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n° 15900Fiche technique20673 caractères20673
Temps de lecture estimé : 12 mn
11/11/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Enceinte, un trop-plein d'hormones, un gynéco qui m'ausculte consciencieusement... Il ne m'en faut pas plus !
Critères:  f fh médical cérébral revede fgode fdanus jouet journal
Auteur : Karine2x            Envoi mini-message
De l'influence de mon gynéco sur mes rêves érotiques

Très prise par mon nouveau rôle de maman, j’avais laissé sous le coude cet épisode de mon carnet intime qui date de la période ou j’étais enceinte. Je le trouvais trop soft pour les lecteurs de Revebebe. À vous de juger.


Petit rappel pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents écrits : je file le parfait bonheur avec mon mari, Pierre, qui a su faire exploser ma libido. Pour lui, je suis devenue une grande adepte de la gym sexuelle. Ce qui explique ce récit.






À 27 ans, je me retrouve enceinte ! Le bonheur !

Visite chez mon gynécologue. Un homme d’une soixantaine d’années. Mon dernier rendez-vous remonte à plus de deux ans, mais comme tout allait bien, j’avais zappé la visite annuelle.

Après un questionnaire en règle dépassant largement les questions habituelles des examens de routine, il passe aux choses sérieuses.



Il consulte son écran d’ordinateur et paraît satisfait ; j’étais un peu maigrichonne et j’ai pris deux kilos qui me vont à ravir (au goût de mon mari).



Il me désigne la table d’examen. Je glisse mes jambes dans les étriers. Je me rends compte à quel point j’ai changé. Avant, j’étais gênée. Je voyais le docteur qui allait examiner une partie honteuse de mon anatomie ; maintenant, je vois un monsieur plutôt sympa, un autre que mon mari, qui va farfouiller dans mon minou. J’en suis même toute émoustillée.



Maintenant il s’attarde sur mes mamelons qu’il presse doucement en essayant de faire sortir je ne sais quel liquide.



Délaissant ma poitrine, il enfile ses gants en latex, ajuste la lumière, et s’installe entre mes jambes. Il écarte et inspecte ma vulve.



Il enfonce le spéculum enduit d’un peu de gel. Tandis qu’il tourne la petite molette pour m’écarter le vagin, il constate :



Je commence à être écartée grave. Va-t-il s’arrêter ? Est-ce parce que je suis enceinte qu’il m’ouvre la chatte en grand, ou est-ce qu’avant il y renonçait tellement j’étais crispée ?



La molette ne tourne plus. Elle doit être au max. Je me sens béante, limite douleur. Je le vois avec appréhension préparer la petite spatule en bois.



Un nouveau sourire éclaire son visage tandis qu’il enfonce et retire la spatule.



Rebelote. Cette fois, il paraît satisfait et me retire le spéculum.



Écartant mes petites lèvres, il enfonce deux doigts gantés enduits de gel puis il se met à farfouiller dans ma chatte très professionnellement tout en appuyant sur mon bas-ventre de l’autre main. J’essaie de rester de marbre. « Cool, ma poule. » La palpation se prolonge ; je sens que quelque chose ne va pas.



« Primipare ! Quel mot animal. Les autres, on les appelle comment ? »

Je n’ai pas le temps d’y réfléchir. Le voyant renduire sa main gantée d’une nouvelle et grosse couche de gel, je commence à gamberger. Mon imagination fertile me joue des tours. Je pense à Ayaan qui m’avait enfilé sa main jusqu’au poignet. Une main beaucoup plus fine que la grosse paluche du docteur.



Le mal, il est fait ! Pas physiquement, mais psychiquement. Une boule de chaleur m’envahit le ventre. Mes bouts de seins se dressent, ma chatte se liquéfie.

Il s’approche. Sa main gauche se pose sur mon bas-ventre, appuie fortement, ce qui a pour effet de tirer ma vulve vers le haut, de dégager mon minuscule bouton de ses replis.

« Punaise, mon clito doit pointer comme une tige. Il va se rendre compte que je suis excitée… Il va me prendre pour une cinglée, une nympho. »

Je ne peux que subir. Je suis offerte à ses doigts gantés qui, gel aidant, me pénètrent au plus profond et se mettent à farfouiller dans mon intimité. Le cher docteur veut atteindre son objectif, tout savoir sur mes organes internes et m’examine sans le moindre ménagement. La sensation est si intense que je commence à ressentir des ondes de plaisir que j’essaie de refréner.


Au lieu de faire une pause salvatrice, il continue de bouger ses doigts dans tous les sens. Je les sens comme des tentacules faire le tour du col de mon utérus, le palper consciencieusement, examiner chaque recoin de mon vagin à la recherche de je ne sais quel cul-de-sac anormal. Dans ses mouvements, la paume de sa main et ses phalanges appuient fortement sur ma vulve, frottent sur la zone de mon clitoris. Les ondes de plaisir se transforment un une vague déferlante. Bloquant mes muscles du bas-ventre, j’arrive à repousser un spasme orgasmique au prix d’un petit gémissement.

Le docteur, impassible, retire ses doigts doucement.



Confuse, je renfile mon petit boxer, mon soutif, mon chemisier et ma jupe tandis qu’il pianote sur son ordinateur.

Je reviens m’asseoir en face de son bureau. Il me regarde ; il semble hésiter puis me dit :



Il est interloqué.



Il me regarde avec un intérêt mêlé d’étonnement. J’ai l’impression de ne plus être une cliente ordinaire.



À mon tour d’être interloquée.



Il est tout gêné.



Tandis que je médite sur son conseil, il positionne une ordonnance sur son imprimante.



Je pique un fard tandis que l’imprimante crache son ordonnance avec une batterie d’analyses à effectuer. Il la signe et me regarde.



Catastrophe ! Un jeune de mon âge ! J’ai failli jouir avec cet homme qui pourrait être mon père ; alors, avec un jeune qui – c’est sûr – va en profiter pour m’examiner à fond…




—ooOoo—



Six heures du matin… En plein rêve érotique. Un jeune gynéco séduisant au possible et ressemblant à Brad Pitt comme deux gouttes d’eau, après une palpation mammaire apparentée à un pelotage en règle, m’installe sur une table gynécologique qui ressemble à un instrument de torture puisqu’il m’y attache les jambes et les bras. Appuyant sur une télécommande, mes cuisses s’écartent en grand et ma chatte s’ouvre comme un fruit trop mûr.

Je la sens s’humidifier à toute vitesse à la vue de ce beau jeune homme qui va la visiter dans ses moindres recoins. Effectivement, il approche un spéculum qui me semble énorme, me l’enfonce à fond, écarte… écarte… jusqu’à me sentir fendue en deux pour effectuer le petit prélèvement obligatoire.


Quelques instants plus tard, à peine remise de ses émotions, ma chatte voit une main gantée luisante de gel lubrifiant s’approcher… Le jeune docteur me plonge deux doigts ; j’essaie de penser à autre chose, mais ma chatte aime. Elle aime encore plus quand il les bouge dans tous les sens ; il écarte, en rentre d’autres. Plus c’est gros, plus elle aime ; elle les veut tous, et tout au fond dans ses profondeurs brûlantes. Elle est ravie, comblée ; elle en bave de plus en plus en émettant des bruits de succion… Un vrai flot de mouille s’en échappe et commence à inonder le siège. Le docteur n’en a cure. Son autre main appuie fortement sur mon bas-ventre et il me glisse un dernier doigt. Cela fait quatre ! Qu’il groupe en cône pour m’ouvrir encore plus. La pression se fait intense et sa main disparaît dans mes profondeurs jusqu’au pouce… qu’il pose sur mon clito !


Ce n’est pas possible… Il voudrait me faire jouir qu’il ne s’y prendrait pas autrement…

Heureusement, il retire sa main. Ma chatte est frustrée ; moi, je respire mais le répit est de courte durée. Il m’annonce :



« Punaise, mon bon vieux docteur n’a jamais osé me faire ça ! »

Rebelote côté anus. Il me rentre un doigt tellement enduit de gel qu’il rentre comme dans du beurre. Il palpe mes sphincters en le tournant dans tous les sens, à la recherche de la moindre petite anomalie, de la micro-fissure jusqu’à la petite hémorroïde ; puis, ne décelant rien de spécial, m’en glisse un second.



J’obtempère sans exagération. Pourquoi lui dévoiler mes talents intimes ?



Sans attendre ma réponse, il me sort un truc bizarre genre saucisse de Francfort prolongée par un câble qu’il branche sur un micro-ordinateur pourvu d’un cadran.



Je pose une petite question innocente :



Pervers et ironique, en prime… Je vais le renvoyer à ses chères études.

Même impression que s’il m’enfonçait un gros gode.



Bandant mes muscles intimes que, je vous le rappelle, j’exerce deux fois par jour dans le bus en allant et revenant du travail, je comprime la sonde le plus possible : 9.

Il regarde le cadran, n’en croit pas ses yeux et est pris d’un doute.



Nouvelle introduction. « Rester cool… »



Il me renfonce un doigt dans l’anus… non, deux, vu la grosseur. Le salaud ! Deux gros doigts qu’il enfonce à fond et bouge pour essayer de sentir à travers ma fine membrane interne la sonde qui me gonfle le vagin.

« Ne pas jouir… Ne pas jouir… Il serait trop content… ma chatte aussi ! »



« Salaud, mon clito !… Non… Mon clito, ne touche pas à mon clito… Non… non ! »

Le spasme de jouissance, énorme, si longtemps contenu me tord le ventre ; la jauge monte à 10 ! Je pousse un cri de fauve blessé capable d’ameuter tout l’immeuble et… je me réveille en sursaut.



Pourquoi lui cacher la vérité ? Ce n’est qu’un fantasme !