Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15848Fiche technique21703 caractères21703
Temps de lecture estimé : 14 mn
15/10/13
Résumé:  Confidence sur mon jardin secret, mes désirs, mes fantasmes et mes expériences sensuelles.
Critères:  f cérébral exhib noculotte fmast confession
Auteur : Lisa-Lisa      Envoi mini-message

Collection : Confidences sur mon jardin secret
Avant, j'étais sage

Je te tutoie, toi qui vas lire ce texte car j’ai besoin d’une connivence, une proximité qui m’aide à rédiger mes confidences.


Avant, j’étais une fille sage. C’était avant. Avant cet événement dont je parlerai plus tard. Mais, maintenant, je ne suis plus une fille très, très sage. Je suis plutôt, comment dire… Une sorte de petite cochonne. Tsss ! Je n’aime pas ce mot. Une grosse cochonne ? Encore moins ! Ça ne me convient pas car je ne suis ni grosse, ni vraiment cochonne. Une cochonne ça ne va pas non plus. Ça fait sale et je ne suis ni sale, ni grosse, ni cochonne. Coquine ? Ça impliquerait, il me semble, une relation avec quelqu’un. Moi, je suis coquine avec moi-même. Délurée ? Pour le moment, je ne trouve pas le bon mot. Petite salope, petite cochonne, c’est sans réelle importance.


Avant, je n’étais jamais sortie en public sans culotte. Ce n’est pas par hygiène. Je suis très propre. J’ai toujours des lingettes, des mouchoirs et des culottes dans mon sac. Je crois tout simplement, qu’avant cet événement, je n’avais jamais ressenti l’excitation d’être nue sous une jupe ou une robe. Une robe qui glisse librement sur la peau, sur les hanches et les fesses au gré du vent, des mouvements et des frottements. Le tissu qui me caresse les fesses, se soulève au risque de les dévoiler, s’y repose avec douceur et m’excite. Souvent, dans un lieu public, je m’appuie à une balustrade et je regarde le paysage mais, surtout, je goûte le plaisir de sentir ma robe bouger sur mes fesses au gré du vent. Malheureusement c’est un plaisir qui se dissipe vite. Surtout si je le pratique trop. Pour éviter cela, plutôt que de ne pas porter de culotte, je préfère la retirer.


Pour que je retire ma culotte, il faut bien sûr que j’en porte une. C’est ce que je fais et je la retire souvent. Je me donne des gages ou des challenges : je dois retirer ma culotte dans l’abbaye, dans la cité administrative, dans un parking souterrain, dans un train, un musée, entre deux voitures en stationnement, dans les embouteillages, dans un parc. C’est plus difficile, le parc, car il y a toujours quelqu’un qui regarde ou qui mate une jeune femme comme moi habillée en robe ou en jupe. Je le fais aussi au travail (je suis dessinatrice), au restaurant, avec des relations ou chez des amis. Et, bien sûr, je remets ma culotte dès que le plaisir d’être nue sous ma robe s’est émoussé : au bout d’une heure, d’un quart d’heure, une demi-journée, tout dépend du contexte : les vêtements que je porte, la température de l’air, mon humeur, le vent. Un coup de vent peut exposer mes fesses au regard d’un passant mais sa caresse est si agréable.


Je reviens sur ce principe important du plaisir émoussé. Quand j’ai un fantasme et que je le réalise, je passe à un autre fantasme pour rechercher et éprouver de nouvelles sensations et je me rends compte que c’est une suite sans fin. Faudra-t-il un jour que je me promène nue dans la rue avec des pinces à linge sur les tétons et un jouet dans les fesses ? Ce n’est pas envisageable. J’ai horreur de ce qui est grotesque. L’esthétique compte beaucoup. C’est sans doute ce qui me retient d’être une vraie cochonne. Alors je reste mesurée dans mes expériences. Je m’interdis certaines pratiques à certains moments, dans certaines conditions, dans certains lieux et je renonce pendant un temps donné à celles qui ne me font plus beaucoup d’effets. Je cherche au maximum le soft, l’intellectuel, le ressenti plutôt que l’asservissement à des instincts plus primitifs.


Je reviens sur le sujet des culottes. Par moments, je ne sais plus si j’en ai une ou pas et, ne serait-ce que par prudence, je préfère vérifier. Je ne me risquerais pas à emprunter un escalator sans savoir si je porte une culotte. Un simple smartphone me rendrait célèbre malgré moi. Alors pour savoir si je porte une culotte, j’ai un truc. C’est un mouvement qui est devenu une sorte de tic. Je glisse mon doigt sur ma hanche pour sentir à travers mon habit l’élastique ou la dentelle de mon sous-vêtement. Je le fais quarante fois par jour. Un jour, une copine m’a demandé pourquoi je me grattais toujours la hanche. J’ai répondu que j’avais une perte de sensibilité à cet endroit et que j’étais obligée de me masser pour entretenir les nerfs. Ça m’est venu d’un coup, sans réfléchir. Pourtant, en général je manque un peu d’à-propos mais jamais quand je me fais choper. Et ça m’arrive bien sûr. Quand c’est un inconnu qui me voit (comme dans un bus il y a quelques jours) ce n’est pas grave. Je n’ai rien à dire et j’évite de croiser son regard. Avec les amis c’est différent. Si je me fais trop remarquer, je serai obligée d’avouer. Ce n’est pas insurmontable mais j’aime autant éviter.


Il y a quelques semaines je me suis fait surprendre par une collègue de travail. J’étais derrière elle dans l’ascenseur et j’ai retiré ma culotte quand elle s’est retournée. Je ne me suis pas démontée. J’ai expliqué l’air de rien que l’élastique était détendu et que la culotte me bâillait sur le minou. C’est passé comme une lettre à la poste, d’autant plus que j’avais mon sac sur moi, donc une autre culotte que j’ai passée avant que l’ascenseur ne termine son ascension. Seulement, ça ne marche qu’une fois. Je ne peux plus me mettre en danger devant elle sans risquer qu’elle me prenne pour une salope ou qu’elle pense que j’achète à Emmaüs des culottes d’occasion.


La culotte c’est difficile à retirer. Je vais te faire sourire en disant ça mais je parle de la comparaison avec d’autres sous-vêtements. Le string par exemple se retire plus vite surtout quand on porte des escarpins ce qui est souvent mon cas. Il y a moins de risques qu’il accroche le talon d’une chaussure. Alors, pour pratiquer mon art, je me suis entraînée sérieusement. Je suis devenue très rapide. Même avec des talons de huit centimètres, j’ai le geste précis. Pour en revenir au string, question sensation, c’est moins efficace. Je me sens déjà presque nue avec un string et le retirer ne m’apporte rien. Sauf à me sentir, comment dire… sans culotte, c’est à dire vulnérable, disponible, prête à être prise. Mais, retirer une vraie culotte c’est toujours un peu plus fort comme sensation. Alors, je porte le plus souvent des culottes. J’en ai de toutes les couleurs pour les assortir à mon sac, à mes chaussures, à mes vêtements selon le cas. Actuellement, j’ai dans mon sac une culotte blanche en coton, une culotte noire en voile transparent, une culotte vert-lagon en dentelle (elle a une belle histoire), et aussi un shorty très tendance, deux culottes Dim toutes simples et un string noir. Une vraie collection de lingerie ! Avant que tu me le demandes, je préfère le dire : je porte une petite culotte rose lacée sur les hanches et je vais la retirer dans quelques minutes.


Pour les soutifs c’est un peu différent. J’aime bien ne pas en mettre mais ce n’est pas discret. J’enlève souvent le mien pour rentrer quand je porte un manteau. En été, j’en porte toujours un. En hiver, ça dépend des vêtements. Avoir les seins nus ne me donne pas directement de sensations sensuelles, sauf quand je roule en voiture et qu’un automobiliste les regarde (mes seins) ou quand je me caresse et que je veux me pincer le bout des tétons. Eh oui ! Avant j’étais sage et maintenant je ne le suis plus ! Je retire ma culotte une à vingt fois par jour. Une fois, c’est normal, mais vingt, ça sort de l’ordinaire et, si je le fais, c’est parce que je fantasme, et je fantasme énormément. C’est sans doute ma plus grande production intellectuelle de la journée. Ça représente bien plus de travail que mes dessins. J’imagine presque sans cesse des rencontres, des situations, des épreuves, des expériences que je vis en imagination ou que je vais tenter de réaliser. Je m’éclate à tel point que je préfère vivre mes fantasmes plutôt qu’à temps complet avec un homme. D’ailleurs j’ai trois copains qui voudraient bien de moi (sans me connaître réellement) et c’est moi qui ne le veux pas. J’aime bien l’un ou l’autre de temps en temps mais je veux rester libre dans ma vie privée.


Je cherche sans cesse de nouvelles idées. Surtout le soir dans mon lit, quand je suis seule. Il faut que je te dise aussi que je me caresse. Pas seulement dans mon lit ou sous la douche. En public également. Mais je me suis donné une limite : je m’interdis de me toucher si je porte une culotte. C’est un deal avec moi-même. Si je porte une culotte, je dois avant toute chose la retirer. Ce qui n’est pas toujours décemment faisable. Le plus souvent j’y arrive. Je vous raconte une anecdote.


La semaine dernière, jour pour jour, au guichet de la poste j’étais derrière une dame âgée. Il n’y avait personne d’autre dans l’agence. Sauf la postière bien sûr. Je passe une main sous ma jupe et d’un geste rapide je glisse un doigt sous l’élastique de ma culotte. Dans le même geste, je fais le tour de ma taille en faisant glisser la culotte. J’ai l’habitude. Du coup ma culotte descend à mi-cuisses, c’est le moment le plus palpitant parce que si quelqu’un arrivait, je serais obligée de la garder ainsi. Imagine !


En général, à cette étape je m’assure une fois encore que tout va bien, qu’il n’y a pas de voyeur ou alors qu’il est trop loin de moi pour me gêner ou encore qu’il est séparé de moi par une cloison, une vitre ou un truc comme ça et qu’il ne peut pas interférer. C’est assez excitant pour moi de savoir que quelqu’un peut me voir faire. D’ailleurs mon rêve serait de me filmer. Quand j’y pense, je me dis que j’ai dû être déjà filmée plusieurs dizaines de fois : sans doute à la banque, dans les centres commerciaux, les parkings souterrains pour ne donner que ces exemples. Je reviendrai sur les centres commerciaux car j’ai une autre anecdote qui me vient. Rappelle-le-moi si j’oublie. Mais revenons à mes moutons. Je fais attention aux caméras car je ne veux pas que mes exploits se propagent sur le Net. Alors de temps en temps je vérifie. Je fouille. Je « googlise » Elle retire sa culotte à la banque ou Petite brune, brunette qui retire enlève sa culotte et, jusqu’à maintenant les éventuelles vidéos existantes ont dû rester confidentielles car je ne me suis pas reconnue sur les rares films trouvés sur ce thème. Moi, j’aimerais me filmer. J’aimerais conserver un souvenir de chacun de ces moments audacieux dont je suis fière (et ils sont nombreux) et avoir le plaisir d’observer ceux qui me matent. Est-il pervers de mater un mateur ? Ce serait super excitant. Je me dis d’ailleurs au moment où j’écris, qu’il me faut absolument trouver un moyen de le faire ! Je vais y penser sérieusement. Mais revenons à mon histoire.


Donc, si tu te rappelles bien, j’ai la culotte sur les cuisses près du bas de ma robe. Elle est en principe tout juste cachée. Je porte des escarpins, donc il me faut prévoir un geste un peu ample. Je devrai faire vite mais sans précipitation, sinon ce serait la chute et la honte (dans le métro j’ai failli tomber). Je pose mon sac juste devant mes pieds. Je glisse les deux mains sur mes cuisses et je descends la culotte sous les genoux. Je la bloque sur ma jambe droite, je dégage le pied gauche, je le repose et je reprends mon équilibre (très important) puis je dégage l’autre.


Et maintenant vient le meilleur. J’ai la culotte à la main et mon sac est par terre. Alors j’ai deux options : la simple et la coquine. Soit il y un peu de monde, je ramasse mon sac et je range la culotte dedans. Soit il n’y pas grand-monde, voire personne et je pose la culotte dans mon sac. Tu ne vois pas la différence ? Place-toi derrière moi ! Je ne me baisse pas, mes jambes restent tendues. Je me plie vers l’avant dans une position très indécente, j’ouvre mon sac et je place la culotte dedans.


C’est exactement ce que je suis en train de faire maintenant dans ce bureau de poste et je savoure ce moment où ma robe remontée au-dessus de mes fesses expose mon intimité. Je garde un peu la position tant que je n’attire pas l’attention et dans le cas présent, je suis tranquille car les deux seules personnes présentes sont occupées et discutent ensemble. Mes petites fesses restent à l’air et j’en profite même pour remonter carrément ma robe sur mon dos ce que je fais souvent dans la journée.


À ce moment-là je me dis et me répète avec un certain plaisir que je suis une petite salope. J’ai envie d’entendre ces mots. Je serais prête à les écrire en rouge au creux de ma cuisse : « Je suis une bonne petite salope. » Après, le plaisir passe. Il est passé. J’attrape mon sac et je me redresse.


Tu vas sans doute me dire que retirer ma culotte dans un bureau de poste désert et exposer mes fesses sans crainte d’être vue ne font pas de moi une bien grosse cochonne. Tu as raison. Mais ce n’est pas tout. Je t’ai dit que je me caresse. Je me masturbe. Je n’aime pas ce mot, pas plus que « branler ». Alors je dis que je me touche, que je me caresse, que je me donne du plaisir, que je me titille. Mais en fait, je me masturbe. Quand je ne porte pas de culotte et seulement dans ce cas. Et là, à la poste, je l’ai retirée ma culotte. J’ai donc le droit de me titiller. Eh oui !


Alors… je l’ai fait ! Je me suis caressée intimement et sexuellement devant la postière. C’était une femme très aimable d’une quarantaine d’années, assez jolie. Elle portait de belles boucles d’oreilles, une alliance avec un brillant, un joli collier fantaisie et une robe genre cachemire grise. Pour avoir du temps devant moi, je lui ai demandé des renseignements sur les boîtes postales, un carnet de timbres et j’ai déposé un petit colis que je souhaitais expédier. Une fois la dame partie, il n’y avait plus que nous deux dans l’agence. La postière a recherché dans son bureau un dépliant publicitaire relatif aux boîtes postales. Pendant qu’elle fouillait sur les étagères, j’ai glissé ma main gauche sous ma robe, le majeur sur ma fente que j’ai parcourue doucement plusieurs fois sur sa longueur. J’ai commencé à mouiller au moment où j’ai imaginé que la postière me surprenait, me faisait faire le tour du bureau et m’obligeait à lui bouffer le minou (je n’ai encore jamais fait ça). Je crois même qu’elle m’avait donné une fessée.


Pourtant, loin de tout cela, l’employée de poste était en train de lever des liasses de documents à la recherche de celui qu’elle me destinait. Il importait peu. Pour moi, elle était à son bureau, moi dessous. Elle avait les jambes écartées, je lui retirais la culotte (dont je devinais la forme sous sa robe) et je glissais ma langue dans sa chatte pendant que trois cents personnes se pressaient dans l’agence.


Elle est revenue avec mon papier et m’a souri en me le donnant. J’ai interrompu mes mouvements pour la remercier et faire mine de prendre connaissance du document. Alors j’ai pris son stylo et j’ai fait semblant d’annoter quelque chose. Puis je l’ai glissé sous ma robe, entre mes lèvres et je l’ai entré doucement dans ma chatte. Je l’ai laissé là. J’ai approché mon pubis de la paroi du guichet pour sentir le stylo bouger en moi. Tout en continuant de lire, j’ai glissé mon doigt sur mon clitoris. En même temps, je suivais du regard le majeur gauche de la postière. Ici, sur les touches du clavier, ici sur l’imprimante, sur la vignette qu’elle décolle, qu’elle colle sur le paquet, sur le reçu qu’elle dépose sur la banque et fait glisser vers moi… avec le même doigt ! J’ai dû rosir car la poursuite de son doigt m’ayant captivée, j’avais cessé mon manège érotique un tout petit peu trop tard. Je ne sais pas si elle se doute de quelque chose mais elle me sourit comme tout à l’heure puis annonce :



Et je reviens sur son doigt qui me caresse le clito. Je regrette d’avoir dû retirer ma culotte car j’aurais pu la descendre un peu sur mes fesses et le doigt de la postière serait sans doute entré dans mon cul. Je pense destiner le stylo à cet usage mais, faute de lubrifiant, j’hésite et renonce. Le doigt familier ouvre un classeur, en extrait deux carnets différents que la postière me présente. Je ne me suis pas fait surprendre cette fois-ci. J’ai quand même un peu le souffle court et mon cœur bat vite. Peut-être que je tremble un peu car ma voix chevrote :



J’ai complètement oublié qu’il fallait payer et le stylo est toujours dans ma chatte ! Je me recule pour saisir mon sac posé sur la tablette et, en contractant le périnée j’essaie de provoquer en même temps la chute du stylo. Pour gagner du temps et voir encore son petit doigt courir, je donne de la monnaie à l’employée. Elle est bien gauchère. C’est ce majeur bien-aimé qui ramasse les pièces… et moi le stylo que je viens d’expulser. Dans mon sac, j’essuie le stylo avec ma culotte puis le repose sur la banque.



Je lui souris un peu gauchement et je m’en vais un peu troublée par ces mots « au plaisir » et « à votre disposition ». Quelque chose m’aurait-il échappé ?


Alors ? Quel genre de cochonne suis-je donc ? À ton avis ? Une minuscule, une petite, une moyenne ? Et je ne t’ai pas encore tout dit ! Par exemple, j’aime faire pipi dehors. Surtout entre deux voitures en stationnement, derrière un arbre dans un parc. C’est assez facile. Il est moins important de se cacher pour faire pipi car en général les gens sont tolérants. Si on me surprend ce que je provoque souvent, je m’excuse en disant « Désolée, c’était urgent. » et invariablement on me répond « Pas de problème. » ou un truc du même genre. Des fois aussi je garde ma culotte pour faire pipi. J’adore ça ! Après, je la tamponne un peu et je continue à la porter jusqu’à ce qu’elle sèche. D’autres fois encore, je m’autorise quelques gouttes…


Donc j’ai parlé du pipi, de la masturbation, des culottes retirées. Que reste-t-il dans mon jardin secret ? Ah oui, les fantasmes ! Je fantasme sans cesse. J’ai une imagination sans limite. Je suis seule en voiture ? J’imagine que je vais rejoindre le péagiste, que je vais le sucer dans sa cabine pendant qu’il encaissera les passages ou alors il m’obligera à prendre sa place à la fenêtre pendant qu’il me sodomisera et jouira en moi. Il me retirera le soutif (je me retire le soutif) et, entre deux passages de voitures il me pincera les nichons (je me pince les tétons) pour qu’ils soient bien durs et visibles par chaque automobiliste (à qui je montre mes nichons). Et je me masturbe (réellement aussi) tout en conduisant bien sûr.


Je crois que je suis une sorte de nymphomane. J’en ai honte parfois, mais j’ai également des raisons d’être fière : je suis imaginative et audacieuse et ces moments sensuels, voire sexuels me font vivre des expériences assez subtiles mêlant la crainte, l’espoir, le stress et le plaisir, parfois très fort.


Il m’arrive aussi de me calmer pendant une semaine ou un mois quand j’ai un copain ou que je pense à autre chose, que j’ai des soucis ou un gros projet. Mais, invariablement, un jour, l’appel du fantasme prend le dessus. Je m’éloigne du copain et je reviens à mes plaisirs solitaires. Quelquefois je fais de belles rencontres aussi. Mais il faut le bon timing et le feeling, des mots anglais pour dire des choses si simples. Je me rends compte en écrivant qu’il me faudrait un copain qui me comprenne, qui m’assiste et même qui me contraigne un peu. Une sorte de douce domination où il m’obligerait à faire ceci ou cela. Comment dire ça à un mec ? Il faut tomber sur le bon ! Sinon, je vais passer pour une nymphomane. Ah oui ! J’aime les fessées aussi et puis des fois je prends les transports publics ou je vais au musée seulement vêtue d’un manteau et de chaussures. Rien d’autre. Et puis, pour les challenges difficiles, j’ai le droit de porter une culotte qui se lace sur le côté. C’est le cas aujourd’hui. Je dois retirer ma culotte au milieu d’un escalator, aller dans un magasin de vêtements, choisir une robe qui me plaît vraiment, entrer dans une cabine d’essayage et me déshabiller totalement y compris les chaussures. Je laisserai tout dans la cabine et, toute nue, je passerai dans une autre cabine où je devrai me donner du plaisir jusqu’au bout avant d’avoir le droit de revenir dans la première pour essayer la robe et me rhabiller. Ça te tente ?