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n° 15855Fiche technique50876 caractères50876
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Temps de lecture estimé : 28 mn
18/10/13
Résumé:  La grande limousine noire s'arrête juste devant l'entrée principale de la banque, sans se soucier aucunement du passage piéton et des autres interdictions de stationner.
Critères:  fh inconnu hdomine voir anulingus pénétratio fsodo aventure -aventure
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Les coulisses d'un pouvoir - Coordinateurement Vôtre

Ce texte, dont la première ligne fut écrite en février 2009, est une uchronie qui n’est en rien un programme électoral. Juste une simple histoire dans un certain décor.







La grande limousine noire s’arrête juste devant l’entrée principale de la banque, sans se soucier aucunement du passage piéton et des autres interdictions de stationner. Posté à l’entrée, l’agent de sécurité esquisse bien un pas en direction de la berline sans gêne, mais il reste vite le pied en l’air devant les quatre gardes du corps qui en descendent. Peu après, c’est un ensemble de cinq personnes qui grimpent les marches et qui s’engouffrent dans le bâtiment devant l’agent qui n’ose plus remuer un petit doigt.


Nettement plus haut, au dernier étage avec ascenseur privé, dans son très vaste bureau avec vue imprenable sur les beaux quartiers de la capitale, le grand et très gros directeur, monsieur Pavel du Pérougny-Passony (surnommé Triple-P, surnom pas forcément dû à ses initiales) lutine avec une bien belle demoiselle uniquement vêtue de lingerie fine. Vêtue est un bien grand mot, tant la dentelle est arachnéenne. D’ailleurs, le piercing de son nombril l’habille beaucoup plus que tout le reste, excepté ses boucles d’oreilles…


C’est au moment précis où le grand ponte, indisponible car très occupé, tente de découvrir ce qui se cache, en tout lisse, plus bas derrière un string minimaliste, que la porte de son bureau s’ouvre après un simple toc-toc de convenance sur les cinq visiteurs.



Sur le moment, complètement outré, Triple-P a une envie furieuse et meurtrière de tonner contre l’importun qui vient d’oser lui adresser la parole sans même se présenter ou de s’annoncer, quand il réalise justement l’identité du dit importun.



Un léger sourire aux lèvres, le Coordinateur se tourne vers la demoiselle peu chaudement vêtue qui ne sait plus où se mettre :



Maxime Atrébate prend un siège, puis enlève la robe qui s’étalait dessus. Il regarde le bout de tissu qu’il a en main puis sa propriétaire à présent cachée derrière une grande plante verte :



La demoiselle rougit encore un peu plus puis s’en va en trottinant sur des talons un peu trop hauts vers la porte latérale. Le Coordinateur la suit du regard, la donzelle ayant un beau déhanché…



Le Coordinateur se cale dans le fauteuil, la robe courte toujours en main. Il semble jouer avec le « chiffon » soyeux. Il reprend :



Le Coordinateur pose la robe sur son genou, son ton se fait moins convivial :



Triple-P s’affaisse dans son large fauteuil directorial. Il ne sait pas s’il doit plus redouter les sous-entendus du Coordinateur ou ce que pourraient lui faire ses collègues en pareille circonstance. Le Coordinateur se lève, tenant à présent la robe par une fine bretelle. Il lance à l’un des gorilles :



Le grand baraqué pose sa large paluche sur la clenche de la porte ; timidement, la demoiselle en question s’aventure, toujours aussi dévêtue, dans l’immense bureau. Le Coordinateur s’amuse à la voir rentrer à petits pas, gênée par tout ce monde pas prévu initialement. Il demande :



Il plonge sa main dans sa poche interne pour ressortir une petite tablette tactile qu’il consulte aussitôt. Quelques secondes passent.



Il range l’instrument dans sa poche, fait un large sourire, ajuste sa veste. Il lance alors au directeur qui s’éponge le front :



Devant un Triple-P abasourdi, il se dirige vers la porte. Il passe devant la femme qui le regarde de ses grands yeux étonnés, bouche bée, et lui dit :



Et il sort de la pièce.




—ooOoo—




Quelques minutes plus tard dans la limousine noire, sur la large banquette du fond, le Coordinateur est en tête à tête avec la « pénalité » qui n’en mène pas large. Derrière la vitre fumée, elle distingue en ombre ce qui lui semble être les gorilles. La situation lui échappe totalement : moins de dix minutes auparavant, elle était partie pour batifoler avec un gras banquier, maintenant elle est à moitié nue dans une limousine inconnue, avec comme interlocuteur celui dont la presse nationale n’ose pas dire qu’il s’agit d’un dictateur en puissance. La presse étrangère prend nettement moins de gants, néanmoins, tout le monde attend de voir la suite : ça ne fait que quelques semaines que le pouvoir a changé de mains et que les réformes vont bon train, souvent dans le bon sens, à prime vue, pense la demoiselle. Mais bon, ça ne veut rien dire…


Prenant son courage à deux mains, elle pose la question, maintenant que le Coordinateur a reposé son téléphone portable :



Le portable sonne, le Coordinateur fait un petit geste d’attente. Il répond brièvement, puis repose le téléphone sur le siège de la limousine.



Nadine rougit ; elle s’attendait à pas mal de choses, mais pas à ce genre de réponse. Son interlocuteur reprend :



La « demoiselle » lui lance un regard noir :



Elle ne répond rien, un certain silence s’installe. Il consulte sa tablette, tapote dessus durant ce temps. C’est elle qui rompt le silence :



Elle se cale sur le siège moelleux ; elle soupire :



Et il joint l’acte à la parole.


Nadine ne sait pas quoi faire, la situation lui échappe ; cet homme n’a pas haussé la voix, il reste poli, mais elle sent qu’il n’est guère bon de l’indisposer. Un dernier soupir et elle laisse tomber le manteau.


Il la regarde avec attention ; elle ne sent pas sur elle la salissure classique de la convoitise. Non, on dirait qu’il la scrute comme on regarderait une statue ou un tableau. Après quelques longues secondes où elle est au supplice d’une situation incongrue, le Coordinateur parle :



Cette fois-ci, Nadine ne sait plus quoi répondre. La limousine s’enfonce dans la capitale.




—ooOoo—




Debout face à la vaste baie vitrée, le Coordinateur s’exprime ; la grande salle semble être totalement remplie de sa présence. Ça va faire une bonne semaine qu’elle le côtoie, tout s’est passé si vite ! Assise légèrement sur le côté, Nadine se sent tout petite dans cette immensité.



Le Coordinateur ouvre un petit meuble et en ressort deux boissons fraîches. Il tend la première bouteille, qu’il décapsule, à son interlocutrice et boit d’un seul trait la sienne. Il reprend :



Il s’arrête, les yeux perdus dans le vague, se souvenant… C’est elle qui demande :



Nadine se lève :



Maxime s’assied dans le fauteuil du coin. Il s’approche d’elle :



Surprise, Nadine reste suspendue quelques secondes. En soupirant, elle reprend :



Un léger silence, elle reprend :



Elle fait un geste las de la main :



Elle s’assied à nouveau, fatiguée, les jambes tendues devant elle, les bras ballants :



Elle lève la tête, étonnée :



Il s’approche d’elle, son visage très près du sien ; elle esquisse un pauvre sourire :



Puis il l’embrasse sur le front.



Elle ne réagit pas, elle ne répond rien, toujours enfoncée dans le fauteuil. Avec un grand sourire, il se relève, il s’éloigne d’elle puis il regarde par la fenêtre, songeur :



Elle répond, étonnée :



Abasourdie, elle lâche :



Elle se lève d’un bond ; il la contemple, le sourcil levé. Elle fronce les siens, les poings et les dents serrés, les yeux pleins d’éclairs. Après un certain temps à le dévisager, elle finit par ouvrir la bouche pour lancer :



Elle tape du pied sur le parquet et lance :



D’un large mouvement de la main, un demi-sourire sur les lèvres, il désigne par la fenêtre la capitale qui s’étend à perte de vue :



Furieuse, les cheveux défaits, agitée, elle rétorque :



Pour toute réponse, il s’approche d’elle ; elle rugit :



Il s’approche toujours d’elle ; instinctivement, elle recule un peu, mettant ses bras en position de défense, sans toutefois cesser de crier :



Pour toute réponse, il ouvre les bras. Elle reste interloquée quelques secondes, et à sa propre stupéfaction, elle se jette sur lui et se met à pleurer. Il referme ses bras autour d’elle et la console, tout naturellement. Brisée, elle se laisse aller.




—ooOoo—




Depuis longtemps, deux corps qui se cherchent, qui se trouvent, qui se combattent, qui fusionnent, dans un grand lit complètement défait, les draps froissés, les oreillers au sol ; et dehors, le soleil qui se couche, projetant ses derniers rayons dans la chambre.


Elle l’attire à lui, le veut, veut sentir son souffle, ses formes, son poids. Elle s’agrippe à lui, nouant ses membres autour des siens, s’enroulant telle une liane.



Lui emprisonnant les mains, obligeant à placer les bras au-dessus la tête, il se dégage lentement mais fermement, tout en déposant des baisers humides sur le corps frémissant de sa maîtresse qui se laisse faire.


Agenouillé, ses genoux encadrant le bassin de son amante, l’homme la surplombe ; il la regarde intensément. Puis lentement, il se penche vers elle, pose sa bouche sur ses lèvres tandis qu’une main s’empare d’un de ses seins. Elle gémit, sa bouche bâillonnée par une autre qui devient de plus en plus avide. Des doigts jouent avec la masse tendre de son sein, titillent un téton érigé, suivent le cercle de l’aréole…



Puis la bouche de l’homme glisse sur le menton de la femme, déposant mille baisers enfiévrés, descend doucement le long du cou pour en goûter toutes les saveurs. Il s’attarde sur les épaules, dans le creux du cou, puis glisse vers les seins aux tétons dressés. Laissant sa main avide sur le même sein depuis tout à l’heure, les lèvres inassouvies épousent insidieusement les courbes douces, gravissant lentement le mont sucré vers sa pointe dure.


Elle soupire d’aise, ses mains agrippées aux bras de l’homme.


Puis posément, la bouche se pose sur le téton, le suçant lentement, avec application, jouant des lèvres, de la langue. Puis la caresse toute douce devient plus pressante, le téton de plus en plus exaspéré, malmené.


Elle gémit, attendant la suite, ses bras enroulés autour de celui qui la surplombe.


Les lèvres deviennent exigeantes, maltraitant délibérément le téton en érection, tandis que l’autre main presse impérieusement l’autre sein, ses doigts rapaces pénétrant dans les tendres chairs.


Elle soupire ; elle aime être désirée ainsi, entre câlinerie et possession…


Soudain elle sent quelque chose de dur sur son pubis ; elle devine très vite ce que cela peut être. Elle éprouve alors le besoin de le posséder rien que pour elle, de l’absorber et d’en profiter pleinement !


En attendant, l’homme utilise son sexe dressé pour venir taquiner son clitoris ; il se frotte sur le petit bouton qui, peu à peu, se dégage de son capuchon afin de jaillir en pleine lumière et profiter de la tige de chair chaude qui le frôle depuis quelques instants savoureux.


Elle frémit sous cette caresse, la pensée de ce sexe contre elle, son clitoris doucement mis en feu, puis de savoir que cette même queue aguicheuse ira se blottir ensuite en elle pour la faire jouir et encore jouir !


Elle ne se savait pas si impudique. Pourtant, le sexe, elle connaît ; elle sait que c’est une source de plaisir et que ça fait du bien. Pourtant, là, c’est autrement, c’est différent : c’est plus intense, sans recourir à des folies, des lubies ou des toys insolites ou démesurés. Non, c’est tout simple, naturel et néanmoins très jouissif…


Ces larges mains qui sont sur elle, celle sur ses seins, son téton étiré et malaxé dans cette bouche avide, deux ventres qui se frôlent, se caressent, ce bâton chaud qui la taquine éhontément plus bas, ses jambes inassouvies en liane, ses bras insatiables qui enserrent, ses mains avides qui palpent un vaste dos, ses ongles accapareurs qui griffent délicatement, laissant leurs marques…


Puis sans prévenir, la tige dure glisse plus bas et entre sans effort en elle ; elle tressaille, il s’inquiète :



Ôtant ses lèvres de son téton, il se couche un peu plus sur elle pour mieux la pénétrer et profiter de ce vagin si accueillant. Sans effort, la barre de chair coulisse dans l’antre chaud et lubrifié. Elle soupire d’aise ; elle adore être comblée ainsi ! Ses ongles s’enfoncent un peu plus dans la peau du vaste dos de l’homme presque vautré sur elle.



Il coulisse en elle, se frottant sur son clitoris érigé, écrasant ses seins aux durs tétons sous sa large poitrine. Puis il s’empare de sa bouche dans un long baiser tendre qui devient de plus en plus passionné et vorace.


Elle adore être aimée ainsi, simplement, posément et sincèrement. Non, elle sait qu’il ne triche pas : il l’aime, il la veut. Tout semble si naturel… Alors elle se laisse aller, elle capture le moment présent pour en profiter au maximum, en jouir sans retenue. De quoi sera fait demain ? Elle ne le sait pas. Tout ce qu’elle sait est que cet homme la désire et que, elle aussi, elle désire cet homme.


Alors elle profite pleinement de cet homme qui la possède et qu’elle possède aussi. Elle écarte plus encore les cuisses pour l’accueillir pleinement en elle, sentir cette tige chaude dans la moiteur de son intimité, se sentir capturée, livrée et en même temps si puissante.



Les mots s’échappent sans complexe de ses lèvres que son amant a délaissées pour son cou, le lobe de son oreille. Tout est si simple…


C’est alors qu’à sa grande surprise, elle sent quelque chose bouillonner en elle, monter irrésistiblement tel un tsunami. Avant qu’elle ait eu vraiment le temps de s’étonner, la puissante déferlante s’abat sur elle, la bouscule, l’éclate, la dévaste et elle crie son plaisir sans retenue, totalement ballottée par son immense plaisir qui fait à la fois tant de bien et si mal.


Son corps tremble, ses bras et ses jambes se convulsent dans cet orgasme qui la balaie sans pitié, la voix cassée, l’esprit égaré…


Elle sombre irrémédiablement dans un immense trou noir, une petite mort…


Il y aura bien d’autres moments de félicité, de béatitude, de jouissance ; des corps épuisés, agités, vaincus, d’autres petites morts durant cette longue nuit…


Mais ni la femme ni l’homme ne désirent que ça finisse…




—ooOoo—




Sexe bien dressé, l’homme se vautre impudiquement sur la femme alanguie et allongée sur le dos. Celle-ci proteste faussement :



Il l’embrasse dans le cou, elle frémit.



Pour toute réponse, il cale son sexe entre les fesses offertes de la femme sous lui. Elle se laisse faire sans problème. Puis il l’embrasse à nouveau dans le cou, tout en lui saisissant les seins, les mains glissées entre draps défaits et chair alanguie. Lentement, ses lèvres déposent mille baisers le long du long sillon du dos, faisant frémir de plus belle sa partenaire.


Arrivé au creux des reins, il en profite pour la chatouiller du bout de la langue tandis qu’elle vibre sous cette caresse. Puis, doucement, il descend pour aller s’introduire entre les fesses rebondies et accueillantes de sa maîtresse qui se laisse faire, écartant même un peu les jambes pour lui faciliter la tâche…


Toujours du bout de sa langue, il vient à présent taquiner une sombre rondelle qui s’évase peu à peu, l’humidifiant de salive, titillant les rebords ourlés. La tête dans l’oreiller, consentante, la femme se soumet à cette caresse insolite pour elle mais plaisante. Devant son acquiescement implicite, son amant s’enhardit et écarte de ses mains ses fesses dodues pour mieux accéder au puits luisant. Puis durant de longs moments, la caresse insidieuse continue, le petit trou sombre devenant lentement de plus en plus dilaté à la grande satisfaction du tourmenteur…


Puis contemplant son œuvre, ce puits débordant à présent de salive luisante et lubrifiante, l’homme chevauche posément le bassin de la femme et dirige sa tige bien dure vers cette entrée attirante. C’est sans effort que le bâton de chair glisse son gland rouge jusqu’au frein. Abandonnée, la femme ne dit rien, attendant la suite.


L’homme respire un grand coup, se positionne au mieux puis, posément, il force l’entrée pour venir y coulisser une bonne partie de son pieu. La femme tressaille un peu ; il s’arrête, attendant un peu. Puis quand il sent un certain relâchement autour de sa tige déjà nichée dans les profondeurs, il continue son offensive plus loin encore. La femme soupire quand elle sent qu’il est à présent complètement en elle, bien fiché.


Alors, toujours rivé à elle, il se couche sur son dos, venant l’embrasser à nouveau dans le cou, tout en commençant un léger mouvement de va-et-vient. La femme respire fortement, cette chose en elle lui faisant un effet étrange, mélange d’appréhension, de douleur et aussi de plaisir.



Les fins doigts de la femme s’agitent à présent dans une chatte détrempée, le bout des ongles venant souvent agacer les testicules ballants de l’agresseur. Quelques instants après, celui-ci se redresse et commence un pistonnage en règle, coulissant sans vergogne dans l’anus dilaté, entrant, sortant, pour mieux replonger plus loin, tandis que la femme gémit sous ces coups de boutoir bestiaux mais excitants.



Et elle tend ses fesses à son tourmenteur en offrande. Celui-ci s’empresse de l’exaucer et c’est presque avec fureur qu’il coulisse à présent en elle, tel un piston déchaîné.



L’homme grogne, se pince les lèvres ; il faut résister encore un peu, tenir encore quelques instants ! La femme sous lui ne lui facilite pas la besogne en se trémoussant sous ses coups, en gémissant si lascivement et bestialement ! « Une véritable chienne en chaleur ! » songe-t-il.


Il serre les dents ; il n’aurait pas dû avoir cette pensée. Oui, c’est une chienne en chaleur, mais rien que le fait d’y penser a singulièrement abaissé son niveau de self-control ! Pour un peu, il en éjaculerait tout de suite ! Il respire bruyamment, aspirant l’air comme pour se refroidir.



La voix de la femme se fait encore plus charnelle, abandonnée ; il sait qu’elle va jouir dans peu de temps, qu’elle va être secouée de spasmes, qu’elle va clamer son plaisir, dans d’innombrables sursauts de son corps couvert de sueur…



Puisque cette chienne le veut, elle l’aura ! Se redressant un peu plus, son sexe presque sorti du sombre fourreau, il plonge cruellement en elle, la pistonnant sans retenue, comme pour l’éclater, l’exploser, la fendre !


Un cri rauque. Elle jouit vigoureusement, secouée de convulsions, criant son plaisir, le corps luisant couvert de sueur.


Un cri rauque. Il éjacule en elle, la remplissant, le corps lui aussi en convulsions, se vidant en elle dans un ultime coup de reins pour s’enfoncer au plus profond de ses entrailles !




—ooOoo—




Une entreprise comme tant d’autres ; une salle de repos avec l’éternelle machine à café qui trône à la meilleure place. Deux salariées, gobelet en main.



Agacée, Léa fait un tel mouvement que son gobelet de café est limite pour déverser son contenu sur le sol. Son interlocutrice s’amuse :



Martine s’agite :



Et Léa s’en va, gobelet en main. Martine songe alors à l’efficace conditionnement des esprits depuis quelques mois. C’est vrai que tout va mieux, mais au prix d’un certain nivellement… Elle soupire et finit son café avant d’aller, elle-aussi, s’occuper de son pain sur la planche.