n° 15830 | Fiche technique | 7886 caractères | 7886Temps de lecture estimé : 5 mn | 07/10/13 |
Résumé: Recueil de sperme. | ||||
Critères: fh couple hsoumis fdomine humilié(e) confession | ||||
Auteur : Mari Amant (En couple pour l'amour) |
Seul, je ferme les yeux, et je m’imagine encore à sa merci :
Ma femme, superbe, mais égoïste, elle mélange son métier et notre vie intime.
Je suis devenu son amant, sa chose, elle m’élève et me dresse.
Un après-midi, lendemain d’une soirée torride durant laquelle je me suis complètement livré, je lui obéis, et elle agit.
Dans le salon, volets ouverts, elle m’attend.
Elle me regarde, m’inspecte et attend en silence.
Elle attend que je sois prêt à la servir et à assouvir ses besoins.
Je m’exécute, je me déshabille délicatement, déboutonne la chemise, l’enlève sous ses yeux insistants, dégrafe ma ceinture, dezippe ma braguette, laisse tomber aux pieds mon pantalon.
Son regard se fait amusé par mon hésitation, un léger rictus ironique amplifiant cette attitude troublante qui me donne des frissons le long du dos.
Elle connaît mes penchants pour le sucré-salé, pour les caresses-griffures, pour le plaisir-douleur. Elle sait que parfois je me soulage en regardant des vidéos SM, en lisant des récits d’homme soumis.
Dans sa blouse blanche je devine sa nudité, ses seins lourds aux aréoles très marquées. Ses seins qu’elle aime me laisser humer avant de les sucer. Je devine ses aisselles lisses et odorantes que j’aime goûter pour son plus grand plaisir.
Son dos, tant sensible à mes ongles, qu’elle exhibe en préliminaires à nos ébats. J’imagine son pubis soigné, taillé par mes soins, et parfumé de son odeur. Je me souviens des minutes que je suis obligé de passer à lui épiler les lèvres et la raie. Aux coups de ciseaux que je porte à ses poils pubiens tellement frisés.
Je revois sa chatte chaude et humide et je revis ces moments où elle m’oblige à lui adoucir la peau de ma salive, elle adore ma langue râpeuse sur sa peau. Elle s’énerve de sentir mon souffle haché entre ses jambes.
Je continue à m’effeuiller, j’abandonne ma chemise qui tombe doucement, je dégage mon pantalon, je le laisse glisser le long de mes jambes, finissant d’habiller mes chevilles.
Hésitant, je dégage mes chevilles, je descends doucement mon boxer, dévoilant ainsi ma toison subtilement taillée, je libère ma verge déjà à demi tendue, je dégage mes bourses glabres et pendantes. J’attends ainsi ses désirs, et ses envies.
Je m’exécute d’un pas, trahissant mon indécision.
J’attrape ma bite de la main droite et lui présente mon gland, en remontant fortement la hampe. Ma main enserre comme un fourreau ma virilité, et je redresse mon torse pour éviter le frisson qui commençait à pointer.
Je me masturbe sous ses yeux, je serre et je desserre l’emprise de ma main, je titille mon prépuce, je caresse mes bourses de ma main gauche. Elle, silencieuse, s’amuse de mon petit jeu. Énervée, elle bouge ses lèvres, se les humidifie du bout de sa langue. Je continue en la regardant s’exciter.
Et je pense fortement à l’odeur de sa chatte, au parfum de sa mouille, à l’onctuosité de son liquide blanchâtre. Je repense à la première fois où je l’ai goûté, où son parfum m’a rempli la bouche, où ma langue s’est délectée de sa viscosité.
Impatiente, elle me pince le téton gauche, et s’amuse à le torturer, l’étirer, le gratter. Cette douce torture accélère mon excitation et rend mon érection solide. Elle me fixe dans les yeux, en continuant cette douce humiliation.
Elle ressent mon incohérence, celle qui me partage entre la douleur et le plaisir, celle qui bataille mon sens de la jouissance, à celui de la servitude.
Elle m’avait fait découvrir cette douce punition. En premier lieu, honteux de cette pratique plutôt féminine, elle m’avait appris à l’accepter, et à la réclamer. Incontournable dans nos jeux, elle ne peut se passer de me titiller la poitrine, repensant assurément aux jeux avec ses copines d’adolescence lorsqu’elle découvrait les joies de l’attouchement entre filles.
Alors elle attrape d’une main la canule, tout en émettant des faibles gémissements se voulant rassurants.
Elle me tartine le gland de gel, et le patine en frottant de ses doigts. De temps à autre, son regard se porte sur le mien, elle ressent mon appréhension et continue à s’en amuser.
Elle pince mon prépuce, puis s’amuse à essayer d’y enfoncer l’ongle de son index. Je tressaille et elle en rigole.
Elle pince le gland et ainsi mon petit trou s’entrouvre. Alors elle approche la canule, me frotte l’orifice sur le bout. Je me sens désespéré pour cette première fois. Je me contracte en espérant ne pas souffrir.
Et doucement, elle appuie pour faciliter l’introduction. Elle vise, et laisse couler un filet de salive sur cette partie. Je ressens une gêne, une douleur, une brûlure au bout de mon pénis, et je laisse échapper quelques râles salvateurs.
Je ressens le tube s’enfoncer doucement dans ma verge, cela gratte, cela tire, cela m’excite, je me caresse les tétons, je les pince. Le tube continue à s’introduire, son souffle se fait irrégulier.
Elle décide de tirer sur mes bourses, elle les écrase sans les blesser. Elle laisse ensuite sa main naviguer vers mon périnée. Elle joue avec sa peau tendre et lisse. Ses doigts cherchent le chemin de mon sillon, j’en facilite l’accès en écartant un peu plus mes jambes.
Elle continue à m’humilier, moi qui ai toujours refusé cette pratique.
Alors, elle m’enfonce brusquement son doigt dans ma rondelle, en me regardant, souhaitant observer dans mon regard la surprise, la douleur, et la délivrance.
Je sens mes couilles se contracter, mon anus se resserre, et je sens l’orgasme pointer.
Elle m’embrasse, et me remplit la bouche de sa langue. Elle cherche ma salive, et souhaite s’en abreuver. Et enfin, je jouis, je râle, j’en ai mal. Ma sève circule dans la canule, et remplit le réservoir.
Elle ôte délicatement la canule.
Elle est partie, je me retrouve seul, les couilles vides et le prépuce dilaté.
J’attends quelques instants et je vais me doucher.