n° 15837 | Fiche technique | 18364 caractères | 18364Temps de lecture estimé : 12 mn | 11/10/13 |
Résumé: Je rentre à la maison pour retrouver ma femme en train de sucer un autre mec sur notre canapé. | ||||
Critères: fh fhh frousses grosseins fépilée photofilm hmast intermast fellation pénétratio double sandwich fsodo | ||||
Auteur : Homer839 Envoi mini-message |
C’est samedi soir ; il est vingt-et-une heures, et je rentre du boulot. Comme souvent, ma femme m’attend patiemment à la maison après sa journée, sûrement en train de jouer à un jeu en ligne ou de surfer en écoutant de la musique. Je pousse la porte d’entrée de notre petit immeuble de banlieue dans une cité-dortoir sans prétention. L’air frais est empli de différentes musiques.
Mais pour une fois, c’est de mon appartement que la musique sort le plus fort : des tubes des années 80 ; mais après tout, c’est samedi, et à cette heure-là, c’est pop kitsch sur la 177. J’ouvre la porte en fredonnant un air de disco, j’arrive enfin chez moi. Un couloir où trône un meuble à chaussures dans lequel je range les miennes, puis je remarque une paire inconnue : des baskets de marque. Je referme le placard et poursuis mon chemin. Un guéridon avec un vase et des fleurs artificielles, un téléphone, décroché. Un grand placard dans lequel je range ma veste. Je retrouve une veste que je ne connais pas, puis mes yeux descendent pour voir un peu le bazar que je vais devoir ranger ce week-end ; mais là, je trouve un jean laissé en plan, poussé contre les cartons. Curieux, je regarde donc ce pantalon, appartenant clairement à un homme : ma femme n’était donc pas seule ce soir…
Amusé, je prends mon temps et passe par la cuisine ; en rentrant à la maison, il me faut toujours un café. À ma grande surprise, je trouve le café déjà fait et toujours en train de chauffer, un petit mot devant ma tasse et l’appareil photo numérique. En me servant, je lis le mot de ma femme m’invitant à me servir et à boire en regardant le contenu de l’appareil. Étant un homme bien élevé et obéissant – mais surtout friand de café et curieux – je m’exécute, m’asseyant à la table de notre cuisine. Alors que la musique va toujours bon train, je sirote ma boisson en regardant les photos.
Je la vois, ma belle rousse à la peau blanche, des yeux bleus malicieux et un sourire enjôleur, vêtue d’une petite robe rouge décolletée et échancrée dans le dos, ses longs cheveux flamboyants tombant jusque sous ses omoplates. Sa généreuse poitrine retenue dans un petit soutien-gorge rouge à dentelle noire, exagérant encore un peu plus le décolleté dans lequel je me perds avant de passer à la photo suivante.
Je la connais joueuse, coquine et perverse ; mais là, celle-là me surprend tellement que j’en avale mon café de travers : elle se tient devant la glace, la robe sur les hanches et son petit ventre, ses quelques formes rajoutant à son charme et ses courbes généreuses ; elle exhibe fièrement ses longues jambes, mais surtout son entrejambe, fraîchement rasé de près et l’absence de dessous. Cette vue sur son sexe ainsi exhibé et sa robe mettant en valeur sa délicieuse poitrine m’excite. Elle s’est faite belle et coquine pour sortir, et cela ne fait qu’attiser ma curiosité. Je continue donc.
La suivante me montre enfin qui est son invité : un homme, la trentaine. Un grand brun vêtu de la veste que je reconnais, et du jean qui a été abandonné. Un mec qui prend soin de lui, bien coiffé et bien rasé, propre sur lui, un regard ténébreux, une mâchoire bien dessinée sans être massive. Encore un de ses beaux gosses, mais j’avoue qu’elle a bon goût. S’ensuivent quelques photos prises ensemble dans l’entrée de l’immeuble, où les deux semblent s’amuser ; quelques mains baladeuses prises en flagrant délit, quelques léchouilles baveuses, puis un baiser langoureux immortalisé d’une façon un peu hasardeuse alors qu’elle le plaque contre les boîtes aux lettres en se collant à lui ; on devine aisément ses mains sur les hanches de ma belle.
Puis vient une série de photos qui me font sourire, me rappelant les jeux que nous avions en arrivant dans cet appartement. Ils sont dans l’ascenseur, collés l’un à l’autre, s’embrassant amoureusement. Quelques caresses bien placées attirent mon regard sur l’entrejambe du jeune homme qui a pris du volume sous les baisers et cajoleries de ma rousse qu’il semble prendre un malin plaisir à caresser, allant jusqu’à libérer un des lourds seins blancs de sa prison d’étoffe. Puis je les vois dans le couloir menant à mon appartement, lui la tête collée à sa poitrine, lui dévorant avec gourmandise son mamelon, elle la main sur la verge de l’homme, caressant ce membre tendu d’une belle longueur, qu’elle a libéré du jean.
La suivante a été prise par lui, avec une vue plongeante sur ce qui se passait. Je reconnais le sol devant mon placard et le jean sur les chevilles, ma femme accroupie devant lui, le membre dans sa main droite, se tenant à la jambe de son partenaire de l’autre main, le visage faisant face à l’appareil ; je la vois, ses yeux mi-clos, esquissant un sourire complice et aguicheur à l’attention du photographe, ses lèvres lovées sur le bout du sexe de l’homme qu’elle garde en bouche avec beaucoup de plaisir.
Puis ils s’arrêtent dans la cuisine ; je vois le café qui commence tout juste à passer. Ma douce est assise sur le plan de travail, la robe remontée et sa lourde poitrine libre, à peine soutenue par la légère étoffe de sa tenue et l’armature de son soutien-gorge, les jambes écartées pour laisser la place à son amant agenouillé à son tour devant elle, les mains sur ses fesses, alors que son visage est blotti contre le sexe de mon aimée.
Malheureusement pour moi, c’était là la dernière photo, et également la fin de ma tasse de café ; mais mon excitation est à son comble. Gardant l’appareil en main – et après m’être resservi une tasse de cette boisson caféinée – je me dirige vers le salon où je sais que je retrouverai ma douce et son amant. J’avance alors, mes pas couverts par le son entraînant de Born to be alive. Doucement et discrètement, je pousse la porte du salon. Devant, une lourde table en chêne et quatre chaises ; sur la gauche, un canapé convertible trois places, une petite table basse en bois, posés tous deux devant la télévision allumée sur la 177.
Je retrouve le compagnon de jeu de ma femme, assis sur le canapé et complètement nu, les vêtements simplement abandonnés par terre. Un bel homme pour sûr, la musculature fine et saillante sans être exubérante. Les mains caressant les épaules et les cheveux de ma femme qui s’est fait une place entre ses cuisses, la robe abandonnée au sol. Seul reste son soutien-gorge qui a depuis longtemps été abaissé pour rendre leur liberté à ses deux lourdes mamelles à la peau blanche. Une de ses mains posée sur la cuisse de son ami, l’autre sur la hampe de chair qu’elle caresse d’un mouvement vertical alors que ses lèvres entrouvertes laissent échapper sa petite langue qui titille le gland de l’homme. Je reste ainsi un instant, la regardant déguster ce membre avec l’appétit que je lui connais pour les belles verges ; et c’est amusé que je vois son amant se crisper légèrement sous le plaisir qui l’envahit, puis la légère grimace de ma compagne qui accueille la semence de l’homme dans sa bouche sans en perdre une goutte. Amusé et excité par ce spectacle, je ne puis me retenir de m’adonner à quelques caresses.
Je fais enfin mon entrée silencieusement dans le salon, alors que ma femme ne quitte pas sa place et maintient son emprise buccale sur le membre du jeune homme, l’empêchant de se lever. Elle m’adresse un regard complice et coquin des plus excitants, alors que son partenaire me regarde entrer, l’air surpris et légèrement gêné. Sans même lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, je m’avance vers lui, souriant et lui tendant la main.
Je peux lire la surprise sur son visage ; il ne devait pas du tout s’attendre à cet accueil de ma part.
Ma femme, ne se relevant pas pour autant, continuant de flatter le membre tendu de l’homme, me regarde en souriant.
Il hoche simplement la tête en signe d’approbation, alors que ma femme vient de sa main libre ouvrir mon pantalon pour caresser mon sexe, alors que mon jean finit sur mes chevilles. Je vois vite la surprise se dessiner sur le visage de notre convive qui ne s’attendait visiblement pas à se retrouver dans cette situation, alors que ma femme me pousse sur le canapé aux côtés de Max avant de se glisser entre lui et moi, toujours à genoux devant nous, honorant nos verges de ses caresses. Amusé et excité par la situation, je tends l’appareil photo à Max en lui adressant un sourire bienveillant.
Je n’ai pas attendu longtemps pour le voir se détendre enfin et s’habituer à ma présence. Ma femme nous rapproche l’un l’autre. Restant entre nous, elle continue de caresser avec attention le bout de la verge de Max, couvrant son gland des dernières gouttes de sperme qui ornent son sexe, le fixant avec une envie manifeste alors qu’elle se penche vers moi jusqu’à venir plaquer ses douces lèvres chaudes sur ma hampe, remontant lentement sa bouche vers le haut de mon pénis sous les yeux ravis et voyeurs de notre compagnon, qui ne loupe rien de cette scène qu’il immortalise dans la mémoire de cet unique œil voyeur.
Finalement, madame abandonne la verge de Maxime pour venir se placer entre mes cuisses, que j’écarte pour l’accueillir alors qu’elle vient lover sa petite bouche sur le haut de mon pénis, le titillant du bout de sa langue, faisant monter en moi un frisson de plaisir, qu’elle accompagne d’un délicieux mouvement, venant se cambrer largement devant moi, les jambes écartées et la croupe tendue, exhibant son intimité et son petit trou à qui le veut.
Visiblement surpris par ce soudain abandon d’attention de la part de ma femme, Max hésite un instant, cherchant une réponse du regard en m’observant ; d’un léger mouvement de tête, je lui indique les fesses rebondies de ma femme qui, gourmande, épouse de ses lèvres et de sa langue toute la longueur de ma verge qu’elle suce, répandant généreusement sa salive sur ma hampe, la laissant glisser jusqu’à mes bourses.
Max suit donc mes indications et prend place sur une chaise qu’il tire de la table pour se mettre face à moi et ma douce rousse. Gardant l’appareil photo d’une main, il prend sa verge de l’autre et se masturbe légèrement en observant le spectacle qui s’offre à lui, avant de le figer lui aussi dans la mémoire binaire, puis de venir me montrer la vue imprenable qu’il a depuis la chaise sur l’anus de ma femme qui lui est tendu et offert, et sur sa conque rasée, suintante de cyprine, les lèvres légèrement écartées par la position prise, comme une invitation à la prendre.
Il ne se fait d’ailleurs pas longtemps prier, et vient rapidement s’agenouiller derrière elle, caressant ses fesses d’une main, l’autre continuant de le masturber. Il cajole la croupe de ma douce jusqu’à venir titiller son orifice d’un doigt délicat, le frôlant juste, attention qu’elle accueille d’un léger frisson d’excitation, étouffant un petit soupir de plaisir en enfonçant mon sexe plus encore dans sa bouche, sa langue s’enroulant tout autour dans une caresse qui m’arrache un gémissement. Puis il s’approche des hanches de ma femme qu’il saisit d’une main, guidant de l’autre sa hampe jusqu’à l’antre chaud et accueillant qu’il pénètre dans un soupir d’aise.
Voir ainsi un autre homme prendre ma femme m’excite au plus haut point, et sentir la langue experte de ma douce aller et venir sur mon sexe qu’elle garde en bouche m’excite encore plus ; elle le sait, accentuant et appuyant un peu plus ses coups sur la base de mon gland. Je la sens et la vois frissonner alors qu’il se glisse en elle, ses mains posées sur ses hanches qu’il caresse, sur ses fesses qu’il malaxe, avant de commencer de lents et petits mouvements de va-et-vient. Puis il reprend l’appareil, se penchant légèrement en arrière pour exhiber devant l’œil unique de la machine sa verge encore à moitié présente dans le sexe de ma compagne. Amusé de le voir prendre cette scène en photo, je lui tends la main pour prendre l’appareil à mon tour, venant immortaliser la fellation que me fait la douce rousse qui s’offre à nous, puis grave dans la mémoire électronique notre joueur d’un soir, les mains sur la croupe de notre compagne.
Ne me connaissant que trop bien, elle sent le plaisir monter en moi. Je me crispe sous ses coups de langue donnés au rythme lent et profond des mouvements de bassin de Maxime qui, non sans plaisir, va-et-vient en elle, savourant chaque instant, se mordant les lèvres pour réprimer de petits gémissements alors que je sais très bien que ma chère et tendre resserre son étreinte sur la belle verge qui l’envahit, exacerbant leur plaisir mutuel. Je profite en silence de ce spectacle qu’ils m’offrent tous deux et des petits bruits humides que cela produit.
Puis soudainement, alors que je suis sur le point de jouir sous ses caresses buccales, elle se redresse, m’adressant un sourire moqueur des plus coquins, et s’avance légèrement, rompant le corps-à-corps qu’il avait engagé un peu plus tôt ; et sans dire un mot, venant prendre nos verges à pleines mains, elle se remet à nous caresser l’un l’autre. Elle nous guide vers un état d’excitation intense où nos seules envies sont de la prendre jusqu’à ce qu’elle nous supplie d’arrêter. Mais il n’en est rien, car elle amène Max jusqu’au canapé où elle le fait s’asseoir de nouveau avant de se glisser entre ses jambes pour venir lécher toute la longueur de sa hampe qu’elle masturbe fermement.
Son autre main ayant libéré enfin mon sexe bien dur et luisant de sa salive, je me dirige vers l’appareil photo qui avait été abandonné à même le sol, pour venir capturer cette petite attention qu’elle offre de sa langue à la verge de notre compagnon. À la voir ainsi accroupie devant lui, son membre dans la bouche et la croupe légèrement tendue en arrière, je ne peux m’empêcher de venir à mon tour caresser la conque de ma compagne, caressant délicatement d’une main les lèvres humides avant de laisser mon majeur s’aventurer là où quelques instants plus tôt se trouvait ce membre qu’elle déguste goulûment.
Finalement, elle ne me laisse que très peu profiter de la douceur de son intimité ; elle se glisse contre Max, remontant tout le long lentement, couvrant son corps de baisers et de caresses, jusqu’à venir prendre appui de ses mains sur les épaules du jeune homme pour passer ses jambes de part et d’autre de celles de son amant d’un soir, posant son sexe luisant d’excitation sur sa verge, sur laquelle elle s’empale dans un gémissement de plaisir étouffé par un baiser fougueux.
Elle m’offre ainsi une vue superbe sur ses lèvres écartées par la verge noueuse qu’elle fait très lentement coulisser en elle jusqu’à la faire disparaître en elle dans un petit cri commun, et moi je ne peux m’empêcher de me caresser devant un tel spectacle que je photographie. Amusée et visiblement excitée par le fait de me voir me masturber devant elle, et aussi par son amant en elle, qui profite à pleines mains de la lourde et volumineuse poitrine à la peau blanche de ma femme, venant lécher ses tétons et goûter la moindre partie de ses seins, elle me fait venir jusqu’à elle, debout à côté du couple. Elle s’empare de ma verge qu’elle revient prendre en bouche goulûment, puis elle se cambre en ondulant du bassin, faisant aller et venir la queue tendue de son amant dans son intimité, me rendant ma liberté en m’invitant du regard à venir me joindre à eux, ses fesses rebondies tendues vers moi. Je ne me fais pas prier et viens me glisser dans son dos, ma verge en main que je guide jusqu’à son anus qu’elle m’offre. Je sens alors mon gland forcer son orifice jusqu’à y introduire lentement toute la longueur, alors qu’elle tremble de plaisir sous la présence de nos deux sexes en elle, avant de reprendre doucement son ascension le long de nos verges.
Je me blottis tout contre elle, passant mes bras autour jusqu’à saisir ses deux seins de mes mains, les malaxant fermement en les offrant tour à tour a la bouche de notre partenaire, qui prend un malin plaisir à lécher et mordiller les tétons durcis de ma femme, étouffant des petits gémissements sur l’opulente poitrine de la rousse tremblante sous les coups de reins que nous lui donnons de concert, accompagnant ses lents mouvements de bassin jusqu’à l’entendre étouffer ses petits cris – elle d’habitude si discrète et silencieuse – entre ses lèvres serrées, se crispant de tout son corps, son anus se resserrant autour de ma verge, faisant monter en moi le désir et, reprenant le dessus, donnant de longs et puissants coup de reins en son fondement, je ne me retiens pas de venir et laisse mon sperme l’envahir avant de me rendre compte que notre compère venait quelques instants plus tôt lui aussi de se laisser aller à jouir.
Je me retire des fesses de ma douce pour venir m’asseoir à côté de Maxime, ma femme se laissant simplement glisser jusqu’au sol, assise à nos pieds, un léger sourire fatigué aux lèvres. Elle gratifie nos membres encore tendus d’une petite fellation bien sentie avant de se relever en nous regardant tous deux.