n° 15890 | Fiche technique | 10924 caractères | 10924Temps de lecture estimé : 7 mn | 07/11/13 |
Résumé: Un lendemain de fête qui commence fort... | ||||
Critères: fh fplusag extracon alliance grossexe campagne anniversai hdomine contrainte cunnilingu confession -fellation | ||||
Auteur : Kokinette |
Hier, c’était mon anniversaire. J’ai eu droit à une belle fête organisée par mon mari et mes filles. Il y avait pas mal d’invités et nous nous sommes couchés tard, mais je suis toujours très matinale, et à 8h je suis la première réveillée dans la maison…
Depuis quelques années, je suis grand-mère de deux adorables petites filles. Je passe les voir dans leur chambre ; elles sont encore profondément endormies et je remarque que leur mère dort avec elles. Elle me murmure qu’elle a très mal dormi dans la caravane que nous leur prêtons pour la nuit, vu le grand nombre d’invités dormant sur place. Son mari puant l’alcool et ronflant à outrance selon ses termes, elle était venue passer la seconde partie de la nuit au calme, entassée avec ses filles ! Je referme la porte et la laisse se rendormir.
Il faut dire que Bertrand, mon gendre, en tenait une sacrée couche hier soir. Je ne l’avais jamais vu aussi déchaîné. Il n’a pas l’habitude de boire et, vu l’état dans lequel il était, je pense qu’il va avoir une sacrée gueule de bois !
Il s’est livré à quelques confessions lorsque nous dansions ensemble. Il m’a avoué qu’il aimait beaucoup mes rondeurs et me trouvait très sexy ; je suppose que l’alcool l’a fait un peu trop parler… Ma fille m’avait avoué qu’il buvait peu mais que l’alcool le rendait très amoureux. Et ses mains baladeuses d’hier n’ont fait qu’appuyer les propos de mon aînée… Heureusement, c’est resté dans la limite du raisonnable, et j’ai trouvé ça plutôt flatteur et bon enfant, même s’il prenait un malin plaisir à me caresser les hanches…
Du coup, il se retrouve seul dans la caravane. Je vais tout de même m’enquérir de sa santé, même si je suppose qu’il dort comme un loir en ce moment !
Dehors, le soleil brille, mais l’air est tout de même un peu frisquet en ce matin du mois de septembre. Je remarque qu’une des fenêtres de la caravane est ouverte : ma fille a dû l’ouvrir pour aérer.
Je frappe ; la seule réponse que j’entends, ce sont ses ronflements. J’entre dans la caravane et là, surprise : je le vois nu comme un ver et étalé de tout son long en travers du lit ; mais le plus choquant, c’est que son sexe est en érection. Et quelle érection !
Je fais immédiatement demi-tour pour repartir mais je me ravise car j’ai peur qu’il attrape froid, d’autant que l’air semble aussi frais que dehors à l’intérieur de la caravane. Sans faire de bruit, j’attrape le drap tombé par terre et je recouvre mon gendre tant bien que mal, puis je vais fermer la fenêtre. Mais pour cela, je suis obligée de mettre un genou sur le lit et d’enjamber Bertrand, toujours étalé car la fenêtre est quasiment collée au lit et du côté opposé à moi, évidemment…
J’arrive tant bien que mal à attraper du bout des doigts la poignée de la fenêtre que, malgré moi, je claque un peu violemment. À ce moment-là, j’ai un gros moment de panique ; ses ronflements s’arrêtent alors que je suis dans une position quelque peu scabreuse, penchée au-dessus de lui, une cuisse d’un côté de son corps, la seconde de l’autre côté, dans le vide…
Puis c’est la catastrophe : je sens une main se poser derrière mon genou et remonter le long de ma cuisse, et sa main est à peine sur ma cuisse que je sens l’autre se positionner sur mon sein gauche dont l’accès est facilité par le large entrebâillement de mon peignoir. J’essaie aussitôt de me relever discrètement pour filer à l’anglaise mais je perds l’équilibre et ma poitrine tombe sur son visage. Je me relève alors rapidement, mais trop tard : il se réveille !
Je me rajuste rapidement et me justifie en lui disant que j’étais simplement passée pour voir si tout allait bien et pour fermer la fenêtre. Son charabia me fait immédiatement comprendre qu’il est encore bien bourré ; il me dit que je ne peux pas le laisser comme ça en enlevant carrément le drap…
Il me présente alors son sexe, tendu à l’extrême. Je reste sans mot tellement je suis surprise. Je tourne alors les talons en lui répondant :
Puis il me balbutie :
Il est à présent à côté de moi, titubant. Son sexe semble vraiment très dur ; il monte jusqu’au nombril, bien raide. Il faut avouer que je n’ai pas vu beaucoup de sexes d’hommes dans ma vie, mais sa queue est vraiment très belle, bien droite, avec quelques veines et d’un calibre bien au-dessus de la moyenne, à mon avis…
Je réfléchis quelques secondes puis je lui réponds :
Un large sourire apparaît sur son visage ; il me prend la main pour m’emmener vers le lit, s’allonge, me fait asseoir à ses côtés puis me pose directement la main sur son sexe. Ce n’était pas qu’une impression : celui-ci est vraiment tendu à l’extrême. Je ne sais pas pourquoi je le fais, mais je m’exécute finalement : je prends fermement son sexe, ma main commence à monter et descendre sur sa verge, je le masturbe et prenant conscience de ce que je suis en train de faire, j’accélère rapidement la cadence pour en finir au plus vite. Seulement… plus je le branle, plus il ferme les yeux en grommelant de plaisir. Après cinq bonnes minutes, je commence à avoir mal au bras donc je change de main. J’accélère encore le rythme, mais c’est qu’il semble très endurant, et il m’avoue qu’il l’est davantage les lendemains de cuite…
Je ne m’attendais sûrement pas à la réflexion qui allait suivre…
À nouveau choquée, je lui réponds :
Il se lève alors rapidement en me disant :
Il est à peine debout qu’il me présente son sexe à quelques centimètres de mes lèvres. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je lui embrasse le bout du gland, sans doute pour qu’il me fiche la paix. Cependant, le saloupiaud s’enhardit et vient à nouveau coller son gland sur mes lèvres, forçant presque l’entrée de ma bouche… À force d’obstination, il arrive à ses fins et à entrer son gland tout entier entre mes lèvres ; ses encouragements et ses gémissements de plaisir font que je me laisse aller et je ne sais pas pourquoi, mais je me mets à sucer cette belle queue qui s’offre à moi sur un plateau. Pendant ce temps, il se met à me caresser les seins, chose à ne pas faire, car je suis extrêmement sensible de ce côté-là. Sa queue en bouche et ses caresses sur mes gros seins ne tardent pas à me rendre folle : je sens le désir monter en moi et ma culotte se retrouve rapidement dans un état…
Petit à petit, je suis folle de désir ; mon gendre va finir par avoir ma peau ! Toujours vivement encouragée, je me mets à le pomper comme jamais je n’ai sucé personne. Son gros sexe est vraiment un régal ; je lui masse les couilles en même temps, il se cambre, tellement il semble apprécier.
Puis il sent qu’il a maintenant sans doute gagné la partie ; il me fait allonger sur le lit, ouvre complètement mon peignoir et descend ma culotte. Heureusement, j’étais allée chez l’esthéticienne la veille et il semble particulièrement apprécier mon petit ticket de métro, me félicite et se met à me dévorer le sexe à son tour. Je me laisse aller à ses petits coups de langue qui deviennent rapidement de grandes léchouilles.
N’en pouvant plus, il vient s’installer au-dessus de moi. J’écarte largement les cuisses pour l’accueillir au mieux. Il ne met pas longtemps à trouver le chemin ; je le sens maintenant s’enfoncer lentement en moi, je me laisse aller. C’est un régal ; son sexe remplit bientôt complètement ma chatte. Je pose mes cuisses autour de sa taille, les mollets derrière ses cuisses et mes mains sur ses fesses. Il se met immédiatement à imprimer la cadence ; je lui dis de surveiller par la fenêtre que personne ne nous surprenne.
J’essaie de me retenir mais je ne peux m’empêcher de pousser de petits cris à chaque coup de boutoir, et j’ai l’impression que ces petits cris l’excitent car il prend un malin plaisir à me mettre des coups de queue toujours un peu plus violents ; je sens alors une première vague de plaisir monter en moi et m’envahir. Il accélère alors la cadence et finit par me faire atteindre un premier orgasme. Ensuite, il maintient ce rythme pendant de nombreuses minutes ; j’ai rarement vu une telle endurance ! Le rythme de ses coups de queue reste très élevé pendant un bon moment, et je sens que je viens à nouveau, puis j’ai encore un troisième orgasme qui monte quand il se met tout à coup à me donner de grands coups de queue synonymes d’une fin proche. Le lit se met à grincer indécemment lorsque je le sens pousser des cris étouffés de jouissance alors que mon vagin s’emplit petit à petit de sa semence qu’il s’applique à aller déposer le plus profondément possible. Mon orgasme est alors à son paroxysme ; celui-ci est violent, et je ne peux m’empêcher de hurler mon bonheur.
Bertrand reste affalé sur moi, et je mets quelques minutes à reprendre mes esprits quand je me rends compte qu’il s’est rendormi, le saligaud…
J’ai toutes les peines du monde à le basculer sur le côté ; je me rajuste et je regagne la maison, en espérant que personne ne nous a entendus.
Heureusement, tout le monde dort encore ; il est 8 h 45 et je me mets à préparer le petit déjeuner pour les convives. C’est ma fille qui descend finalement en premier. Je lui dis que je suis allé voir son grand, qu’il était en forme et qu’il dormait comme un bébé, ce qui n’était pas complètement faux…