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n° 15914Fiche technique54729 caractères54729
Temps de lecture estimé : 33 mn
17/11/13
Résumé:  Annabelle, en croisant un regard dans une rame de métro, va vivre une période toute jouissive...
Critères:  ffh fhhh inconnu caférestau toilettes exhib noculotte facial fellation sandwich gangbang
Auteur : Delires-delices  (Trio coquin qui a écrit pour le plaisir du vôtre...)            Envoi mini-message
Annabelle se déchaîne...

Elle avait l’humeur des mauvais jours… Sa journée s’était mal passée. Toujours la même chose : son responsable est un incompétent, et quand il commet une erreur, il se venge sur elle ! Il l’avait donc incendiée sans aucune raison comme à chaque fois qu’il faisait une boulette…

That´s life !

La voilà donc, perdue dans ses pensées, le regard dans le vide, collée à la barre de ce wagon de métro de la ligne 4 qui la ramène chez elle.


Tout à coup, son regard est mystérieusement attiré vers la droite. Une femme a dans les yeux cette lueur qui ne trompe pas : elle a pris, elle prend ou elle a très envie de prendre du plaisir… Annabelle la scrute pour mieux comprendre. Elle lui donne 40 ans, elle est blonde, elle a l’air classique mais avec quelque chose qui fait dire à Annabelle que ça doit être une bien jolie salope…


La rame s’arrête, et dans le mouvement de foule, on peut facilement voir que cette jolie salope est en train de se faire caresser. Ça excite Annabelle qui ressent aussitôt une chaleur lui irradier le bas du ventre. Elle passe sa main discrètement entre son sac à main et le tissu de son pantalon et entreprend de s’effleurer le clitoris à travers ses vêtements…

Elle veut en voir et en savoir plus sur ce qui se passe à 1,50 mètre d’elle.


Annabelle a une seconde d’hésitation… Les remontrances injustifiées de son chef occupent lourdement son esprit, mais la scène qui se joue devant elle – ou qu’elle soupçonne – agit comme une déflagration… À son tour, comme pour la jolie blonde qui semble libérée de toute contrainte, l’envie du plaisir vient la cueillir… Coincée dans ses idées noires, l’idée de s’abandonner agit comme un tsunami… Son regard est hypnotisé par le corps de cette femme qui semble chalouper d’un mouvement qui n’a rien à voir avec celui de la rame… Ses yeux ne la quittent plus… La blonde est adossée de trois-quarts à un homme. Ils sont debout, le dos au bout du wagon. Sa jupe légèrement relevée sur les côtés… Elle en est sûre maintenant ! L’homme a sa main entre les jambes de la blonde. Celle-ci a les jambes légèrement écartées… Perchée sur des talons vertigineux, ses jambes ondulent… Annabelle se laisse gagner par le mouvement de ces longs fuseaux très bien dessinés… Elle est sûre maintenant qu’ils dansent au rythme de doigts qui s’agitent à leur intersection…


Ses propres doigts dissimulés sous son sac s’agitent aussi dans tous les sens et tentent de traverser le tissu de son pantalon… Le regard de la blonde est envoûtant et s’immisce jusque dans son entrejambe… Le regard de la blonde ? En effet, elles se fixent maintenant toutes les deux… Qu’a-t-elle fait ou montré ? Annabelle se sent prise au piège… Un piège contre lequel elle n’a pas absolument plus envie de résister… Envie de s’y laisser prendre sans trop savoir… La femme blonde lui sourit… Elle s’approche d’elle… L’homme est toujours collé tout contre la femme qui la mange maintenant des yeux… Annabelle a envie de s’enfuir, comme prise en flagrant délit… Mais elle ne bouge pas… La blonde est face à elle… À quelques centimètres maintenant… Ce n’est pas une proximité obligée et gênante que l’on connaît dans le métro en période de pointe… Non ! Juste face à face… De plus en plus près même… Attirées comme deux aimants.


Annabelle sent maintenant le parfum de la blonde. Une légère pointe d’épices… Elle aime ça… Son nez se régale et ses sens suivent… Elle avait cru, l’espace d’un instant, que la femme allait lui dire quelque chose… mais en fait elle ne fait que jouer avec elle… Elle a posé sa main sur le poteau central juste au-dessus de celle d’Annabelle, de sorte que leurs bras se frôlent… La femme profite d’un regain d’affluence pour se rapprocher encore un peu. Annabelle sent la poitrine de la blonde presque contre la sienne. Elle devine ses tétons se dresser, se tendre vers une sensualité volontairement provocante. Cette dernière sourit légèrement, très lascivement… Son rouge à lèvres dessine des lèvres pulpeuses et brillantes de désir… Annabelle perd pied. Cette femme l’attire irrésistiblement… de tout son corps. Elle se sent comme envoûtée. Sa main est maintenant immobile, coincée sous son sac… Mais son sexe continue de réclamer son dû ! Elle s’était souvent imaginé avoir du plaisir avec une femme, mais l’occasion ne s’était jamais présentée. Et elle n’avait jamais provoqué les choses. Et là, elle est irradiée par la proximité animale de la blonde. Celle-ci sent le sexe, l’envie, la provocation…


Tout à coup, la blonde profite d’un mouvement de foule : sa main libre libère ses cheveux tenus par une barrette. Il y a moins de monde dans la rame, et ce geste semble occuper tout l’espace… Ce n’était qu’une illusion. Son corps s’est encore rapproché de celui d’Annabelle… En une fraction de seconde, elle a posé délicatement sa main sur ses hanches. Annabelle est surprise d’accueillir ce geste avec plaisir. Elle ferme les yeux pour savourer l’instant quand elle sent la chevelure blonde lui frôler le visage. Cette fois-ci, la créature s’est vraiment approchée d’elle pour lui glisser quelques mots à l’oreille :



Oui, Annabelle en meurt d’envie ; mais va-t-elle oser suivre cette inconnue ? La proposition la trouble et l’excite… Et si pour une fois elle, la sage Annabelle, se laissait emporter par la folie d’une rencontre ? Elle regarde la blonde qui se trouve tout près d’elle. Elle a les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes… L’inconnu doit certainement accélérer ses mouvements. Annabelle glisse sa main plus fort cette fois entre ses jambes. « Foutu pantalon ! Pourquoi ne pas avoir choisi une jupe ce matin ? » Peut-être parce que jusqu’à aujourd’hui elle redoutait justement qu’un inconnu en profite. Mais ça, c’était avant… avant de rencontrer cette blonde dans le métro, avant de voir le plaisir que cet inconnu lui procurait. Avant d’avoir envie d’être à sa place. La blonde la regarde fixement maintenant, avec dans les yeux cette lueur que seule la jouissance proche peut vous apporter. Elle se mord les lèvres puis elle arrête précipitamment la main de l’inconnu. Le métro arrive dans la station. Au moment où les portes s’ouvrent, la blonde prend la main d’Annabelle et celle de l’inconnu.



Annabelle se laisse emporter hors du wagon. Elle n’a pas envie de réfléchir ; elle a juste envie de suivre cette jeune femme blonde et de goûter avec elle et l’inconnu au plaisir, aux plaisirs…


Ils courent plus qu’ils ne marchent jusqu’à l’immeuble où habite la blonde. En attendant l’ascenseur, la blonde et l’inconnu commencent à faire connaissance avec le corps d’Annabelle. L’inconnu lui caresse doucement les fesses tandis que la blonde s’occupe de sa poitrine. Sous l’effet conjugué des deux caresses, Annabelle sent son bas-ventre s’embraser. Quand les portes de l’ascenseur s’ouvrent, la blonde la pousse à l’intérieur. Elle tire les cheveux d’Annabelle pour qu’elle penche la tête en arrière et colle sa bouche à la sienne. Sa langue fouille la bouche d’Annabelle sans ménagement. L’inconnu s’est glissé derrière elle. Sa main, d’abord douce, entame maintenant un va-et-vient de plus en plus rapide le long de sa fente…

Ça y est ! Elle a atteint le point de non-retour ! Elle sait maintenant qu’ils peuvent lui faire tout ce qu’ils veulent, et elle espère secrètement qu’ils vont en profiter…


L’ascenseur s’arrête, la porte s’ouvre, et sans que personne ne s’en rende compte, ils se retrouvent tous les trois devant un immense canapé qui a l’air de les attendre. Le mec s’assied et glisse sa main entre les jambes d’Annabelle qui lui tourne le dos. Il sent la chaleur et l’humidité de sa chatte au travers du pantalon. La blonde entreprend de le faire glisser jusque par terre et de lui ôter. Elle en profite pour lui enlever tout ce qui pourrait faire barrage aux caresses. L’homme est toujours derrière elle, et elle sent à nouveau sa main remonter jusqu’à son sexe. Elle est trempée et elle le sait… Elle connaît le bruit caractéristique qui va sortir de son corps quand l’homme aura glissé en elle…


C’est un pouce qui la pénètre en premier ! Elle adore cette sensation ! Les doigts experts de la blonde se posent sur le haut de ses lèvres et commencent à tournoyer autour de son clitoris. Annabelle se laisse aller. Des gémissements de plus en plus forts sortent de sa bouche, ses reins se cambrent, son sexe se dilate et coule effrontément sur les doigts qui la pénètrent…

L’homme se lève du canapé et vient poser sa bouche tout contre son oreille…



Elle n’a pas le temps de répondre… Annabelle sent maintenant la langue de la blonde se glisser sur ses lèvres. Elle veut profiter pleinement de cette première fois sous la bouche d’une femme. Elle se défait de l’emprise masculine et d’un seul geste se laisse tomber sur le canapé en tenant la tête de la femme qui lui lèche le sexe.

Elle ne peut s’empêcher de partager ses émotions, ses envies, ses délires…



Elle sent le plaisir monter en elle et elle sent sur sa joue la chaleur d’un gland qui cherche ses lèvres et sa bouche. Mécaniquement, machinalement, elle tourne la tête et prend la queue entre ses lèvres !

Son corps est tiraillé… Elle abandonne son sexe à de nouvelles sensations, de nouveaux désirs, à la bouche de cette femme qui semble se délecter entre ses jambes… Et sa propre langue se rue avec envie sur cette jolie queue qui s’offre à ses lèvres…


Ça, c’est un plaisir qu’elle connaît, qu’elle recherche souvent : faire glisser sa langue sur le sexe tendu d’un homme, le sentir se tendre encore un peu plus dans la chaleur de sa bouche, le sentir coulisser parfaitement baigné dans sa salive… Elle aime aussi l’odeur d’un sexe d’homme affamé de plaisir, le sentir distiller de petites doses de lubrifiant intime… Elle aime sucer les hommes. L’idée qu’ils lui confient leur queue dans sa bouche l’excite. Elle joue de tous les mouvements de sa langue, de sa bouche, de son aspiration, de sa respiration, du souffle chaud qu’elle dispense sur un gland rougi de désir… Son nez se repaît des effluves, ses yeux se noient dans l’excitation… Elle aime voir la queue avec laquelle elle joue…

Tous ses sens sont en éveil quand elle peut sucer un homme !


Et la queue qui lui est offerte là maintenant est un régal ! Pas forcément très épaisse, mais joliment fuselée… Assez longue pour se donner les effets des montagnes russes : de sa langue chaude et humide, elle tournoie un peu sur les testicules de l’homme puis fait glisser délicatement le bout de sa langue jusqu’à son extrémité… avant d’engloutir avidement jusqu’au plus profond de sa gorge, en totalité, ce bel objet de convoitise. Elle adore ça ! Elle aime sentir l’homme au bord du gouffre quand elle le happe avec force, et relâcher doucement la pression pour recommencer… et tenter de le faire monter plus haut… Elle apprécie autant l’issue que le chemin parcouru… quand elle sent que l’homme va craquer, quand il va la récompenser, alors elle est totalement grisée, excitée du plaisir qu’elle donne et qu’elle reçoit au fond de sa gorge… Elle sait qu’elle aime ça, et la queue de l’homme dont elle ne connaît même pas le prénom va la faire tournoyer, elle le sent…


Pourtant… Pourtant sa tête semble dans un étau… Coincée entre cette queue qui force d’ailleurs sa bouche à présent… et la douce sensation qui lui monte du sexe…

C’est un étau de plaisirs et son corps est un écrin…

C’est une femme qui la lèche, là, tout de suite. Elle sait qu’elle en eu souvent envie. Elle l’a imaginé souvent en se caressant. Y compris la semaine dernière quand son sexfriend s’était décommandé à cause d’une urgence. Sa mémoire la renvoie brièvement dans le passé, et ce rapide flash-back l’excite encore plus. Elle s’était préparée pour l’accueillir : le porte-jarretelles noir qu’il aimait et qui le rendait fou, une paire de bas résille, des talons vertigineux ; et elle était nue sous le petit déshabillé transparent… Elle se sentait ainsi à la fois sexy et très « chaudasse »… Tout en sentant la langue de la blonde la fouiller elle se revit, debout dans sa cuisine… Tellement excitée à l’idée de la soirée, elle avait fini par se caresser sauvagement, cambrée devant son piano de cuisine, une main posée sur la hotte, les fesses offertes à tous ceux qui auraient bien voulu se présenter à cet instant précis ! L’envie lui bouffait le bas du ventre au point de mouiller ses cuisses… Et elle avait joui très vite, incapable de se retenir plus longtemps, déchirant le silence de la maison d’un râle de plaisir. Elle se souvient avoir imaginé une femme entre ses jambes à ce moment précis…


Et là, c’était le cas…

Elle ronronne sous les coups de langue de la blonde. Celle-ci vient de changer légèrement de cible… Tout en jouant de ses doigts sur le clito d’Annabelle, elle relève un peu ses jambes afin de pouvoir promener sa langue sur son petit trou.

Envahie, dévastée, arrachée de désir, Annabelle s’offre encore un peu plus. Mais le peut-elle vraiment ? Elle se sent littéralement empoignée par l’abandon… Son cerveau déconnecte… Même la belle salope de la cuisine qu’elle avait été s’efface de son esprit… Ses sens prennent le pouvoir… Cette femme l’engloutit – dans tous les sens du terme – et elle adore ça… Elle n’est plus que sensations et plaisir.


Elle se laisse fouiller par cette langue qui semble bien agile et bien experte entre ses fesses. Elle ne sait plus comment profiter de cet instant qui la plonge dans un état second… Cette langue sur son petit trou appelle en elle d’autres gestes, plus forts, plus profonds… Elle fait confiance à la blonde quand celle-ci lui demande de changer de position… Elle est sûre qu’une telle salope lui réserve une belle surprise et elle obtempère…


La blonde se lèche maintenant les doigts avec un regard salace et lui demande de se lever. La blonde demande à l’inconnu de prendre la place d’Annabelle sur le canapé. La blonde s’éclipse quelques instants, laissant Annabelle debout, trempée et dans l’attente. Parce qu’elle n’est plus capable de penser, de réfléchir. Elle n’en a d’ailleurs pas envie. Son désir, c’est de devenir pour une soirée l’esclave sexuelle de cette blonde et de cet inconnu.


Lui n’a pas perdu son temps. D’une main, il caresse son sexe dressé. De longs va-et-vient qui laissent apparaître de temps à autre un gland violacé. Annabelle est hypnotisée par cette queue. Elle fait un pas vers l’inconnu… De sa main libre, il reprend possession de sa chatte. Il glisse deux, puis trois doigts. Annabelle se mord les lèvres. C’est si bon, mais elle a goûté à un autre plaisir… la langue d’une femme et elle attend avec impatience le retour de la blonde. La voilà d’ailleurs qui revient. Un sourire malicieux illumine son visage. Elle tend un préservatif à l’inconnu. Pendant qu’il l’enfile, elle fait glisser un peu de lubrifiant sur ses doigts. Elle s’approche d’Annabelle et se met à genoux devant elle. Elle reprend avec sa langue son ballet sur le clitoris tandis que ses doigts rejoignent son petit trou. Le plaisir envahit Annabelle. Elle gémit doucement, puis de plus en plus fort. Ses jambes tremblent. Elle pousse de plus en plus fort la tête de la blonde sur son sexe. Sa chatte va exploser, sa tête aussi. Jamais elle n’a ressenti un tel plaisir. Elle se dit qu’il ne peut y avoir rien de meilleur. Que plus jamais elle ne se privera de sexe avec une femme. Elle en est là dans ses réflexions quand la blonde se dégage brusquement. Annabelle rugit de frustration. Elle était sur le point de jouir…


Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, la blonde la pousse vers l’inconnu. Elle l’oblige à s’asseoir sur sa bite qui prend position à l’entrée de son cul… Centimètre après centimètre, il prend possession des lieux. Annabelle a fermé les yeux pour savourer ce plaisir. Elle se laisse aller doucement contre le torse de l’homme. Ses yeux sont toujours fermés. Elle perçoit un souffle léger qui se rapproche de sa chatte. Elle ferme encore plus fort les yeux. Elle va prendre son pied, elle le sait, elle l’attend… mais rien ne l’avait préparée à cette décharge électrique qui envahit son bas-ventre quand la blonde touche son clitoris avec le bout de sa langue. Annabelle pousse un cri. Elle n’arrête pas de jouir, empalée sur le membre d’un homme qu’elle n’avait jamais vu avant et soumise à la « torture » d’une inconnue. C’est encore plus fort que tout ce qu’elle avait pu imaginer lorsqu’elle dévorait ses livres érotiques seule dans son lit. Elle s’était caressée avec ses doigts ou avec ses jouets. Elle avait joui en imaginant ce qu’avaient pu ressentir ses héroïnes. Mais aucun récit, aucun roman, aucun de ses amants ne l’avait fait jouir comme cette femme ! Et ce n’était que le début, Annabelle en était persuadée. Elle allait encore jouir et jouir.


Sous elle, l’homme se met à bouger. Sa queue monte et descend dans son conduit étroit. C’est bon. Ils gémissent tous les deux. La blonde n’a pas arrêté de promener sa langue sur le clitoris d’Annabelle. Maintenant, sa langue descend sur les lèvres. Elle s’y engouffre. Elle bouge comme une petite bite dans la chatte d’Annabelle. Elle ne la quitte que pour se promener sur les couilles pleines de l’inconnu…

Le plaisir les gagne tous ; et après avoir exploré toutes les combinaisons possibles, la blonde met d’abord le mec à la porte après un entretien avec lui de l’autre côté de la porte, puis vient le tour d’Annabelle qui n’en croit pas ses oreilles…! La blonde est mariée, son mari n’est absolument pas au courant de ses délires et il va rentrer dans moins d’une demi-heure…

Annabelle se retrouve donc sur le trottoir à six stations de métro de chez elle, le corps usé par le plaisir…


Arrivée chez elle, elle plonge dans un bain chaud, moussant, avec tous les clichés habituels… Lumière douce et en fond sonore, elle a choisi l’album Love on the beat de Gainsbourg. Autant dire qu’elle prolonge autant qu’elle le peut cette ambiance érotique qu’elle a quittée une heure auparavant…

Son esprit vagabonde et elle a une idée. Une idée qui va lui permettre de vivre quelque chose de fou, quelque chose qui l’a toujours tentée, mais elle ne peut la réaliser seule. Elle pense donc à appeler son pote Damien, ce sexfriend avec lequel ils se sont toujours tout raconté.



Se passent les élucubrations habituelles sur la météo, le boulot et les ragots, puis Annabelle entre dans le vif du sujet…



Annabelle part alors dans un long monologue :



1 clignement d’œil si un mec commence à me tourner autour ;

2 clignements d’œil si je me fais toucher les fesses ;

3 clignements si sa main glisse sous ma jupe ;

4 s’il me touche sous le string ;

5 s’il glisse ses doigts dans ma chatte.

Et c’est là où tu es nécessaire pour mon délire : si je dis « stop », tu t’approches et tu me libères. T’es toujours OK ?



Ils finissent la discussion et Annabelle sort de son bain en étant convaincue que cette idée va occuper son esprit pendant les trois jours qui viennent…


Le lendemain matin, en arrivant au bureau, elle est toute chamboulée. Elle s’est habillée un peu plus sexy que d’habitude, et la perspective de sa prochaine aventure lui revient sans cesse à l’esprit. Elle tape même sur la barre de recherche internet de son iPhone : « caressée dans le métro ». Elle tombe sur différents liens vers des sites de récits érotiques de femmes qui se sont caressées, d’autres qui se sont fait caresser, toutes dans le métro, avec – pour certaines histoires – tous les détails de l’aventure…

Elle est dans ses lectures quand son chef l’appelle pour faire le point sur un dossier.

« Ça va pas être facile de se concentrer… »


Une heure passe pendant laquelle ils font un point précis sur le potentiel, la solvabilité, les perspectives de ces futurs clients de leur gamme de nutrition. Rien de sexy, mais Annabelle a toujours en tête les bribes de ce qu’elle avait commencé à lire. Son chef s’absente ; elle reprend donc son téléphone et ses lectures, et tombe sur l’histoire de Nadège qui se fait entreprendre dans un wagon désert par un mec peu recommandable et qui prend, malgré tout, un pied phénoménal.

Annabelle n’en peut plus ; elle sent une chaleur irradier le bas de son ventre, et l’envie de glisser une main le long de ses lèvres est insupportable. Heureusement, son chef lui dit qu’une réunion inopinée vient d’être décidée et qu’ils se verraient à 14 h. Annabelle ne regagne pas son bureau mais prend la direction des toilettes. Elle y entre et se jette dans la première cabine, referme la porte, s’y adosse et remonte sa jupe pour accéder sans trop de contraintes à son entrejambe brûlant de désir !

Elle est trempée et ses doigts trouvent très vite le chemin du plaisir. Deux doigts, puis trois glissent en rythme dans sa chatte dégoulinante alors que l’index et le majeur de son autre main stimulent son clitoris. Elle va jouir, elle le sait, et c’est en bonne petite salope qu’elle amène tout son corps à l’orgasme.

Trop bon !


Quand elle sort des toilettes, une de ses collègues se lave les mains. Si elle était là avant, elle a dû entendre le plaisir d’Annabelle… Cela trouble beaucoup Annabelle qui continue sa route sans se poser trop de questions.


Les heures passent, les jours aussi. Annabelle est toujours aussi excitée et voici que l’horloge du bureau indique « Jeudi - 16:27 ». Annabelle ne va pas tarder à quitter son bureau. Elle attend le dernier moment pour mettre la touche finale à sa tenue. Elle a tout prévu. Ce matin, elle a glissé ses cuissardes dans son sac de sport. Pas question d’aller transpirer à la salle pendant la pause de midi aujourd’hui, mais elle craignait que ces bottes à talons vertigineux ne trahissent trop clairement son état d’esprit du jour…

Elle est une femme libre et elle joue parfois de tenues sexy au bureau. Elle se moque de ce qu’on peut dire d’elle, mais cultive soigneusement son image. En est-il possible autrement dans la société actuelle ? Elle penserait à tout ça plus tard. Son esprit part vers des choses plus légères…


Elle va partir un peu en avance et passer par les toilettes du service comptabilité à l’étage en dessous. Celles juste à côté de la sortie qui donne sur le côté jardin du bâtiment. D’ailleurs… c’est maintenant ! Elle n’y tient plus ! Le boss est en réunion, et elle n’a de toute façon pas besoin de se justifier (un petit goût d’interdit, de secret la fait néanmoins culpabiliser, et cette idée l’excite encore plus…).


Dans les toilettes, elle change de chaussures. Ses cuissardes ont un effet immédiat… Elle se sent salope et prête à tout… Elle change également de jupe. Presque la même… Mais légèrement plus courte et fendue devant et derrière…. Elle dégrafe un bouton de son chemisier près du corps et accroche un mini-foulard autour de son cou. Celui-ci fait tout de suite plus « habillé » tout en dégageant son décolleté. Elle se veut provocante et sans équivoque. Un trait de rouge flamboyant sur ses lèvres vient souligner son envie. Elle ajoute également un trait de parfum capiteux. Elle se sent belle, elle se sent très femme et compte bien que ça se voie outrageusement. Elle enfile son spencer et quitte le bureau avec un grand sourire. Et son sexe semble déjà de la même humeur !… Elle hésite même à faire demi-tour pour enlever son mini-string… Mais l’idée qu’un inconnu puisse jouer avec la retient…


« Hummm… Vite ! Damien est toujours à l’heure. » En effet, il est sur le quai du métro comme convenu. Elle le voit de loin. Elle connaît par cœur cette carrure d’athlète surmontée d’une chevelure savamment hirsute ! Il lit un journal et lève régulièrement la tête. Il l’attend… Elle ne peut d’ailleurs s’empêcher de glousser légèrement en voyant sa tête qui la découvre tout à coup… Elle se lit dans ses yeux… Il est soufflé, ça se voit ! Ses pupilles la dévisagent de bas en haut… puis de haut en bas… Et ce regard qu’elle connaît sur elle ouvre le bal véritablement… Elle sait exactement ce qu’il pense à cet instant… Elle sent le désir qu’elle inspire… D’un seul coup, elle prend conscience de son pouvoir de femme, là tout de suite, sur les autres… Depuis quelques jours, elle pensait à ce moment, mais elle était en fait concentrée sur son corps, sur ses envies, sur son plaisir… Le regard de Damien agit comme une allumette : elle intègre tout à coup toute la portée de ses actes… Les interactions… Elle regarde autour d’elle… et découvre que son ami n’est pas le seul à la regarder avec envie… Le quadra à ses côtés l’observe à la dérobée… Quelques étudiants, plus loin, sont moins discrets… Elle s’arrête aussi sur le regard que les femmes portent sur elle… Elle y voit de l’envie, un peu de jalousie, parfois de l’admiration…

Elle aime ça. Elle se sent très excitée… Elle attend la rame avec impatience…


La rame s’approche. Il y a beaucoup de monde. Elle a vu Damien s’approcher incognito. Il est juste derrière elle. Ce gars est incroyable ! Il l’électrise !

Métro. Heure de pointe. Humeur de fin de journée pour tout le monde. Odeur de fin de journée pour tout le monde. Et pourtant, elle sent la fraîcheur de son sexfriend à quelques centimètres d’elle. Tous les pores de sa propre peau le devinent… Son corps se raidit même un peu… La nonchalance de ce gars lui vrille le bas du ventre ! La tension monte encore d’un cran…


Elle sent tout à coup une main se glisser furtivement entre ses jambes. Elle sait que c’est lui.

Elle est venue ici pour ÇA. Et cette main familière lui ouvre résolument la voie du plaisir. Elle en veut d’autres. Inconnues. Curieuses. Animales. Comme convenu, elle se tient debout, accrochée des deux mains au poteau central, assez haut pour accentuer sa position offerte…

Il a pris place à un mètre devant elle. Ils sont deux inconnus l’un pour l’autre.


Le quadra qui la matait sans en avoir l’air sur le quai se fait plus intrépide. Elle réussit même à accrocher son regard l’espace d’une seconde. Et son jeu de séduction est enclenché. Elle écarte un peu les jambes… Il y a du monde et elle n’est pas sûre que ça se voie, mais ça a le mérite de l’exciter… Elle cambre un peu plus le dos… Offre ses fesses… Ce petit jeu de balancier sur son corps fait ressortir sa poitrine… Elle accroche ses mains encore un peu plus haut sur la barre… Elle se sent fauve et salope. N’y aura-t-il donc personne pour profiter de cette excitation terrible ?


Monsieur Quadra n’a rien loupé de la scène. Il est troublé ; ça se voit clairement, maintenant… Il enlève ses lunettes, qu’il range dans sa poche intérieure de veste. Annabelle le fixe. Jouer avec la timidité du gars est facile. Elle le fixe. Il est mieux sans lunettes. Il est à côté d’elle, la main juste en dessous de celles d’Annabelle. Elle les déplace un peu pour le frôler. Elle est convaincue qu’il faut provoquer les choses pour arriver à ses fins. Elle profite aussi des arrêts brusques pour se laisser glisser doucement vers lui.


L’homme ne lui apparaît plus aussi timide. Son attitude a changé. Il a quitté sa politesse à la dévisager de façon brève. Il s’est laissé gagner par la provocation. L’homme d’affaires policé s’efface. L’homme se dévoile.

Affamée, aguicheuse, trempée, Annabelle jette un œil à Damien. C’est le moment que l’homme choisit pour poser sa main sur ses fesses. Elle tressaille. Son ventre aussi. Elle tourne son regard vers lui, tout doucement. Pas question de l’effrayer ! Elle lui sourit en ouvrant légèrement la bouche. Elle veut que sa bouche lui semble aussi une invitation. La réaction ne se fait pas attendre. L’homme lui caresse doucement les fesses. Il les écrase un peu, se fait plus insistant, les malaxe à travers le tissu. Ses doigts découvrent la fente de la jupe et s’aventurent en dessous… Annabelle a la fièvre ! Elle ne peut se cambrer davantage, elle ne peut s’offrir plus… Ce qu’elle avait tant souhaité est en train de la dévaster ! L’homme fait courir ses doigts vers le sexe d’Annabelle. Sa jupe est étroite, et difficile pour lui de la remonter pour profiter du rebondi de ce magnifique postérieur. Qu’à cela ne tienne, il plonge sa main vers la fente chaude et humide de la jeune femme, guidé par le sentier que forment les fesses inaccessibles, moulées dans le tissu noir de la jupe. Annabelle sent que l’homme découvre la ficelle de son string. Il tire légèrement dessus pour appliquer une douce pression sur son clito. Elle accompagne ce geste d’un mouvement de ses muscles. Elle sent qu’elle dégouline. Il doit le sentir également et veut en profiter pleinement : elle sent un doigt la pénétrer profondément, puis il y ajoute petit à petit les autres…


Annabelle se fait fouiller le sexe en pleine rame de métro. Elle est dans le tableau qu’elle imaginait depuis trois jours, elle vit le film dont elle a écrit le script avec mille issues… Mais l’excitation est trop forte ; la promenade de la main de cet inconnu dans sa chatte ouverte est trop bonne, elle veut jouir. Comment profiter pleinement d’une jolie décharge de son sexe en public ? L’homme est expert. Ce sera difficile de lui résister. Tout son corps ondule imperceptiblement, accroché à ce foutu pieu central. Il est tout contre elle maintenant, légèrement sur le côté. Il suit habilement les mouvements du corps d’Annabelle imprimés par le roulis du wagon de métro. D’un seul coup il la tire contre lui, juste en jouant de ses doigts dans son sexe. Elle comprend rapidement qu’il frotte sa queue contre elle. Elle sent qu’il bande comme un taureau.


Elle perd pied. Tout son corps est électrisé, piégé par le plaisir. Elle en oublie le monde autour d’elle… Elle a voulu cette scène ; elle l’a imaginée, et finalement les événements dépassent son imagination. Elle connaît l’épilogue, mais ce n’est pas elle qui est en train de l’écrire… Elle ne fait que le vivre, au-delà de ses espoirs. Elle a d’ailleurs tout oublié du code qu’elle avait savamment conçu avec Damien, et celui-ci a bien sûr vu qu’il se passait quelque chose. Très excité lui aussi par les projets fous de son amie, il la laisse faire, mais un peu inquiet – ou intrigué – par l’abandon qu’il lit sur le visage de la jeune femme, il s’est approché discrètement. Il comprend vite la scène qui se joue et l’excitation le gagne terriblement. Il échange un regard entendu avec l’homme inconnu et se place de l’autre côté d’Annabelle… Lui aussi vient plaquer sa queue dressée sur la hanche de la jeune femme. Elle ne lui a jamais ordonné de se tenir « hors d’action » dans ses consignes interminables ! Ce geste la sort du regard hypnotique qu’elle avait accroché avec l’inconnu.


La présence de Damien est une ultime provocation. Il la regarde à peine. Ils sont des inconnus l’un pour l’autre. Mais il glisse lui aussi ses doigts dans l’espace de la fente avant de la petite jupe noire. La rame est bondée et Annabelle va jouir, accrochée par ces deux mains qui lui extirpent habilement une terrible secousse. À qui sont les doigts qui lui font exploser le clito et lui remplissent la chatte ? Un peu familièrement mais toujours incognito, elle descend un peu ses mains sur le poteau et laisse aller sa tête sur le côté contre le torse de Damien pour contenir ses cris. Elle râle, elle ronronne, elle exulte…


Elle n’a pas encore relevé la tête que la rame s’est déjà arrêtée. Elle n’a même pas senti l’homme quitter son sexe. Celui-ci quitte le wagon. Sans doute est-il allé beaucoup plus loin que ce qu’il aurait dû… Quand les portes se referment, il échange un clin d’œil avec Damien tout en portant discrètement ses doigts devant son visage pour humer sans doute le fruit de sa performance.



Annabelle court plus qu’elle ne marche aux côtés de Damien. On dirait que le diable est à leurs trousses !

Damien s’arrête enfin et ils entrent dans un café. À cette heure, il y a plein de gens. Ceux qui traînent pour rentrer chez eux, ceux qui viennent boire un dernier coup avec les copains, et ceux qui donnent rendez-vous à leur maîtresse ou amant avant d’aller rejoindre leur famille. Quelle que soit la raison de leur présence dans ce café, hommes et femmes relèvent la tête à l’arrivée d’Annabelle et Damien. Tout comme dans le métro, la tenue d’Annabelle ne passe pas inaperçue. Mais ce que remarquent encore plus toutes les personnes présentes, c’est la lueur dans les yeux de ce couple. Ils sont affamés de sexe, de plaisir, de luxure, et cela se voit ! Le patron du café ne réagit même pas quand il les voit descendre aux toilettes sans avoir consommé. Arrivés en bas, Damien se dirige vers les toilettes hommes. Elles sont vides. Il plaque Annabelle contre le mur, et sans autre cérémonial lui met deux doigts dans sa chatte trempée.



Tout en lui parlant, il continue de faire des allers-retours avec ses doigts. Annabelle n’en peut plus. Elle sent le plaisir monter. Un plaisir bestial, animal, exacerbé par la possibilité qu’à tout moment quelqu’un peut arriver et les voir. D’un coup, la main de Damien se retire. Il prend sa place contre le mur et l’oblige à se mettre à genoux.



Bien qu’un peu frustrée de ne pas avoir pris son pied, Annabelle s’exécute. Elle ne peut rien lui refuser et elle adore jouer avec sa belle queue. Elle la caresse à travers le pantalon, puis descend doucement la braguette. Elle garde ses yeux plantés dans ceux de Damien.



Elle libère enfin la bite de Damien. Elle se dresse devant elle. Du bout de la langue, elle essuie une petite goutte qui pointe. Elle fait courir sa langue le long de la tige avant de l’avaler d’un coup. Damien a un petit cri d’extase. C’est si bon de sentir la bouche d’Annabelle qui se serre autour de son sexe tout en continuant à jouer avec sa langue… Il sait qu’il ne tiendra pas longtemps. De toutes ses forces, il se retient de jouir. Il veut prolonger ce plaisir. Il y prend d’autant plus goût que la fille agenouillée devant lui est une vraie salope qui aime ça. Damien sait aussi que son plaisir ne va pas s’arrêter là… Il a une idée bien précise dans la tête… Il ferme un instant les yeux pour savourer le lent va-et-vient de sa queue dans la bouche d’Annabelle. Quand il les ouvre, il s’aperçoit qu’ils ne sont plus seuls : un des clients du café est descendu pour se soulager… mais devant le spectacle qui s’offre à lui, il s’est arrêté pour regarder. Son regard ne lâche pas la bouche d’Annabelle. Il est hypnotisé. Il n’ose pas bouger… Damien lui sourit. C’est ce qu’il attendait… Il fait signe à l’homme de s’approcher.



Annabelle, trop absorbée par la dégustation de la délicieuse bite de Damien, est un peu surprise par cet ordre. Elle tente de se retirer, mais la main de Damien la maintient fermement sur son sexe.



Annabelle sait qu’elle peut lui faire confiance ; ils ont déjà vécu tant de choses ensemble, et c’est son ami. Elle reprend de plus belle ses va-et-vient. L’homme s’est approché. Il lui a remonté le manteau, et doucement il dirige un doigt entre les lèvres d’Annabelle. Elle dégouline et le contact de ce liquide chaud sur sa main le rend fou. Il met un deuxième, puis un troisième doigt. Ses mouvements se sont accélérés. De son autre main, il se dégrafe maladroitement pour se masturber. Damien sent son excitation monter, et les petits cris que pousse maintenant Annabelle mêlés au halètement de l’homme ne lui permettent plus de se retenir longtemps. Un dernier assaut de la bouche d’Annabelle et il jouit. De longs jets de sperme viennent cogner la gorge d’Annabelle. Elle s’en délecte. Elle ne veut pas en perdre une goutte. Elle avale encore et encore et va même chercher la petite dernière sur ses lèvres.


L’homme derrière elle n’a rien perdu du spectacle. Ses mains s’activent de plus belle entre les jambes d’Annabelle et sur sa queue. Ils vont jouir ensemble. Damien, pendant ce temps-là, a repris ses esprits. Un large sourire sur les lèvres. Leurs râles de plaisir ont dû alerter d’autres clients. Ils sont quatre à être descendus. Ils ont leur queue à la main et se caressent sans quitter des yeux le spectacle qui se joue devant eux… Damien relève doucement Annabelle. L’homme derrière elle le regarde, décontenancé…



Elle est belle, simplement vêtue de ses sous-vêtements, ainsi offerte aux yeux de ces hommes. Et c’est lui, Damien, qui va dicter ses règles :



Annabelle ne sait plus combien de queues elle a sucées… Combien de mecs ont joui dans sa bouche… Le sperme coule encore sur son menton et sur ses lèvres quand Damien fait signe aux deux derniers mecs de remonter.

Elle ne lui dit rien ; elle se regarde dans le miroir et son image la perturbe. Elle se demande comment elle est capable d’être aussi salope, aussi pute, aussi chienne.

Damien se pose les mêmes questions, mais ils savent l’un comme l’autre que dans cinq ou dix minutes, quand la tension va retomber, elle se blottira dans ses bras en faisant un « Waouh ! » qui voudra tout dire. Elle ne regrettera rien, lui non plus ! Ils ne peuvent pas se battre contre ces folies : elles sont en eux, ils le savent et l’assument…


Ils remontent et se sauvent aussi vite qu’ils sont entrés dans ce bar. Direction la bouche de métro ; trajet en sens inverse et retour dans leur quartier.

Sagement….

Tout se passe comme prévu et ils se quittent comme chaque fois, sans reparler de ce qui vient de se passer… Ils adorent aller au ciné-club mais ont horreur des débats après le film !

Quand ils se séparent devant chez Annabelle, Damien lui dit simplement :



Il savait qu’elle ne lui poserait pas de questions, étant donné qu’elle savait pertinemment qu’il ne lui dirait rien de plus.


Le vendredi puis le week-end se passent sans que rien de marquant ne se passe dans le registre des plaisirs physiques. Rien à part cet orgasme fulgurant qu’Annabelle a eu en se godant avec une bougie retrouvée alors qu’elle faisait du rangement dans sa boîte à joujoux. Une bougie d’une forme et d’un diamètre idéals pour être dilatée comme elle aime…


Lundi, 22 h 30 ; Damien s’arrête au pied de l’immeuble d’Annabelle et la fait monter dans la voiture. Il y a deux étapes dans la soirée qu’il lui a concoctée. La première va commencer à ce feu rouge. Il passe la main sur les genoux d’Annabelle et remonte sa jupe tout en lui écartant suffisamment les cuisses pour que le chauffeur de la camionnette arrêtée à leur côté puisse avoir une vue imprenable sur son entrecuisse. Annabelle se laisse faire, elle adore ce jeu.

Damien continue sa route vers l’ouest de la capitale, et plus précisément vers les boulevards du 16ème et leurs contre-allées entre les portes d’Auteuil et Dauphine. Il connaît ces endroits et sait qu’il y trouvera son lot de voyeurs qui sauront apprécier, la queue à la main, le spectacle offert par sa passagère.


Il engage sa voiture du boulevard Suchet vers le square Tolstoï, là où la contre-allée longe un stade, ce qui permet aux voyeurs et aux couples exhibitionnistes de partager leurs jeux sans trop gêner les riverains. Le premier passage se fait rapidement, juste pour mesurer les forces en présence. Au deuxième tour, Annabelle a déjà le regard dans le vague ; elle n’a même plus envie que ses cuisses se resserrent : elle a envie d’offrir sa chatte aux regards, envie de faire bander ces queues prêtes à être branlées dès qu’une femme se dévoile. Alors elle sort le grand jeu ; le regard d’allumeuse, la poitrine en avant, bien assise sur le bord du siège, ses bas que plus rien ne cache et sa chatte à peine voilée par la fine dentelle du string. Damien arrête la voiture à la hauteur de deux mecs dont il sait qu’ils sont plus ou moins aux goûts d’Annabelle. Ils s’approchent de la voiture et matent la salope qui occupe le siège passager. Elle peut lire l’envie dans leurs yeux, elle peut voir, dès qu’ils ont sorti leur bite, le désir qu’elle procure… Damien a tout prévu ; il entrouvre un tout petit peu la vitre passager et leur montre une feuille sur laquelle il a juste noté : « Dites-lui ce que vous aimeriez lui faire et ce que vous aimeriez qu’elle vous fasse. ».

Les paroles fusent :



Plus ils lui parlent, plus Annabelle est excitée ; elle a écarté son string et écrase plus qu’elle ne caresse son clitoris gonflé de désir. Elle voit les queues gonflées prêtes à exploser…

Damien sort une deuxième feuille : « Insultez-la, traitez-la comme une salope ! ».

Les deux mecs remettent ça de plus belle :



Ils se branlent de plus en plus vite et Annabelle ne peut plus quitter leur bite des yeux. Elle se branle elle aussi de plus en plus fort, et c’est quand elle voit gicler le sperme de la première queue pendant que son propriétaire la traite de pute qu’elle jouit comme rarement elle ne jouit. Son corps est agité de soubresauts et elle ne s’arrête de jouir qu’au moment où le deuxième voyeur crache son foutre sur la vitre de la voiture… Damien démarre doucement, la regarde et lui sourit. Il lui annonce que la soirée n’est pas finie puisqu’il l’emmène aux Chandelles… Il lui glisse simplement que les soirées du lundi s’appellent Caprices de femmes et qu’à cette occasion, les hommes seuls sont acceptés…

Annabelle imagine sans mal le reste de la soirée.


Ils se garent vers l’Hôtel du Louvre, remontent la rue de Richelieu puis tournent dans cette petite rue où rien n’indique ce merveilleux lieu de plaisir.

Ils sont devant la porte à attendre le physionomiste. Elle aime ce moment. Encore dehors avec les quelques bruits de la nuit dans cette rue discrète. Et impatiente d’être à l’intérieur, dans ce cocon où elle va se livrer et s’abandonner.


Ils sont enfin à l’intérieur. Il est déjà tard et il y a du monde. La piste de danse est occupée par quelques couples et de nombreux hommes déambulent, seuls, un verre à la main. Ils errent, cherchent un regard accrocheur, une paire de jambes à mater, des seins qu’ils pourraient tenir dans le creux de leur main… Ils cherchent une histoire, courte et inéluctable.

Damien propose un verre à Annabelle, le temps de se mettre dans l’ambiance et de profiter des regards qui plongent sur elle. Ils font le tour des deux backrooms. Ils viennent de passer devant la paire de menottes accrochée au mur et Damien lui glisse, en même temps qu’une main sur les fesses, qu’il a des projets pour elle. Elle sourit et l’idée l’excite. Elle sait qu’elle peut lui faire confiance. Il sait (ou devine) ce qu’elle aime, et cette boîte est un lieu de plaisirs partagés. Elle ne craint que ses propres limites, finalement…


En effet, lorsqu’ils reviennent après avoir déposé leur verre, Damien lui prend les mains et la conduit directement sur les menottes. Il « l’accroche » dos au mur et va s’asseoir juste un peu plus loin. Il a pris soin de dégrafer son chemisier, libérant les seins de la jeune femme sans soutien-gorge. Annabelle se laisse aller à cette étreinte. Quelques hommes passent et apprécient le spectacle sans trop savoir s’ils peuvent profiter de cette magnifique offrande. Mais l’un deux n’a aucune hésitation et se met à la caresser doucement. Il découvre ses seins, les prend à pleines mains puis à pleine bouche. Il ouvre complètement le chemisier pour la caresser et la lécher. Rapidement, il soulève la jupe d’Annabelle et passe un doigt pour savoir si elle apprécie d’être donnée en pâture au premier qui le souhaite. Il a sa réponse… Il se frotte maintenant contre elle, de tout son corps, force un peu sa bouche avec sa langue, et appuie contre elle avec sa queue dressée dans son pantalon. Il se recule pour la regarder et décide de lui enlever sa jupe. Débarrassée de ses vêtements, il peut la contempler et en profiter. Il lui demande d’écarter les jambes. Elle s’exécute et le provoque même un peu en avançant son ventre vers lui. Il saisit l’invitation de sa bouche, de ses doigts… Elle est trempée. L’homme s’en régale.



Il continue de la fouiller et dégrafe son pantalon de sa main libre. Il n’a pas de caleçon et son sexe jaillit. Il se caresse un peu. Il aurait sans doute bien aimé que cette petite salope le lèche, mais c’est impossible. Il sourit… La situation est bien plus excitante, finalement !… Il tire un peu les fesses de la jeune femme vers lui et il la pénètre tout en jouant avec ses seins. Annabelle sent ce pieu la pilonner dans son sexe trempé. Elle voit l’homme s’enflammer devant elle et en elle. Elle le sent jouir rapidement, et quand il se retire, elle devine le liquide couler sur son entrejambe. Il la laisse plantée là : lui faire prendre son pied n’était pas son but ! Elle est par contre plus excitée que jamais. Damien le voit bien et s’en régale… à moins qu’il ne se régale des coups de langue qu’une femme est en train de lui dispenser sur la queue… Il lui sourit pour la provoquer car il sait exactement ce qu’elle pense. Être offerte ainsi la comble ; que les hommes aiment « se servir » d’elle dans ces conditions la flatte… Mais son sexe implore le plaisir !


Il se penche vers la femme qui le pompe avidement et lui glisse quelques mots à l’oreille. Elle regarde tout à coup en direction d’Annabelle puis s’en approche. Sans rien dire, elle s’accroupit et se met à la lécher. Elle fait aller sa langue le long des jambes qui dégoulinent du plaisir de l’homme et s’attarde ensuite sur le clito d’Annabelle. Celle-ci profite enfin… Et les mains qui passent en la caressant ou les baisers qu’on lui offre au passage l’excitent encore. Mais la femme s’arrête tout à coup pour passer, toujours accroupie, entre le mur et Annabelle pour la lécher un peu ailleurs…


Damien en profite pour sortir une laisse de sa poche. Il vient accrocher le large collier en cuir autour du cou de son amie et laisse glisser délicatement la chaîne de métal entre ses seins. Il joue juste un peu avec le métal froid sur ses tétons. Réaction immédiate. Il la libère des menottes, lui enlève totalement le chemisier et la conduit ainsi, nue avec ses cuissardes, sur un sofa, et pour ça il prend soin de ne pas utiliser l’accessoire. Il lui demande de se mettre à quatre pattes et de bien cambrer ses fesses. Le métal de la laisse habille maintenant son dos jusqu’à sa croupe.


Les réactions ne se font pas attendre… Un homme qui navigue sans pantalon est rapidement derrière elle alors qu’un autre vient se placer devant elle pour occuper sa bouche. Annabelle se sent assaillie. De désirs, de caresses, de sexe et de sexes… Elle perd pied et s’abandonne. Et c’est celui qui tient la laisse qui a la main. Ça n’est qu’un relais. Elle sent très peu de pression dessus, ça n’est pas l’objet. C’est juste que celui qui la tient dispose du corps d’Annabelle.

La femme qui l’avait léchée avait dénoué les dernières réticences de son corps. Et elle sent maintenant une queue la prendre à cet endroit alors qu’elle est à califourchon, assise sur une autre. La double pénétration a pour effet de la transpercer et de la foudroyer. Elle en est même obligée de lâcher le long fusain qu’elle tenait avec plaisir en bouche. Elle part dans un long râle de plaisir et devine que l’homme derrière elle l’accompagne…


Damien reprend la laisse en main et prend la main d’Annabelle comme pour la reconnecter. Il lui propose une coupe de champagne et une sucrerie pour se remettre doucement…