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n° 15879Fiche technique11888 caractères11888
Temps de lecture estimé : 8 mn
30/10/13
Résumé:  Jeune adulte, je découvre le plaisir avec une copine de ma mère.
Critères:  fh fplusag fépilée forêt pénétratio fsodo hdanus confession
Auteur : Alex Tentra      Envoi mini-message
Agnès, la copine de ma mère

C’était un samedi de vide-grenier dans mon village. J’avais 17 ans et je me promenais avec ma mère entre les étals des particuliers qui présentaient toutes sortes d’objets poussiéreux. J’aime assez l’ambiance de ces marchés qui favorisent les rencontres avec d’anciens amis, camarades de classe perdus de vue… Parmi les personnes que nous avions croisées ou saluées, j’avais reconnu Marc, mon meilleur ami à l’époque du collège avec qui j’avais partagé et expérimenté pas mal de choses. J’avais également aperçu Juliette, mon premier amour secret. Ma timidité m’avait toujours empêché de faire le premier pas, malgré tous les signes, regards et attitudes de sa part qui auraient sans aucun doute attiré l’attention de n’importe quel garçon. Je me remémorais cette fin d’après-midi, un an auparavant, où nous nous sommes retrouvés par hasard, chacun flânant dans le centre du bourg. Nous avions discuté tard dans le soir, échangeant nos idées et nos espoirs d’adolescents. Assis sur la place centrale, épaule contre épaule, je n’avais pas osé relever les yeux pour croiser son regard. Comme un imbécile, je n’avais pas osé passer mon bras autour de sa taille. Si seulement j’avais osé…

J’étais un peu perdu dans mes songes et je ne m’étais pas rendu compte que ma mère s’était arrêtée quelques mètres derrière moi.



Je me retournai et vis que ma mère était en conversation avec une femme, apparemment de son âge, et qui me disait vaguement quelque chose.



Ma mère et Agnès partirent dans un éclat de rire. J’étais gêné car il s’agissait de moi, et le fait que cette femme parle de me marier avec sa fille, comme si nous n’étions que des poupées, me révoltait.



Voyant mon trouble, elle orienta la conversation sur d’autres sujets, rappelant à son amie tel événement, tel copain perdu de vue… à tel point que je commençais à m’ennuyer ferme. Je choisis de poursuivre la balade seul, laissant les deux quadragénaires à leurs souvenirs.

Alors que je marchais, les paroles d’Agnès me revinrent à l’esprit. Comment pouvait-elle se permettre ? Et puis sa fille, je ne la connais même pas. Cela dit, si elle est la digne fille de sa mère, elle doit mériter qu’on s’y intéresse. Car Agnès était une belle femme à mon goût. Elle devait avoir 45 ans, environ 1,75 m, brune, cheveux longs, une taille fine et des jambes qui devait attirer le regard de plus d’un. Il faut dire qu’elle savait mettre ses attributs en valeur. Jupe moulante, collant à couture et talons hauts. Bustier rouge largement ouvert au niveau du cou, petite croix dorée autour du cou et veste noire qu’elle portait sur l’épaule. Oui, je la trouvais belle.


Continuant ma flânerie, ces idées me sortirent de la tête. Au cours de l’heure qui suivit, je m’arrêtai devant certains étalages et faillis même acheter un lot de livres. Je cherchais le vendeur des yeux afin de négocier le prix avec lui quand mon regard se fixa sur Agnès qui, à quelques mètres de moi, étudiait elle aussi un lot de bouquins.

J’avoue avoir été fasciné par son allure et le charme qui se dégageait d’elle. Mais était-ce vraiment du charme ? N’était-ce pas plutôt une attirance physique ? Un désir profond… Après quelques instants, je me décidai à m’approcher. Elle sembla surprise de ma présence à ses côtés. Me reconnaissant, elle me fit un large sourire.



Agnès resta silencieuse, et son regard interrogatif. Je crois qu’il nous fallut à tous les deux plusieurs secondes avant de réaliser ce que je venais de dire. J’avais passé le pas. Je m’étais lancé.



Agnès resta sans voix et je partis, la laissant là et presque honteux de ce que je venais de faire. J’avoue avoir eu peur qu’Agnès n’aille se plaindre à ma mère, son amie d’enfance, et lui raconter mon effronterie. D’un autre côté, je pensais qu’elle n’oserait pas et qu’au pire elle garderait cette histoire pour elle.

J’attendis avec anxiété la fin d’après-midi. Enfermé dans ma chambre, je pensais à ce qui pouvait arriver. Certaines des idées qui me passaient par la tête m’excitaient et je me fis jouir afin de calmer mon ardeur. À la maison, ma mère était tout à fait naturelle et cela me conforta sur le fait qu’Agnès ne l’avait pas appelée. Un peu avant 16 h, je prétextai un rendez-vous chez un copain pour sortir et me dirigeai vers le lieu de rendez-vous. Arrivant en vue, je vis une Mini rouge garée devant la pancarte de fin d’agglomération. Au volant, je distinguai la silhouette d’Agnès. Elle m’attendait !

Sans un mot, je montai à côté d’elle et nous nous sourîmes. Elle était habillée comme le matin, quoique peut-être un peu plus maquillée. Elle démarra sans qu’un mot ne soit échangé. Bientôt nous arrivâmes dans une forêt. Elle prit un chemin sur la droite et s’arrêta quelques centaines de mètres plus loin. Après avoir coupé le contact, elle me dit :



Elle sortit de la voiture et alla s’appuyer dos à un arbre.



À mesure qu’elle parlait, je sentais mon désir monter et mon sexe prendre une forte consistance.



Elle remontait doucement sa jupe moulante, laissant apparaître le bord de ses bas, puis la dentelle d’un porte-jarretelles noir avant de découvrir un petit string. Elle se tourna, les mains sur l’arbre, se cambra et écarta légèrement les jambes.



Elle baissa la tête, geste plein de soumission. Moi, je m’approchai d’elle. Je fis glisser son string à ses pieds. De mes doigts, j’explorai sa fente et sa raie. La caressant doucement, j’étalai son jus tout le long de son sillon, jusqu’à son anus que je malaxai doucement. Elle semblait apprécier cette caresse et poussait de légers soupirs. Je m’agenouillai derrière elle, et alors que mes mains parcouraient ses cuisses puis ses fesses, je posai ma langue sur sa fente humide. C’était la première fois que je goûtais une femme, que je me délectais de ce nectar…



Après quelques minutes de ce traitement, je me relevai et, ayant ouvert mon pantalon, je présentai mon gland à l’entrée de son sexe, la tenant par les hanches. C’est elle qui s’empala sur moi, poussant un grognement de contentement.



Je suivais ses demandes à la lettre, me retirant presque entièrement avant de la pénétrer à nouveau au plus loin. Je sentais le plaisir monter progressivement le long de ma colonne.



C’est alors que je me retirai d’elle pour la pénétrer un peu plus haut. Elle ne résista même pas. Tout juste une petite protestation :



Mon plaisir montait de plus en plus en même temps que le sien. Heureusement que je m’étais branlé cet après-midi, sinon j’aurais craqué depuis longtemps. Maintenant, je la tenais fermement et la besognais vigoureusement. Elle feulait à chacun de mes coups de boutoir qui faisaient claquer ses fesses contre moi. Entre deux soupirs, elle me demanda de jouir dans sa bouche, chose que je lui accordai. Je me retirai donc et elle s’agenouilla devant moi, me prenant en bouche et avalant ma bite jusqu’à la garde.


Ses mains caressaient mes bourses, mon entrejambe, et un doigt s’insinua entre mes fesses pour caresser ma rondelle. C’est à ce moment-là que je lâchai tout dans sa bouche. De longues saccades de foutre partirent. Elle ne put les retenir toutes, et des gouttes de mon sperme se mirent à couler le long de son menton. Le plaisir m’avait submergé et je m’appuyais contre l’arbre afin de ne pas défaillir.


Agnès se releva, un petit sourire aux lèvres, me regarda dans les yeux et m’embrassa à pleine bouche pour la première fois. Nos langues se caressaient et je goûtais mon sperme pour la première fois, sans me poser de questions. Nous restâmes longtemps enlacés, nous caressant dans une attitude pleine de tendresse.



Je ne pus qu’accepter. De plus, l’été approchait. Je savais que mes parents allaient partir en vacances et que j’allais me trouver seul à la maison quelques semaines, ayant trouvé un job d’été. L’occasion rêvée pour qu’Agnès vienne me tenir compagnie…