n° 15819 | Fiche technique | 9922 caractères | 9922Temps de lecture estimé : 7 mn | 26/09/13 |
Résumé: Comment j'ai sodomisé ma collègue plus âgée que moi. | ||||
Critères: fh fplusag collègues poilu(e)s travail toilettes cunnilingu préservati fsodo | ||||
Auteur : Cuicui.Junior Envoi mini-message |
9 heures ; encore une journée de travail qui commence. La journée est belle, le soleil brille.
Une journée qui ne donne pas envie de travailler.
Comme tous les matins, je vais passer par le bureau de ma collègue Christine. Christine, superbe brune qui ne porte pas ses 54 printemps. Belle plante, grande et juchée sur des escarpins de 10 cm. Elle porte toujours des tailleurs avec une jupe mettant en valeur ses jambes gainées de bas. Sa poitrine généreuse – suite à une conversation, je sais qu’il s’agit d’un 95D – menace toujours de sortir de ses chemisiers.
Mariée, sa relation avec son mari n’est plus qu’une image de façade. Elle parle sans complexe de ses amants. Notre relation est basée sur l’amitié-séduction. Nous avons toujours des petites allusions coquines lors de nos discussions. Avec notre différence d’âge, elle me considère comme un gamin.
Ce matin, je la trouve dans son tailleur noir, perchée sur ses escarpins noirs. Je peux admirer ses jambes gainées de bas de la même couleur. Elle est penchée en avant, en train de ranger une armoire. Je ne peux refréner une soudaine érection suite à cette vue. Celle-ci doit être évidente avec mon pantalon de ville.
C’est à ce moment-là que Christine se retourne. Vu son regard et son sourire, je pense qu’elle a vu mon état. Elle se redresse et me lance :
Ce faisant, je m’avance pour lui faire la bise. Ses lèvres sont chaudes sur ma joue. Ma grande taille me donne une vue plongeante sur son décolleté. Je peux admirer ses seins prisonniers d’un soutien-gorge en dentelle noire.
Elle ne peut que voir mon regard, lorsque je lui réponds :
Tentant de reprendre une certaine contenance, je lance en rigolant :
Voulant changer de sujet, je lui dis :
Je pars dans mon bureau en repensant à cette vision délicieuse. Arrive notre réunion. Nous entrons dans la salle. Christine passe devant moi. Je suis juste derrière elle. De nouveau, mon regard plonge dans son décolleté… Je rêve ou j’ai l’impression que son soutien-gorge a disparu ? Elle se retourne et me regarde en souriant… Je crois voir ses tétons pointer sous son chemisier.
Non, cela ne se peut pas… Elle va s’asseoir en face de moi. Pendant toute la réunion, je ne peux détacher mon regard d’elle. Je la vois croiser et décroiser ses jambes… J’essaie désespérément d’apercevoir un morceau de tissu sous sa jupe. Elle le remarque et semble jouer encore plus… Malheureusement, je ne peux rien voir d’où je suis.
La réunion se passe et nous décidons d’aller à la cantine. Nous sommes les derniers à descendre dans l’escalier. Alors que nous marchons, elle se colle à moi et me dit :
Je sens alors sa main dans la mienne. Elle me donne quelque chose. On dirait un mouchoir… Elle me dépasse et continue son chemin. Je m’arrête et regarde dans ma main. Ce tissu noir, cette fine bretelle… Un string ! Je ne peux y croire, j’ai le string de ma collègue dans ma main.
Je dois être en train de rêver. Je me dépêche de la rejoindre dans la file d’attente. Je vois Christine qui sourit. Je regarde ses fesses. Je ne peux y croire. Pourtant, ce que je touche dans ma poche est bien du tissu.
Je dois en avoir le cœur net. À table, je m’arrange pour être en face d’elle. Par inadvertance, je fais tomber ma serviette. Je me penche pour la ramasser. Christine comprend mon intention. Pendant que je suis penché sous la table, elle écarte les jambes…
Là, je ne peux qu’être certain de ce que j’ai dans ma poche. En effet, sous cette table, je peux entrapercevoir un sexe ouvert. Des poils pubiens légèrement taillés. Elle écarte au maximum ses cuisses afin que je profite du spectacle. Lorsque je reviens à ma place, j’ai chaud et dois être rouge. Elle rigole en me voyant.
Le repas passe sans que j’écoute quoi que ce soit. Nous décidons de remonter et de prendre un café avec nos collègues. Arrivés dans la salle, Christine dit :
À peine ai-je eu le temps de répondre que me voilà chargé des tasses et je suis Christine dans le couloir. Direction les toilettes. À cette heure, les locaux sont vides. Elle entre dans les toilettes femmes avec la cafetière pendant que je reste devant.
Hésitant à entrer dans celles des hommes, je regarde autour de moi… Que faire ?
Oubliant ma timidité et excité par ce que j’ai vu ce midi, je décide de pousser la porte des femmes. Je la trouve penchée en avant sur le lavabo. Elle me regarde dans le miroir et me dit :
Je ne peux plus parler. Je suis obnubilé par ce fessier devant moi. Je pose mes tasses dans l’évier. Mes mains se posent sur ce superbe cul offert devant moi. Je le caresse à travers la jupe.
Trop tard, mes mains sont passées sous la jupe. Mes doigts caressent déjà ce sexe poilu. Au vu de l’humidité que j’y trouve et de ses jambes qui s’écartent, je sais qu’elle en a envie…
Mes doigts trouvent le clitoris et le caressent. Je la tire dans les toilettes et ferme la porte. Avant qu’elle n’ait le temps de réaliser, mes mains sont déjà dans son soutien-gorge. Elles jouent avec ses seins. Les caressent, pincent les tétons qui se dressent. Je pose ma langue dessus et commence à les aspirer.
Elle soupire. Pendant que me ma bouche mordille ses tétons, je la fais asseoir sur les toilettes. Je me mets à genoux devant elle et plonge ma bouche sur son sexe. C’est la première fois que je lèche un sexe poilu. C’est surprenant mais l’odeur m’enivre. Ma langue trouve le clitoris gonflé de plaisir.
Je le suce, l’aspire… Tourne dessus. Mes doigts sont déjà entrés dans son sexe. Je les fais tourner, les fais aller et venir. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle me caresse la tête, me la maintient contre son pubis. Mon nez est chatouillé par ses poils.
Elle gémit de plus en plus fort, se cambre. Puis, sans prévenir, elle resserre les jambes sur ma tête. Je suis prisonnier. Je sens qu’elle est prise de spasmes. Elle jouit sous ma langue. Je sens sa liqueur sur ma langue. Je ne bouge plus. Elle non plus.
Pendant qu’elle reprend ses esprits, je me redresse et sors mon sexe de sa prison. Il est fier et tendu. Je le présente devant sa bouche.
Elle voit dans mon regard ma déception. Je pensais qu’une femme comme elle serait une sacrée suceuse. Sans me laisser le temps de réagir, elle se lève à son tour et se met en levrette sur les toilettes. Je pense que le message est clair. Je sors un préservatif de ma poche et l’enfile sur mon sexe gonflé de désir. Je l’attrape par les hanches et me présente à l’entrée de son minou trempé.
Décidément, c’est la journée des douches froides. Je n’ai pas le droit non plus de goûter à cette grotte d’amour. Je suis déstabilisé et ne bouge plus. Sentant mon trouble, elle attrape ma verge par derrière et la pose sur sa petite rondelle. Je ne peux que comprendre ce qu’elle veut : allons-y pour la sodomie !
Je pousse, cela résiste un peu. Mais rapidement le sphincter cède sous la pression. Je vois mon gland qui disparaît dans cet orifice. Il semble aspiré. Vu comment il entre, je pense que je ne suis pas le premier à entrer dans son cul. Christine pousse des petits cris au fur et à mesure que j’avance. Nous risquons de nous faire repérer. Je sors son string de ma poche et je lui mets dans la bouche pour la bâillonner.
Je vois ses mains se crisper lorsque mon sexe investit complètement son fondement. Ça y est, je suis entré à fond. Ses fesses frottent contre mon ventre. Je ne bouge plus, savourant ce moment et lui permettant de se dilater un peu.
Je suis tellement excité que je sens que je ne pourrai me retenir longtemps. Je commence donc à faire des allers et retours dans ses fesses. Christine mord son morceau de tissu. Elle pousse des petits gémissements.
De mon côté, je sens que le passage est de plus en plus facile… J’accélère le rythme. Je sens que je vais jouir. Une dernière poussée sauvage et je sens que je viens dans le préservatif. Je le dis à Christine, et je sens que son anus se contracte sur mon sexe. Des contractions rapides et violentes. Elle jouit en silence.
Sans rien dire, je me retire. Je vois son anus ouvert. On ne dit rien. Christine est toujours en levrette. Elle ne bouge pas. Je retire le préservatif. Je sors des toilettes discrètement. Nous n’avons jamais évoqué la chose depuis ce jour, avec Christine. Mais grâce à elle, je peux dire que j’ai enculé une de mes collègues dans les toilettes. Un super souvenir.