n° 15793 | Fiche technique | 14402 caractères | 14402Temps de lecture estimé : 9 mn | 11/09/13 |
Résumé: Un week-end de travail qui devient un week-end de plaisirs érotiques ! | ||||
Critères: fh ff ffh | ||||
Auteur : Mongil |
J’ai trois passions : mon métier, les voyages et ma troisième passion, Nathalie, mon épouse, et à travers elle, les femmes… Je partage avec elle le goût de vivre le plaisir sous toutes ses formes. Elle a quelques années de moins que moi, blonde aux yeux bleus, pas très grande, mais avec un physique qui attire indubitablement le regard des hommes. Elle a une boutique, ce qui lui laisse du temps libre. Elle m’accompagne aussi souvent que possible dans mes voyages, ce qui nous permet de découvrir ensemble la vie et les mœurs d’ailleurs. Cela nous donne l’occasion aussi de rencontrer d’autres personnes, hommes ou femmes, avec qui partager leurs goûts du plaisir partagé, dans différents domaines : les arts, la littérature, et pourquoi pas l’érotisme et les plaisirs qu’il nous apporte.
Je prépare en ce moment dans le cadre de ma profession un voyage en Bolivie financé par un consortium de sociétés caritatives internationales. Je dois me rendre sur place la semaine prochaine pour rencontre les sponsors et confirmer la faisabilité du projet. Il y a encore pas mal de travail préliminaire avant mon départ, donc ma secrétaire ne chôme pas. Cela fait quelques mois qu’elle travaille pour moi ; j’apprécie son travail, mais aussi sa personne tant sur le plan du caractère que sur le plan de son physique. C’est une jolie brune avec une paire de jambes à vous damner ; elle les exhibe volontiers, étant adepte de la mini-jupe.
Je lui propose, en accord avec ma femme Nathalie, de l’inviter à passer le week-end dans notre maison en périphérie de Bruxelles, dans le Brabant-Wallon, pour terminer le dossier nécessaire pour mon départ en Bolivie mardi.
Je rejoins donc, le vendredi soir, en compagnie d’Andrée ma secrétaire, qui me suit avec sa Mini Cooper, notre résidence. Nathalie l’accueille chaleureusement. Elles se connaissent ; elle sait aussi que je la trouve très attrayante, mais elle-même la trouve attirante et ne s’en formalise donc pas.
Nathalie montre à Andrée sa chambre pour lui permettre de se rafraîchir avant le repas du soir.
Nous nous retrouvons pour l’apéro avant de passer à table. La conversation tourne autour de mon projet et de mon voyage en Amérique du Sud.
Après le repas, la soirée ne s’éternise pas : il y a du travail demain !
Le samedi matin, étant lève-tôt, je prends ma voiture pour chercher des petits pains, des croissants et préparer le petit déjeuner. Quand ces dames me rejoignent en déshabillé, attirées par les effluves du café et des croissants chauds, elles n’ont qu’à s’installer à table.
Je suis récompensé de mes efforts par la présence de deux jolies femmes à la table ; elles se sont particulièrement mises en valeur avec leur lingerie presque transparente et leur décolleté largement échancré. J’espère – ou je rêve – que c’est pour moi qu’elles se mettent ainsi en concurrence de toilette sexy !
Après le petit déjeuner, laissant les filles retourner à leur toilette, je prépare le travail de la journée.
Lorsque ma secrétaire me rejoint, il y a déjà du travail pour elle à dactylographier sur son ordinateur. À midi, pour le déjeuner, afin de ne pas trop couper nos occupations intellectuelles, Nathalie a préparé un buffet où chacun peut, lorsqu’il s’interrompt, aller puiser.
La journée se passe ainsi. Pour le soir, j’ai prévu un barbecue. Nous avons bien avancé dans notre travail et, abandonnant Andrée devant son clavier, je vais préparer le feu. La soirée est douce en ce mois de juin et nous pourrons dîner au jardin.
Pendant que je m’active devant le barbecue tout en préparant l’apéritif, les deux dames sont montées se changer pour le dîner.
Si ce matin c’étaient leurs déshabillés qui les mettaient en valeur, ce soir elles n’ont pas renoncé à se concurrencer dans les tenues sexy. Si la maîtresse de maison s’est vêtue d’une robe mini noire avec un décolleté étroit mais plongeant laissant apparaître le galbe de sa poitrine, ma secrétaire n’est pas moins attirante, avec un short safari au ras des fesses et un chemisier du même ton non boutonné mais noué sur son nombril.
Je ne suis pas malheureux du spectacle que m’offrent mes deux compagnes ; je propose un toast :
—ooOoo—
François (c’est moi) se pose décidément des questions. Que cache le petit jeu de Nathalie, auquel semble adhérer Andrée ? Il ne sait pas qu’elles ont fait leur toilette ensemble ; et tout en parlant de choses et d’autres, Nathalie a demandé à Andrée :
Elle lui fait un bisou, et elles choisissent d’un commun accord leurs toilettes les plus sexy.
—ooOoo—
En fin d’apéro, je m’active pour mettre en route les grillades tandis que les femmes finissent de dresser la table avec les accompagnements.
Le repas se passe dans la bonne humeur ; un petit vin de Loire se boit allègrement avec ce repas. Le plateau de fromages est à peine entamé, les convives sont repus ! Nathalie se lève de table et va mettre de la musique douce au salon dont le son arrive jusque sur la terrasse.
Lors de son retour, je suis tout de même surpris : nous n’avions rien envisagé d’autre de ce week-end avec Andrée que le boulot, et pourtant ce n’est pas moi qu’elle invite à danser, mais Andrée ! Médusé sur mon siège, je les vois dans les bras l’une de l’autre, semblant apprécier chacune la situation. Les corps, tout d’abord distants, se sont rapprochés et se touchent dans une friction langoureuse. Lorsqu’elles reviennent à la table, avant de se séparer, elles tendent leurs lèvres l’une vers l’autre pour un bisou discret.
Devant tant de compréhension, je me lève et prends ma secrétaire dans mes bras pour danser le slow suivant. Je me colle à elle mais reste muet, ne sachant que dire. Par contre, mon corps s’exprime, lui ! Et ma partenaire, en étant consciente, n’hésite pas par des mouvements de ses hanches à en exacerber la tension. Alors que nous passons à proximité de la table, Andrée tend une main vers Nathalie et je change de cavalière.
C’est maintenant Nathalie qui, passant à côté d’elle, tend une main à Andrée :
Nous voilà à trois, enlacés. Nathalie me tend ses lèvres et attire vers nous la bouche d’Andrée pour un baiser à trois. Tout en embrassant Andrée, elle défait le nœud de son chemisier pour découvrir sa poitrine et lui caresser un sein ; je ne peux que me joindre à elle pour caresser l’autre et tâter ce corps que je désire. Comme par transmission de pensée, en même temps qu’Andrée, je déboutonne la robe de mon épouse qui glisse à ses pieds, la laissant en petite culotte. C’est à elle maintenant de profiter de mes caresses et de celles d’Andrée.
Lorsque la musique s’arrête, il y a déjà quelques minutes que nous faisons du sur-place. Les femmes m’ont ôté mon tee-shirt, débouclé mon ceinturon et de leurs mains fouillent mon slip. Tous nos vêtements sont bientôt au sol. Deux jeunes femmes, l’une blonde et l’autre brune, nues et belles, avec des corps sublimes, sont maintenant à genoux devant mon érection et elles savent bien s’y prendre. C’est un bonheur absolu lorsqu’elles me sucent plusieurs longues minutes ensemble ou alternent les coups de langue, les aspirations, les baisers autour de mon gland et de ma hampe. Brusquement, elles gagnent la partie ; et dans un feulement de bonheur, je gicle sur leur visage. L’une après l’autre, elles récupèrent mon foutre en léchant le visage de l’autre pour finir par joindre leurs bouches pour mêler leur langue dans un baiser torride.
Nathalie, ayant visiblement pris la direction des opérations, nous emmène dans la maison vers notre chambre.
Je lui connaissais une attirance occasionnelle pour les femmes, mais je sens qu’avec Andrée il y a plus : leur connivence est venue naturellement, comme entre deux sœurs. Je dois bien admettre, les voyant enlacées sur le lit, qu’elles forment un beau couple ; ce qui ne fait qu’exacerber mon désir pour ces deux superbes créatures.
Les rejoignant, je mêle mes caresses à celles qu’elles se font. Je vais goûter le parfum de leur intimité, entretenant l’une à la main tandis que je lèche l’autre. Elles aussi dégustent leurs saveurs réciproques sous mes yeux ; je me joins à Nathalie pour régaler Andrée. Changeant par souci d’équité, je me joins à Andrée pour régaler Nathalie. J’ai l’impression que mon sexe va éclater tellement mon excitation est violente.
Après un moment, mon épouse prend mon sexe entre ses lèvres alors que je butine ma secrétaire ; je peux la voir, elle, la tête entre les jambes de Nathalie, lui rendre le même plaisir.
Après un moment de bouche à sexe dans ce triangle érotique, Nathalie me fait basculer pour s’empaler sur moi. Dans le même mouvement, Andrée me surplombe, offrant sa chatte à ma bouche gourmande.
Je suis chevauché par deux amazones. Je ne les vois pas mais, à leurs murmures, leurs soupirs et leurs gémissements, je sais qu’elles se caressent et qu’elles s’embrassent à pleine bouche, heureuses.
Elles ne me laissent que peu de répit : elles permutent leurs places, et c’est Nathalie que je fouille de la langue tandis qu’Andrée monte et descend le long de ma hampe ! Elles continuent quelques minutes à se trémousser lentement au-dessus de moi, lascives et voluptueuses. Et parfois, celle qui chevauche mon sexe se relève quelque peu, et l’autre se penche pour venir le sucer pour y goûter la cyprine de celle qui me chevauche. Juste quelques secondes pour exacerber mon désir, et puis elles s’enlacent et reprennent leurs mouvements sur mon phallus ou sur mes lèvres.
Quand je suis sur le point d’atteindre la jouissance, je renverse la situation, allongeant mes deux partenaires sur le dos, et plongeant tour à tour ma langue dans les deux chattes. Si mon sexe gonflé à bloc ne demande qu’à se libérer en explosant, cet intermède me permet de faire diminuer quelque peu la pression qu’il subit. Les filles savourent les explorations de ma langue fouineuse tout en se caressant avec sensualité les seins et le visage.
Je m’agenouille ensuite juste au-dessus de mes partenaires afin qu’elles puissent à nouveau se délecter des ultimes traces de leur jus sur mon sexe. Quelques secondes seulement : j’ai trop envie d’elles, et elles trop envie de moi. Nathalie se couche alors tête-bêche au-dessus d’Andrée, présentant son arrière-train à mon sexe gonflé que suce toujours ma secrétaire.
Je sors mon sexe de la bouche de la brune pour l’introduire dans la chatte de la blonde. Et celle-ci, de l’autre côté, plonge la tête dans l’entrejambe de notre partenaire, immisçant sa langue tout au fond de son vagin. Nous gémissons en même temps. De plus en plus fort, j’accentue rapidement mon rythme, au plus vite et plus fort que je peux. Et suivant ce rythme, les deux autres corps vibrent dans un concert de hurlements croissants. Nathalie crie son orgasme. L’abandonnant, je change de côté pour pénétrer Andrée.
Ce n’est pas long. Quelques dernières secondes. Je crois m’évanouir, tant c’est bon. Une sensation de plaisir absolu envahit mon corps ; avant de fermer les yeux, je regarde une dernière fois le spectacle que m’offrent mes deux partenaires. Et les filles, ayant déjà trouvé le plaisir plusieurs fois, j’offre mon éjaculation à la chatte d’Andrée.
Les figures en trio se sont succédées une bonne partie de la nuit ; j’ai honoré mes compagnes alternativement. Parfois spectateur, j’ai assisté à leurs échanges lesbiens en me masturbant.
—ooOoo—
Lorsque l’un après l’autre nous nous réveillons, le soleil est déjà haut dans le ciel. Pour remercier mes partenaires de la nuit de folie qu’elles m’ont offerte, je me lève pour préparer le petit déjeuner qui se transforme en « brunch », vu l’heure tardive.
L’après-midi, je termine avec Andrée le dossier dont j’ai besoin avant mon départ. Après le dîner, Andrée doit nous quitter, à regret ; mais d’un commun accord, nous la reverrons dès mon retour. Lorsqu’elle monte dans sa voiture, Nathalie l’embrasse et lui dit avec un sourire :