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n° 15790Fiche technique9623 caractères9623
Temps de lecture estimé : 7 mn
10/09/13
Résumé:  Par cette lettre, je t'avoue un de mes fantasmes cachés : le triolisme avec un autre homme qui te donnera plus de plaisir que moi, sans pour autant interférer avec l'amour fusionnel que nous nous portons l'un pour l'autre.
Critères:  fhh extracon cocus grosseins amour hsoumis humilié cérébral voir lingerie facial fellation cunnilingu pénétratio lettre
Auteur : A Deviant Mind  (Correspondance fictive de couple au sujet de mes fantasmes)      Envoi mini-message
De l'amour à trois, la tromperie et l'humiliation

Mon amour, ma chérie, mon unique,


Cette lettre, tu ne la liras sûrement jamais, car je sais que tu n’es pas une habituée de ce genre de site, encore moins des pratiques sexuelles constituant les catégories dans lesquelles celle-ci se niche. Et même si un hasard te conduisait jusqu’à elle, il n’y aurait que peu de chance que tu devines qu’elle s’adresse à toi, bien que tous les détails soient véridiques.


Nous n’avons jamais communiqué par lettre, et j’ai pris soin d’employer des termes très différents de ceux auxquels tu es habituée venant de moi. Je vais donc profiter du couvert de cet anonymat pour t’avouer un de mes fantasmes dont je n’ai jamais osé te parler, car je sais tu ne le comprendrais pas. Oh, ne va pas t’imaginer que ce fantasme est signe d’un amour superficiel de ma part. Tu es ma moitié et je t’aime plus que la vie elle-même. Je pense même que c’est là la cause de ce fantasme. Toujours est-il que tu connais mon caractère légèrement soumis et mon attirance pour la soumission. Nous ne l’avons jamais pratiquée car je sais que cela n’entre pas dans tes centres d’intérêt sexuels, ce que je comprends. Aussi ne suis-je donc pas insistant à ce sujet, et je me satisfais pleinement de notre sexualité « vanille » mais passionnée. Mais je t’ai déjà confié cette envie. En fait, si ça se trouve, tu as même oublié !


Lors des rares nuits que nous ne passons pas ensemble, mes penchants inavouables se rappellent à moi et j’échafaude dans ma tête les scénarios de leur réalisation purement utopique. Je vais te conter maintenant l’un d’entre eux, le plus présent. Bien sûr, même celui-ci, je n’ose pas te l’avouer directement, sachant pertinemment qu’il conduirait à une fin certaine de notre histoire, chose que je ne peux supporter. Alors je t’en parle indirectement, en restant neutre :



Comme attendu, tu es réticente, évoque ton dégoût, et la discussion s’arrête net. Mais la graine est plantée dans ton esprit. Si j’osais cette approche dans la réalité, il n’y aurait évidemment aucune suite, et si – avec un peu de courage de ma part – cette partie aurait pu être vraie, la suite est totalement fictive. Car on en n’aurait plus jamais parlé ; mais dans ces heures de solitudes nocturnes, il s’écoule quelques mois avant que tu ne reviennes sur la discussion.


Un ancien ami retrouvé, via Facebook ou autre – peu importe – ne t’a pas laissée insensible et t’a draguée ouvertement. Toi, fidèle et amoureuse, mais sans aucune autre expérience sexuelle que moi, tu ramènes notre vieille discussion sur le tapis et finis par m’avouer pourquoi. Ainsi, tu ne veux pas me tromper, mais tu aimerais bien voir ce qu’il y a « ailleurs ». Et tu me demandes si un plan à trois me tente.


Voilà, j’ai gagné. Tu as fait le premier pas pour réaliser un de mes fantasmes, sans savoir que tu n’en es pas l’instigatrice, mais que c’est moi qui en ai eu l’initiative ! Bien sûr, je ne peux pas perdre la face, m’avouer vaincu si facilement. Je feins la révolte, l’incompréhension, la tristesse ; mais en moi je jubile. Je t’écoute te justifier, me rassurer et me dire que tu aimerais bien, mais que ce n’est pas une obligation et que même si je refuse, jamais tu ne me tromperais. Je conclus ; il faut que j’y réfléchisse. La décision est toute prise, et je te l’annonce quelques jours plus tard, faussement contrit, comme si c’était un grand sacrifice de ma part, mais que je fais avec plaisir par amour pour toi. Tu me sautes au cou, folle de joie, et me remercies. Lui aussi accepte (tu lui avais proposé… avant ?!) et le rendez-vous est pris chez nous quelques jours plus tard.



—ooOoo—



Le jour J arrive, tu t’es faite très belle : le petit ensemble de lingerie que je t’ai offert, des bas nylon blancs qui mettent en valeur tes magnifiques jambes, tenus par un porte-jarretelles de la même couleur assorti au string et soutien-gorge à balconnets en dentelle qui soutient ta prodigieuse poitrine ; le tout sous une robe fourreau noir, et tu t’es savamment maquillée. Moi, je suis habillé normalement : jean, chemise. Huit heures, on sonne à la porte, et je le vois pour la première fois : il est grand, plus que nous deux malgré mon bon mètre 82, musclé et habillé style jeune des cités. Il te reluque sans vergogne, ce qui semble te plaire. De toute façon, tu as l’air hypnotisée par lui et je commence à sentir poindre une délicieuse jalousie.


Nous passons au salon pour entamer l’apéritif, et il ne faut pas plus d’un verre du champagne qu’il a apporté pour qu’il commence à t’embrasser sauvagement, une main plaquée sur tes seins. Après un long baiser qui t’as mise dans tous tes états – je peux le sentir – tu te tournes vers moi pour me dévorer la bouche à mon tour. Tu es totalement déchaînée, loin de ce à quoi tu m’as habitué. Il en a profité pour faire sortir ton beau 85D et prendre tes mamelons durcis dans sa bouche. Il les mordille, les tire, les lèche… Tu gémis, puis râle lorsque sa main glisse sous ta robe et s’aventure dans ton string. Il le retire, écarte tes jambes et se met à genoux pour lécher ton sexe détrempé. Tu cries et me demande de me lever. Tu déboutonnes mon pantalon, prends ma queue dans ta bouche et la suces avec avidité.


Je suis aux anges ; le spectacle que tu m’offres en train de me sucer en te pétrissant les seins pendant qu’un autre mec te fait jouir avec sa bouche provoque en moi un cocktail détonnant de sentiments contradictoires : joie, plaisir, jalousie, appréhension… Je suis perdu, mais dans un labyrinthe de plaisir. Tu finis par sortir ma verge de ta bouche pour délivrer des cris de plaisir, ta main immobile enserrant mon sexe durci, alors que tu as ton premier orgasme de la soirée. Et tu demandes à changer les rôles.


Je m’agenouille entre tes cuisses pendant que tu sors son sexe ; et là, mon appréhension et mon excitation augmentent d’un cran. Tu n’as jamais fait de commentaires sur la taille de mon sexe, que je considère comme normal : un peu plus de 13 cm et à peu près trois doigts de diamètre. Mais le sien est énorme. Pas loin de 20 cm, et si gros que ta main n’en fait pas le tour. Des grosses couilles se balancent et claquent contre ton menton à mesure qu’il pilonne ton visage, ce que tu sembles adorer. Rien à voir avec les miennes, petites et désespérément peu pendantes. Mon caractère soumis se met en marche ; je me sens sous-membré, un sous-homme. J’ai peur de ta réaction par la suite, que tu me quittes pour ce mec (ou un autre) mieux monté. Mais d’un autre côté, cette torture psychologique est délicieuse. Il te satisfera mieux que moi, et me voilà bien soumis. D’ailleurs, ma pire peur/meilleure espérance ne tarde pas à se réaliser. Il insiste pour te prendre en premier, avant même que j’aie pu te faire jouir. Il te prend à quatre pattes sur le canapé ; tu hurles comme jamais en me suçant. Tu as un orgasme dévastateur qui te laisse pantelante.


Tu me réclames ; je commence mon travail. Tes gémissements deviennent rapidement tristes et désespérés. Tu me demandes d’arrêter : tu ne sens RIEN ! Tu le réclames à nouveau ; il te refait jouir. Je viens d’éjaculer sur ton visage : tu en as autour de la bouche, et des éclaboussures jusqu’au front. Il demande à faire pareil. Il te couvre le visage d’un épais liquide blanc, m’humiliant une dernière fois, moi, le sous-homme de la soirée. Tu auras joui trois puissantes fois ; jamais par moi.


Il finit par quitter notre appartement. Tu me remercies, m’embrasses fougueusement. J’ai vécu une des meilleures soirées de ma vie ; mais là, le plaisir retombe et l’inquiétude prend le dessus. Je te supplie presque de ne pas me quitter alors qu’il t’a donné plus de plaisir que moi. Tu éclates de rire avant de prononcer la plus belle phrase que j’aie pu entendre :



Toutes mes peurs balayées, il n’y a plus que du bon à retenir. Nous avons eu quand même peur quelques jours, puisque tu ne sentais plus rien ; mais ton vagin à fini par se détendre, et tout est rentré dans l’ordre.


Voici, mon amour, mon plus grand fantasme, qui ne se réalisera jamais. D’abord parce que j’ai peur de ta réaction, que tu me quittes dès son évocation, ensuite parce que j’ai peur qu’il se termine autrement. Pourtant, quand j’y pense, il me comble autant psychologiquement que physiquement : je t’ai vue déchaînée et comblée, je t’ai fait plaisir, j’ai pris du plaisir, mon moi soumis est heureux, humilié comme il l’a été, et surtout, surtout, tu m’as choisi par-dessus tout. Preuve ultime, s’il en fallait, que notre histoire est vraie et réelle, plus forte que tout le reste, notamment que la plupart des autres amours qui auraient été détruits par cette aventure.


Love


A Deviant Mind