n° 15843 | Fiche technique | 10499 caractères | 10499Temps de lecture estimé : 7 mn |
14/10/13 |
Résumé: Deux élèves aux toilettes. |
Critères: fh école toilettes cunnilingu anulingus uro humour |
Auteur : Samuel Envoi mini-message |
Voilà pourquoi les élèves français sont faibles en anglais
- — Tais-toi ! Nous allons nous faire repérer !
- — Je n’en peux plus…
- — Garde ton calme, bon sang !
- — Comment veux-tu…
- — Chut !
- — … alors que tu as tes mains sur…
- — On vient ! Tire la chasse !
- — … mes seins.
- — Tu as les tiennes dans mon slip et je reste cool.
- — C’est que tu ne m’aimes pas comme je t’aime.
- — Coralie !
- — Ou alors que tu as tellement l’habitude qu’une fille…
- — Chut !
- — … te caresse les testicules que tu es blasé.
- — Mais non, la dernière qui m’a caressé comme ça, c’était toi.
- — Mais je ne t’ai jamais caressé comme ça !
- — Mais si ! Souviens-toi.
- — Non, j’en suis sûre !
- — Ou bien c’est Sébastien qui m’a raconté que tu lui as fait ça.
- — Oui, Seb, c’est exact. Mais pas toi, alors ?!
- — Il me l’a raconté tellement bien que j’ai cru que je l’avais vécu.
- — Et d’ailleurs, pourquoi il raconte tout à n’importe qui, celui-là ?
- — Je ne suis pas n’importe qui.
- — Fous-moi à poil !
- — Dans les chiottes ?!
- — J’adore !
- — Merde, on vient. Tire la chasse !
- — Encore !?
- — Le mieux serait que tu pisses.
- — En vrai ?
- — Mais oui, en vrai. Je ne vais pas faire : « psss » avec les lèvres…
- — Ça marcherait pas.
- — … alors que tu as tout ce qu’il faut pour le faire en vrai.
- — Et toi, pourquoi tu ne le ferais pas à ma place ?
- — Figure-toi qu’on ne peut pas pisser pendant qu’on bande.
- — Bon, bon. Tu vas regarder ?
- — Il y a intérêt. Tâche que ça s’entende. Sinon il y en a qui vont frapper à la porte.
- — Mais pourquoi tu montes sur les chiottes ?
- — Parce que sinon sous la porte, on voit qu’il y a quatre pieds, banane.
- — J’arrive pas à pisser. Trois gouttes, c’est tout.
- — Force-toi un peu. Et puisque je suis à la bonne hauteur…
- — Je suce, j’ai compris.
- — Tu sais, je suis d’accord pour rater la physique, mais l’anglais j’y vais.
- — Suce et pisse, bon Dieu !
- — Merde, on frappe !
- — Occupé !
- — Tu es con ! C’est toi qui réponds et comment je fais pour sortir de là maintenant ?
- — Tu n’avais qu’à répondre, toi !
- — Mais tu me dis de sucer. Faudrait savoir !
- — Je t’avais dit surtout de pisser.
- — On fait ce qu’on peut.
- — En pissant, tu pouvais répondre : occupé.
- — Si j’avais pissé, il n’aurait pas frappé.
- — Moi, je peux sortir, mais j’ai la gaule…
- — J’ai compris…
- — Ah, c’est bon ! C’est Broadway ! C’est Paris-Saint-Germain !
- — C’était bien la peine de me dire de fermer ma gueule.
- — T’es quand même une sacrée pipeuse.
- — Dis donc, si tu sors et qu’un mec rentre aussitôt ?
- — Un mec que tu ne connais pas ?
- — Mais même un mec que je connais !
- — Non, si c’est un mec que tu connais, ça s’arrange…
- — Mais je t’explique que je veux aller en anglais !
- — Putain, j’entends la voix du surveillant général !
- — Tu ne bandes plus ; tu peux pisser.
- — Alors dégage ! Ca fait une demi-heure que tu es assise !
- — Pisse sur moi !
- — Tu es folle !
- — J’adore !
- — Je ne peux pas : ça me fait bander.
- — Vous êtes compliqués, les mecs ; nous, on fait tout en même temps.
- — Et puis tu vas aller en anglais en puant la pisse ?
- — La pisse de mec, c’est pas tellement fort, je trouve.
- — Tire la chasse, le voilà !
- — Qui ?
- — Le surgé !
- — Comment tu sais ?
- — T’entends pas ses godasses en croco ? Clap… clap… clap…
- — Il vient par ici… Putain, je panique…
- — Il est parti. Ouf !
- — Tu sais, il paraît qu’il couche avec la prof de gym.
- — Non !? La mère Brigitte ?
- — Non, idiot, la jeune. Mlle Lacroche.
- — Tu crois ?
- — C’est Améthyste qui les a vus couchés sur un tapis de sol.
- — Ça veut rien dire.
- — Sauf qu’ils ont eu l’air surpris.
- — Ça ne veut toujours rien dire.
- — Et que sous le tapis de sol, elle a trouvé une culotte…
- — Évidemment, là, ca veut peut-être dire…
- — Améthyste a pris la culotte.
- — Elle est gonflée !
- — T’imagine Lacroche ce soir-là…
- — … avec ses jupes hyper courtes…
- — Et à poil dessous ! Elle devait baliser !
- — Tu me refais bander avec tes histoires.
- — Prends-moi. Tant pis pour l’anglais.
- — En plus, on va être tranquille ; ils sont tous rentrés en cours.
- — Tu vas t’installer comme un prince sur le trône.
- — Je vais enfin m’asseoir…
- — Tous les rois devraient être comme cela.
- — Le gland décalotté ?
- — Oui, et le sceptre dressé.
- — Quel spectacle pour les enfants !
- — Eh bien, la reine monte alors sur le roi et on ne voit plus rien.
- — C’est vrai : je cache mon érection dans ton vagin. C’est décent.
- — On voit juste un peu ma touffe.
- — C’est mignon.
- — Tu sais que ma sœur s’épile complètement ?
- — Elle a quel âge ?
- — Vingt-deux.
- — Et toi, tu le ferais ?
- — Je ne sais pas. Dans la classe, il y en a deux qui l’ont fait.
- — Elles ont montré ?
- — Oui ; on dirait des bébés.
- — Bon, tu t’excites un peu ? On s’endort.
- — Ta verge n’est pas grande, mais elle remplit bien.
- — Merci.
- — Sébastien, il en a une plus grande.
- — Je sais.
- — Vous avez fait un concours de bites ?
- — Non, mais on sait.
- — Oui, même les filles savent. Ouaf ! Ouaf ! Ouaf !
- — Très drôle…
- — Ouaf ! Je suis morte de rire ! Ouaf !
- — Tu devrais te faire opérer du rire…
- — Putain, j’en peux plus, je pisse de rire !
- — Non, arrête ! Mais merde, c’est moi qui vais puer la pisse…
- — Ouaf ! Ouaf ! Ouaf !
- — … quand je vais aller en sport !
- — Et la pisse des filles, c’est plus fort ! Ouaf !
- — Il doit y avoir personne ; je fonce aux lavabos.
- — Personne ?
- — Non, personne. Tu peux venir au moins te rincer rapidement.
- — Putain, c’est génial d’être à poil dans le lycée !
- — Moi, ça me stresse plutôt !
- — Moi aussi, mais en même temps je mouille…
- — Normal, avec la flotte, qu’on se mouille.
- — T’es con ; ça se voit sur ta figure.
- — Tu as eu tort de me traiter de con.
- — Ah oui ?
- — Oui, parce que ta culotte, tu peux faire une croix dessus.
- — Rends-moi ça !
- — Non, le con ça se voit sur ma figure et figure-toi ça se voit aussi plus bas chez toi.
- — Arrête un peu ton cinéma ! Tu as vu le vent qu’il fait dehors ?!
- — Tu feras comme Mlle Lacroche. Tu serreras les fesses.
- — Écoute, si tu me la rends…
- — Eh bien…
- — Je te ferai un cadeau.
- — Une pipe ?
- — Plus que ça.
- — Je devine…
- — Ouais, j’ai décidé de sauter le pas pour la sodomie. Alors…
- — Parce que la mienne n’est pas grande ?
- — Non, parce que je t’aime bien.
- — Quand ?
- — Je n’ai pas décidé encore, mais c’est avec toi que je le ferai la première fois.
- — Tu me signes un papier ?
- — Tu rigoles ou quoi ? Pour que tu ailles le montrer à toute la classe !
- — Il me faut une date. Une date limite.
- — Tu es chiant ! Écoute, j’ai toujours tenu mes promesses.
- — Je ne sais pas.
- — Si. Je t’avais dit que je te sucerais au cinéma, je l’ai fait.
- — Ouais, mais c’était pas…
- — Mais je débutais quasiment !
- — Je veux quelque chose dès ce soir.
- — Mais quoi !? Je t’ai tout fait aujourd’hui merde ! Pompé, baisé…
- — Lèche-moi le cul.
- — Quoi ?
- — Tu as bien entendu. Sinon pas de culotte pour la soirée.
- — Que je te lèche l’anus !
- — Cela s’appelle du joli nom de feuille de rose, ignare !
- — Et si on nous surprend dans ce couloir ?
- — Mais il n’y aura personne jusqu’à ce qu’on entende la sonnerie.
- — Tu ne préfères pas qu’on retourne dans les chiottes ?
- — Non, j’en ai soupé, des chiottes.
- — Ah la la ! Si c’est toujours comme ça avec les mecs…
- — Regarde comme mes fesses sont appétissantes.
- — Elles sont propres ?
- — Garanti.
- — Bon, tu me donnes ma culotte ?
- — Après.
- — Voilà, je te lèche le cul, petit pédé.
- — Hum, c’est bon ! C’est Disneyland ! C’est Roland Garros !
- — Tu sens ma langue ?
- — Oh merde de merde !
- — Quoi encore ?
- — La caméra !
- — Il y a une caméra de surveillance dans les toilettes ? Ils n’ont pas le droit !
- — On n’est plus dans les toilettes. On est dans le couloir !
- — Tu ne pouvais pas faire attention ! T’es vraiment con !
- — Toi, tu ne risques rien ; on ne pouvait pas voir ta tête dans cette position, mais moi…
- — Rends-moi ma culotte.
- — Devant la caméra ?
- — On croira que c’est un mouchoir.