Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15786Fiche technique38982 caractères38982
Temps de lecture estimé : 23 mn
06/09/13
Résumé:  Un homme débarque chez un ami d'enfance. Sa femme est seule.
Critères:  fh extracon inconnu poilu(e)s lingerie odeurs fellation cunnilingu
Auteur : Game33  (Passionné par les confessions intimes et le candaulisme)            Envoi mini-message
L'ami d'enfance

Une visite impromptue



Samedi, 18 heures

******************


Un jour, je me présente dans un pavillon de banlieue… Le mari est absent et c’est sa femme qui m’ouvre la porte. Nous ne nous connaissons pas.



Isabelle reste perplexe. Elle n’a pas envie de jeter dehors un ami d’enfance de son mari, mais de là à héberger un inconnu en l’absence de son mari… Elle le fait tout de même entrer.


Isabelle me fait entrer. Je la trouve très mignonne avec ses longs cheveux noirs et j’aime bien sa poitrine opulente. Quand elle se retourne, je remarque son magnifique fessier, bien mis en évidence par la jupe assez serrée qu’elle porte et je sens une raideur dans mon entrejambe.

Décidément, mon copain a trouvé une belle femme…

Elle me propose de m’asseoir sur le canapé et se dirige vers le bar pour me proposer de boire quelque chose. Je pose le sac de voyage que je portais au pied du canapé.



Elle me laisse faire et je lui prépare un délicieux cocktail avec du jus de mangue, un fruit de la passion, une tranche de citron vert, de la canne à sucre et un peu de vodka.

Quand je lui tends le verre, elle respire pour voir si l’odeur d’alcool n’est pas trop forte et elle goûte.



Nous commençons à bavarder et je la trouve très agréable. À ma grande surprise, elle vide son verre d’un trait et je lui en sers un autre pendant qu’elle va vers la cuisine. En revenant, elle fait un geste maladroit et renverse son verre en plein sur mon jean…



Elle semble un peu gênée et rougit légèrement.



À ce moment-là, je me lève, je prends un jean propre dans mon sac et je me dirige vers la salle de bain. J’y entre aussitôt et je m’enferme.

Effectivement, Isabelle n’a rien rangé depuis son passage : des serviettes sont posées par terre et j’aperçois une petite culotte dans un coin de la pièce. C’est un string noir avec de petites fleurs roses. Sans me poser de question, je le ramasse et je le porte à mes narines. Quel parfum délicieux ! La chatte d’Isabelle est odorante, avec une saveur poivrée comme je les aime… Je regarde le gousset de son slip et découvre de belles traces de cyprine que je ne peux m’empêcher de lécher… J’adore ce genre de situation, surtout quand la petite culotte appartient à une femme que je ne connais même pas…


Quand je ressors de la pièce, je devine l’air inquiet d’Isabelle qui semble se dire « Pourvu qu’il n’ait pas trouvé la culotte… ».

Si elle savait combien je me suis délecté de son parfum intime !


Sans lui demander son avis, je ressers un cocktail à Isabelle. Je vois bien qu’elle me regarde d’un air réprobateur, mais elle boit et vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé.



Isabelle rougit.



À ce moment-là, je me demande quelle stratégie adopter : celle du mec besogneux qui progresse pas à pas et essaie de plaire à la femme qui est avec lui, ou celle du bulldozer qui fonce et renverse tout sur son passage ?



Isabelle rougit et hausse les épaules.



À ce moment-là, je me rapproche d’Isa sur le canapé et je pose ma main sur sa cuisse droite. Elle porte une jupe assez courte et retire sa jambe instinctivement.



Je me lève et je choisis un slow langoureux… Peut-être pas le meilleur, mais le plus long que je connaisse.



Elle se lève et s’approche de moi.



Elle met ses bras autour de mon cou et je pose les mains sur ses hanches, puis je les laisse progressivement glisser vers ses fesses pendant que nous dansons. Elle ne proteste pas.



À ce moment-là, je sentis qu’elle commençait à être prête et j’enfonçai mes doigts dans ses fesses charnues…



Isa leva les yeux et me regarda d’un air que je jugeai plutôt consentant.



À ce moment-là, le disque s’arrêta et elle retourna s’asseoir. Son mouvement me permit de remarquer qu’elle ne portait pas un collant mais des bas.



Comme il est tard, elle me propose de rester à dîner avec elle. J’accepte avec enthousiasme… Tout en me parlant, elle dispose des assiettes sur le bar et continue la préparation du repas.



Elle apporte alors le plat qu’elle vient de préparer et vient s’assoir sur le tabouret à côté de moi. Sa jupe remonte quand elle se hisse dessus et je vois une fois encore apparaître le haut de ses bas.



Isabelle rejette ses longs cheveux noirs en arrière et me regarde droit dans les yeux :



Elle sourit encore et se remet à manger. Je trouve ce moment d’intimité fort sympathique…






Samedi, 21 heures

******************


Vers la fin du repas, Isa semble un peu nerveuse. Elle a de nouveau un geste malheureux et renverse mon verre qui se répand une fois encore sur mon jean.



Je souris pour la déculpabiliser…



Isa va dans la chambre et revient avec un des pantalons de son mari. Pour l’essayer, je retire mon jean mouillé et me présente en slip devant elle. Elle détourne le regard.

Effectivement, le pantalon est trop étroit et je ne puis rentrer dedans.



Sans la laisser terminer, je me jette sur elle et je tire un coup sec sur sa jupe qui descend et laisse entrevoir une magnifique culotte noire…

Elle s’insurge, mais je l’attrape par les jambes et je la fais tomber sur le canapé, puis je lui chatouille le dessous des pieds tout en lui retirant cette fois complètement sa jupe…

Elle ne peut retenir un rire sonore car elle est très sensible à mes chatouilles… Sans m’arrêter, je poursuis le jeu et lui immobilise les bras le temps de déboutonner son chemisier… Je découvre un soutien-gorge assorti au slip…



Je la sens morte de honte, mais elle ne proteste pas, se relève et continue à vaquer à ses occupations vêtue de sa simple lingerie.

Je trouve que l’atmosphère s’est beaucoup détendue en quelques heures…

Isa me demande si je peux l’aider à faire la vaisselle. Je lui réponds illico que ce n’est pas le rôle d’un homme et que, si je dois aider une femme, ce sera autrement.



Elle n’a pas l’air de comprendre et me regarde d’un air surpris. Je me lève alors et m’approche d’elle. Je me poste juste derrière elle et lui dépose un tendre baiser dans le cou. Je vois qu’elle frissonne…



Je continue à l’embrasser dans le cou et elle ne proteste pas. Elle a même l’air d’apprécier.

Je me rapproche à nouveau d’elle et je l’embrasse doucement sur la joue.



Je la prends alors dans mes bras et l’embrasse au coin de lèvres, puis franchement sur la bouche. Elle l’entrouvre et me donne sa langue.



Je la renverse en arrière et l’entraîne vers le canapé. Elle se laisse faire. Tout en continuant à l’embrasser et à aspirer sa langue, je sens mon érection prendre des proportions importantes. Elle s’en rend compte et me dit :



À ce moment-là, je glisse la main vers son entrejambe et je découvre l’humidité de sa petite culotte.



Donnant l’impression d’être vexée par ma remarque, elle se retourne sur le ventre. J’ai le regard qui se pose immédiatement sur ses fesses.



Je sens qu’elle se cambre mais ne refuse pas le contact. Ma main épouse la forme de ses fesses rebondies et les caresse avec un maximum de douceur. Tout doucement, avec une lenteur progressive calculée, j’écarte l’élastique et glisse ma main à l’intérieur de la culotte. Je palpe les deux globes de chair ferme puis les découvre entièrement en baissant la pièce de tissu. Ses fesses sont magnifiques et d’une douceur incroyable.

Je reste un long moment ainsi à les caresser avec tendresse, puis mon visage s’approche et je les embrasse tour à tour.



Encouragé par sa remarque, je fais glisser la culotte jusqu’à ses pieds et je la retire complètement. Elle proteste pour la forme. Je dégrafe alors le soutien-gorge et elle feint de m’en empêcher, mais en réalité elle semble impatiente de me voir le retirer.

Lentement, je lui caresse le dos de haut en bas, m’attardant longuement sur ses fesses, puis mes mains descendent le long de ses bas dont le contact m’électrise.

J’atteins ses pieds que je masse avec vigueur. Elle n’a plus du tout l’air sensible aux chatouilles…

Je lui relève les jambes et approche mon visage de la plante de ses pieds. Je les hume délicatement puis passe ma langue sur les bas et je gobe ses orteils emprisonnés dans le nylon.



Sans doute troublée par mon allusion à cette blonde imaginaire plus exhibitionniste qu’elle, elle se leva du canapé et dissimula à peine ses poils pubiens avec sa main pour se rendre dans la chambre.

Je la laissai arriver jusque sous la couette et la rejoignis en abandonnant mon slip devant le canapé. Je bandais vraiment très fort, et son côté femme sage un peu prude m’excitait terriblement. Je me suis glissé à mon tour sous la couette.







Une nuit très agréable



Aussitôt, Isa s’est retournée, me présentant à nouveau ses fesses que je me suis de nouveau mis à caresser… Je me suis progressivement rapproché d’elle et je me suis collé contre son corps pour qu’elle sente bien mon érection contre ses fesses. Lentement, elle s’est retournée vers moi et m’a tendu ses lèvres.



Je l’ai de nouveau enlacée et nos langues se sont mélangées… Au bout d’un moment, j’ai laissé ma main droite glisser vers son entrejambe et elle ne s’est pas dérobée… J’ai lentement découvert sa toison intime de mes doigts, enroulant les poils autour de mon index, puis je suis descendu plus bas vers ce fruit défendu qu’elle protégeait encore un peu.



Je caresse ses seins lourds et très excitants puis descends vers son ventre avec ma bouche. Arrivé à hauteur de sa toison, je m’y attarde longuement, caressant ses poils soyeux. Ma main descend ensuite jusque vers l’entrée de son vagin. Instinctivement, elle resserre les cuisses puis les ouvre de nouveau, me laissant la pénétrer de mon majeur. Elle est tellement trempée que je ne fais aucun effort pour la pénétrer, d’abord avec un doigt, puis avec deux.


La caresse doit lui plaire car elle retire elle-même la couette et s’abandonne complètement en gémissant. Ma bouche rejoint mes doigts et, après quelques coups de langue furtifs sur ses grandes lèvres, je remonte vers son clitoris que j’aspire lentement. Je reste ainsi avec son bouton de plaisir dans ma bouche pendant de longues minutes. Je veux la faire jouir sans rien réclamer en échange. Non pas que je sois altruiste au point de délaisser mon propre plaisir, bien au contraire, mais cela me semble nécessaire pour qu’elle s’abandonne complètement.

Une vague de plaisir monte en elle et elle se tord en râlant sous ma bouche. Elle vient de jouir.


Lentement, je retire les bas qu’elle porte encore. Je trouve que cela lui donnait un air plus coquin, mais j’ai envie de sentir sa peau, de caresser ses jambes et de m’occuper de ses pieds. Elle se laisse faire, n’ayant cette fois plus aucune réticence à me laisser lever ses jambes et ne cherchant plus du tout à cacher son intimité. Je jette les bas sur le sol, où un certain nombre de vêtements gisent déjà et je découvre la peau douce de ses jambes. Je les caresse un long moment, puis je me m’occupe de ses pieds qui me plaisaient beaucoup. Je suce chacun d’eux, prenant les gros orteils dans ma bouche et passant ma langue entre les autres comme j’aime le faire. Je sens qu’Isa s’abandonne complètement.

Ensuite, je m’allonge sur le dos et je lui dis :



Elle se relève et commence à balayer tout mon corps de ses longs cheveux soyeux. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ses caresses particulièrement douces et sensuelles, surtout quand sa chevelure effleure mon sexe de plus en plus dur.

Après quelques minutes, ses mains se posent sur mon torse et descendent vers mon ventre, puis vers mon sexe qu’elle caresse d’abord doucement avant de le prendre en main. Je comprends qu’elle en apprécie les proportions et la dureté.



Je la laisse jouer avec mon pénis et mes bourses pendant un moment, puis je guide sa tête vers ma verge dressée. Je sens une certaine résistance.



Je reprends alors mon mouvement sur sa tête et elle ouvre les lèvres, puis dépose un baiser sur mon gland avant de parcourir la hampe de mon sexe de sa langue et finalement de le prendre en bouche.



Sans doute encouragée par mon appréciation, elle redouble de vigueur et d’application. Je sens sa bouche aller et venir sur mon membre durci au maximum et sa salive couler jusqu’à mes testicules.

N’en pouvant plus, je me relève et la fais allonger sur le dos ; puis, prenant chacune de ses cuisses avec mes bras, je la pénètre sans ménagement.



Mon sexe pénètre le sien sans aucun effort tant il est lubrifié. Je la pilonne pendant un long moment, puis ralentis la cadence pour entreprendre des mouvements lents, mais beaucoup plus profonds.



Je continue mes va-et-vient pendant quelques minutes, puis je m’arrête brusquement alors qu’elle est au bord de l’orgasme. Je me retire alors et la contemple en train de se mordre les lèvres.



Elle m’écoute, bien qu’ayant l’air frustré et repose ses jambes sur les draps colorés. Je la laisse reprendre son souffle et en profite pour reprendre le mien, puis je lui demande de se retourner. Elle me présente de nouveau ses fesses que je prends à pleines mains.

J’attrape un oreiller et le glisse sous son ventre pour relever sa croupe. Je me positionne alors derrière elle et la prends en levrette.

C’est bon de voir ses fesses tressauter quand je la pénètre de nouveau. Je la saisis par les hanches et me déchaîne. En même temps que ma queue s’enfonce dans son vagin, une de mes mains glisse sous son ventre et cherche son clitoris. Je le trouve sans peine et entreprends de le stimuler de mon majeur.



Son corps est secoué de spasmes et elle hurle de plaisir. Cela m’excite tellement que je jouis à mon tour. Je me retire de son corps et mon sperme jaillit sur ses fesses et son dos. Ça y est, je viens de baiser une autre des femmes de mes copains…

Isa met un moment à retrouver son calme et s’allonge, recouvrant son corps de la couette. Elle sourit et semble presque s’endormir. Je la regarde et lui dis :



Je l’embrasse tendrement sur les lèvres et m’allonge à ses côtés, prêt à m’endormir moi aussi.


Après de longs voyages et les effets du décalage horaire. Je passe une nuit merveilleuse aux côtés d’Isabelle. Sans s’en rendre compte, elle se retourne dans son sommeil et me prend dans ses bras. Elle se croit avec Alex et me murmure :



Elle a un sourire satisfait et me tourne le dos à nouveau. Je descends la couette et contemple une fois encore ses fesses. Je ne vais pas tenir longtemps et j’ai encore envie de la prendre.

Je laisse glisser mon doigt dans le sillon qui naît au creux de ses reins et je m’avance vers son anus que je caresse doucement avec la pointe de l’index. Elle ne se réveille pas. J’embrasse alors ses fesses comme je l’ai déjà fait plusieurs fois au cours des quelques dernières heures et je les écarte progressivement. Son petit trou s’offre à ma vue, même si je le distingue mal dans la pénombre. Elle dort toujours.

Ma bouche se pose sur ses fesses et s’approche du petit trou que je titille de la pointe de la langue. Cela la réveille brusquement.



Puis, se reprenant :



Elle baisse les yeux et rougit.



Isabelle se retourne et je dois abandonner ma caresse buccale, mais j’ai vraiment envie qu’elle me raconte cette expérience. Je la sens tellement mal à l’aise avec ce sujet que j’ai décidé de la pousser dans ses derniers retranchements. Sans doute un moyen d’asseoir une certaine domination sur sa personne…


Elle me raconte comment, lors du dernier déplacement de son mari, elle s’est retrouvée piégée dans une soirée organisée par sa copine Valérie.



Isabelle m’apparaît comme un doux mélange de pudeur, d’ingénuité et de sensualité coquine et excitante. C’est justement à cause de ce contraste qu’elle me plaît autant. Elle refuse de se lever nue, ose à peine prononcer le mot « sexe », rougit comme une adolescente quand on parle de son « cul » et pourtant elle est vraiment formidable une fois la lumière éteinte et s’abandonne complètement, faisant preuve d’un savoir-faire qu’on ne rencontre pas tous les jours.


Après m’avoir raconté son infidélité conjugale, elle s’allonge sur le dos sans prendre la peine de se couvrir. Je ne peux résister une fois encore à l’attrait de son ventre. Je lèche son nombril, puis redescends vers son sexe. Dans le même temps, je remonte mes jambes vers les oreillers et porte mon sexe à hauteur de son visage. Elle semble hésiter, puis le prend dans sa bouche. Je l’enfourche alors complètement et enfouis mon visage dans son intimité de nouveau complètement trempée. Je lui écarte les cuisses pour mieux accéder à l’entrée de son vagin. Pendant ce temps-là, elle entoure mon gland de sa langue dans un mouvement délicieux. Je commence un va-et-vient dans sa bouche tout en la suçant goulûment.


Ce 69 dure de longues minutes. J’accélère le mouvement de ma langue lorsque je sens mon propre plaisir monter, et elle comprend que j’ai envie que nous jouissions ensemble. Sans se dire un mot, nous parvenons à nous synchroniser parfaitement et nous explosons de plaisir en même temps. Isa est de nouveau secouée de spasmes incroyables et elle emprisonne ma tête entre ses cuisses qu’elle serre avec vigueur. J’éjacule avec force dans sa bouche et je ne me retire pas.

Je vois bien qu’elle cherche à se dégager, mais je maintiens la pression de mon corps et elle cesse de résister. Je l’entends déglutir : elle vient d’avaler ma semence.

Après quelques dizaines de secondes, je me relève et je la regarde droit dans les yeux.



Je m’endors, satisfait et comblé. Je sais qu’elle n’osera pas parler de ma visite à son mari ; mais de toute façon, cela n’a pas d’importance. Je ne le connais pas et il ne me connaît pas non plus. C’est simplement un internaute avec lequel j’ai discuté pendant plusieurs jours sur un forum et qui avait eu l’imprudence de me donner son numéro de téléphone, puis de me dire qu’il partait pour une semaine. Il ne m’en avait pas fallu plus pour trouver son adresse et venir rejoindre sa femme. Je ne regrettais pas mon choix !