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n° 15822Fiche technique8599 caractères8599
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/10/13
Résumé:  Emma découvre le plaisir via une trans...
Critères:  fbi init trans fdanus
Auteur : Emy  (Je suis Ema, j'aime les plaisirs de la vie.)      Envoi mini-message
Rencontre inattendue




Nous sommes un couple bi-lesbien. Je m’appelle Emma (27 ans, 1,72 m, 58 kg, 90D, brune, cheveux longs, assez sportive et aimant me mettre en valeur par des tenues sexy) et ma femme Angela (24 ans, 1,68 m, 55 kg, 95E, blonde, cheveux longs, des rondeurs là où il faut qui me font frissonner ; elle est le symbole de la féminité.).






Cette première aventure est un de nos fantasmes. Elle débute quand j’ai laissé Angela à la maison pour aller faire du shopping. Il y a beaucoup de monde dans mon magasin de fringues favorites, mais ce n’est pas grave ; je prends quelques tenues à essayer (pantalon, jupe, top, caraco…) puis je fais la queue aux cabines.


Enfin, une se libère. J’entre et ferme le rideau. J’aime cette ambiance où la musique et la chaleur s’associent dans un lieu clos. Je commence à enlever mon débardeur et mon pantalon pour essayer un caraco et un petit shorty. Une tenue de nuit sexy pour éveiller ma douce. Je me tourne et me regarde dans la glace. J’imagine l’image que je donne. Le caraco en maille douce est comme une seconde peau qui tranche par ses couleurs violet/rose et des bretelles en dentelle violette. Le shorty se passe de commentaire. J’enlève mon soutien-gorge pour cet essayage, une fois le haut en place. Je me sens très bien. Mes seins pointent au travers du tissu. Je me penche, pour voir si ce shorty moule bien mes fesses quand je remarque que le rideau de la cabine n’est pas tout à fait bien tiré.


Une femme brune me regarde (1,80 m, la trentaine, assez svelte, voire féline dans son attitude). Elle est la prochaine cliente à attendre l’accès à la cabine. J’ai envie de savoir si je rêve sur le regard que j’ai surpris. Je commence à enlever mon caraco et me retrouve torse nu, avec juste ce shorty et mes ballerines roses. Je me cambre pour faire ressortir mes formes et passe mes mains sur mon corps doucement. Mes seins pointent d’autant plus sous l’effet de ces caresses et de l’excitation que me provoque cette situation. Des frissons parcourent mon corps. Ma position fait aussi ressortir le piercing de mon nombril qui est empli par un petit diamant (faux). La brune me dévisage avec un sourire.


Excitée par ce jeu, je continue mon essayage en prenant soin à chaque fois de faire traîner les parties « déshabillage » et en ajoutant quelques caresses à ma peau.

Soudain, j’essaie une jupe et la voilà qui entre dans la cabine. Je rougis.



C’est vrai que l’excitation du jeu est montée d’un cran.

Excitée par cette intrusion, j’ai du mal à remonter la jupe. Ses mains douces mais fermes serrent mes hanches.



Mais au lieu de remonter ma jupe, elle la fait glisser au sol. Elle s’agenouille et je sens son souffle parcourir mon corps dans ce lieu exigu. Son visage au niveau de mon bas-ventre ; j’ai l’impression de sentir son souffle passer au travers de ma culotte et participer à l’humidité grandissante. Elle approche sa bouche et effleure mon sexe. Un frisson parcourt mon corps. Une simple culotte me protège de cette femme. D’habitude, j’aime m’exhiber devant ces femmes hétéros qui ne savent pas quoi penser de mon jeu ; mais là, je suis emportée.

Elle se relève et chuchote à mon oreille :



Je ne sais pourquoi, mais j’obéis. Je la suis dans le magasin de lingerie, juste à côté, qui est beaucoup plus calme.

Elle fait la bise à la vendeuse, lui dit quelque chose à l’oreille avec un sourire puis m’entraîne à la cabine d’essayage.



Après quelques secondes, elle revient avec deux ensembles à essayer. Elle s’appuie au fond de la cabine, la main entre ses cuisses, et fait un délicat mouvement haut-bas. J’ai eu le temps de la détailler pour la première fois. Elle a un look félin avec sa robe noire longue et moulante, mais échancrée aux bons endroits. Un décolleté met en valeur des petits seins sûrement très fermes. L’échancrure sur les jambes accentue l’effet de longueur. Ses cheveux raides mi-longs encadrent un visage aquilin dont les yeux entourés de mascara ressortent pour me captiver. Déjà lors de mon arrivée, sa prise de main sur mon poignet m’avait électrisée ; mais là, dans cet espace, je vibre. Sur ses escarpins, elle fait très fine, supérieure, et j’aime cela.


Je me déshabille lentement. Une fois nue, je fais un tour sur moi-même et la fixe dans les yeux. Elle a entrouvert sa bouche et j’imagine qu’elle aussi a le cœur qui bat fort. Sa main fait de discrètes caresses à son entrejambe. J’enfile l’ensemble string-corset (que je vais devoir acheter car je l’ai tout mouillé). Elle le compas dans l’œil : il me va comme un gant. Je me sens à la fois vulnérable et terriblement sexy. Je me cambre et joue avec mon corps.


Elle s’approche de moi et sans un mot embrasse ma nuque puis ma bouche ; nos langues se mêlent. Mon cœur palpite. Mes mains caressent sa peau à travers le tissu de la robe. Celle-ci semble très fine. Je trouve la fermeture dans son dos et la descends. Je me recule pour apprécier l’instant. Sa petite poitrine est bien gonflée avec de petites aréoles sombres et quelques grains de beauté. Je vois jusqu’à son nombril. Un corps très épuré et parfaitement fin, presque androgyne.


Elle s’agenouille et sans hésiter écarte mon string pour fouiller ma chatte avec sa langue et ses doigts. Nous passons de l’excitation à la douceur pour être dans la sexualité animale. Nos sens sont en éveil et nos corps véhiculent les sensations.

Mon corps frissonne, je laisse échapper des soupirs. Je caresse ses cheveux et ma poitrine. Sa langue titille mon anus puis ce sont ses doigts couverts de ma cyprine qui entrent sans effort. Après quelques va-et-vient, je suis au bord de l’extase et me retiens de hurler. Elle se relève, m’embrasse, me fait goûter mon jus. Je veux lui rendre la pareille. Je descends sur sa petite poitrine dont je lèche les tétons ; ils sont tout durs et elle crie de plaisir quand je les mordille. Puis je m’agenouille et enlève sa robe qui tombe au sol.

Je m’approche de son antre et baisse sa culotte, un slip brésilien très coloré au contraire de sa tenue.

Je recule : au lieu d’une chatte, c’est une queue. Petite, toute épilée, mais toute dure sans aucun doute.



Je me reprends et laisse parler mon corps. Ma bouche se met à avaler sa queue. Ma langue lèche son gland, descend le long de sa verge, gobe ses boules. Je fais quelque va-et-vient dans ma bouche en avalant sa queue et en la serrant contre mon palais. Un râle sort de sa bouche. Ses mains se crispent sur ma nuque.


Une femme-homme ; mmmmm… quelle sensation enivrante ! Je me lève, écarte mes jambes et elle plonge en moi. Mon corps et le sien se déchaînent. Je sens sa queue en moi et ses seins sur les miens. Elle me prend vigoureusement en tenant mes hanches. Je presse ses seins et bois à sa bouche. Je suis au bord de l’orgasme. Elle aussi. Je vibre. Elle sort de moi. Je me tourne et écarte mes fesses pour lui offrir ma petite rosette sans aucune honte. Mon corps réclame. Ahhhhh… elle/il entre sans effort, puis fait un mouvement doux avant de l’accélérer. J’aime ce contact. Ses seins appuient sur mon dos, et elle décharge aussitôt. Les jets de sperme me font jouir à mon tour.

Je prends toute sa semence puis lui dis sans m’en rendre compte :



Elle s’agenouille et obéit. Sa langue pénètre mon anus ; je pousse fort et son jus ressort par petits paquets. Elle avale son jus puis vient m’embrasser fougueusement pour partager sa semence. Je me blottis dans ses bras et lui propose de venir à la maison à la fin de nos courses : je veux la présenter à ma Douce.