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n° 15859Fiche technique33910 caractères33910
Temps de lecture estimé : 20 mn
20/10/13
Résumé:  Les lendemains de soirée peuvent être surprenants !
Critères:  ffh cunnilingu fgode fdanus fsodo -fellation
Auteur : Bouzi      Envoi mini-message

Collection : Histoires au travail
J'ai un travail surprenant

Moi, c’est Mariana et je suis tête en l’air : je passe ma vie à oublier mes affaires. J’ai encore oublié mon portable au bureau et je m’en suis rendu compte seulement en arrivant chez moi. Après plus d’une heure de transport, me voilà donc à 20 h de retour au travail, en bas en train d’attendre l’ascenseur avec le mec de la sécu qui me mate sans vergogne. Il faut dire que je suis plutôt jolie ; ma robe bustier met en avant mon bronzage, ma poitrine tandis que mes jambes sont mises en valeur par mes sandales à talons. Ce mec ne me plaît pas du tout, mais j’aime me sentir désirée par un homme, je me sens femme.


Je monte jusqu’au sixième ; c’est très étrange d’être là sans personne, ça fait même un peu peur. Je me dépêche de récupérer mon téléphone sur mon bureau quand j’entends une voix. Malgré mon appréhension, poussée par la curiosité, je me dirige doucement vers l’endroit d’où vient la voix.


J’aperçois Céline ; elle semble chercher quelque chose également. Rassurée de voir un visage connu, je m’avance vers elle quand je vois quelqu’un s’approcher par derrière. Je veux lui crier quelque chose mais aucun son ne sort quand je vois qu’il s’agit de François et que celui-ci l’attrape par la poitrine. Il écarte les pans de sa chemise, libérant sa magnifique poitrine. Ses seins sont énormes, très lourds mais fermes, avec de larges aréoles brunes et des pointes tendues. François les empaume, les masse puis s’empare des tétons pour les tirer, les pincer. Il la pousse vers le bureau le plus proche.


Je n’en crois pas mes yeux : jamais je n’aurai imaginé la sage Céline et François ayant des relations sexuelles. Je reste là à regarder ; je me fais l’effet d’une voyeuse, mais je ne peux pas détacher mes yeux de leurs ébats. Comme un robot, je prends mon téléphone et commence à les filmer.


Il lui soulève sa jupe, la remonte sur ses hanches ; elle ne porte pas de culotte : je peux voir ses deux fesses rondes, son sexe entièrement épilé et ses lèvres intimes trempées. Il se cale derrière elle, fait glisser la fermeture Éclair de son pantalon et sort son sexe bandé.


Je sens monter mon excitation au fur et à mesure que la scène s’intensifie. Inconsciemment, ma main libre vient se poser sur mes seins, les libère. Je pétris doucement mes globes, faisant darder mes pointes. Ma vision se réduit au sexe gonflé de François entrant et sortant de l’intimité de Céline. Je m’imagine être à sa place, recevant de plus en plus vite et de plus en plus violement les coups de boutoir de François.

Céline gémit, halète à chaque mouvement. François la tient par la taille et la pilonne sans discontinuer. Elle se tient au bureau pour ne pas basculer sous le choc des mouvements de reins de son partenaire.


Je glisse contre le mur derrière moi. Je trouve la scène tellement sauvage et tellement excitante que j’ai du mal à rester debout. Mon sexe s’humidifie et, comme si elle était indépendante du reste de mon corps, ma main remonte lentement sous ma robe pour soulager le feu en moi.


À chaque va-et-vient je peux entendre un clapotis qui laisse deviner l’état du sexe de Céline. Moi aussi je suis toute mouillée et me retrouve dans une position presque aussi indécente que ma collègue : accroupie les jambes écartées, deux doigts dans ma chatte trempée, mes seins libérés durcis par l’excitation pointant fièrement ! Mes doigts se font plus actifs ; ils alternent les mouvements : une fois ils rentrent dans ma vulve, et après ils tournoient sur mon clitoris, dégageant mon petit bouton pour mieux le titiller.


Céline a le visage déformé par le plaisir, ses seins ballottent et frottent sur le bureau. Elle ondule du corps pour décupler son plaisir et celui de son partenaire. Celui-ci ne tarde pas à jouir dans un râle bestial. L’orgasme de Céline arrive juste après ; elle s’écroule littéralement sur le bureau.


La jouissance de mes collègues ne tarde pas à déclencher la mienne. Ma jouissance est intense, je suis comme hébétée mais il faut vite que je me reprenne, je ne veux pas me faire surprendre dans cette position.

Je remonte rapidement ma robe sur mes seins et me cache sous le bureau le plus proche. Mes collègues passent lentement à côté de moi sans me voir, trop perdus dans leurs baisers et leurs caresses pour m’apercevoir. Mais je peux suivre leur conversation. Leurs paroles crues me donnent envie de les suivre et de partager avec eux leur intimité, mais une part de moi résiste et me retient sous le bureau. Je les laisse à leur nuit torride et rentre chez moi.


J’arrive à mon appartement toute émoustillée ; je ne pensais pas prendre autant de plaisir à regarder une telle scène. Rien que d’y penser, je sens l’humidité de mon sexe couler légèrement dans mon string. Je me repasse le film avec mon téléphone ; la qualité est impeccable : merci, les nouvelles technologies ! Je passe ma soirée à me caresser en regardant le film des ébats de Céline et François, autant excitée par le sexe de François que par les seins de Céline. Je ne pense plus qu’à une seule chose : passer une nuit avec eux et profiter de leurs corps.




—ooOoo—




Le lendemain, j’attends l’arrivée de Céline avec impatience mais celle-ci n’apparaît qu’à 10 h 30. Dès qu’elle arrive, je me jette sur elle et l’attire vers la machine à café. Je décide de passer à l’attaque.



Elle reste sans voix. Décidée à forcer le destin, je la provoque :



Toujours aucune réaction. Elle baisse la tête ; je sens qu’elle est perdue. Le petit jeu d’hier a dû perturber ses repères habituels. Je décide de la pousser dans ses retranchements ; je m’approche d’elle et pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un baiser rapide mais intense. Je suis surprise qu’elle se laisse faire.



Contre toute attente, Céline me répond sans hésitation :



Ne reste plus qu’à convaincre François. Je pense utiliser une méthode encore plus directe avec lui.

Céline regagne son bureau. Moi, je fais un petit détour avant de revenir au mien, puis j’envoie un message à François :


« Il y a une surprise qui t’attend dans les toilettes des hommes… »


Il se retourne vers moi, je fais mine de ne pas le voir. Il se lève, intrigué, vers les toilettes. Il revient cinq minutes plus tard. À sa tête et à la bosse de son pantalon qu’il essaie de cacher, je sais qu’il a eu mon message. Je lui ai fait un petit montage à ma façon. Un condensé de ses exploits de la veille et de moi presque nue lui demandant de me prendre, moi et Céline, en même temps. Le tout sur mon téléphone.


Je lui renvoie un message :


« Si tu es d’accord pour passer la nuit avec moi et Céline, rapporte-moi mon portable… »


Je le sens hésiter. Il est marié, il aime sa femme, ça se voit ; on sent le dilemme sur son visage, mais une soirée avec deux magnifiques jeunes filles, n’est-ce pas le fantasme de tous les hommes ?

Il se lève, vient vers moi, me tend mon portable.



Il me dit ça dans un sourire. Il s’est vite repris, le bougre, et en plus il est joueur. Je lui souris en retour. Je lui donne un petit papier où j’ai inscrit mon adresse et l’heure du rendez-vous.




—ooOoo—




Céline arrive la première. Elle a apporté du vin, elle est stressée, un peu mal à l’aise, elle me dit que le vin c’est pour se décontracter. Pour la mettre à l’aise, je la complimente sur sa tenue et je nous sers deux verres de vin blanc. L’alcool devrait nous aider à nous désinhiber. Il y a un pas entre les fantasmes et leur réalisation.


Je ne suis pas avare de compliments sur sa tenue. Elle est magnifique dans son style BCBG sexy : robe noire à fines bretelles, au-dessus des genoux, légèrement fendue ; des bas couleur chair, un léger décolleté qui laisse apparaître le sillon de sa poitrine, et des chaussures à talons. Elle me retourne le compliment et dans ses yeux je vois un léger trouble. Il est vrai que je suis à mon avantage avec ma petite robe bleue moulante et décolletée, mes escarpins assortis. En plus, j’ai pris le temps de bien me maquiller et me coiffer.


François n’arrive toujours pas et son stress continue de monter ; la discussion est toujours aussi difficile et, pour se donner de la constance, elle n’arrête pas de boire. Au bout d’un certain temps, l’alcool aidant, la conversation se fait plus facile et plus grivoise. Je la lance sur sa soirée avec François. La température commence à augmenter. Mon excitation monte et ma petite chatte est tout excitée, je commence à mouiller. Pour Céline aussi la conversation n’est pas sans conséquences : je vois distinctement les pointes de ses seins darder sous sa robe. Je lui fais part de ma surprise à la voir se lâcher comme ça avec un presque inconnu, moi qui la voyais comme une fille sage. Elle me confirme être une fille sage ; cette aventure, elle en est la première étonnée. Jamais elle ne s’était abandonnée de la sorte. Je lui parle aussi de son corps, de la beauté de ses seins, de ses fesses et de son sexe entièrement épilé. Mes compliments la font rougir. Elle m’explique qu’elle s’est rasée le sexe pour la première fois suite à un pari, et que les sensations qu’elle a ressenties après l’ont convaincue de continuer. En plus, elle trouve ça plus beau comme ça. Sans réfléchir, je lui demande de m’épiler le sexe.


Après avoir récupéré les instruments nécessaires à ma retouche, nous nous installons dans ma chambre. J’enlève ma robe ainsi que mon string, m’allonge sur le lit et écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche. Elle a tout de suite vu que je mouillais, ce qui l’a fait sourire. Ses mains douces étendent la crème sur mes lèvres, attentives pour que tout se passe bien, sans le moindre mal. Avec ma pilosité peu abondante, c’est assez rapide ; toutefois, Céline fait un peu durer le plaisir. Elle me bichonne : lave, sèche et me met de la crème avec des gestes suffisamment appuyés pour que je sois dans un état d’excitation pas possible.


C’est le moment que choisit François pour arriver. Juste le temps de repasser ma robe et je vais lui ouvrir. Dans l’état d’excitation où je me trouve suite au traitement de Céline, je l’accueille avec un baiser langoureux qui le surprend, puis prends la bouche de Céline qui se tient juste derrière moi. La séance d’épilation m’a mise dans tous mes états. Il est temps de passer aux choses sérieuses.


Sans perdre un instant, j’installe François sur une chaise puis je me dirige vers ma chaîne pour mettre de la musique. Je balance mes hanches de gauche à droite, sur le rythme de la chanson. Je me caresse au-dessus de ma robe. Le ventre, les seins, de manière de plus en plus sensuelle et chaude. Mes yeux se plantent dans ceux de Céline. Je la presse de me rejoindre. Délicatement, je joue avec les bretelles de sa robe. J’en fais glisser une ; son épaule nue se dévoile. La seconde ne tarde pas à glisser, elle aussi. Je tire délicatement sur l’étoffe jusqu’à son nombril, laissant ses seins nus. Notre observateur ne peut retenir une petite exclamation. J’ondule du corps contre Céline, notre danse se fait de plus en plus sensuelle. J’abaisse sa robe peu à peu, découvrant un string noir minimaliste qui surmonte des bas et un porte-jarretelles. Je jette la robe aux pieds de François. Je regarde tour à tour Céline et François, ravie du résultat. Lui a la bouche légèrement entrouverte mais il n’arrive pas à exprimer le moindre mot. Céline, docile, continue à prendre la pose, ses seins fièrement dressés. Je me rapproche et me frotte contre elle. Je pose ma main sur ses jambes, la remonte jusqu’à ses cuisses puis sur son sexe. Après quelques caresses appuyées à travers son string, je continue la découverte de son corps. Mes mains passent de ses fesses à son ventre puis vers ses seins. Je malaxe doucement ses deux belles pommes, titille les bouts. Céline ronronne de satisfaction.



Elle s’avance vers lui lentement ; il se lève et l’embrasse longuement à pleine bouche avant de porter la main de Céline à la braguette de son pantalon pour libérer sa bite bandée. Elle le déshabille entièrement et le rassoit.


Elle se penche sur son membre, ses tétons frôlent sa bite fièrement dressée. Il frémit à l’approche de ses pointes sur son gland. Elle passe ses seins sur ses testicules puis emprisonne son engin entre sa poitrine. Elle compresse son sexe entre ses deux globes, imprimant un rythme soutenu à sa branlette. La vision de Céline à genoux en train de masturber François m’excite terriblement. Je m’approche à mon tour de François et pose mes lèvres sur les siennes. Il ne lui faut pas deux secondes pour que sa langue prenne possession de ma bouche. Nous partons dans un baiser fiévreux. Ses mains glissent le long de mes jambes, remontent ma robe pour libérer l’accès à mes fesses et mon mont de Vénus. Il glisse lentement une main entre mes cuisses jusqu’à mon sexe fraîchement épilé. Lorsqu’il effleure mon clitoris, je ressens comme une décharge électrique. La sensation de sa main sur ma peau nue est incroyable. Ses doigts se posent sur mon bout de chair si sensible. Il le frôle sans précaution, mon corps est parcouru de frissons. Il s’enhardit et se met à me caresser plus vivement. Je gémis à chaque fois que ses doigts s’approchent de mon clitoris. Son autre main glisse entre mes lèvres et son majeur entre carrément en moi, bientôt rejoint par son index. Désormais, deux doigts dans mon vagin et un autre pétrissant mon clitoris, je halète sans le quitter des yeux. Incapable de me retenir, je me mets à crier tandis que ses doigts fourragent mon intimité.

Je m’écarte d’un coup. Je ne veux pas jouir maintenant. Je m’agenouille derrière Céline, je lui flatte la croupe.



Elle ne se fait pas prier. Elle attrape à pleine main sa matraque et la caresse avec une grande douceur. Presque religieusement, elle masse la hampe dressée, couvrant et découvrant de son prépuce le gland violacé. À chaque fois que le gland est découvert, elle le titille de la pointe de sa langue. Les plaintes de François me laissent croire qu’il apprécie son traitement local. Sa bouche et sa langue prennent le relais de sa main. De la pointe de la langue, elle parcourt la tige ; elle se gonfle, prend encore plus de volume. Elle prend son temps, la coquine. Elle fait monter la pression. Toujours avec la pointe de sa langue, elle titille la fente du gland tout gonflé de sang. Des gouttes de liquide séminal s’échappent de la petite fente qui orne la tête du gland, qu’elle s’empresse de laper. Je me positionne à genoux à côté de Céline et passe ma langue sur mes lèvres. Il comprend la suite du programme et sourit. Je joins ma langue à celle de Céline. Dès les premiers coups de langue sur son gland, il se laisse complètement aller.


Nous léchons sa tige comme un bâtonnet glacé. Alternativement, nos langues partent de ses bourses et remontent jusqu’à son gland, titillant au passage son frein. Nous les faisons tournoyer sur son bout. Laissant le gland à Céline, je redescends le long de sa tige pour m’occuper de ses testicules. Je les lèche, les masse, les caresse pendant que Céline enfourne goulûment sa tige dans sa bouche. Elle le suce fermement, en prenant bien soin de faire quelques pauses pour ne pas qu’il jouisse sur le coup. François est hagard, son regard est dans le vide ; je le vois déglutir et respirer de grandes bouffées d’air.



Un dernier coup chacune sur son gland, histoire d’avaler sa petite goutte brillant sur son engin au bord de l’explosion et nous nous relevons.


Céline, féline, enlève délicatement son string et s’installe à quatre pattes sur le canapé, nous offrant une vision incroyable : une magnifique jeune fille vêtue uniquement de bas et de chaussures à talons. Je me rapproche d’elle ; mes doigts écartent sa vulve et cherchent un passage dans son intimité. Je la masturbe devant François, la paume de ma main imprimant un rythme lent sur son clitoris et mes doigts s’enfonçant sans retenue en elle. Elle est trempée et je la branle fiévreusement maintenant. Cette petite séance de branlette s’intensifie par des petits gémissements coquins et sensuels. Je fais goûter mes doigts luisants de liqueur à François qui m’a rejointe ; il les lèche ou plutôt les dévore, puis il les pose sur son œillet.


À peine mon majeur posé sur sa rondelle, Céline se cambre et vient à la rencontre de mon doigt trempé de ses sécrétions qui glisse sans encombre dans son anus.


Pendant que je doigte Céline et que mon index rejoint mon majeur dans le petit trou de Céline, François se cale derrière moi ; je sens son sexe dressé contre mes fesses. Il empaume mes seins, pince mes pointes, passe ses mains sur le fin tissu de ma robe. Le contact de ses doigts m’électrise. Ses mains quittent ma poitrine pour remonter vers mes épaules. Il fait glisser les bretelles de ma robe, défait délicatement la fermeture Éclair et la fait descendre. Il me pousse doucement vers Céline.



Je rejoins Céline sur le canapé et la fait s’allonger.



Je m’accroupis entre ses cuisses, ma tête à hauteur de son sexe épilé. Elle est complètement offerte, son sexe s’écarte de lui-même. Mon souffle chaud caresse sa peau et lorsque ma langue remonte sur toute la longueur de son minou, elle a beaucoup de mal à ne pas jouir tout de suite. Deux de mes doigts la pénètrent et se mettent à aller et venir dans son vagin, mes lèvres se referment sur son clitoris et un troisième doigt force doucement l’anneau de ses fesses. Elle gémit. Son orifice anal cède sous la poussée impérieuse, je l’envahis, complètement. Elle serre les coussins de toutes ses forces, retardant le plus possible le déferlement du plaisir.


François reste en retrait pour nous observer. Il ne dit rien, savourant la scène qui s’offre à lui, puis finalement s’avance vers nous. Il se positionne derrière moi, flatte ma croupe. Il caresse, malaxe mes fesses. Il écarte mes collines charnues, il frôle des doigts ma petite rondelle. Il se place à genoux entre mes jambes fuselées. Son visage descend ; il se retrouve à la lisière de ma vallée. Il niche sa langue au creux de mon sillon, il me goûte sur toute sa longueur. Un rapide arrêt sur ma rondelle brune puis il s’occupe de mes lèvres juteuses. Mon clitoris est plus dur à atteindre, alors je soulève mon bassin en ramenant mes genoux sous mes cuisses. Dans cette position, je suis complètement cambrée et offerte. Ses mains attrapent mes fesses et sa bouche vient cueillir mon nectar. Il me lèche sans cesser de titiller tous mes sens ; sa bouche s’occupe de mes lèvres et de mon clitoris tandis que ses doigts me pénètrent le sexe et le cul. Placé dernière moi, il se penche pour venir s’amuser avec le trou asséché ; sa langue armée de salive a tôt fait de lubrifier et d’assouplir la peau : il accepte dorénavant toutes les caresses, mêmes les plus vicieuses. Mon minou n’est pas oublié pour autant : sa main, après avoir flatté mon volumineux clitoris, tend deux doigts qui viennent coulisser sans peine dans mon conduit bouillant.


Le traitement que me fait subir François m’entraîne dans un orgasme fulgurant. Céline et moi jouissons en même temps en hurlant notre plaisir.


Nous mettons deux minutes à redescendre et nous rendre compte que François n’a pas joui. Sa queue est déployée et dressée raide vers le ciel. Il vient s’immiscer entre Céline et moi. Tour à tour, il flatte une croupe, frotte sa verge tendue contre mes fesses, nous embrasse chacune tendrement, puis il prend Céline par la main et la guide vers la table basse. Il la dirige de façon qu’elle s’y allonge sur le dos. D’un geste, il m’attire et me montre pour que je me place tête-bêche sur mon amie. Nous reprenons nos caresses intimes. Céline écarte mes lobes fessiers pour que sa langue parcoure mon sillon, glissant de mon clito à l’anus. Gourmande, je presse si fort entre les cuisses de Céline que mon nez semble disparaître entre les petites lèvres pendant que je lui suce le clitoris.


Il tourne autour de nous, ses doigts explorent. Nous ne lui refusons rien. C’est lui le maître du jeu ; il plonge alternativement dans nos sexes ouverts sa langue et ses doigts. Nos anus se laissent posséder, yeux grand ouverts sur nos envies de lubricité.


Il présente enfin sa queue aux portes de ma chatte et investit mon vagin. Il entre sans effort et bientôt il est au fond.


Quel délice de sentir ma chatte investie. Il ne bouge pas encore ; Céline en profite pour caresser ses bourses de sa langue. Il sort doucement sa verge de ce lieu accueillant et se laisse happer par la bouche gourmande de ma partenaire. Il pousse si fort sa queue dans sa gorge qu’elle l’absorbe complètement, ses bourses viennent buter contre ses lèvres. Puis il se retire et plonge dans mon con. Quelques coups de va-et-vient puis il revient dans la bouche de Céline qu’il utilise encore avec violence. Elle ne se plaint pas et se prête à ses ardeurs. Après tout, peut-être qu’elle aime être traitée ainsi et baiser avec violence ? Enfin il l’abandonne pour se consacrer entièrement à moi. Il me baise longuement, allant de plus en plus vite jusqu’à ce que je jouisse, dans ce feulement étouffé entre les cuisses de Céline. Sa queue est toujours dure, on dirait presque qu’elle est insensible.


Il reprend ses mouvements mais seul maintenant son gland entre et sort de mon vagin. Doucement, je sens le sperme jaillir au fond de mon vagin. Il reste figé dans mon sexe. Tout le temps qu’il reste dans cette position, Céline lui lèche et suce ses bourses maintenant vidées.

Il se retire doucement pour qu’elle puisse le nettoyer et, lorsqu’elle a terminé, il se recule. Son sperme coule doucement pendant que Céline s’applique à bien nettoyer ma chatte.


Ce geste est un tournant dans la soirée ; la situation devient de plus en plus hot, et nos envies sont de plus en plus lubriques ; j’ai envie de me faire « salope » autant que Céline. Je l’embrasse pour partager avec elle le mélange de nos sécrétions.


Encore avide de sexe, Céline se retourne vers François et prend son sexe dans sa bouche. Elle le suce comme si c’était la fin du monde. Ses lèvres glissent sur son sexe, le faisant reprendre rapidement de la vigueur. Soudain mes mains emprisonnent sa tête. Je pousse pour qu’elle le prenne entièrement dans sa gorge. Mes mains lui imposent un rythme rapide ; petit à petit, le sexe de François rentre entièrement, ses lèvres au ras de ses bourses.


Je laisse deux minutes mes amants d’un jour. Quand je reviens, Céline est toujours en train de sucer François avec ardeur, mais ils ont changé de position : ils se sont installés sur le canapé, lui assis, elle à quatre pattes. Ainsi positionné, il peut la caresser ; une main agace ses seins tandis que l’autre frotte son clito et ses doigts jouent avec son sexe.

Charmant spectacle des fesses Céline. Je me penche pour lécher son sillon. Ma langue s’attarde sur l’œillet. Un doigt prend sa place et déflore une nouvelle fois l’anus. De la salive. Beaucoup de salive.


Puis je sors l’objet que j’ai ai été chercher dans ma chambre un peu plus tôt tout en signifiant à François de ne pas parler. Il s’agit d’un double gode ceinture. Je m’appareille en introduisant le côté le plus petit dans ma chatte. Il glisse facilement dans mon vagin trempé.

Céline sursaute lorsque je positionne le mandrin artificiel lubrifié à l’entrée de son anus. Mais si elle est surprise ou inquiète, elle ne le fait pas remarquer et c’est en femme obéissante qu’elle continue de sucer, lécher et branler le membre de François.

Tout naturellement, son cul se place face au pieu et, en appuyant sur ses épaules, je lui fais comprendre de s’empaler dessus. Elle s’exécute et doucement descend, le faisant disparaître dans sa grotte. Nous sommes soudées l’une à l’autre, traversées par un axe commun. Je tends mes mains pour attraper les seins de Céline, je tire sur les tétons et donne des coups de reins, comme un homme le ferait, pour posséder encore plus ma partenaire.


François fait le tour du canapé pour se positionner derrière moi. Arrivé à ce stade, je sais ce qu’il va faire. Je me penche un peu sur sa partenaire. Sa queue est en place. Le gland est à la porte. Il joue à simuler la sodomie en poussant légèrement. Mais il ne va pas plus loin. S’il veut une femme cochonne, salope, prête à provoquer, à demander, proposer les positions les plus « bandantes », il frappe à la bonne porte.


Je tourne la tête. Nos regards se croisent. J’esquisse un sourire. Lui aussi. Sans parler, tout est dit.



Ces mots sont vulgaires mais nourrissent les fantasmes ! Une poussée, et son gland perce mon anus, dilate le sphincter.


Ahhh ! Cri de plaisir et de douleur mélangés. Il avance lentement, rampant le long de ce bâton rigide déjà en place de l’autre côté de la fine paroi.

Ahhh ! Toujours. Je ne peux pas m’empêcher de crier. Enfin, il y est, à fond, bien au chaud, mais serré, étranglé comme dans la chatte d’une pucelle.

Un instant, personne ne bouge. Moi surtout qui suis pleine. Il se penche sur moi et me chuchote à l’oreille :



Il me redresse pour me laisser plus libre de mes mouvements. Il s’accroche à mes hanches. J’ondule du bassin, de gauche à droite, d’avant en arrière. D’abord de toutes petites amplitudes pour prendre la mesure. Il glisse une main vers mon pubis. Il caresse mon clitoris en même temps qu’il m’encule.



Céline aussi ponctue chaque nouvelle pénétration de petits cris. J’accélère le rythme, je perds le contrôle. Sa queue sort de mon cul, mais sa main la replace et je m’empale à nouveau dessus. Mon œillet est maintenant ouvert et il s’engouffre facilement. Je suis déchaînée, hystérique. Je parle, gémis, j’insulte Céline :



Elle reprend de plus belle en regardant François :



Un cri. Strident, fort, comme une délivrance. Je jouis. Ma jouissance coule. Celle de François suit. Je sens le sperme suinter de mon anus. Sa verge ramollie glisse hors du trou. J’en profite pour me retirer du cul de Céline. Je retire mon appareillage, me glisse vers Céline.



Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase que Céline s’est déjà jetée sur le sexe de François. Elle fait glisser son vit entre ses lèvres ourlées. Quelle salope ! D’un mouvement savoureux de la bouche, elle le tète, provoquant des bruits de succion proprement indécents. En experte, elle joue sur la pression de ses lèvres sur son gland, alternant les profondeurs de pénétration. Relâchant son étreinte buccale, elle darde sa langue pour léchouiller le frein et tout le tour de son gland.


Céline s’offre fesses cambrées, les mains appuyées sur le rebord du canapé. Je me jette à genoux pour enfoncer mon visage entre les globes largement ouverts. Impossible de me lasser de son odeur intime, je la bois littéralement ! Elle apprécie le travail de ma langue, comme en témoignent ses gémissements qui redoublent d’intensité lorsque mes mains entrent en action. Les doigts fouineurs ne font pas de jaloux ; ils coulissent dans les deux orifices. Pénétrée de toute part, Céline ne retient pas ses gémissements. Son pubis vient s’écraser sur ma bouche. Je recueille le nectar abondant coulant de son intimité mais je me retire pour la laisser se faire baiser par François à qui le traitement buccal de Céline a fait son effet.



François se rapproche de Céline. Ils échangent un baiser passionné puis il présente son sexe à l’entrée de son vagin, Céline s’agrippant au dossier du canapé. Il entre d’un coup, arrachant un petit cri à Céline. Il lui relève ses jambes pour que la pénétration soit plus profonde. Sous les assauts de son amant, elle gémit de plus en plus, les yeux clos, s’abandonnant totalement. François, voyant me préparer, se retire du sexe de Céline, qui laisse échapper un soupir. Il la saisit par les bras pour la relever, s’assied au bord du canapé et la guide sur lui pour qu’elle s’empale sur son sexe. Céline n’a pas ouvert les yeux. Elle se laisse guider comme un pantin, comme hypnotisée par le sexe.


Elle replie ses jambes, place ses genoux de part et d’autre de ses cuisses et commence à bouger sur le sexe qui la pénètre profondément, les hanches fermement maintenues par les mains de son amant. Je pose mes deux mains sur ses fesses, et un doigt s’immisce dans son anus. Elle râle doucement, arrête un instant ses mouvements. J’en profite pour poser son gland artificiel sur l’anus de la belle Céline encore dilaté, et le gode entre sans difficulté.


Elle gémit, comme électrocutée par cette nouvelle sensation. C’est sa première double pénétration. Emplie de partout, elle est comblée. Elle ne bouge plus, elle crie sans retenue. Elle crie que jamais elle n’a ressenti pareil plaisir.



Nous n’avons pas vraiment l’intention de nous arrêter. Nous bougeons en alternance, son anus est pénétré de plus en plus profondément. Elle s’est accrochée au cou de François pour se soulager. Elle bouge pour amplifier encore les mouvements des sexes qui la pilonnent.


Nous bougeons en alternance. François rentre dans son vagin quand moi je sors de son anus. Elle a lâché le cou de François et est en appui sur ses bras, légèrement penchée en arrière. Elle regarde le sexe lui pénétrer le vagin. Les mains François s’accrochent à ses seins et jouent avec ses tétons. Les yeux fermés, elle sent l’orgasme arriver.



Une des mains de François passe d’un sein au clitoris. Céline sent le plaisir l’envahir et hurle son bonheur.



Un long râle accompagne l’éjaculation de François. Mes deux compagnons ont joui, mais moi pas encore ; alors je continue à sodomiser Céline, à me branler. Le gode et mes doigts me procurent énormément de plaisir, et à mon tour je ne tarde pas à atteindre l’orgasme.