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Temps de lecture estimé : 15 mn
22/09/13
Résumé:  Une femme et un homme, malheureux en couple, se rencontrent et entament une liaison.
Critères:  fh campagne cunnilingu
Auteur : Tendreetdoux91  (homme amoureux de la féminité)
Rencontre inespérée

Cette aventure remonte à quelques années ; maintenant, je suis divorcé et j’aimerais retrouver une « Sylvie ».





Tout d’abord, je me présente : j’ai 42 ans, marié depuis 16 ans ; trois enfants. Mince, assez grand. Au fil des années qui passent, ma femme est devenue de plus en plus lymphatique, son premier geste de la soirée étant d’allumer la télévision et de s’avachir dans le canapé jusqu’à tard dans la nuit. Bien sûr, avec cette activité débordante, elle s’est empâtée. Moi et les enfants devrons supporter en plus ses sautes d’humeur, ses caprices. Elle évoque parfois entamer un régime, mais elle continue de s’empiffrer dès qu’elle rentre. De mon côté, je n’ai pas la chance d’avoir un métier à horaires élastiques qui me permettrait de me déplacer et d’échapper ainsi à l’atmosphère pesante de la maison. Le bureau est devenu un refuge, et encore : elle m’agresse au téléphone dès que je m’attarde un peu.


Ce qui me retient de fuir, ce sont mes enfants. Je caresse parfois l’espoir de rencontrer une femme qui vit la même situation. Cette année, un club informatique a ouvert dans le canton. Je m’y rends deux soirées par semaine, après bien sûr avoir préparé le repas pour les enfants. Je suis aussi chargé de les véhiculer pour les conduire à leurs activités. Je peux ainsi savourer ces moments de tranquillité bien méritée.


Ce soir, les adhérents sont venus nombreux et nous devons partager un PC à deux. Une jeune femme d’une quarantaine d’années s’assoit donc à mes côtés. Un peu intimidés l’un et l’autre, nous échangeons un sourire pour sympathiser.



Discrètement, j’observe ma charmante voisine. Elle est châtain, les cheveux bouclés, la peau mate, pas très grande ; les petites rides qui entourent ses yeux sombres lui donnent ce charme particulier des femmes de la quarantaine. Son jean et son chemisier laissent deviner un assez joli corps. Des épaules aux attaches fines, de jolis seins dissimulés par un soutien-gorge à fines bretelles : mon attirance pour ce symbole de la féminité remonte à mon adolescence.


Très vite, entre nous le courant passe ; et devant le clavier, nous sommes comme deux gamins riant de l’ignorance de chacun, échangeons nos astuces avec un sourire de connivence. Pour moi, il a bien longtemps que je me suis pas senti aussi détendu. Ces deux heures d’initiation passent très vite, trop vite à mon goût ; je la regarde quitter le club avant d’aller retrouver ma femme qui, malgré l’heure tardive, doit encore s’abrutir devant la télévision.

Dehors, une pluie fine s’est mise à tomber. Une frêle silhouette remonte la rue : c’est ma charmante membre du club. Stoppant la voiture, je baisse la vitre à son niveau.



Tandis qu’elle s’assoit, l’odeur de ses cheveux mouillés envahit l’habitacle.

Le voyage avec elle est hélas bien trop court, et après quelques centaines de mètres nous stoppons devant un pavillon. Au rez-de-chaussée, une lueur laisse deviner une télévision en fonctionnement.



Je la suis des yeux jusqu’au moment où elle s’engouffre dans la maison. À cet instant, je regagne mon domicile le cœur léger, joyeux. Enfin quelqu’un avec qui dialoguer, partager un centre d’intérêt et des rires !

Je ne me suis pas trompé : ma femme est devant l’écran.



Les mêmes jérémiades reviennent sur ses lèvres.

Ce soir, je n’ai pas du tout envie de croiser le fer ; alors je remonte l’escalier pour me coucher. Je voudrais déjà être vendredi soir !


Les deux jours suivants, je travaille avec entrain. Ma collègue a remarqué ma joie de vivre car cette rencontre a mis un peu de baume dans mon existence.


Ce vendredi soir, ma femme est d’une humeur massacrante. Les enfants fuient dans leur chambre et elle se retrouve seule à ronchonner. Le cœur battant, je me rends au club. Je guette avec impatiente l’arrivée de ma jolie complice. Elle paraît, toute pimpante dans une jolie robe à fleurs qui met en valeur sa jolie taille et son teint hâlé. Nos regards se cherchent, et elle sourit de toutes ses dents en me découvrant.



Nous prenons place devant le PC. L’odeur de sa peau caresse mes narines. Je découvre que ses jolis seins sont libres sous la robe de coton. Ils bougent au gré de ses mouvements, ce qui accentue mon trouble. Pendant toute la séance, ce charmant spectacle m’intéresse beaucoup plus que les rudiments de Windows. Comme nous avons dépassé ce niveau, nous en profitons pour faire plus ample connaissance ; elle a 43 ans, deux filles de quinze et dix-sept ans, mariée depuis 19 ans avec un cheminot, un pantouflard accro du foot dans un salon. Elle aime le vélo, les balades, la montagne et travaille à quelques kilomètres de son domicile.

Notre conversation continue et, au fil des mots, je m’intéresse de plus en plus aux deux jolies pommes qui s’agitent sous sa robe.



Le tutoiement est venu, naturellement. Rougissant jusqu’aux oreilles comme un enfant pris en faute, je ne peux que bredouiller :



Ses yeux pétillent de malice.

À la fin de la séance, Sylvie me demande discrètement :



À son regard, je comprends qu’un déclic s’est produit.


Cette soirée de fin d’été est particulièrement douce. Un léger vent caresse nos visages. Mon véhicule se trouve à l’extrémité du parking. Tandis qu’elle marche à mes côtés, mon cœur bat à toute rompre, tel un adolescent à son premier rendez-vous galant. À peine dans la voiture, nos visages se touchent pour un premier baiser fougueux. Nos langues se mêlent. Nos lèvres se séparent et nous plongeons chacun dans le regard de l’autre.



Mes doigts se mettent à caresser ses cheveux bouclés. Elle s’abandonne les yeux mis clos, un délicieux sourire illumine son visage. Elle m’enlace ; l’odeur de sa peau m’enivre. Ses mains fraîches et douces se posent sur ma nuque. À nouveau sa bouche recherche mes lèvres pour un nouveau baiser ardent. Il me semble que nous retrouvons le soleil comme après une trop longue nuit. Ses seins fermes et tendus effleurent mon torse. Mes mains explorent son dos, s’attardent sur ses reins puis partent à la recherche des deux jolis fruits défendus. À travers l’étoffe, je découvre les deux jolies pommes, les saisis délicatement dans le creux de mes mains… Mes doigts se mettent à jouer doucement avec la pointe qui durcit sous mes caresses.



Avant de nous quitter, elle dépose un dernier baiser tendre et rapide.


Un volcan dans l’âme, je regagne mon domicile, la vitre grande ouverte par crainte que ma femme sente le parfum de Sylvie ; un peu comme un enfant qui vient de fumer sa première cigarette et qui craint que ses parents sentent le tabac. Je ne prête guère d’importance au regard plein de reproches que m’adresse ma femme. Elle se replonge dans je ne sais quelle émission débile. Dans ma tête, tout bouillonne ! Comment faire pour se retrouver ? Quelle raison trouver ? À ma grande surprise, je n’éprouve aucun remords à l’idée de la tromper. N’ai-je pas rencontré la complice dont je rêve depuis tant enfermement conjugal ?


Le lendemain, malgré mon coucher tardif, je me retrouve très tôt dans le garage pour réparer mon vélo. Puis joyeux. Je me rends sur la place acheter du pain. Le week-end s’annonce magnifique. À cette heure matinale, il fait bon, un bistro ouvre ses portes. Comme tout le monde dort à la maison, je m’accorde un café au comptoir tout en échafaudant des plans pour nos retrouvailles. Deux baguettes et des croissants chauds sous le bras, je reviens pédalant joyeusement dans le petit matin frais. Les enfants m’accueillent joyeusement en riant tandis que leur mère ronchonne – ce n’est pas nouveau – de notre joyeux vacarme. Après les courses du matin, la journée passe très vite et le soir, pendant la promenade du chien, je compose le numéro de Sylvie sur le portable. Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. Une sonnerie, deux sonneries. Une voix féminine.



Je me sens heureux, amoureux, et j’aurais presque envie de gambader comme un adolescent qui va se rendre à une soirée.


Le lendemain midi après le repas, je hasarde :



Si elle bouge, ce sera pour traîner dans ces abominables centres commerciaux où se mélangent foule, bruit et odeur de tabac !

À peine sorti ; j’appelle Sylvie :



De loin, j’aperçois sa frêle silhouette. Elle m’attend, assise sur sa selle. Un charmant chemisier à fleurs. Un corsaire noir qui moule ses jolies jambes et sa superbe chute de reins. Lorsqu’elle se penche, je devine que ses seins sont encore libres sous son vêtement. Ce sont ceux d’une jeune femme. En un tournemain, son vélo rejoint le mien dans le vaste habitacle.



Elle pose un baiser sur ma bouche. Nous roulons un petit moment dans la campagne. Les mains posées sur le volant, j’échange des sourires. D’une voix un peu sourde et émue, Sylvie m’avoue :



Sortant de ces considérations nostalgiques, ma complice s’exclame :



Nous sommes à l’unisson, tout de suite sur la même longueur d’onde. Il semble que chacun devine les pensées de l’autre ! Nos vélos nous attendent contre un arbre pendant que nous échangeons un fougueux baiser. Ici, loin de nos maisons, nous pouvons savourer ce moment, nous étreindre loin des regards indiscrets et jaloux. L’odeur de son corps, ses cheveux bouclés, la pointe de ses seins que je sens contre mon poitrail m’enivrent, toujours plus collée à moi. Elle ne peut que percevoir le désir qui éclot sous mon short. Nos corps se séparent pour reprendre notre bicyclette.



Comment pourrait-il en être autrement ?



Elle me sourit d’un air canaille et amusé tout en enfourchant son vélo. Nous flânons sous la chaleur de l’après-midi, nous amusant à accélérer puis ralentir. Son rire frais est un appel ! Les regards qu’elle me lance une invitation ! Je me sens léger, heureux ! Elle démarre soudain en trombe pour s’arrêter à l’entrée d’un bosquet en plein champ où elle m’attend, debout, les mains sur ses hanches, faisant ressortir ses seins que j’imagine dressés sous son chemisier.



Elle pénètre dans le sous-bois ; le soleil fait des taches mouvantes sur le sol. Le calme est seulement troublé par le bruit incessant des insectes, par une légère brise qui caresse la cime des arbres. Sylvie marche devant moi ; chaque regard qu’elle m’adresse est un appel. J’imagine ses courbes délicieusement féminines. Devant nous, sur une tache de soleil, un douillet nid d’herbes sauvages s’offre à nous. Sylvie extrait un plaid de son petit sac à dos et l’étale sur l’herbe, faisant fuir une myriade de sauterelles et d’insectes. Son regard plonge dans le mien. Nous sommes seuls au monde. Maintenant, langoureusement allongée devant mes yeux, le regard brûlant d’envie, elle murmure d’une petite voix douce :



Les jambes flageolantes, je m’écroule à ses côtés. Nos lèvres se mêlent dans un charmant méli-mélo. Lorsque je me redresse, mon regard s’attarde un moment sur son chemisier.



Délicatement, sans quitter ses yeux, je défais un à un les boutons de son chemisier, puis ma main part à la découverte des jolis fruits défendus ; mes doigts rencontrent un mamelon. Sylvie ferme les yeux ; je finis d’ouvrir son chemisier. Mes yeux émerveillés découvrent enfin son corps, ses jolis seins ronds, sa divine peau de brune, si douce, si satinée, son ventre plat. Le tendre et régulier mouvement de sa respiration. Je suis subjugué ! Ébloui ! Doucement, comme s’il s’agissait du plus beau des joyaux, mes mains caressent chaque centimètre de sa peau. Elle frémit, et son corps se tend sous mes doigts. Ses yeux sont toujours clos et un sourire illumine son visage. N’y tenant plus, je me penche pour embrasser chaque parcelle de sa peau. Sylvie m’encourage en posant sa main dans ma chevelure. Sa respiration devient de plus en plus rapide.



Ma langue s’est mise à pétrir ses mamelons tendus par le désir. J’use de tout mon art des caresses afin d’être à la hauteur de ses attentes.



Les visages l’un contre l’autre, je sens la main de Sylvie qui ouvre ma chemise.



C’est à mon tour de frissonner de plaisir lorsque la pointe durcie de ses seins effleure mon épiderme. Mes doigts se perdent dans ses cheveux bouclés, puis nous roulons l’un sur l’autre. Maintenant allongés dans l’herbe, c’est à mon tour d’être à sa merci. Elle me sourit tout en approchant son visage du mien. Nos lèvres s’unissent. Mes doigts abandonnent ses cheveux pour découvrir son dos.



Le joli chemisier quitte ses épaules. À cet instant, ses cheveux chatouillent mon visage ; le doux contact de ses seins fermes qui se pressent sur ma poitrine me rend de plus en plus fou de désir. Mes mains descendent vers ses reins, s’attardent sur la douce courbure de ses hanches. Sylvie semble beaucoup aimer mes caresses car je la sens frissonner de bien-être sous mes doigts :



Sylvie est de nouveau allongée dans le soleil, les bras repliés sous sa tête. Une jambe tendue, l’autre délicatement à demi-fléchie. Mes mains se posent sur sa gorge, s’attardent sur ses seins pour terminer sur son ventre tiède. Ce que je veux : que Sylvie redécouvre le bien-être des longs préliminaires. Mes yeux ne quittent pas son visage, scrutant cette douce montée du plaisir. Ayant enfin cajolé, embrassé chaque parcelle de sa peau, mes doigts s’enhardissent sous son corsaire ; ils y découvrent une culotte de dentelle, et enfin la moiteur de sa tranchée intime. Mes doigts se plongent dans son intimité ruisselante, puis ressortent de leur cachette tout englués de son nectar. Ma bouche se régale de la cyprine déposée de mes doigts.



Sylvie soupire d’aise lorsque son corsaire glisse le long de ses jambes. Il va rejoindre ma chemisette et le joli chemisier à fleurs dans l’herbe verte. Mon cœur bat à tout rompre. Elle est quasi nue. Seule sa fine culotte de dentelle masque sa toison.



Le dernier rempart à mon envie suit le même itinéraire. Je découvre son minou sombre soigneusement entretenu. Je pose ma tête sur son ventre tiède afin de la faire languir encore quelques instants. Je sais par expérience que plus les préliminaires se prolongent, plus l’extase finale est intense. Mais maintenant, l’attente pour elle comme pour moi a assez duré. Je me redresse. Ouvrant ses jambes, Sylvie m’offre la vue de son abricot déjà entrouvert. Je hume un instant ce sexe avant de glisser ma langue dans son sillon intime. Je découvre peu à peu le goût tendrement salé de son nectar au fur et à mesure que ma langue devient plus hardie. Sylvie se tord, gémit, puis ses pieds se crispent sur mon dos, craignant sûrement que j’interrompe le plus bel hommage que l’on puisse offrir à une femme



Je continue d’explorer chaque recoin de son sexe. Sa liqueur au goût toujours si tendre et salé inonde mon palais ; radieux, je la sens couler au fond de ma gorge. Puis je remonte à la recherche de son clitoris tendu d’excitation. Ma langue tourne autour tandis que mes mains remontent vers ses seins. Mes doigts jouent avec les pointes.



C’est le moment de lui offrir cette extase que je sens si proche. Je titille maintenant son bouton d’amour. Sa respiration se précipite puis, suprême récompense, son plaisir éclate ! Elle crie, se cambre, se tord à nouveau. La maintenant avec mes mains, je continue mon petit manège. Le plaisir continue de parcourir son corps en vagues successives puis, peu à peu, son corps s’apaise.



De mon côté, je me sens soulagé, heureux d’avoir pu offrir à ma partenaire ce qui lui manquait depuis si longtemps. À nouveau, je pose ma tête sur son ventre accueillant. Sylvie rayonne de bonheur. Ses doigts viennent tendrement caresser mes cheveux, puis un long baiser nous unit. Nos langues se mêlent. Elle doit sentir le goût salé de sa propre cyprine. Sa main descend vers mon short, défait le bouton. Sa main douce saisit mon sexe. Ses doigts glissent le long de ma tige, jouent avec le prépuce. Elle me sourit d’un air canaille. Je lui murmure :



Rassuré, je plante mon sexe dans son fourreau tiède, et déjà ses jambes m’enlacent. D’abord lentement, je vais et viens en elle, scrutant sur son visage une nouvelle montée du plaisir. Son visage rayonne toujours autant. Elle ferme les yeux, et très vite un autre orgasme secoue son corps. Elle enserre mon sexe planté en elle puis, roulant à demi, elle prend la direction des opérations, faisant glisser ses seins sur mon poitrail.



Je m’exécute, ravi. Parfois, je me redresse à nouveau, tentant de saisir avec ma bouche les mamelons tendus d’excitation ; elle glisse sur mon membre bien au chaud dans le velours de son fourreau. À ce rythme-là, je sens que je ne vais plus tenir très longtemps !



Pour toute réponse, elle amplifie le mouvement sur mon sexe. Déterminé à lui offrir une autre extase, je me concentre pour ne pas me répandre en elle à cet instant. La pointe durcie de ses seins glisse plus vite sur mon torse. Soudain, le plaisir la surprend empalée sur moi, ses deux mains sur mon torse. Son ventre se contracte, séquestrant mon sexe dans sa grotte brûlante. Sous mes doigts, son corps frémit sous l’extase. À mon tour, je la rejoins dans son plaisir, inondant son vagin de ma semence. Comblée, Sylvie s’écroule sur moi. Son cœur bat la chamade.


Elle reprend ses esprits, puis s’assoupit à demi sur ma chair, sa tête blottie contre mon épaule, les reins caressés par le soleil. Tendrement, mes doigts effleurent son épiderme. Là-haut dans le ciel, de petits nuages blancs galopent dans le ciel bleu. J’aimerais rester là ! Très longtemps, dans le velours de sa grotte tiède et humide, sentir ses seins, la douce pression de son corps et contre mon épiderme, le chaud soleil de cet après-midi de fin d’été.