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n° 15807Fiche technique14223 caractères14223
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Temps de lecture estimé : 10 mn
18/09/13
Résumé:  Récit de l'épopée truculente de ma rencontre avec une prostituée dans ces institutions dédiées en Allemagne que l'on appelle FKK.
Critères:  #confession #personnages #sexetarifé fh inconnu taille amour voir strip intermast fellation cunnilingu
Auteur : Janus du Temple      
J'ai joui dans une playmate en FKK

Les FKK ou Saunaclubs sont les pendants des maisons closes d’aujourd’hui que l’on retrouve surtout en Allemagne où ils ont été initiés. Je m’y rends assez régulièrement et j’ai même mes habitudes dans l’un d’entre eux en particulier.


Dans ce FKK renommé, il est un coin appréciable qui tient dans une sorte de vaste patio sous toit translucide filtrant la lumière estivale de l’après-midi pour l’adoucir en une lueur relaxante.

Cet endroit à la déco bucolique bavaroise fait en réalité surtout office de passage, il abrite entre autres en plus du jacuzzi, un grand sauna, des douches, deux mini-chapiteaux avec un grand lit 2 x 2 chacun, un hamac, une table de massage, des chaises longues, du mobilier avec des serviettes propres, des plantes et deux arbres qui semblent témoigner sans broncher des incessants va-et-vient qui mêlent clients, serveurs et filles à moitié dénudées qui meurtrissent continuellement le pavé de la cour des tic-tac de leurs talons…


Ici, à l’autre bout du patio, une partie jouxte une pièce appelée kino (cinéma) flanquée d’une délégation de chasseresses qui montent la garde dès l’entrée.

Tout près mais en retrait, le long d’un des murs d’où provient une musique d’ambiance relaxante, un coin douche ouvert donne sur une tente avec un grand lit, puis juste en face, un transat offrant sans doute le point le plus apaisant que l’on puisse trouver en ce lieu vient compléter le tableau. C’est sur cette chaise longue que je cueillerai la fleur que mon cœur attendait.


Dans le kino, une sorte d’aquarium sombre et glauque projetant du contenu pornographique sur grand écran, se trouvent en effet de hargneuses gourgandines qui attendent le chaland en embuscade avec de solides arguments pour appâts, ces impatientes sirènes, tous charmes exhibés enjôleront le premier marin qui aura le malheur de s’échouer dans ces eaux troubles.

En dehors de cette zone, le tenancier interdit aux filles de racoler le client afin qu’il puisse se détendre en paix.


Il est 15 h 20 à ma montre lorsque je m’y laisse aborder pour être poursuivi ensuite jusque dans le patio ; traqué, chassé, pisté, je finirai par m’arrêter devant un banc où s’alanguit une certaine Heidi.


Heidi est une superbe femme d’origine tchèque, très grande, élancée, le port altier, blonde véritable elle a le teint doré, d’une génétique épurée elle porte la frange à la mode d’aujourd’hui.

Un petit bout de femme aux arômes de paradis dont les seuls reflets solaires sur sa peau soyeuse trahissent déjà la puissance de son aura sexuelle.


Tandis que je subis avec embarras les assauts de la chasseuse importune – fort peu à mon goût du reste – dont j’ai peine à me débarrasser, Heidi témoin de toute la scène, semble de son côté s’amuser de la situation.


Alors pour nous divertir un peu plus, sous l’œil perplexe de ma prédatrice, je décide de lui désigner la tente libre qui lui fait face ; une invitation on ne peut plus claire en pareil lieu…

Ce stratagème d’approche aura pour effet collatéral inespéré de décourager le piranha du kino qui s’était accroché à moi. Comme une règle implicite, les filles ne se disputent jamais le client…


Enfin seuls, Heidi eut dans l’idée d’entamer un brin de causette pour « sociabiliser » mais aussitôt, par un geste réprobateur, je parvins à lui faire comprendre que je ne souhaite rien savoir d’elle pour l’instant, je tiens à ce que l’on reste parfaitement étrangers l’un à l’autre, si un seul langage doit prévaloir, ce sera celui de la sensualité.

Plutôt vive d’esprit, elle comprend le jeu et s’y prête remarquablement après avoir esquissé un rictus entendu.

Il n’est pas rare de voir les plus jolies filles étrangement attirées par les situations les plus cocasses.


Nous voilà à présent sous cette tente, posés sur ce grand lit où la cérémonie peut enfin commencer.

Il faut préciser qu’à cette heure de la journée la lumière qui filtre au travers des tentures de notre nid offre une vue des plus surprenantes sur nos ébats.


Le scintillement du fin duvet blond qui recouvre la robe de sa peau satinée était déjà une offrande en soi qui à la manière d’un coucher de soleil suscitait un émoi inénarrable.


Après l’avoir tant caressée, reniflée, examinée, après avoir passé chaque recoin de son long corps au crible de mes sens pour m’en imprégner comme un animal, je la sens désormais suite à ce rituel offerte à presque tout.

Elle confirme aussitôt d’ailleurs en empoignant délicatement ma verge fiévreuse pour m’offrir une masturbation suave de sa main douce d’une dextérité experte.

Son poignet est orné de bracelets, sur ses doigts agiles, elle porte des bagues qui n’ont rien de toc, ces atours de valeur attisent mon désir, cela donne un côté « fetish » qui pimente la friction.

Mais ce qui me pousse à deux doigts de déjà dégobiller ma semence lors de cet exercice, c’est de penser que ces bagues elle se les est offertes avec une partie de la fortune qu’elle a empochée d’un ami qui pendant si longtemps s’est ruiné à être son généreux mécène. Mieux encore ! C’est peut-être carrément lui qui les lui a offertes !


À cette dernière idée je deviens fou d’excitation, je vois tout rouge au point de ne plus pouvoir me contenir.


Les bourses aussi pleines que celles d’un moine médiéval venant de percevoir sa dîme, n’en pouvant plus, je me mets aussitôt à darder dans les airs par de lourdes saccades mon foutre chaud… Dans la folie de ce feu d’artifice, mes jets finissent par venir s’écraser sur la grande main fine d’Heidi, le tout coulant alors abondamment sur ses bagues luxueuses immergées de mon fluide séminal.


Elle sourit malicieusement à l’explosion en continuant doucement à faire aller sa main sur la base de ma tige par de lents mouvements profitant de la lubrification naturelle qui s’en était écoulée pour m’offrir jusqu’aux derniers délices que permettront les palpitations de ma prostate.

Déjà ? C’était trop tôt ! Trop bon certes mais mille fois trop tôt !

Pressentant leur pouvoir sur ma libido, j’avais pourtant lutté pour les ignorer ces foutues bagues, peut-être pas assez, c’était manifestement plus fort que moi…


Devant une beauté pareille qui s’activait par la suite à me nettoyer avec tendresse et affection sous la douche qui se trouvait au pied de notre tente nuptiale, inutile de vous cacher que bien que gêné par tant d’honneurs, il ne m’a pas fallu très longtemps avant d’engager une nouvelle cartouche dans le barillet…


Vite sous la tente ! Quoi ? Un incendie s’est déclaré, j’ai la bite en feu ! Ah… Comme cette fellation est subtilement menée, rompue à l’exercice, la pute me la sert bien baveuse ; elle se retire, crache sur mon gland puis sur ma hampe, replonge dessus la bouche en ventouse jusqu’à la garde, secoue la tête pour me faire visiter son palais, elle me déguste littéralement en lâchant des « Slurp ! » et des « Mmmmmouah ! » à chaque fois qu’elle se retire ou qu’elle me reprend ; la pointe de sa langue me caresse de la base vers le sommet du gland, elle me pourlèche les testiboules en s’y attardant, elle les gobe, les aspire, les relâche. Dans cette avalanche de sensations je suis perdu, que d’effet ça fait tous ces effets !


Je n’en peux plus d’être ainsi pompé… je veux la savourer plus profondément. Pris d’une fièvre cannibale, je me jette alors sur ses seins que je gobe à mon tour, je lui « deepthroate » l’un après l’autre en tentant de rivaliser dans son domaine.

Elle penche la tête en arrière en plissant les yeux, elle aime ça, c’est encourageant, je renchéris…


Bien que d’ordinaire peu disposé au léchage vaginal, je surpris ma langue affolée se perdre autour de ses lèvres d’un rose pur avec l’appétit d’un ogre affamé. Je les lui suçais ces masses luisantes de ma salive en les déployant presque totalement dans ma bouche, je tirais puis je relâchais pour venir lui titiller le clitoris à découvert entre l’index et le majeur de ma main, parfois je lapais sa vulve de bas en haut sur toute l’ouverture en gémissant d’excitation, je posais le bout de ma longue langue à l’entrée de sa fente et d’un seul coup la plongeais carrément à l’intérieur de son vagin pour en masser les parois d’où je récoltais son suc au goût de fruit mi-acidulé mi-sucré. On peut dire que la maigre et amère expérience que j’avais du cunnilinctus jusqu’alors n’était que pipi de chatte à côté de ce fruit savouré…


Seul celui qui a connu l’extase sensorielle qui vient à l’instant précis de mordre dans un délicieux fruit frais autrefois inconnu à ses papilles pourra se faire une idée de la gourmandise que représente un moment passé en sa compagnie.


J’en veux plus, beaucoup plus ! Je me cale donc entre ses jambes pour me frotter contre sa jolie figue.


Mmmh… quel bonheur insolent d’indécence au vu de la déplorable conjoncture sociale qui mine le moral de la ménagère !


Malgré moi, Heidi prend l’initiative de renverser la situation, je suis maintenant couché sur le dos, elle vient à cheval sur moi, ses deux mains jointes sur mon torse, ses bras compriment ses seins sublimes qui me dévisagent et me menacent, c’est elle qui tient la bride… « Fouette cocher ! ».


Elle danse du bassin sur moi en me frôlant la tige dans des ondulations gracieuses dignes de la grande strip-teaseuse qu’elle fut – oui, vraiment… elle le fut ! –, après m’avoir suffisamment fait languir, me jugeant largement à point à force de sentir ma bite tressaillir et buter contre la fente de sa vulve chaque fois qu’elle s’en approchait d’assez près, elle se cale soudain tout contre pour l’immobiliser, et de tout son poids, vient enfin s’encastrer lentement sur moi avec délicatesse, laissant ainsi ses grandes lèvres venir glisser lentement autour de ma solide verge tendue et fière de cet hommage, je me délecte de chaque millimètre de sa chair qui coulisse effrontément sur ma rigidité jusqu’à l’engloutir complètement. Cette sensation humide et chaude qui m’envahit alors est sans comparaison sur l’échelle des délices.


Un accord de Mozart, un paysage de Pissarro, une gorgée de Quarts-de-Chaume, une strophe de Rimbaud, un crépuscule de bord de plage aux Maldives, aucune émotion terrestre ne peut se targuer de procurer tant d’exaltation.


Je la possède enfin cette superbe salope ! Ses yeux innocents qui se révulsent de plaisir ne devinent rien, ils ne devinent pas qu’un salaud vient de la souiller parce qu’elle est dans le cœur d’un autre et qu’il en tire là toute sa satisfaction. J’étais renseigné, mannequin prometteur, mannequin de charme (elle a fait la couverture d’un Penthouse), strip-teaseuse de renom, elle avait tout quitté pour lui, elle est en effet la chasse gardée d’un ami et j’étais pourtant en train d’en disposer pleinement, soumise à mes bas désirs, totalement sous mon joug.

Que celui que la tentation de posséder la femme d’un ami n’a jamais effleuré l’esprit me jette la première pierre.


Sur cet intermède, Heidi est toujours en train d’osciller du bassin, s’empalant franchement sur ma bite dure, j’agrippe alors ses fesses que j’écarte et la lève vers l’avant pour pouvoir la tambouriner crûment et entendre sa peau claquer contre la mienne. Parfois à la faveur de sa mouille, nos peaux se retenaient en collant légèrement l’une contre l’autre comme si elles s’embrassaient.


Si elle apprécie ? Peu de doute, je sens son souffle chaud dans mon cou et la chaleur de son visage rougi par l’effort. Elle s’approche de mon oreille et y passe doucement la langue, je n’aurais jamais suspecté tant d’effet provenir d’un geste aussi anodin. J’accélérai la cadence malgré moi tandis que sa langue s’activait dans mon oreille de façon plus vive encore.


Au bord de la rupture, je prétexte vouloir changer de position afin de reprendre mes esprits et échapper à une seconde fin précoce.


En levrette, elle remonte son bassin qu’elle cambre au maximum en posant ses épaules à même le lit, le visage tourné une joue contre le lit l’autre livrée à ma vue, je remarque que les kitten heels qu’elle porte encore semblent être le prolongement naturel de ses jambes. Considérant la grande taille d’Heidi qui taquine le mètre quatre-vingt-trois, je vous laisse imaginer le spectacle de cette position qui à lui seul vaut le détour. Mon Dieu ce qu’elle peut être belle ainsi offerte !


J’en aurais jusqu’à l’impression d’un sacrilège à devoir la pénétrer de mon canon aux si rustres manières.

Mais la douce trépigne, elle quémande son dû avec instance par des coups de bassin donnés vers l’arrière qui en disent long sur son état d’excitation.


Il faut y aller, elle recherche l’accident, je le lui offre en m’enfonçant en elle passionnément ; intensément mon côté bestial se déchaîne dans son dedans velouteux dans lequel je baigne de tout mon être, elle s’emballe de plus en plus sous mes coups de boutoir, d’une main que je libère de ses fesses, je lui caresse son dos recouvert de perles de sueur, elle est toute trempée, elle pousse des râles d’excitation mal contenus, ces cris de plaisir étouffés sont mille fois plus délicieux et entraînants à entendre que n’importe quelle musique au monde.


Elle remonte sa main droite jusqu’à moi pour me caresser les génitoires et en profiter pour s’égarer sur son bouton d’amour, je devine en effet son majeur tournoyer allègrement en haut de sa fente et descendre de temps à autre s’immiscer contre mon sexe qu’elle entoure de ses doigts comme pour mieux en ressentir la course. Elle s’allonge soudain de tout son corps ventre contre lit, j’ai accès à sa bouche que j’embrasse en même temps que mon bassin martèle ses fesses, le champ grand ouvert pour de longues et fougueuses embrassades, ses lèvres collées aux miennes, nos langues s’enlacent dans un ballet nuptial.


Harmonie, osmose, sexe contre sexe glissant scandaleusement l’un dans l’autre, le point de non-retour est inéluctablement atteint comme un éternuement qui arrive et qu’on ne peut plus contenir, flash grisant partant du cerveau, perte de contact avec la réalité, je jouis avec frénésie en elle, comme c’est dégoûtant !


Libérés de nos excès de désir, suintants, exténués, tels deux cadavres empilés morts d’avoir trop joui, on restera figé dans cette position, planant dans un bonheur béat pendant quelques minutes encore au cours desquelles la belle s’amusera de sentir mon cœur battre à toute allure contre elle ; ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’à présent, son cœur battra à jamais dans le mien…