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n° 15913Fiche technique45055 caractères45055
Temps de lecture estimé : 25 mn
17/11/13
Résumé:  Sonia et Luigi adorent danser. Ils se rendent dans une discothèque de province. Ils y rencontrent un couple charmant qui leur fait une étrange proposition. Ils acceptent mais ils sont bien loin d'imaginer ce qui les attend pour les heures qui suivent.
Critères:  2couples extraoffre cocus boitenuit fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -entrecoup
Auteur : Lovedoorluigi      Envoi mini-message
Drôle de rencontre dans une discothèque

Ce soir nous avons décidé d’aller danser. Sonia et moi adorons ça, nous pouvons danser des heures durant, non-stop. Nous nous sommes rendus dans une discothèque Le Byblos située à une trentaine de kilomètres d’Alençon car nous sommes venus passer ce long week-end d’automne dans notre maison du Perche.

Le club est dans une grande et somptueuse bâtisse en pierre. C’est un ancien moulin qui a été restauré. Nous entrons.



Après avoir déposé nos affaires au vestiaire, nous pénétrons à l’intérieur. La musique bat son plein.

La discothèque est plutôt spacieuse et le décor est accueillant. Déjà, sur la piste beaucoup de monde se trémousse. Une majorité de personnes avec une moyenne d’âge de 30 à 35 ans, constitue la clientèle plutôt hétéroclite. Quelques personnes que l’on pourrait qualifier d’âge mûr sont regroupées avec quelques jeunes sur des banquettes à proximité de la piste. On dirait qu’ils sont là pour fêter quelque chose ensemble.

Sonia et moi, après avoir pris une consommation au bar, essayons de trouver une place pour nous asseoir.

Sonia pose son verre sur une petite table qui semble inoccupée puis va rejoindre la piste.

Finalement, je repère deux poufs libres près d’une petite table où un homme est assis. Habillé d’un jean et d’une jolie chemise noire, il doit approcher de la cinquantaine. C’est un bel homme à l’allure distinguée.

Je lui demande :



Il me désigna son neveu, un garçon plutôt beau gosse en train de se déhancher au milieu de la piste, entouré d’une bande de jeunes dont certains me semblaient passablement éméchés.

Pendant ce temps Sonia se déchaîne sur la piste. Elle se dirige vers un des deux podiums de danse. La musique est vraiment entraînante. J’ai envie d’aller danser. Au moment où je m’apprête à me lever, mon voisin me demande :



La femme qui s’approchait était une belle femme plantureuse, brune avec des cheveux mi- longs. Entre deux âges, je dirais la petite quarantaine. Elle portait un chemisier presque transparent qui laissait deviner des jolis petits seins bien fermes. Un jean noir ultra-moulant mettait en évidence ses belles jambes fuselées interminables, son joli cul bien rebondi et sa vulve qui était comprimée d’une manière provocante. Elle se planta à environ un mètre devant moi en prenant une position un peu aguichante. Son visage était angélique et son corps était dessiné de façon harmonieuse. Elle était ce que j’appelle, un beau canon. Elle me jeta un regard appuyé. Intuitivement, je sus que cette petite bourgeoise provinciale aimait le sexe, c’était une évidence pour moi et je me trompais rarement sur ce point. Je pense que tous les mâles alpha, dont je fais partie, ont ce don de « lecture » et cette capacité à voir dans le cœur des femmes.



Puis se tournant vers moi :



Elle, me regardant :



Armelle, balaya Sonia de bas en haut avec des yeux qui en disaient long sur ses intentions cachées :



Tristan proposa :



Me demandant bien où il voulait en venir, je lui répondis :



Armelle, qui n’a pas perdu un brin de la conversation :



J’étais un peu surpris par l’audace et la perspicacité d’Armelle.



Tristan se montra de plus en plus intéressé :



Sonia se lève et propose à Armelle d’aller danser avec elle. Elles rejoignent la piste et elles commencent à onduler au rythme de la musique. Elles sont belles toutes les deux, leur corps s’exprime avec une grâce presque érotique. Plusieurs hommes, jeunes et moins jeunes s’approchent d’elles comme aimantés par leur sensualité.

Tristan sembla pensif, puis :



Je me lève, puis je vais rejoindre Sonia sur la piste. La prenant par le bras, je l’entraîne hors du dancefloor :



Je lui relate toute la conversation que je viens d’avoir avec Tristan. Puis elle me dit :



Tous les trois, nous rejoignons Tristan, puis Sonia lui dit :



C’est Armelle qui répond en prenant la main de Sonia :



D’un ton un peu sérieux, je dis :



À ce moment, je ne pus m’empêcher d’avoir une pensée très forte pour Floriane et Francisco.

Sonia prit la parole :



Nous nous levâmes pour nous diriger vers le vestiaire. En passant Armelle et Tristan allèrent faire quelques bisous à la famille pour leur dire au revoir.

Une fois dehors, nous rejoignons notre voiture. Nous apercevons Armelle et Tristan qui montent dans leur imposant 4x4. Leur voiture démarre et s’engage vers la sortie du parking, nous les suivons. Après une petite demi-heure de routes sinueuses à travers la campagne, la Porsche Cayenne s’engouffre dans une impasse menant à un énorme portail en fer forgé. Il coulisse et derrière nous apercevons un joli manoir normand. C’est leur maison. Nous entrons, nous garons notre voiture puis nous les rejoignons à l’entrée.

L’intérieur est plutôt cosy et joliment décoré. Nous suivons Tristan et Armelle, nous pénétrons dans un immense séjour cathédrale. Ils nous invitent à nous asseoir dans un grand canapé beige en cuir qui trône au milieu de la pièce. Sur le mur en face, des braises rougeoient dans une grande cheminée en pierre. Tristan jette quelques bûches dans l’âtre, et le feu repart en crépitant.

Il quitte la pièce puis après quelques minutes d’absence, il revient avec un seau à champagne et quatre coupes en cristal. Il ouvre la bouteille et nous sert à chacun du nectar pétillant. Il s’assoit puis il dit :



Sonia et moi échangeâmes un regard interrogatif.



Nous nous levâmes, puis Tristan nous guida vers une salle de bain :



Nous entrons dans la salle de bain. Elle est très luxueuse. Dans un angle une baignoire balnéo encastrée et entourée de galets est prête à nous accueillir. Finalement, nous optons pour la douche italienne, elle est immense, nous pouvons facilement y tenir à quatre.


Nous nous déshabillons. Armelle et Sonia portent toutes deux, de la lingerie affriolante. Ce soir j’ai de la chance, je vais prendre une douche avec deux sirènes. Je sens déjà le désir monter en moi.

Au moment de rentrer dans la douche, je remarque deux piercings sur le corps d’Armelle, un au nombril et un autre sur la grande lèvre de son sexe. Dans le creux de ses reins, juste au-dessus de la raie de ses fesses, il y a un beau tatouage, c’est la calligraphie du « OM », le son primordial. C’est vraiment très joli. Comme Sonia, elle porte une chaîne de taille en or. Je trouve tout cela très sexy.


Le jet presque chaud qui tombe en pluie, nous fait du bien. L’eau dégouline sur nos corps. Je savonne tour à tour Sonia et Armelle. Je les frotte doucement, je les caresse avec volupté. Je m’attarde sur les seins, les fesses, je glisse mes mains entre leurs cuisses. Elles prennent un plaisir évident. Pour moi c’est un moment de bonheur que j’aimerais prolonger. Armelle approche son visage du mien, elle embrasse ma bouche, en empoignant ma bite en érection d’une façon presque autoritaire.



Armelle, m’enduisit de gel douche et me frotta le corps des pieds à la tête. Elle me caressa le cou, le torse, le ventre, les cuisses… Puis elle revint sur ma verge, mes testicules qu’elle léchouilla au passage, elle fit des allers-retours en me passant ses doigts dans la raie des fesses. « Quelle petite salope ! » pensais-je. Puis elle entreprit de me faire une fellation. Elle m’aspira le gland puis la verge toute entière, elle commença un lent va-et-vient avec ses lèvres. C’était divin !

Soudain, nous entendîmes frapper à la porte, qui sans attendre, s’ouvrit… Tristan entra. Il était vêtu d’un peignoir blanc.



Nous sortîmes de la douche, nous nous séchâmes puis nous enfilâmes un peignoir. Nous le suivîmes en empruntant un long corridor. Après avoir parcouru une dizaine de mètres, il s’arrêta devant une des nombreuses portes. Elle était fermée. Tristan sortit un trousseau de clés et l’ouvrit.



La pièce était une vaste chambre avec en son centre, un grand lit rond qui devait faire plus de deux mètres de diamètre. Il était recouvert d’une couverture en velours rouge carmin sur laquelle étaient disposés quatre coussins noirs. Une dizaine de bougies parfumées diffusaient une clarté apaisante et dégageaient une odeur sensuelle. Sur les murs couleur bleu nuit, il y avait des dizaines de tableaux représentant des couples enlacés dans les différentes positions du Kamasoutra. Quelques statues érotiques étaient posées à même sol. Accolée à un des murs, une banquette en cuir noir et un fauteuil Emmanuelle en osier donnaient un air voluptueux à cette pièce. Enfin dans le fond, une ouverture sans porte en forme d’arche menait à un petit hall qui donnait directement à une salle de bain privative de type mauresque. Dans un recoin il y avait un petit réfrigérateur.

On pouvait sans risque de se tromper, dire à quel usage était destinée cette chambre : c’était un endroit voué à tous les fantasmes sexuels. Une chambre des plaisirs.

Tristan se dirigea vers un petit meuble il l’ouvrit, manipula une télécommande puis une musique lounge se répandit dans la pièce. C’était de la musique de Claude Challe, un des princes originels du célèbre Buddha bar de Paris, des sons érotiques et envoûtants. Je suis un vrai fan de cette musique sur laquelle Sonia et moi faisons souvent l’amour.



Lui était déjà nu. Il commençait à se caresser.



Bien que n’étant pas habitué à recevoir des ordres de cette façon, je m’exécutai sans broncher, en jouant le jeu qu’il avait instauré.



Les deux femmes commencèrent une danse lancinante au rythme de la musique érotique qui avait envahi la pièce. Armelle prit les choses en main, tout en ondulant son corps parfait, elle s’approcha de Sonia qui était déjà à fond dans la musique et qui se caressait la vulve. Leurs mains se baladaient en s’attardant sur leurs sexes. Parfois un doigt s’égarait et s’insérait dans une fente ou un trou intime. Leurs lèvres se rejoignaient, se baisaient. La lueur des bougies vacillait sur leurs corps qui se mouvaient dans une chorégraphie très sensuelle. J’étais très excité par ce spectacle de toute beauté. Corps enlacés, corps perdus dans les nymphes du plaisir. Je percevais ce plaisir qui montait en elles, les lèvres se mordillaient et je devinais des petits gémissements qui en sortaient. Leur chatte brillait tant elle était humide. Je bandais de désir et l’envie me démangeait de me caresser la verge… mais cela m’avait été interdit par Tristan.



En disant cela, il avait empoigné sa bite à pleine main et commençait des petits va-et-vient, doucement, tout doucement.

Il était confortablement installé dans son fauteuil, le cul enfoui dans un coussin et tout en continuant à se masturber délicatement, il s’adressa à moi :



Je me lève et me dirige vers le fond de la chambre pour accéder au frigo. Je reviens et je me plante devant lui.



Pendant ce temps, les filles ne faisaient même pas attention à ce que nous faisions car elles étaient totalement absorbées par leur ballet érotique. Elles étaient enlacées, s’embrassaient, se léchaient, se pelotaient, leur corps embrasé ondulait sous l’effet des caresses de leurs mains qui s’égaraient dans leurs parties intimes. Elles avaient toutes deux, les cuisses écartées en offrande à leurs langues gourmandes. Des doux gémissements de plaisir se faisaient entendre.

Tristan reprit :



Ravi de cette nouvelle mission, je fis ce qu’il me demanda sans me faire prier. Je versai délicatement du champagne sur le dos de chacune d’elle. Puis j’attendis l’ordre…



Je commençais à goûter au nectar pétillant, les bulles me faisaient du bien. Ma langue se promenait d’un corps à l’autre, je buvais, je léchais, je pompais, pendant que mes mains fouillaient leur sexe qui ruisselait de désir. De temps en temps, c’était ma langue qui s’aventurait sur leur clitoris avec avidité. Je léchais leur chatte en fureur, mouillée de cyprine avec ma langue gourmande. Je bus tout le champagne mêlé de parfum de femme et d’effluves sexuelles, jusqu’à la dernière goutte. Armelle se redressa et agrippa mon sexe durci d’une main, elle commença à me branler délicatement, mon gland était humide et du méat, une petite perle de rosée suintait. De l’autre main, avec précaution elle me malaxait mes bourses gonflées. En même temps, Sonia me caressait le cul en glissant ses doigts entre mes fesses, par moments, ils effleuraient ma rosace qui se contractait sous l’effet des caresses coquines. C’était une délectation angélique. Puis j’entrepris de faire à chacune d’elle, une mémorable feuille de rose en pointant ma langue dans leur anus, ce qui leur arracha des cris de bonheur non dissimulé.

Ce spectacle semblait ravir Tristan qui avait repris sa masturbation d’une façon un peu plus frénétique. Il faisait des pauses régulières pour reprendre sa respiration et pour gérer la montée de son plaisir. Il ne fallait surtout pas qu’il jouisse trop vite car il voulait par-dessus tout que le jeu dure le plus longtemps possible. Il nous interpella en se branlant :



À peine eût-il fini sa phrase qu’elle installa Sonia sur le dos et lui releva les jambes puis elle se coucha collée à elle en adoptant la même position.



Je m’approchai de ces deux corps en offrande et je choisis d’aller vers Sonia. Avec mon gland, je lui prodiguais des caresses à l’entrée du vagin. Je le rentrais et le ressortais doucement, pendant que je lui titillais le clitoris. Elle aimait beaucoup ça, son corps se tortillait de plaisir.

Au bout de quelques minutes, j’allais vers Armelle pour lui faire le même traitement, tout en continuant d’une main, à caresser le clito de Sonia. C’était important de toujours garder un contact charnel avec leurs corps. Armelle aurait voulu que je la pénètre très vite en se passant de ces préliminaires, mais je voulais prendre mon temps pour que l’extase soit crescendo.

Après avoir fait ce petit jeu de l’alternance entre les deux femelles en chaleur, je décidai de changer de braquet. Je revins vers Sonia pour la baiser. Cette fois j’enfonçai mon pieu au fond de son vagin qui perlait de désir. Elle se caressait le clitoris en alternant le rythme rapide et lent.

Pendant ce temps, je doigte Armelle énergiquement, elle gémit, elle glousse, elle sort sa langue baveuse et se mord les lèvres.



Je la laissais languir, tout en lui tripotant le clito de plus belle. Pendant ce temps, je continuai à limer consciencieusement la chatte de Sonia qui poussait des petits cris de jouissance. En moi, je sentais intérieurement le plaisir qui montait. Mais je gérais plutôt bien la situation.

D’un coup, derrière nous, un râle prolongé se produisit. C’était Tristan qui venait d’avoir un orgasme. Il s’était laissé aller, et était arrivé trop vite. Je tournai la tête brièvement vers lui et je le vis un peu péteux, le ventre luisant de sperme. Il s’essuya avec un mouchoir, puis resta affalé dans son fauteuil.



Entre-temps, tout en continuant à fouiller Sonia, j’étais entré dans Armelle. Mon pénis la labourait sans ménagement car c’est ce qu’elle aimait. Sa chatte dégoulinait de liqueur voluptueuse. Elle haletait, sa respiration se faisait de plus en plus rapide.

Moi au contraire, je respirai calmement à un rythme régulier, je savais que je pouvais contenir mon plaisir pendant longtemps. Depuis presque deux ans maintenant, j’étais entré dans une démarche d’expérimentation du Tantra. Le massage tantrique que je pratique aussi en est une émanation. Mais le plus important avait été pour moi, l’apprentissage pour canaliser l’énergie sexuelle. Cette énergie dont disait Osho, qu’elle était plus puissante qu’une bombe atomique. Le Tantra nous permet au travers de la sexualité sacrée de nous relier à l’énergie originelle dont nous sommes tous issus. J’étais capable de faire l’amour pendant des heures sans me fatiguer et sans débander mais le plus fabuleux, c’est que j’étais devenu multi orgasmique. Je pouvais avoir plusieurs orgasmes d’affilée qui me procuraient une jouissance inouïe. La sexualité est sacrée et l’énergie qu’elle produit est très puissante, il faut donc apprendre à la canaliser. Avant le Tantra, pour améliorer ma puissance sexuelle, j’avais appris les techniques de la célèbre sexologue Barbara Keesling mais je voulais aller plus loin, beaucoup plus loin.



Il avait retrouvé la forme et avait recommencé à se branler mais un peu plus mollement, tout en se caressant les couilles.

Nous fûmes obligés d’obtempérer. J’aidai mes deux beautés à se mettre à genoux tout en leur caressant les fesses. Le spectacle de ces deux beaux culs qui s’offraient à moi, augmenta encore la tension de ma bite qui bandait tellement que c’était presque douloureux.

J’approchai ma queue bien dure du vagin de Sonia et je l’empalai sans me faire prier. Je me mis à la limer frénétiquement pendant qu’elle se masturbait le clitoris. Je sentis le plaisir monter en elle. Après avoir lubrifié mon index avec un peu de foutre, je le pressai sur sa petite rondelle et je l’introduisis doucement au fond de son anus. Surprise par cette intrusion, elle poussa un cri, un cri de jouissance. Son corps se cabra et trembla. Maintenant elle gémissait de plaisir, de plus en plus fort. J’aimais beaucoup, ça m’excitait terriblement. Armelle n’était pas en reste, elle criait délicieusement aussi, car pendant ce temps, tout en m’occupant de Sonia, je lui avais mis deux doigts dans le cul et elle contactait son sphincter anal en suivant le rythme de son plaisir.


Dans la chambre, la musique lounge avait été progressivement remplacée par des plaintes voluptueuses, des gémissements et des chants d’orgasmes. Cette mélodie orgasmique était belle à entendre.

J’étais reparti m’occuper d’Armelle et d’un coup, je vis Tristan surgir en s’approchant du lit avec une mallette à la main. Il l’ouvrit et en sortit un godemiché réaliste noir. Il était de bonne taille. Il l’enduisit abondamment de gel lubrifiant et il me le tendit.



Je pris le gode, remis une noisette de gel à l’entrée de son anus qui était déjà bien mouillé. J’introduisis délicatement le pénis factice dans son cul, jusqu’à la garde. Sa croupe commença à onduler, elle reprit ses cris de jouissance pendant que je commençai les va-et-vient avec le gode. Je l’astiquais en variant le rythme de la pénétration tout en étant à l’écoute de son corps, de façon à prolonger son plaisir. Pendant ce temps elle se branlait le clitoris avec une habileté déconcertante. J’adorai la voir comme ça. Son cul exposé de cette façon planté d’un gode noir avec le tatouage « OM » juste au-dessus, offrait un spectacle presque irréel et je faillis éclater de rire.


J’étais retourné dans Sonia, je la limais de plus belle, ses cris de jouissance se faisaient de plus en plus fort :



Elle se masturbait vigoureusement le clitoris en gémissant.

Pendant ce temps, avec le gode je besognais l’arrière-train d’Armelle avec entrain. Elle criait fort aussi :



Le corps de Sonia se mit à se tortiller. Elle accéléra la masturbation de son clito, pendant que mes va-et-vient s’activaient. Mon pénis entrait et sortait de plus en plus vite avec un bruit de succion. Son souffle se fit de plus en plus fort. Je lui attrapai les seins, l’embrassai et la mordillai partout sur le dos. Elle se cabra, son corps vibra, puis elle cria, un cri de jouissance extrême qui sembla durer une éternité. La puissance de son orgasme et de ceux qui suivirent me fit comprendre à quel point elle avait pu contenir son plaisir qui avait fini par exploser en elle. Des larmes perlaient sur son visage, les larmes de l’ultime jouissance. C’est à ce moment que j’eus mon premier orgasme de la soirée, j’étais en elle, j’étais merveilleusement bien, je poussai un râle de plaisir pendant que je me vidais dans son vagin, c’était un cruel délice presque insoutenable. Sonia s’allongea, en travers du lit pour reprendre ses esprits, la bouche entrouverte et les yeux clos. Avant de reprendre doucement quelques minutes plus tard, les caresses de son clitoris.


Sans perdre de temps, je revins empaler la chatte d’Armelle tout en continuant de lui travailler le rectum avec le sextoy. Je lui raclais le fond de la matrice. Elle aimait cette double pénétration de chair et de silicone : c’était une chevauchée vaginale et une enculade profonde. Ses yeux étaient révulsés, sa bouche était entrouverte, elle bavait, elle criait, son corps entier luisait sous l’effet d’une légère transpiration.



Elle poussa un petit râle jouissif puis sans crier gare, elle retira le gode de ses fesses qui sortit avec un bruit de ventouse et l’envoya voler dans la pièce. Elle attrapa un autre phallus factice en latex dans la mallette puis elle m’ordonna :



J’enduisis abondamment mon membre de gel et sans préambule, je l’engloutis dans son cul resté entrouvert. Je commençai des coups de boutoir comme elle le souhaitait. À chaque coup, mes couilles venaient claquer sur ses fesses. Ma verge bien réelle qui n’avait rien à envier à la bite artificielle, pistonnait férocement son cul dilaté. Néanmoins, malgré les apparences… et ça peut paraître paradoxal… j’y mettais beaucoup de tendresse et de douceur.


Armelle était déchaînée, elle se ramonait le vagin avec une ardeur presque bestiale, elle me serrait la bite entre ses fesses et je sentis le plaisir monter en moi. Je respire, je me contrôle, je gère.

C’est à ce moment précis, qu’un nouveau râle déchirant envahit la chambre, on aurait cru que quelqu’un était en train d’être torturé. C’était Tristan qui venait de jouir pour la deuxième fois. Je jetai un bref coup d’œil vers lui. Drôle de spectacle : son jet de foutre l’avait atteint en plein visage, son ventre ruisselait de sueur et de son menton, s’écoulaient des gouttes de sperme. Encore haletant, les yeux révulsés et bouche bée, il était complètement abattu dans son fauteuil.


La jouissance de Tristan ne m’avait pas déstabilisé car je continuais de plus belle à labourer le cul d’Armelle. Elle reprit ses cris de plaisir, Sonia reprit ses gémissements. Les mélodies orgasmiques reprirent.

La respiration d’Armelle s’accéléra, la mienne aussi, je commençais à laisser monter le plaisir en moi. Elle crie de plus en plus fort :



Je sentais que ma bite allait exploser. Montée d’adrénaline, je retiens un moment mon souffle… elle pousse un hurlement presque inhumain. Elle est en proie à une rafale d’orgasmes. Au même instant, c’est moi qui crie, je pousse un râle, je jouis, je ne sais plus où je suis. Mes couilles se vident en elle, pas totalement car je ressors ma verge luisante et j’arrose ses fesses bronzées de longs jets de sperme. Pendant ce temps, Sonia eut deux autres orgasmes.


Nous nous écroulâmes tous les trois sur le lit, puis quelques instants après nous filâmes sous la douche. Entre temps, Tristan avait quitté la chambre. Nous enfilâmes nos peignoirs et Armelle nous amena dans une autre pièce spacieuse et lumineuse, où était disposé un grand spa. Une large baie vitrée permettait un accès direct sur la terrasse extérieure agrémentée d’une jolie piscine.


Tristan était déjà installé dans le jacuzzi, nous le rejoignîmes. Des haut-parleurs diffusaient une musique relaxante. Tout près, sur une tablette, il y avait des coupes de champagne, des fruits secs et quelques friandises dont nous nous délectâmes. Nous étions bien. Sous l’eau, je sentis des mains baladeuses qui se promenaient sur mes cuisses et sur mon sexe mais je ne cherchais pas à savoir à qui elles appartenaient.

Trente minutes plus tard, Sonia et moi nous retrouvions dans la jolie suite où nous allions passer la nuit. Au passage nous avions récupéré nos vêtements restés dans la salle de bain.

Nous entrâmes dans le lit chaud et douillet. Nous fîmes l’amour, simplement « à la papa et maman ». Après toutes ces heures torrides, c’était important pour nous de nous retrouver et surtout cela nous permettait de nous reconnecter ensemble. Ensuite, nous tombâmes dans les bras de Morphée, bercés par de doux rêves.


Il était près de midi lorsque nous nous réveillâmes. Après une bonne douche, nous descendîmes au rez-de-chaussée, dans la grande pièce à vivre. Armelle nous avait préparé un copieux petit déjeuner. Nous étions affamés. À l’écart, sur une autre table, Tristan pianotait sur son ordinateur portable. Une tasse de café fumant était posée devant lui.

Armelle portait un petit top rose qui laissait apparaître le joli piercing de son nombril et dans le dos, le début de son tatouage. Sa tenue était complétée par un mini-short en jean qui moulait avantageusement ses fesses. J’eus brusquement un flash-back, quelques heures en arrière et je me revis taraudant son joli cul. Je fus pris d’une violente érection. Armelle le remarqua, elle me jeta un regard malicieux. Je rougis, pas de gêne car pour moi, l’érection est quelque chose de parfaitement naturel et on ne peut lutter contre la nature. Non je rougissais de plaisir. Sonia qui n’avait rien perdu de la scène, me prit la main et la serra très fort, pour m’apaiser et m’aider à revenir m’ancrer dans le moment présent.



Nous mangeâmes avec un appétit non dissimulé.

Quarante-cinq minutes environ s’étaient écoulées, lorsque nous nous retrouvâmes sur le seuil de la porte d’entrée. C’était le moment des « au revoir ». Tristan se leva pour nous rejoindre, il nous serra Sonia et moi, dans ses bras en nous tapotant les épaules. Il déposa un baiser sur les lèvres de Sonia.



Sans que je m’y attende il me glisse une carte de visite dans la main.



Je la glissais machinalement dans ma poche.

Ce fut au tour d’Armelle de nous dire au revoir. Son étreinte était très forte et bienfaisante. Nous restâmes un long moment ainsi, tous les trois enlacés. Nous ressentions un flux énergétique puissant qui circulait entre nous. Elle nous couvrit de baisers, sur le visage, le cou, sur nos lèvres. Puis elle nous prit la main dans chacune des siennes. Elle me regarda longuement. Mes yeux plongèrent dans les siens, le temps se figea, il n’existe plus. Tout devient intemporel, ce ne sont pas ses yeux, ni son corps physique que je regarde. Nous nous regardons à travers nos âmes, nous sommes entrés en connexion. En connexion avec l’Amour infini que nous avons tous en chacun de nous. Cet Amour universel et inconditionnel qui est notre essence, une énergie qui nous habite tous sans exception. Percevoir cet Amour infini et éternel, c’est comprendre que nous sommes tous liés. Il n’y a que lui qui existe, tout le reste n’est qu’illusion, ça dépasse l’entendement humain, comprendre cette perfection n’est pas une chose facile car cela nécessite un long cheminement qui se fait sur plusieurs vies. C’est cette ouverture vers cette conscience infinie qui fait que j’aime les humains, tous sans exception. J’ai aussi un profond respect pour tout ce qui vit, toute forme de vie. Je trouvais triste que trop peu de personnes sur Terre, aient pris conscience de cela et c’était là, une des principales raisons pour laquelle le monde allait si mal.


Des larmes roulaient sur les joues d’Armelle. Son étreinte se resserra et son visage se colla au mien. Nos larmes se mélangèrent. Nos corps furent parcourus de frissons. Elle était envahie d’une intense émotion, elle avait compris que l’Amour, le vrai, est tout et qu’il ne répond à aucune loi terrestre car il est libre. La vraie liberté, c’est cet Amour. Nous nous comprenions tout simplement. Tout ce que nous avions vécu entre nous quatre la nuit dernière, n’était pas une simple histoire sexuelle ou une aventure de porno chic, c’était une expérience magnifique, une nouvelle expérimentation de la vie. Une expérience de vie qui renforce et nous permet de progresser.

Sonia comprit parfaitement ce qui venait de se passer entre Armelle et moi car comme moi, elle savait et elle avait la connaissance de l’Amour qui illumine l’ombre. Elle me prit l’autre main puis me dit :



Armelle nous fit un dernier baiser. Elle relâcha son étreinte. Puis nous nous dirigeâmes vers notre voiture. Une fois à l’intérieur, je sortis la carte de Tristan de ma poche et je la déchirai en plusieurs morceaux. Sonia me sourit. Un regard furtif sur cette carte m’avait parmi d’apercevoir que Tristan était le dirigeant d’une importante société de la région mais du reste je n’avais rien vu.

Je programmais le GPS pour trouver notre chemin de retour. Le GPS commença son calcul puis le verdict tomba et je restai scotché : nous nous trouvions seulement à trois kilomètres de notre maison. La nuit dernière, j’avais suivi la voiture de Tristan dans la nuit noire sans trop me poser de questions, sans me préoccuper de savoir où nous allions et où nous étions. Mon cœur battit un peu la chamade et Sonia s’en aperçut :



Fort peu probable, oui… Mais qui sait, un jour peut-être, à la croisée des chemins…