Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15806Fiche technique18271 caractères18271
Temps de lecture estimé : 11 mn
18/09/13
Résumé:  Jeff réserve une surprise à sa femme pour ses quarante ans.
Critères:  fhh asie cadeau sandwich init
Auteur : Pat-Thai            Envoi mini-message

Série : Aventures à Pattaya

Chapitre 01
Aventures à Pattaya - 1

Le soleil se couchait sur la baie de Pattaya et le ciel s’embrasait au-dessus de l’île de Koh Larn. J’étais heureux d’habiter ce lieu béni de dieux. Ici, il n’y avait ni tsunami, ni cyclone mais uniquement du sexe et du soleil. Je m’appelle Jean-François, mais tout le monde me surnomme Jeff. Malgré mes cinquante-cinq ans, je suis en excellente condition physique et mes yeux gris noisette font encore tourner quelques têtes. Je suis marié avec Mo-Laï, une superbe Sino-Thaï de quinze ans ma cadette. Aujourd’hui, c’est justement son anniversaire et, pour ses quarante ans, je lui ai promis une grande surprise.


Ma petite femme a une plastique parfaite. À travers son haut en soie rouge, je peux apercevoir ses seins galbés et je devine qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. 36 C, c’est la taille de sa poitrine surmontée par deux larges aréoles brunes et des tétons érectiles à la moindre excitation. Elle possède un ventre plat musclé par de nombreuses séances d’abdominaux. Côté pile, ses fesses nerveuses cachent une merveilleuse rondelle marron clair que j’ai plaisir à dilater avec mon index…


J’adore la façon dont elle se cambre quand elle chausse ses talons aiguilles pour se donner de la hauteur. Ses cuisses partiellement découvertes sous une mini-jupe en cuir noir sont athlétiques et comme sculptées dans un bloc de marbre.


Elle a surpris mon regard admiratif et ses yeux de biche sous ses longs cils se sont faits interrogateurs. Ses cheveux noirs coupés courts à la chinoise lui donnent l’aspect d’une jeune fille tout juste sortie de l’adolescence. Je l’aime comme un fou et je lui souris pour qu’elle patiente encore quelques instants.

Le discret carillon de la sonnette d’entrée me donne raison : la surprise que je destine à Mo-Laï est bien à l’heure. Je m’empresse d’aller ouvrir et un homme d’une trentaine d’années me gratifie d’une tonique poignée de mains. Ma femme a reconnu tout de suite le locataire du studio que nous louons aux touristes de passage.








« Tiens, mais c’est Patrick ! » Je commence à comprendre pourquoi, depuis quelques semaines, mon mari n’arrête pas de me conseiller de profiter de la vie. Je croyais que son andropause le travaillait et qu’il voulait avoir une ou deux aventures avec des bar ladies pour se rassurer sur sa virilité, mais j’étais loin de me douter que c’était à moi qu’il pensait. C’est vrai que d’avoir quarante ans marque un tournant dans la vie d’une femme. Personne ne me donne mon âge, et pourtant je sens que quelque chose est en train de changer au plus profond de moi-même, et la disparition prématurée de mon frère aîné quelques mois auparavant m’a confirmé que je n’étais pas éternelle. Il n’y a plus de doute dans mon esprit : si mon merveilleux mari me donne l’occasion d’assouvir mes fantasmes, je le ferai sans hésitation. Je me souviens lui avoir confié que Patrick n’était pas mal et que je ne comprenais pas ce que venait faire à Pattaya un homme aussi séduisant alors qu’il pouvait tomber toutes les filles qu’il voulait à Paris ! Une onde d’excitation est descendue le long de ma colonne vertébrale et j’ai senti mes tétons durcir par la même occasion. Pourvu que je ne me trompe pas et que ce soit vraiment cela, mon cadeau d’anniversaire !








J’ai vu tout de suite les tétons de Mo-Laï pointer sous la soie et j’ai été rassuré sur le choix de ma surprise. Elle devait maintenant se demander si elle avait bien deviné mes intentions et si j’avais réussi à convaincre un gaillard de la trempe de Patrick à participer à un trio avec nous ; je ne peux m’empêcher de penser que je vais entretenir le suspense encore quelques instants alors que je suis sûr de mon coup. Notre beau locataire m’avait confié quelques jours plus tôt que j’avais beaucoup de chance d’avoir une femme aussi belle que Mo-Laï, et j’en avais profité pour lui dire que nous étions un couple très libre d’esprit, libertin et libertaire, comme j’étais fier de nous qualifier. À l’éclat de ses yeux, j’avais compris qu’une proposition coquine n’était pas pour lui déplaire.


Nous nous sommes assis tous les trois sur le balcon devant un verre de whisky alors qu’à l’horizon les feux du soleil n’en finissaient pas de mourir. Sur la mer, les lanternes des pêcheurs s’allumaient les unes après les autres de concert avec les étoiles du ciel.



C’est vrai qu’on avait de la chance d’être ici alors qu’en France les gens se bousculaient pour s’engouffrer dans les bouches de métro afin d’échapper à la pluie glacée de ce mois de novembre pourri.

Patrick s’est empressé de poser un baiser sur la main de ma femme. Tandis qu’il se baissait pour accomplir ce geste chevaleresque, je me suis aperçu que la pointe de ses oreilles rougissait de plaisir. Je suis allé glisser dans le lecteur de CD Say you, say me de Lionel Richie. Mo-Laï, qui avait compris mon message, en a profité pour entraîner Patrick dans le salon transformé pour la circonstance en piste de danse.


J’éprouvais une impression bizarre de voir mon épouse se frotter sur un homme plus jeune et plus beau que moi. C’était une situation inédite et, bien que conscient de l’avoir provoquée, j’éprouvais néanmoins un peu de jalousie. Mes yeux ne pouvaient se détacher des mains de Patrick qui caressait langoureusement la nuque de Mo-Laï. Je me suis affalé dans un fauteuil et je me suis versé un autre whisky. Ma femme, la tête posée sur la poitrine musculeuse de son cavalier, me regardait en coin en se demandant si elle avait toujours mon approbation pour poursuivre ce jeu amoureux. Je savais que la décision que j’allais prendre était irréversible. Une légère érection de mon sexe m’a dicté mon choix. D’un mouvement de tête accompagné d’un petit sourire, je lui ai donné le dernier feu vert.








L’encouragement de Jeff a provoqué un flush de cyprine entre mes cuisses Je me suis collé un peu plus à mon cavalier en m’encastrant contre son membre dressé comme une colonne. J’ai senti sa main gauche qui s’infiltrait sous mon haut en soie et qui venait titiller mon téton. Ce dernier s’est durci comme du béton et j’ai laissé échapper un petit gémissement. J’ai fermé les yeux et j’ai entendu une petite voix qui murmurait dans mon oreille : « Tu ne peux pas savoir comment j’ai envie de toi ! » Un tel aveu venant d’un homme de dix ans plus jeune m’a embrasée. Sans hésiter, je l’ai attiré vers moi et je l’ai embrassé à pleine bouche.








Le couple qui se trémousse devant moi a oublié jusqu’à ma présence. Devrais-je ressentir du dépit ? En théorie, oui ; mais en pratique, je suis content de voir ma femme heureuse. J’ai totalement confiance en elle et je sais qu’elle ne m’abandonnera pas pour une aventure de passage. Sans complexe, je déboutonne ma braguette et je commence à me masturber béatement. Patrick est passé à la vitesse supérieure et ses doigts se sont glissés sous la mini-jupe pour s’infiltrer dans le vagin mouillé de Mo-Laï en provoquant un râle de sa part. Arc-boutée sur la main qui lui ramone son intimité, elle a soudain un premier orgasme, très violent. « L’enfoiré, il a su lui trouver son point G en quelques instants alors que j’avais toujours pensé que c’était un mythe ! » Devant moi, ma femme, repue, s’est laissé glisser sur les carreaux du sol et s’est agenouillé devant son amant.








Je ne comprends plus ce qui m’arrive. Cet inconnu a réussi à trouver mon point G alors que le pauvre Jeff a vainement essayé pendant des années. Je suis persuadée que la technique n’est pas la seule cause de ce succès. Je dois être une vraie salope, et le fait de voir mon mari me regarder dans mes ébats coquins a dû faire monter mon niveau d’excitation jusqu’au paroxysme. Au lieu de me désoler, cette constatation m’excite encore plus. Je me sens encore plus chienne et j’aspire avec plaisir le membre du beau Patrick. Il est plus gros et plus long que celui de Jeff d’un tiers ; j’ai hâte de le sentir défoncer mon petit con brûlant.








Notre invité a déshabillé Mo-Laï en un tour de main. Le haut en soie a décrit dans les airs une gracieuse arabesque avant de se poser en déséquilibre sur le dossier d’une chaise du salon, suivi de peu par la mini-jupe de cuir. Le string, roulé en boule, est venu atterrir à côté de moi dans une ultime provocation. Je n’ai pas pu m’empêcher de le porter devant mes narines et d’aspirer goulûment les sécrétions odorantes qui s’en dégageaient. Debout maintenant, entièrement nue, Mo-Laï s’est abandonnée lascivement dans les bras de son cavalier tout en en me faisant face. J’ai essayé de croiser son regard, mais elle n’était plus sur terre, les yeux voilés par le désir. Passant sous ses aisselles, Patrick est venu écarter les grandes lèvres de son sexe rasé en découvrant sans complexe une grotte rose, humide, impatiente d’accueillir son complément naturel.

Je n’en pouvais plus et une goutte translucide d’origine prostatique est venue sourdre de mon urètre. Je n’avais pas envie d’éjaculer si tôt dans la soirée ; alors j’ai serré vigoureusement la base de ma queue afin de bloquer la montée du sperme. Cela n’a pas empêché un flash extraordinairement voluptueux de venir traverser mon cerveau.


Sans effort apparent, Patrick a soulevé Mo-Laï comme un sac de plumes et l’a transportée dans notre chambre. Ils se sont vite retrouvés, nus tous les deux, sur notre king-size en position de 69. Dans le miroir qui couvre tout le pan de mur situé à la tête du lit, je pouvais voir la tête de ma femme sucer avec délice le sexe de son amant. Par petites touches, elle léchait le gland comme si elle était en face d’une friandise et qu’elle n’arrivait pas à se décider par quel bout l’attaquer. Puis, tout à coup, sa bouche a commencé à avaler le membre dressé avec des mouvements d’allers-retours de plus en plus profonds. Elle a fini par engloutir complètement l’énorme verge jusqu’à ce que ses lèvres viennent se plaquer sur le pubis de son propriétaire. Suite à cet effort, des larmes sont venues mouiller ses jolis yeux, mais j’ai constaté à l’éclat de ses prunelles que ce n’était pas la douleur qui la submergeait, mais plutôt le plaisir. Pendant ce temps, Patrick lui léchait avidement la vulve, sa langue dérapant dans un liquide vaginal surabondant. Je pouvais voir les frissons de jouissance parcourir l’échine des deux acteurs de ce show érotique et j’étais envieux…








Nous avons roulé tous les deux dans le lit et je me suis retrouvée à quatre pattes, les fesses cambrées, face à mon mari qui se branlait tandis que Patrick, qui venait d’enfiler un préservatif, me bourrait la chatte en levrette. J’ai regardé Jeff et j’ai compris qu’il était à la fois excité et frustré. J’ai tendu une main pour attraper sa queue que je me suis empressée de sucer. C’était la première fois de ma vie que je faisais l’amour avec deux hommes simultanément. J’ai senti alors un doigt qui titillait mon anus. Une petite pression a testé l’élasticité de mon sphincter. J’ai grogné de plaisir tout en écartant au maximum mes fesses. Mon partenaire a apprécié ma réaction et ses coups de boutoir ont redoublé d’intensité. Cet énorme sexe qui me défonçait me rendait folle. Il était en train de me décoller la cervelle, le bougre ! J’ai perdu alors le sens des réalités jusqu’à ce que l’insertion profonde d’un doigt dans mon canal anal me fasse revenir sur terre. Une énorme déferlante de plaisir m’a secouée et j’ai eu mon deuxième orgasme de la soirée. J’ai rugi comme une bête et Jeff, inquiet, m’a caressée tendrement les joues en me demandant si tout allait bien.



Patrick, en sueur, est venu nous rejoindre à l’avant du lit et j’ai essayé de mettre les deux sexes dans ma bouche en même temps. C’était mission impossible, et tout le monde a ri.








Notre beau locataire m’a fait un clin d’œil et m’a chuchoté à l’oreille :



J’avoue que l’idée m’avait déjà traversé l’esprit quand j’avais imaginé ce trio. Quand je sodomisais Mo-Laï, elle m’avouait que cela lui donnait plus de souffrance que de jouissance, mais que si elle avait une stimulation vaginale en même temps, elle pourrait peut-être mieux apprécier. Le fait que ma femme ne trouve aucun plaisir dans l’amour anal me désolait, et mon souhait le plus vif était de trouver un remède à cet état désespérant. Le grand jour était peut-être arrivé ?



Elle a fait une petite moue coquine d’approbation qui a provoqué chez moi une énorme érection. Comme mon associé dans cette affaire était beaucoup plus gros que moi, je lui ai proposé de prendre l’avant alors que je me réservais l’arrière. Mo-Laï s’est allongée sur lui, et il s’est empressé de rentrer son sexe dans sa chatte brûlante. Je les ai laissés s’exciter tous les deux, puis j’ai pris le K-Y que je garde toujours dans le tiroir de la table de nuit. Avec l’aide de mon index enduit de gel lubrifiant, j’ai commencé à masser ce merveilleux anus déjà dilaté par le doigt de Patrick. Elle s’est naturellement cambrée pour me faciliter l’accès à son postérieur. Par petites poussées, j’ai commencé à introduire mon sexe dans le canal anal de ma femme. Des grognements de plaisir sont venus approuver mon action. Nous avons tous les trois fait une pause, puis nous sommes repartis en essayant de synchroniser nos actions. Mo-Laï semblait sur une autre planète. Elle s’est tétanisée tout d’un coup et un orgasme géant l’a submergée.








Je n’avais jamais pris un tel pied de ma vie. Deux sexes coordonnés qui me ramonaient en même temps, c’était une sensation sublime. C’était grâce à mon fantastique mari que je pouvais vivre de tels moments et j’ai eu une pensée reconnaissante pour lui. Je me suis retournée et j’ai fait alors une chose dont jamais je n’aurais pensé être capable : je lui ai pris la bite qui était encore recouverte de mes secrétions anales et, emportée par un vent de folie, je l’ai sucée. J’ai cru que les yeux de Jeff allaient sortir de ses orbites, tellement sa surprise était énorme. Son excitation était tellement grande que je n’ai eu que quelques va-et-vient à faire avant qu’il n’explose dans ma bouche. Une, deux, trois giclées qui n’en finissaient pas ; j’ai tout avalé jusqu’à la moindre goutte. Les yeux révulsés, Jeff n’arrêtait pas de me dire « Merci ! Oh, merci ! »


Patrick avait regardé toute la scène avec envie, et je ne savais pas comment le remercier lui aussi. Je l’ai attiré vers moi et je lui ai ordonné : « Viens, encule-moi ! ».

Je n’avais pas franchement réfléchi en formulant de telles paroles et, quand j’ai senti son énorme gland qui poussait à l’entrée de mon sphincter, j’ai compris que j’avais été d’une téméraire inconscience. Patrick n’était pas un idiot, et il m’a pénétrée avec une douceur calculée. Petit à petit, son énorme sexe a investi mon rectum. Je me suis détendue au maximum en soufflant profondément mais, malgré cela, mon cœur s’est emballé. La sensation pénible du début s’est heureusement progressivement effacée pour faire place à une sorte de plénitude. J’étais comme en lévitation. Après un court temps d’arrêt qui m’a permis de reprendre un rythme cardiaque normal, son membre s’est mis en mouvement et j’ai senti que mes tétons durcissaient tandis qu’un flot de cyprine envahissait mon vagin. J’adorais ça et je ne comprenais pas pourquoi jusqu’à présent la pénétration anale m’avait toujours rebutée. À chaque coup de boutoir, mon sphincter se ramollissait jusqu’à ce qu’il cède brutalement et que mon anus se dilate d’un coup tandis qu’un autre orgasme ravageait mon cerveau. Patrick, excité par ma réaction, en a profité pour décharger sa semence dans mon rectum avec un râle inhumain. J’ai retiré doucement le préservatif de son sexe et je l’ai sucé lui aussi jusqu’à la dernière goutte.








Avec Patrick, nous avons pris Mo-Laï dans nos bras et nous l’avons à tour de rôle couverte de baisers. Je n’en revenais toujours pas. Ma femme s’était transformée en l’espace d’une soirée en une chienne en chaleur. Avais-je ouvert avec trop de légèreté une véritable boîte de Pandore ? J’ai balayé d’un revers de mains ces idées pessimistes et je me suis dit que c’était l’inverse qui s’était produit : en réalité, j’avais réveillé chez Mo-Laï des dons exceptionnels, et cette lubricité nouvelle allait transformer la dernière période de ma vie en une fabuleuse aventure !



[à suivre]