) tantôt de façon alternée ; mais dans les deux cas, c’est l’extase ! Je dois avouer que j’aurais bien volontiers pris une troisième queue en bouche à ce moment-là, tellement j’étais excitée.


Après avoir passé un bon moment à me besogner dans cette position, ils ont voulu changer, Damien devant et Thibault derrière, mais j’ai catégoriquement refusé cette fois-ci, car la queue de Thibault a un diamètre vraiment trop important. Du coup, contrariés, les deux garçons se mettent à positionner leurs mains différemment, ce qui me fait pressentir que je vais encore morfler : Damien ôte ses mains de mes hanches pour venir les positionner sur mes épaules tandis que Thibault, qui tenait mes fesses à pleines mains, les monte sur mes hanches pour me tenir fermement. À ce moment, les garçons enclenchent la vitesse supérieure ; Thibault me bourre la chatte comme un fou pendant que Damien se déchaîne sur mon arrière-train. Ce dernier m’encule sur un rythme démentiel ; tous les deux me baisent, me défoncent littéralement comme une grosse salope – que je suis – pendant de longues minutes. Je hurle et je jouis comme jamais. Le rythme est effréné et je commence à être épuisée tellement je m’époumone quand les deux gars, au bord de la jouissance, ressortent rapidement de mes orifices et m’invitent à m’agenouiller. Damien me lance :



À peine en place devant mon visage, je reçois un puissant jet de Damien directement sur mes lunettes ; la force du jet est phénoménale, et d’autres suivent. Mon visage se couvre peu à peu d’un liquide blanchâtre, chaud et très épais. C’est ensuite au tour de Thibault de venir enfourner directement sa grosse queue dans ma bouche. Il envoie deux jets énormes au fond de ma gorge avant de ressortir et de se branler frénétiquement au-dessus de mes seins inondés de sperme. Leurs râles s’apaisaient peu à peu tandis que ma robe, complètement débraillée cette fois-ci, est maculée de substance blanchâtre : j’en ai partout !


Je viens de passer une heure inoubliable ; jamais auparavant je n’avais ressenti de telles sensations et je n’avais autant joui. Je suis rassasiée, exténuée.


Les deux jeunes hommes repartent, visiblement satisfaits d’avoir autant pris leur pied. En m’embrassant, ils me glissent à l’oreille que je suis une belle salope et qu’ils aimeraient bien revenir me baiser de temps en temps.


Je monte me doucher et m’allonge pour me reposer après avoir mangé un morceau. Mon mari rentre dans l’après-midi, très fatigué aussi ; mais franchement, je ne sais pas lequel des deux était le plus sur les rotules…