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Temps de lecture estimé : 10 mn
09/11/13
Résumé:  Un jeune homme timide va découvrir réellement le plaisir féminin avec une amie proche de la cinquantaine presque par accident. A son grand bonheur.
Critères:  fh fplusag extracon copains complexe campagne douche voir noculotte nopéné init
Auteur : Sinus

Série : Le plaisir de l'âge de la raison

Chapitre 01
Annie s'amuse avec moi

Je me présente, je m’appelle Bastien et j’ai 25 ans. Je suis un garçon assez timide avec les filles, n’ayant eu jusqu’à ce jour qu’une seule partenaire sexuelle. Mais depuis quelques jours ma libido s’enflammait plus que de normal. Je pensais de plus en plus à une nouvelle amie à moi. Je vous explique assez rapidement la situation. Je suis dans l’associatif dans une radio locale. Depuis maintenant près de deux ans, je présente une émission aux côtés d’Annie. C’est une mère de famille de 47 ans, pas forcément belle mais très féminine et qui possède tout de même un certain charme. Elle a aussi un côté très frigide, c’est une catholique pratiquante. Un rien la choque. La taquiner et lui lancer des piques est un réel défi auquel je m’affaire au quotidien. Elle est heureuse dans son couple, et d’après ses dires, son mari le lui rend bien au lit. Elle aime l’affirmer et c’est assez paradoxal avec l’image puritaine qu’elle renvoie. Elle est brune aux yeux verts. Elle est mince de corps et pratique différents sports.


Je sentais aussi de son côté une relation de plus en plus forte avec moi. Parfois, pour s’amuser, nous faisions des sous-entendus entre nos relations mère-fils. Mais pour moi, il est clair qu’elle n’a jamais été ma mère. Je la voyais comme une femme et avec le désir que ça comprend. Une relation mère-fils est asexuée. Pas dans cette situation. De mon côté tout du moins.


Dans mes rêves les plus fous le soir, je l’imaginais parfois me rendre heureux. Nous l’étions chaque moment passé ensemble, même si ce n’est pas de la façon dont je l’imagine passé 20 h. Il y avait une certaine connivence d’amis assez proches et de confiance. Cette relation changea au bout de quelque temps via de petits incidents que je m’apprête à vous conter.


Le tout premier arriva par hasard. Un jour que nous parlions, je lui fis part que je désirais me remettre au sport pour me muscler. Je n’étais pas gros. Mais je n’étais pas musclé pour autant. Disons que j’étais gras, tout en étant relativement fin. Elle m’apprit que le club de handball local avait monté une équipe loisir pour s’amuser le mardi soir. Elle en faisait partie depuis maintenant trois années. Elle me poussa à rejoindre l’équipe. Je décidai d’essayer un soir et l’ambiance était forte agréable. Je pris rapidement la licence et m’amusais dorénavant tous les mardis soirs. De fil en aiguille, je m’investis beaucoup plus au club. J’entraînais désormais l’équipe féminine des -16 ans. Pour prendre ma douche, j’attendais toujours un long moment après la séance, une fois que toutes les demoiselles avaient fini dans les vestiaires. Autant pour elles que pour moi. Je ne voulais pas les voir nues, et je craignais tout autant de l’être de mon côté.


Un soir je m’attardai plus que les autres soirs avant de me laver, pris dans le rangement du matériel. Le premier incident surgit à cet instant.

Dans le gymnase, il ne restait que moi. Une fois mon travail fini, je regagnai le vestiaire. Étant seul, je me dénudai rapidement et pris ma douche. J’étais bien sous l’eau chaude. Quand tout à coup, un bruit me ramena à la terrible réalité.



Je connaissais cette voix. Je me retournai. C’était Annie. Je me retrouvais planté là, nu comme un ver devant elle. J’étais très gêné et rougis. Elle s’en aperçut, et avant que je puisse avoir eu le temps de lui répondre, elle quitta la pièce sans dire un mot. Mais le mal était fait. Elle avait eu le loisir de mater mes fesses et même de voir mon entrejambe. Mon sexe n’est pas très gros, et j’en ai toujours fait un complexe. J’avais honte. Le ciel s’abattait sur ma tête. Je finis tant bien que mal de me shampouiner et de me rincer. Je me rhabillai et sortis du vestiaire. Je redoutais de la rencontrer, mais elle était bien là, face à moi dans le couloir assise sur une chaise.



J’étais très mal à l’aise. Elle le remarqua mais ne laissait rien paraître, comme si rien ne s’était passé de son côté.



J’étais toujours aussi mal à l’aise. Nous rejoignîmes son véhicule. Une fois à l’intérieur, nous engageâmes une discussion comme si de rien n’était.



Le lendemain je me retrouvai en bas de chez elle en voiture. Elle m’attendait avec sa valise. Elle me fit un grand sourire et continua avec une bise. Elle était heureuse de retrouver sa famille, et l’histoire de la veille où j’étais apparu nu devant elle était comme oubliée.

Nous prîmes la route à destination de la gare la plus proche. Il avait plu toute la journée, et la pluie continuait de tomber pendant le trajet. Nous étions en automne, et nous avons l’habitude dans le Languedoc de ce mauvais temps. Cependant, nous arrivâmes à rejoindre la gare en temps et en heure. Malheureusement, le train était annulé. Une voix résonnait à travers les lieux comme quoi tous les départs étaient annulés pour raison d’inondations. Nous fîmes chemin inverse, et l’histoire de ma vie changea du tout au tout à ce moment là.

Nous étions au beau milieu de nulle part sur le trajet du retour, sous la pluie qui continuait de tomber. Soudain, la voiture ne répondit plus. J’avais beau accélérer, elle ralentissait. Au bout de deux minutes, nous nous retrouvâmes sur le bord de la route bloqués par le moteur qui refusait de fonctionner.



Elle était toujours de bonne humeur malgré l’annulation du départ de son train. Elle est toujours enjouée, c’est une des raisons qui la rend sexy à mon goût.



J’ouvris le capot et m’approchai du moteur. Malheureusement je suis un piètre mécanicien. Elle me rejoignit dehors, et nous étions à présent tous les deux bien mouillés.



Je me retournai. Trente mètres derrière nous se trouvait un gîte. Annie prit sa valise, je fermai à clé la bagnole, et rapidement, nous nous dirigeâmes vers la bâtisse. Un portail avec sonnerie et interphone nous empêchait de rentrer. Nous sonnâmes. Par chance, les propriétaires habitaient sur le même terrain une villa à côté. Ils nous répondirent et nous louèrent pour la nuit le gîte, comprenant notre grand désarroi après nos explications. Munis des clés, nous pénétrâmes la bâtisse seuls. Nous avions refusé aux proprios de nous faire visiter. Nous ne voulions pas les mouiller pour rien.


Visiblement, ce n’était pas un lieu cossu. Un hall nous accueillait avec un couloir derrière lui. Sur la gauche se trouvait une cuisine. Sur la droite se situaient deux pièces. C’étaient la cuisine, et la salle de bain qui faisait office de sanitaires pour la même occasion. Il ne restait plus qu’une porte face à nous. Nous y pénétrâmes. C’était la seule chambre. Et le lit était de taille 120. À mi-chemin entre un lit simple et un lit double. J’étais très gêné par la situation. Je ne savais pas où j’allais pouvoir dormir. Elle l’était moins visiblement.



Elle partit donc dans la pièce voisine prendre une bonne douche chaude. J’entendais l’eau couler. De mon côté, j’étais prostré devant la chambre dans le couloir. Je grelottais. Au bout de six petites minutes, la porte de la salle de bain s’ouvrit. Elle me dévisageait. Moi aussi. Elle portait un simple tee-shirt pour pyjama. Je ne savais pas si elle portait une culotte en dessous. Concernant le soutien-gorge, j’aurais parié qu’elle n’en avait pas. Elle a une petite poitrine à ce que j’ai pu remarquer depuis que nous nous connaissons. Je ne l’imagine pas dormir avec un sous-vêtement pour maintenir ses petits seins. Elle ne me semblait pas gênée. Le tee-shirt tombait à mi-cuisses. Mais il n’était pas si long.



J’étais rouge comme une pivoine, contrairement à elle, qui restait impassible à toute émotion. Elle était même toujours aussi enjouée.



Elle me fit un clin d’œil. Elle avait un long sourire taquin en rien sexuel. Elle se doutait bien que je ne dormais pas tous les jours avec des demoiselles, qui plus est des femmes qui pourraient être ma mère.



Elle riait de plus belle.

Je m’enfermai dans la salle de bain et pris ma douche. Une fois fini, nu comme un ver je sortis assez fébrile de la pièce pour regagner la chambre. Une tomate n’aurait pas pu être aussi rouge que moi. Je tenais mes vêtements mouillés dans la main. Ils masquaient mon sexe tout timide. Elle souriait et me regardait.



Elle désignait du doigt la chaise au fond de la pièce. Je lui faisais dos. La garce, elle avait tout le loisir de mater mes fesses. Mes fesses sont la partie que j’aime le plus dans mon corps. Elles sont musclées comme aiment les femmes. Je me retournai, et plus rien ne cachait mon sexe. Elle me regardait avec un sourire.



La voilà qui se moquait de moi. À moins qu’elle soit sérieuse. Elle souriait toujours autant et ne cessait de fixer mes yeux avec un certaine étincelle dans les siens. De temps en temps elle baissait le regard vers mon bas-ventre. Elle savait me mettre mal à l’aise. J’ai plusieurs fois rêvé de la voir nue dans mes fantasmes, mais me retrouver en position de faiblesse face à elle était assez bizarre. Un peu d’excitation, et beaucoup de gêne. Puis elle pourrait être ma mère.

Je m’approchai du lit. Elle leva le drap légèrement. Elle était allongée sur le rebord du matelas. Elle était belle dans son tee-shirt pyjama. L’autre côté du lit était bloqué contre le mur.



Je fis comme je pus, et dans l’exercice, le bout de mon sexe glissa un court un instant le long de son bras nu. Elle ne réagit pas. Une fois allongé entre elle et le mur, je me mis de profil, le sexe face à elle. Vu l’étroitesse du lit, nous étions pratiquement collés. La lampe de chevet embrasait la pièce. Elle était aidée par une lampe posée sur le haut d’une armoire à l’autre bout de la pièce, juste à côté de la chaise où séchait mon linge.



Une fois devant l’armoire, elle était trop petite pour atteindre le sommet du meuble. Elle se mit sur la pointe des pieds et tendit les bras pour appuyer sur le bouton. À ce moment-là son tee-shirt se releva. J’étais submergé. Elle ne portait rien en dessous. Je découvris ses fesses. Elles étaient peu musclées, assez plates. Il faut bien dire que toute habillée, on apercevait assez bien son manque de formes féminines. Cela dura trois bonnes secondes. C’est rien mais pour moi ça me sembla une éternité. Une fois l’objectif atteint, elle se retourna et regagna le lit. Je ne savais pas si elle avait remarqué que j’avais vu son petit fessier. Malgré la situation, la gêne empêchait mon sexe de s’enorgueillir. Devant le lit, elle souleva bien haut le drap pour s’allonger. Beaucoup plus haut qu’au moment de me laisser passer. Elle me voyait tout nu sur le flanc. Son terrible sourire grandissait sur son visage. Elle s’allongea et remonta le drap.



La suite pour bientôt…