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n° 15810Fiche technique8531 caractères8531
Temps de lecture estimé : 6 mn
19/09/13
Résumé:  En panne sous la pluie et détrempé, je rencontre Eric qui me propose un hébergement pour une nuit que je n'oublierai jamais.
Critères:  hh hbi inconnu fellation hdanus hsodo init
Auteur : Josephdoe  (Bisexuel non avéré, j'aime l'imaginer.)            Envoi mini-message
Rencontre sous la pluie

Comment ai-je pu me retrouver dans cette situation ! En rentrant chez moi d’une grosse réunion assez tardive et assez loin de chez moi, je me suis trouvé dans des embouteillages monstres. C’est sous des trombes d’eau que j’ai donc décidé de tester un itinéraire bis ! Je sors alors de l’autoroute, me retrouve dans un endroit complètement paumé, et pour ne pas arranger les choses, la nuit tombe à une vitesse ahurissante. Cela fait une heure que je tourne en rond, je ne retrouve même pas l’autoroute ; il tombe des cordes, j’avance au ralenti, je ne vois absolument rien ! Ce trajet ressemble à un drame, j’ai la tête dans pare-brise, j’essaye de déchiffrer l’environnement, je suis ultra-concentré, et je ne me rends pas compte que l’aiguille du réservoir est dans le rouge. Le moteur commence à tousser ! Me voilà en panne d’essence ! Ça ne ressemble plus à un drame, c’est un drame. Je suis au milieu de la route, il pleut comme vache qui pisse et je n’ai plus d’essence, je ne sais même pas où je suis !


Je sors de ma voiture pour essayer de la pousser dans un endroit ou je pourrais la laisser en attendant une dépanneuse. Je suis donc nulle part, je pousse ma voiture, je commence à être trempé de la tête aux pieds. Une voiture passe et s’arrête à côté de moi, la vitre passager s’ouvre et un jeune homme me demande si j’ai besoin d’aide. Je lui réponds qu’il est mon sauveur et lui raconte comment je me suis fourré dans cette situation. Il part se garer un peu plus loin, à côté de l’endroit où je pourrais garer ma voiture. Il sort et vient vers moi, il est brun sans doute la trentaine comme moi, mais il paraît plus petit que moi, c’est difficile à dire, il pleut tellement et il fait si sombre. Il m’aide alors à pousser la voiture à côté de la sienne. C’est beaucoup plus facile à deux, je le remercie beaucoup et m’excuse pour l’état de ses vêtements, c’est comme si nous avions plongé tous les deux tout habillés dans une piscine.


D’après lui, malheureusement, aucune chance de trouver une station service à cette heure, il vaut mieux que j’attende demain. Il me propose alors de m’héberger pour la nuit. Il pleut encore plus fort et je décide donc de le suivre, on se met donc vite à l’abri dans sa voiture. Alors je me présente, je m’appelle Joseph, lui s’appelle Éric, il vit dans une maison juste à côté, nous y serons dans 5 minutes. Nous dégoulinons, les sièges ne vont pas bien vivre cette expérience, mais heureusement nous arrivons devant sa maison, il se gare et descend de la voiture. Je le suis, et nous courons nous abriter chez lui.


La maison n’est pas grande mais plutôt joliment agencée. Éric me propose de prendre une douche et de me prêter des vêtements le temps que les miens sèchent. Au vu de son gabarit, ils risquent d’être petits mais ce sera toujours mieux que mes vêtements dégoulinants. Je me déshabille donc dans la salle de bain et me plonge sous une douche chaude qui me fait un bien fou. Je sors et commence à me sécher quand Éric entre dans la salle de bain, il s’est changé, il me tend alors quelques vêtements. Un tee-shirt, un pantalon et un caleçon. Éric prend mes affaires trempées et les met dans le sèche-linge, puis me laisse à nouveau seul. J’étais, je dois l’avouer, un peu gêné de n’avoir qu’une serviette sur moi quand il est entré. J’enfile donc les vêtements qu’il m’a amenés, c’est vraiment trop petit, et je suis ultra-moulé ! Je sors de la salle de bain, et nous échangeons alors un regard amusé. Je lui emprunte son téléphone pour rassurer ma femme qui doit m’attendre, je lui explique ma situation et l’embrasse avant de raccrocher.


Éric est en train de préparer un repas, il m’invite à m’asseoir et nous partageons un bon repas, assez détendus, où il ne manque pas de se moquer de ma tenue. Je sens dans son regard quelque chose qui me trouble, comme si je l’attirais ; d’ailleurs je crois qu’au fond de moi, lui aussi m’attire. J’ai toujours senti que je pourrais un jour être attiré par un homme, mais ce jour n’était jamais venu. Cette prise de conscience me panique un peu, quand tout à coup une sonnerie me sort de la tourmente. Le sèche-linge m’appelle, mes vêtements sont secs. Je me lève alors et vais dans la salle de bain pour changer de vêtements. J’essaye tant bien que mal de retirer le tee-shirt mais il est coincé. Je me débats et grogne un peu ; alors Éric me demande si j’ai besoin d’aide, ce qui est évident.


Éric entre donc alors dans la salle de bain, se place devant moi et attrape le bas de mon tee-shirt. Il le remonte tout en me caressant sans l’air de le faire. Je lève mes bras pour l’aider, il arrive à m’en défaire. Il me regarde avec douceur mais envie, je suis tétanisé, il approche ses mains de mon pantalon, défait le bouton, descend la fermeture Éclair, effleure mon sexe contraint. Il descend le pantalon ; chaque contact avec ses mains m’électrise, et la bosse qui orne le boxer trahit mon excitation. Il se met alors à sourire, s’approche encore un peu plus de moi et m’embrasse. Sa langue s’introduit en moi, il me caresse le dos, je fonds et mes barrières tombent ; à cet instant, je suis quelqu’un d’autre, alors je me mets à répondre à ses baisers et ses caresses.


Je déboutonne sa chemise, passe mes mains sur son torse, les remonte lentement vers ses épaules, fais tomber sa chemise. Mes mains descendent le long de son dos, passent sur ses fesses et déboutonnent son pantalon, que je fais glisser le long de ses jambes. En remontant, je caresse l’intérieur de ses jambes puis son sexe à travers son boxer. Il m’invite alors à le suivre dans sa chambre ; il m’attrape la main et me guide.


Arrivés dans sa chambre, nous nous enlaçons et nous allongeons sur son lit. Il me place sur le dos et se place sur moi. Il m’embrasse le cou, descend le long de mon torse, arrive au ventre, puis au niveau de mon entrejambe, fait glisser le boxer libérant ainsi mon sexe. Il embrasse mes couilles, remonte le long de mon sexe, embrasse mon gland, le lèche, le suce, le prend en bouche. Puis il l’avale entièrement, le ressort, ainsi de suite. Il me suce lentement avec tendresse, mon plaisir est immense. Ses mains me caressent le torse, et tout en continuant à me sucer, il me place un oreiller sous les fesses, que j’ouvre naturellement. Il se penche alors en avant vers une petite boîte d’où il sort un préservatif ainsi que du lubrifiant. Il enfile le préservatif et ouvre le tube, enduit ses doigts. Il reprend alors sa fellation et part à la recherche de mon trou qu’il trouve rapidement. Il le caresse, appuie un peu, tourne autour, puis y rentre un doigt ; c’est la première fois pour moi qu’un doigt autre que les miens vient fouiller mon intérieur. Il me masse l’intérieur, trouve ma prostate, la titille. Il introduit un deuxième doigt, puis un troisième ; je sens le plaisir monter, une chaleur m’envahit, je tremble légèrement. J’ai alors un orgasme comme je n’ai jamais eu, un orgasme sans éjaculation, un orgasme qui ne demande qu’à revenir tout de suite. Il sort alors ses doigts, arrête sa fellation, remonte vers moi, m’embrasse et place son gland contre mon anus. Il s’appuie sur moi et mon trou avale d’un coup son sexe. Que c’est bon de se sentir rempli comme ça ! Il entame alors un va-et-vient, me fait l’amour tout en me regardant avec tendresse. Tout en me prenant, il me caresse le sexe au même rythme. Rythme qui s’accélère, son orgasme est proche ; le mien aussi. Nous explosons alors ensemble, lui dans moi, moi dans sa main. Il s’écroule alors sur moi.


Au petit matin, je sors du lit sans faire de bruit, une sensation bizarre m’envahit, hier soir j’étais quelqu’un d’autre, mais ce matin je suis à nouveau moi. Pour autant je n’ai pas honte de ce qui s’est passé hier soir, au contraire c’était extraordinaire, mais il est temps que je parte, que je retrouve ma vie habituelle. Je m’habille, écris un mot à Éric où je le remercie pour sa sensualité, où je lui raconte à quel point j’ai aimé ma nuit.


Je sors de chez lui en n’espérant qu’une chose : retomber en panne un jour de pluie et rencontrer Éric à nouveau.