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n° 15794Fiche technique20268 caractères20268
Temps de lecture estimé : 13 mn
11/09/13
Résumé:  Ah, ma belle petite p*** de femme est encore en train de faire des grosses cochonneries avec sa webcam dans notre chambre !
Critères:  exhib fmast jouet -couple -internet
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
WebCam




Ah, ma belle petite pute de femme est encore en train de faire des grosses cochonneries avec sa webcam dans notre chambre ! Comment ça, je suis méchant avec ma femme en la traitant de « pute » ? Absolument pas : c’est la stricte vérité. Car comment appelez-vous une femme qui s’exhibe de long en large à des inconnus ou presque, et qui, aidée de divers sextoys, jouit devant tout ce petit monde, tout en les faisant éjaculer, jouant les salopes perverses, du geste et de la voix ?


Si vous me trouvez un autre terme pour la qualifier, prévenez-moi car mon dictionnaire des synonymes est réduit. OK, je reconnais qu’elle ne se fait pas payer en monnaie sonnante et trébuchante. Ni virtuelle, si ce n’est sa propre satisfaction d’exciter les hommes…


Bon, ceci dit, je préfère qu’elle fasse ses cochonneries face à sa webcam plutôt que de les faire en réel en couchant à droite et à gauche dans mon dos. Et puis, honnêtement, moi, j’en profite, car quand elle est bien échauffée avec tous ces mâles avec leur zigounette en l’air, telle une petite chatte en chaleur, devinez qui se fait un plaisir de lui démontrer que le virtuel, c’est bien, mais que le concret, c’est mieux ?


Oui, elle, la pute, et moi, son mac qui se rétribue en nature…


Elle fait ça sans demander de sous ni de cadeaux, elle fait ça pour le plaisir, pour avoir des « copains » comme elle dit, des copains quand même un peu spéciaux, dont la conversation est assez limitée, surtout en dessous du nombril. Mais comme elle adore faire éjaculer les hommes afin de se rassurer sur son pouvoir de séduction, et qu’elle y met le paquet, par ses habits (quand elle en a), par ses propos indécents, sa voix feutrée et ses gestes largement explicites, les « copains » reviennent ventre à terre (pour ne pas dire « bite à l’air ») dès qu’elle diffuse.


Le petit souci est que, progressivement, il y a escalade. Avant, elle se contentait d’exhiber son décolleté, ça suffisait. Maintenant, après quelques mois de pratique assidue, elle en est à s’enfoncer des sextoys par ses trois entrées et de jouir bruyamment devant la cam. Et elle ne triche pas : quand elle jouit, elle jouit vraiment, car ça l’excite à fond. Et en parlant de fond, ses godes ne se privent pas d’y aller ! Résultat, les diamètres augmentent petit à petit, et moi, je m’inquiète un peu, car quand elle en sera arrivée aux trop gros calibres, j’aurai l’air de quoi avec mon valeureux et viril instrument cent pour cent naturel mais plus modeste ? Du coup, je suis devenu son conseiller technique en lui indiquant qu’il existe bien d’autres façons de s’envoyer en l’air que de s’introduire des tas de trucs plus ou moins ronds et plus ou moins gros…


Pourquoi je ne mets pas le holà ? Comme déjà dit, je suis gagnant dans l’histoire : elle ne va pas voir ailleurs dans mon dos, et ce que femme veut, Dieu le veut. Il est vrai qu’il y a bien eu des passages à l’acte ; soyons plus précis : des tentatives de passage à l’acte avec ses fameux copains virtuels, mais on ne peut pas dire que ce fut une franche réussite. Eh oui, il y a une grosse nuance entre faire le malin derrière une caméra et assumer ses performances tant vantées avec l’objet de son désir pixellisé. Souvent, les dieux auto-proclamés de la baise baissent singulièrement de régime lorsque le concret est survenu…


Et c’est ainsi qu’on constate que les hautes tours d’airain fièrement dressées vers le ciel sont en réalité comme beurre sous le soleil du Sahara… Et que les heures promises de plaisirs échouent en quelques secondes…


Je n’ai jamais prétendu avoir entre les jambes un gratte-ciel fendant les nuages, ni de concourir aux vingt-quatre heures du Pieu, mais ma douce moitié a toujours pu compter sur ma vigueur et mon assiduité à vouloir l’envoyer vers le septième ciel et, si possible, plusieurs fois lors de nos torrides ébats.


Parce que ma chère femme a le don de m’exciter pour un oui ou pour un non.


Revenons à nos moutons. J’avais dit au début : « Ah, ma belle petite pute de femme est encore en train de faire des cochonneries avec sa webcam dans notre chambre ! »


Posté dans la pénombre du couloir, la porte de notre chambre grande ouverte, je la vois qui aguiche son interlocuteur.



Ostensiblement, elle lèche langoureusement le bout du gros gode actuellement calé entre ses seins. Quelque chose me dit qu’il ne restera pas trop longtemps niché là.


Je reste un peu pour voir ce qu’elle va faire à présent. Elle a une de ces voix… ça me donne des frissons dans le dos ! Une voix sensuelle, espiègle et terriblement coquine ! Et elle ne se force pas. Je sais que quand j’entends cette voix-là, la nuit va être chaude, torride, et que j’ai intérêt à assurer un max !



Je préfère retourner dans le salon, sinon je sens que je vais lui sauter illico dessus sans ménagement. Avant m’en aller, un dernier coup d’œil : elle lèche avec une incandescente sensualité le gode en plastique, un truc à vous faire fondre le plus abstinent des anachorètes perché sur sa colonne depuis moult années !


Arrivé dans le salon, je change d’idée pour aller jeter un coup d’œil dans le frigo, voir s’il n’y aurait pas une boisson bien fraîche ! Celle-ci en main, je pars flâner dans le jardin, profitant de la douceur du soir qui arrive. Le temps passe… mais je n’arrive pas à ôter l’image de ma femme en train de faire des privautés salaces à son sextoy. Alors, après une dernière gorgée, je retourne voir où elle en est…


Un peu en retrait dans le couloir, je la vois face à la webcam, à quatre pattes, offrant son postérieur à un inconnu. Elle se pistonne furieusement la chatte avec le gode de tout à l’heure tandis que son autre main câline son petit bouton rose. Malgré sa tête nichée dans l’oreiller, je l’entends haleter ; je sais au son de sa voix qu’elle prend plaisir à s’exhiber ainsi.


Elle active de plus en plus le mouvement ; le gode s’enfonce puis se retire sans relâche, explorant les profondeurs de sa fente élargie, émergeant pour replonger de plus belle, absorbé par les cuisses accueillantes d’une femelle en chaleur. Ses doigts s’activent autour de son clitoris ; elle se cabre, tressaille, gémit, vibre, cul en buse vers cette webcam qui viole son intimité.


Puis elle explose ; mille cris aigus remplissent la chambre, son corps tendu comme si le temps était figé. Une éternité… Puis d’un coup, elle se relâche complètement, s’affalant dans le lit, brisée mais repue !


Quelques secondes après, ayant récupéré, elle admire sur l’écran le résultat de son exhibition : son partenaire visuel lui montrant un kleenex souillé de sperme…


Elle se recale face à la cam, les oreillers dans son dos. Elle augmente le son des enceintes extérieures, un de nos récents achats. Puis de sa voix maintenant un peu rauque mais toujours très sensuelle, elle demande :



Je préfère partir, ça vaudra mieux. Je sais qu’elle aura fini dans moins de cinq minutes : ma femme ne s’est jamais trop épanchée après avoir fait l’amour. Ce qui l’intéresse surtout, c’est d’avoir confirmation qu’on bande pour elle et qu’on éjacule pour elle. Amis du romantisme, passez votre chemin… Je me demande même si le rêve secret de ma femme ne serait pas d’être dans un amphi, un théâtre ou un stade avec autour d’elle plein d’hommes en train de jouir devant sa prestation érotique et lubrique et la couvrir ensuite de sperme…


C’est vrai qu’elle aime ce genre de crème de beauté… Elle adore quand je me laisse ainsi aller sur ses seins ou ses fesses. Et parfois, sur son visage… C’est quelque chose de très émouvant et vicieux que de voir son sperme dégouliner du visage radieux de sa femme…


Sans parler quand ensuite, du bout d’un doigt, elle le goûte !


Je secoue la tête ; je suis en train de m’exciter tout seul ! Décidément, cette femme est redoutable ! Même absente, elle me donne la trique ! Je commence à comprendre les motifs de certains crimes passionnels. Pour ma part, je ne vois pas pourquoi j’irais occire une telle femme qui m’offre tant de plaisir, mais je comprends aussi les maris ou les amants dépassés par la situation. Je pars à nouveau vers le frigo. Me choisir une autre boisson ? Là, il me faut quelque chose d’amer, genre Gini, « La plus chaude des boissons froides », si j’ai bon souvenir des clips vidéo tournés par un certain Serge, ancien poinçonneur des Lilas. Je passe dans le salon tout en regardant le vert de la canette, comme absorbé par d’anciennes pensées diffuses, puis je décapsule la boîte avant d’en prendre lentement une gorgée.



Je me retourne : ma femme était juste derrière moi, nue. Elle est vraiment trop désirable, dans ses formes alanguies par la jouissance qu’elle vient d’avoir il y a quelques minutes. Je lui tends la boisson. Elle porte la canette à ses lèvres ; son geste est innocemment érotique. Je vois comme couler en elle le liquide dans sa gorge…



Je ne dis rien. J’ôte la canette de ses mains ; elle est presque vide. Je la finis pour la poser ensuite la table basse du salon tandis qu’elle me regarde, non pas dans les yeux, mais nettement plus bas. Inutile de lui cacher mon état : la bosse de mon pantalon parle pour moi.


Je la pousse vers le canapé ; elle se doute bien de ce qu’il va se passer. Sans que je ne le lui dise, elle s’agenouille sur celui-ci, dos presque à l’horizontale, ses avant-bras allongés sur le dossier, fesses bien présentées.



Moi aussi, je m’agenouille, mais sur le sol, et j’en profite pour lécher sa chatte déjà – ou toujours – bien humide, je ne saurais le dire. Du bout des doigts, je lui taquine le clitoris tout en farfouillant entre ses lèvres de ma langue qui se charge petit à petit de cyprine. Elle frémit ; elle adore qu’on s’occupe d’elle ainsi. Je continue mon petit manège quelque moment, puis ma langue remonte dans le sillon de ses fesses offertes pour aller humecter sa petite rondelle frémissante, la lubrifiant de sa propre cyprine et de ma salive.



Pour répondre à sa demande, j’accentue un peu plus mes agaceries sur son clitoris en feu, tandis que ma langue commence à se frayer lentement un passage vers les profondeurs de son anus. Ma femme tortille posément du popotin, comme pour mieux ressentir la double caresse de mes doigts et de ma langue. C’est bien beau, ma belle pute, de faire des cams ; mais rien ne vaut le réel donné par un partenaire bien concret, n’est-ce pas ?



Je ne me fais pas prier de continuer mon forage dans le petit puits sombre et excitant qui s’élargit peu à peu, lentement, délicatement, se préparant ainsi à accueillir plus consistant en lui… Couverts de mouille, dégoulinants, mes doigts s’activent très vicieusement entre ses lèvres intimes détrempées, glissant le long de la double bordure pour s’en venir encore et toujours agacer le petit bouton rose dans son nid douillet, petit bouton rose qui est devenu nettement plus turgescent, ultra-sensible, ce qui faisait vibrer de plaisir sa propriétaire totalement livrée à mes caresses insidieuses !


Une dernière caresse vicieuse, accompagnée d’un dernier coup de langue inquisiteur ; je me redresse et j’ordonne :



Elle s’exécute de suite. Mon pantalon envoyé sous la table, mon caleçon je ne sais où, je décalotte au mieux mon gland, le mouillant avec la cyprine qui englue mes doigts. Je masse un peu ma tige bien raide pour la lubrifier puis, posément, j’applique le bout arrondi de ma queue contre la cuvette de son anus entrouvert. Je la sens qui frémit, ses doigts s’activant plus encore. Je joue les agaceries en me frottant ci et là autour de sa rondelle. J’en profite pour mettre un genou sur le rebord du canapé afin d’avoir un bon appui. Je prends une grande respiration, je me cale au mieux, guidant ma tige dure comme une barre d’acier du bout de mes doigts puis, posément, je pousse ! Elle sursaute un peu, mais je rentre facilement, ce qui ne m’étonne pas trop, vu le gode qu’elle s’est enfilé tout à l’heure !



C’est un très grand plaisir que de pouvoir s’enfoncer ainsi dans le cul offert de cette belle pute qu’est ma femme, un immense plaisir ! Avec délectation, par petits coups, je vois entrer la totalité de ma pine, bien qu’elle ne soit pas spécialement petite ! Non, je ne rivalise pas avec ces acteurs surdimensionnés des films pornos, mais je ne suis pas dans la catégorie des riquiquis, loin s’en faut !



Arrivé au fond obscur de son petit trou tout chaud et accueillant, je décide d’y aller franco en la pistonnant sans trop d’égards ! « Je vais te lui en faire voir, moi, des godes et des amants virtuels ! » Prestement, je coulisse en elle, la secouant de mes coups de reins vengeurs, lui faisant bien sentir que c’est moi qui suis le manche, et elle l’enculée bien profonde, ma chose ! Elle se tend, gémit, supplie, réclame ; moi, je continue ma torture ! Ma bite en prend un bon coup, je le sais ; mon frein me tire à fond, je me demande même s’il ne va pas céder, se déchirer, mais je veux enculer cette petite garce jusqu’à lui mettre le cul en feu !



Je sais qu’elle aime ça, être bousculée de la sorte, traitée en vulgaire pute des bas-quartiers. Pas tous les jours ; mais aujourd’hui, c’est un jour avec : elle est bien chaude de toutes les saloperies qu’elle a faites devant cette foutue cam. Moi, je suis excité à mort, mélange de vengeur et amant fou d’elle…


Elle gémit, je grogne ; elle soupire d’aise, je souffle. Nous sommes deux bêtes en train de nous laisser aller à nos instincts les plus primaires, abandonnant tout vernis, la quête du plaisir et de la possession étant notre seul objectif ! Je la veux, je veux tout d’elle ; je sais qu’elle me veut aussi, totalement, exclusivement !


Elle aime le sexe ? Elle veut du sexe ? Elle va en avoir !


Le mouvement de piston que j’imprime contre ses fesses nous rapproche et de nous éloigne alternativement, et mon sexe s’enfonce régulièrement dans son fondement sans effort… Les yeux mi-clos, nez levé au plafond, elle accueille chaque nouvelle intrusion en sa sombre intimité d’un petit gloussement ravi, tandis que ses doigts agiles titillent de plus belle son petit bouton rose dans son antre totalement détrempé…


La femme qui est là, au bout de ma queue, se donne à fond, exigeant que j’aille l’explorer plus loin encore, la forcer sans relâche. Son seul désir est que je la mène à l’extase, une exaltation un peu masochiste, très machiste, une frénésie qui lui prendra les entrailles avant de rayonner dans tout son corps.


Je suis son tourmenteur, son bourreau, et j’y vais de bon cœur, tout en surveillant tant bien que mal si tout va bien : il serait stupide que je casse en deux mon beau jouet ! Rageur de sentir que je peux perdre le contrôle, je lui donne deux violents coups de reins, accompagnés à chaque fois d’un vigoureux « han ! » bien sonore. Elle hoquette ; son souffle s’accélère, de plus en plus rauque. La sueur dégouline de son corps, le creux de son dos luit, ses épaules brillent.


Elle se tortille de plus en plus fort autour du pal qui la laboure, tandis que ses cris augmentent en intensité. Un grand hoquet, un ultime soubresaut à m’en arracher la bite qui est fichée en elle : tout son corps se cabre sous l’orgasme. Elle crie, elle s’agite, elle vibre, elle jouit longuement, impudiquement, sans fin…


Moi, durant ce même temps, j’ai eu beau essayer de tenir encore un peu plus, environné des cris de jouissance ; je n’ai pas réussi et je me vide en elle, tel un barrage qui cède, ma semence se répandant dans le fondement de cette belle pute qu’est ma femme.


Elle reste allongée sur le ventre durant de longues minutes sur le canapé, mi-endormie, tandis que je récupère petit à petit, assis au sol. Ayant recouvré un peu de force, je me lève tant bien que mal. Alors que je la surplombe de toute ma hauteur, je vois distinctement mon sperme blanc qui baigne son anus encore entrouvert ; une longue trace disparaît entre ses cuisses, le long de ses lèvres intimes luisantes. Je reste ainsi quelques instants, fasciné par ce spectacle.


Puis je me dirige vers le frigo ; je remplis deux grands verres de jus d’orange. J’en pose un sur le sol, à côté de ma femme, tandis que je m’assieds sur un pouf, un peu plus loin. Verre en main, je la regarde, elle, ma femme, cette adorable chaudasse qui a l’art de me faire perdre mon vernis de civilisation. Puis je regarde vers la cuisine, le regard vague, portant le verre à mes lèvres. Alors que je suis en train de boire, j’entends :



Je tourne la tête : toujours allongée sur le canapé, ma femme a pris le verre et s’apprête à le boire. Elle ajoute, juste avant de porter le verre à ses lèvres rosées :



Plutôt que de répondre une banalité, je préfère lui envoyer un sourire complice…