Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15916Fiche technique24783 caractères24783
Temps de lecture estimé : 14 mn
19/11/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Lors de notre précédente rencontre chacun avait pris son pied grâce à la bouche du compagnon de l'autre, mais nous étions trop fatigué pour aller plus loin. Une conclusion s'était imposée ; nous recommencerions.
Critères:  2couples couple couplus extraoffre copains amour voir exhib fellation cunnilingu pénétratio échange champagne confession -entrecoup
Auteur : 1bichon  (Homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Du fantasme à la réalité 3

Chapitre 08 / 05
Saint Valentin de rêve

Résumé de l’épisode précédent (récit n°15875) : Lors de notre dernière rencontre, pour le nouvel an, chacun avait pris son pied grâce à la bouche du compagnon de l’autre, mais nous étions trop fatigués pour aller plus loin. Cependant, la phrase que Dominique avait prononcée ce soir-là avait été approuvée par chacun de nous, à savoir : « Nous commençons bien l’année en tous cas tous les quatre ! »

Une conclusion s’était imposé : nous recommencerions prochainement à faire l’amour ensemble, mais après une soirée moins épuisante.








Comme un fait exprès, les deux filles avait choisi la Saint Valentin pour provoquer cette occasion… la fête des amoureux ! Nous nous étions retrouvés l’après-midi de ce samedi pour visiter le musée d’Orsay et ses peintures impressionnistes.


Le temps n’était pas de la partie, mais il ne pleuvait pas, c’était déjà cela. S’étaient-elles donné le mot ? Toujours est-il que sous leur manteau de laine, elles étaient en jupe courte, avec des bas, portaient des bottes et un chapeau assorti au manteau.

Elles étaient adorables. La blonde, Géraldine, habillée de rouge et noir rivalisait de beauté avec ma compagne Véronique, cheveux châtain clair, vêtue de sa jupe en daim et d’un pull blanc sous son manteau caramel.


Nous étions fiers avec Dominique de voir quelques hommes se retourner sur elles. Le soir, nous dînâmes dans un restaurant grec, rue Mouffetard, « chez Bacchus » et nous ne manquâmes pas de commenter la décoration. À l’époque, de nombreux soutien-gorge, de toutes tailles et toutes couleurs pendaient du plafond. Le repas terminé, nous regagnâmes leur voiture puis nous rentrâmes chez nous en leur compagnie.


Dominique, comme moi, ne se gênait pas pour admirer les cuisses de nos passagères arrière (Véro était derrière moi) aux différents feux rouges, en se tournant légèrement. La soirée ne faisait que commencer car ni l’une ni l’autre ne prenait le soin de nous masquer ce joli spectacle.

Arrivée à destination, nous nous réfugiâmes au chaud dans l’appartement pour savourer une bouteille de champagne. Les manteaux tombèrent, les chaussures ou bottes furent retirés, les mains lavées, nous nous regroupâmes dans le salon. Les filles prirent places sur le grand lit de 120 nous servant de canapé, tandis qu’avec Dominique nous investîmes des poufs à leurs pieds, après avoir disposé les verres sur un tabouret central.

Notre assise relativement basse, même si elle n’était pas des meilleures, avait l’avantage de nous permettre de mater sous les jupes de nos compagnes. Cela ne se fait pas, mais nous n’avions pas vraiment de pudeur entre nous car nous avions déjà fait plus ou moins l’amour ensemble. Nos yeux convergèrent soudain vers Dominique lorsque Véro prononça d’une voix amusée :



Il se retrouva penaud, ce qui nous fit sourire, puis ses yeux passèrent des cuisses aux yeux de ma compagne pour lui faire part de sa satisfaction d’un clignement d’œil accompagné d’un hochement de tête.



Je resservis du champagne pour finir la bouteille puis, en levant mon verre, je dis :



Elle faisait référence au rasage de son minou effectué par mes soins la veille.



Ce mouvement volontaire fit apparaître la lisière de ses Dim up. Les deux filles jouaient aux charmeuses en se jetant des regards plein de promesses tout en bombant le torse pour dessiner leur poitrine sous leur pull.



Après un regard et un sourire, les deux filles se levèrent, se déhanchèrent et firent passer ensemble leur pull autour de leur cou. Elles nous exposèrent progressivement leur poitrine, exempte de tout soutien-gorge. Pour une surprise, c’en fut une car visiblement elles s’étaient mise d’accord sur leur tenue en fixant le rendez-vous.

Leurs tétins étaient légèrement excités… mais c’était bien entendu uniquement du fait du frottement de la laine…



Les filles s’effleurèrent en se déhanchant, sur une musique dans un premier temps… imaginaire.

Je pris soin de sélectionner un disque de soul avant de diminuer suffisamment la luminosité pour tamiser la pièce. Naturellement, je pris Véro par la taille, glissant ma main sur sa peau nue, tandis que Dominique faisait de même avec sa légitime. Nous nous lançâmes les uns les autres des regards complices, chacun sachant comment allait se finir cette soirée de Saint-Valentin. Nous avions le temps, nous en avions envie, nous n’étions pas trop fatigués ce coup-ci.


Après avoir échangé quelques baisers, nous changeâmes de partenaire pour danser avec la compagne de l’autre. Le fait de poser mes mains sur la peau nue de Géraldine me provoqua une érection plus prononcée. La petite perverse ne manqua pas de le remarquer, m’adressa un sourire mutin, puis elle m’étreignit par le cou en collant sa poitrine contre moi. Géraldine se laissa mener dans mes bras et nous entamâmes une danse lascive. Véro était au diapason avec Dominique.


Voyant Dominique promener ses mains sur sa taille et le dos de Véro, je me mis à l’imiter en faisant de même avec sa compagne. Comme si c’était naturel, nous nous fîmes un clin d’œil et nos mains s’évadèrent progressivement sur les fesses de nos partenaires. Tandis que je prenais doucement la fesse de Géraldine à pleine main, je sentis une petite main glisser dans mon dos et se faufiler sous mon haut. Ma partenaire aussi voulait établir un contact un peu plus charnel avec moi.


Nous dansâmes jusqu’à la fin du morceau en nous caressant mutuellement, et nous n’étions pas les seuls car chaque couple surenchérissait par rapport à l’autre, tout en restant dans la décence. Je voyais la main de mon comparse se promener sur la jupe en daim de ma compagne et empaumer sans se gêner ses petites rondeurs et j’avoue que je trouvais cela bandant.

Lorsque le disque se termina, je dus laisser ma cavalière pour changer ce dernier. Géraldine se rapprocha dans le dos de son homme et souleva son haut, en demandant de l’aide à Véro, arguant qu’il n’y avait pas de raison qu’elles seules soient torse nu.


Coincé entre les deux filles, Dominique se laissa faire, si bien qu’elles en profitèrent pour lui retirer aussi son pantalon. Le laissant se débrouiller avec le bas de celui-ci, elles migrèrent vers moi pour me faire subir le même sort et, bien entendu, je me soumis à leur volonté, sans me débattre. Contentes de leurs prestations, elles me plantèrent moi aussi, me laissant le pantalon sur les chevilles, puis se mirent à danser ensemble devant nous.


Une fois nos pantalons retirés, leur petit jeu nous amena à les séparer, chacun reprenant sa chacune, et à les embrasser en reprenant leurs fesses en main. Nos mains se firent plus caressantes, profitant de notre quasi nudité. Alors que de mon côté, j’avais lentement descendu la fermeture éclair de la jupe de ma moitié, Dominique caressait du pouce le sein de Géraldine, lui massant la fesse de l’autre main par-dessus sa petite jupe noire. Voyant cela, je fis passer mes doigts sous la jupe (par le haut)… et dans la culotte de Véro, afin d’emprisonner son globe fessier pour montrer à mon acolyte sa disponibilité.



Aussitôt Géraldine revint dans mes bras avec un petit rictus de satisfaction et Véro se blottit entre les mains de Dominique. Mon adorable compagne posa sa main droite sur le torse de son cavalier et sa main gauche autour de son cou tout en le fixant du regard. Sans me poser de question, je repris la caresse que mon comparse venait d’interrompre en effleurant le sein de Géraldine et alors que nos regards se croisaient, j’entrepris de l’embrasser sensuellement en fermant les yeux, tout comme elle.

Lorsque je les rouvris, je me rendis compte que Véro et Dominique nous avaient imités dans ce début de flirt. Après quelques secondes, Véro croisa mon regard, me fit un clin d’œil puis entraîna Dominique vers notre chambre en le prenant par la main.



Cette phrase anodine m’amena à embrasser de nouveau Géraldine, plus librement avant de continuer :



Puisque telle était sa demande, je me mis assis sur mon lit-canapé en l’attirant vers moi. Sa petite jupe, pourtant si excitante, glissa sur ses cuisses, sa culotte suivit le même chemin et qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir que sa minette était aussi imberbe que celle de Véro. Elles s’étaient données le mot : pull sans soutien-gorge, jupe courte, Dim up, chapeau et manteau et maintenant minette imberbe… S’étaient-elles mise aussi d’accord sur la façon de faire l’amour ?

Après quelques secondes d’exhibition, Géraldine me chevaucha et vint s’asseoir sur mes cuisses, face à moi.



Parallèlement à notre baiser, nos mains devinrent vagabondes et aucune parcelle de son corps ne m’échappa. M’abstenant volontairement de toucher son clitoris ou de la pénétrer de mes doigts, je la fis languir dans un premier temps car je désirais tester sa résistance aux caresses avant de m’implorer à lui sauter dessus. De son côté, elle n’eut pas la patience d’attendre et sa petite main se faufila sous mon slip pour prendre et caresser mon sexe entre ses doigts. Elle eut tôt fait de me faire comprendre que ce dernier vêtement la gênait et s’arrangea pour me le retirer. En revenant vers ma bouche, elle déposa ses lèvres sur mon gland, sortit le bout de sa petite langue et d’un air vicieux, récolta le liquide séminal qui perlait au bout de mon méat.


La tirant vers moi pour ne pas jouir d’une fellation, aussi bonne fût-elle, je la fis basculer afin de me retrouver au-dessus et pouvoir prendre en bouche ses tétins l’un après l’autre. Ses seins étaient fermes et érigés et je m’en délectai tout en approchant mon majeur de sa vulve. Ce fut volontairement lorsque ma langue franchit sa bouche que mon majeur pénétra son antre humide avant de ressortir pour stimuler lentement son clitoris.


Je me doutais que dans la chambre un scénario similaire se déroulait mais nous étions vraiment entre amis et la confiance était de mise. Tout était permis car nous nous appréciions et nous respections, aussi n’avais-je pas de crainte à avoir, au contraire, Véro me raconterait et nous en tirerions du plaisir en revivant la scène… et inversement.

Après avoir goûté à sa bouche, je repris son tétin droit entre mes lèvres en m’amusant avec mes doigts sur ses lèvres vaginales, puis je descendis ma langue vers son nombril en louchant son minou imberbe. Après avoir goûté mon doigt humidifié de cyprine, je repris ma progression linguale vers son coquillage pour creuser sa vulve et me délecter de sa saveur.

Géraldine ne voulait pas de cunni, du moins dans un premier temps, mais plutôt une pénétration en bonne et due forme.



Instinctivement je me mis sur elle pour la dominer. Positionnant mon pénis sur sa vulve, je me mis en appui sur les bras pour me frotter contre elle et lui faire sentir mon envie de lui faire l’amour. Géraldine me tenait par le côté des fesses pour m’inciter à la pénétrer mais, n’obtenant pas gain de cause, elle glissa vicieusement sa main entre nous pour orienter mon pénis en elle. Mon envie égalant la sienne, je ne pus que nous satisfaire en pénétrant lentement son vagin tout en la regardant dans les yeux.


Ce n’était pas notre première relation sexuelle mais, comme les fois précédentes (histoires n°15558 et 15587), l’union de nos deux sexes se dessinait sur son visage. Une mine réjouie apparut et une légère ouverture de la bouche me confirma le plaisir qu’elle prenait à me recevoir.


Voir ma bite disparaître dans ce sexe juvénile excita ma libido et m’incita à me mettre lentement en mouvement, comme si je dépucelais cette demoiselle de 25 ans qui m’accueillait en écartant les cuisses. Je voulais prendre mon temps, sachant pertinemment que cela ne serait que meilleur, mais que le piège était que je jouisse sans elle. Je sentais la chaleur et l’étroitesse de son vagin en me mouvant doucement en elle tandis qu’elle se laissait prendre en regardant mon sexe s’activer. Sentant que je risquais de jouir, je me suis arrangé pour pivoter et obliger Géraldine à me chevaucher pour maîtriser son orgasme. Elle me réintroduisit en elle et, m’offrant la vue de sa poitrine tressautante, se déhancha sur mon corps en effectuant des mouvements pénétratifs.


Ayant retrouvé la liberté de mes mains, je me mis en devoir de lui tenir les fesses pour bien la sentir et ne pas risquer de déculer, voire de me faire mal en me positionnant mal. L’orgasme me gagna le premier mais Géraldine continua à s’agiter et une fraction de secondes plus tard explosa en tendant la tête en arrière. Je tiens à préciser que je lui tenais les cheveux d’une main pour l’obliger à s’offrir et à bomber la poitrine tout en plaquant mon sexe au plus profond du sien en la tenant par la fesse. La décharge d’adrénaline passée, elle retomba sur moi puis m’embrassa en attendant que mon sexe sorte du sien, ce qui ne dura malheureusement pas longtemps.


Ayant pris notre temps, je me dis que nos conjoints avaient sûrement pris eux aussi leur pied et qu’il était peut-être temps de les rejoindre. Avant cela, je me fis gentlemen en prenant un mouchoir papier pour essuyer ma partenaire et en profiter un peu pour re-caresser sa vulve imberbe et son petit bouton.



Géraldine préféra toutefois retirer ses Dim up et se retrouver totalement nue avant de prendre ma main.

Nous avançâmes sans bruit vers la chambre, espérant surprendre nos conjoints en pleine action, mais, arrivés au seuil de la porte, grâce aux lampes de chevet, nous les découvrîmes allongés, Véro face à nous, attendant nue adossée sur le bras de Dominique.



Nous prîmes place sur l’autre moitié et les filles se retrouvèrent au milieu, l’une contre l’autre. Elles échangèrent un sourire de connivence puis posèrent leurs mains l’une sur l’autre et se cajolèrent le flanc. Dominique doigta sa compagne tandis que je lui caressais le sein droit et, sans surprise, nous vîmes les filles s’embrasser, d’abord timidement puis plus voluptueusement.

Nous n’avions pas beaucoup de place, nos corps se collaient mais nous laissaient toutefois la possibilité d’effectuer quelques petits mouvements, si bien que Géraldine en profita pour glisser sa main au contact du sexe de Véro afin de la caresser.


Tous allongés de côté, la tête légèrement relevée au-dessus de Géraldine pour voir les deux filles s’embrasser, je vis une scène surréaliste se dérouler devant moi : les filles partageaient un baiser fougueux tandis que Véro, collée à Dominique, se faisait peloter le sein par ce dernier, caressait ceux de Géraldine tout en se faisant branler par cette dernière, que je doigtais pour ma part, la main positionnée entre les deux filles. Je sentais les mouvements qu’effectuait Géraldine sur la chatte de ma compagne et m’efforçais d’être à son diapason pour simuler une masturbation. Dominique, comme moi, se rinçait l’œil par-dessus la tête de Véro pour garder de cette soirée un souvenir indélébile.


Ces caresses particulières amenèrent les filles vers la jouissance et, au contact de leurs fesses, nous redonnèrent de la vigueur.



Ce que je fis aussi pour les mêmes raisons. Nous vîmes les filles s’exécuter et ouvrir les cuisses pour nous recevoir en elle, exhibant leur minette exempte de tous poils.

Nous retrouvant aux pieds du lit avec Dominique, après un regard, nous prîmes position entre les cuisses de nos véritables compagnes, qui se tenaient la main, pour faire l’amour côte à côte, en missionnaire. Après quelques instants, Véro désira se positionner en levrette pour varier les plaisirs et peu de temps après Géraldine l’imita. Leur position nous permettait d’aller plus loin en elle, tout en matant leur postérieur que nous écartions de nos mains en nous synchronisant via des regards détournés. Les filles, appuyées sur leurs mains, nous recevaient en gémissant librement. Je ne sais plus si c’est Dominique ou moi qui fit un signe à l’autre, toujours est-il que nous inversâmes nos partenaires et chacun pénétra le vagin « ami », jusqu’à l’inonder.


Pour bien sentir le sexe trempée de Géraldine autour de ma queue, je malaxais ses fesses entre mes mains en lui donnant de temps à autre une gentille petite tape. Je me rendis compte que Dominique, lui, ouvrait plutôt celles de Véro en approchant dangereusement ses pouces de sa petite corolle. Avait-il l’intention de la sodomiser, ne serait-ce que d’un gros doigt ? Sachant qu’elle n’aimait pas trop cela même si elle acceptait, rarement, pour me faire plaisir, ce type de pénétration, je suivais de près son évolution car cela pouvait éventuellement nous conduire à une double pénétration si le cœur leur en disait. Cette pensée, cumulée au plaisir de pilonner Géraldine, m’amena à la jouissance et, le fait de me sentir me vider, fit jouir à son tour ma partenaire dans de furieux mouvements contre mon corps. Voyant cela, Dominique accéléra sa pénétration et nos conjointes jouirent bruyamment à leur tour en se regardant.


Une fois sorti et avachi, Véro vint me terminer avec sa bouche, obligeant Géraldine à faire de même avec son homme pour ne pas paraître idiote. Cela permit aux filles de goûter le mélange de nos liqueurs avant de s’embrasser pour savourer leur victoire. Elles vinrent ensuite chacune se blottir dans nos bras, chacun la sienne, puis se sourirent en se prenant la main.



Tout le monde se leva, nu, et s’afféra à sa tâche pour gagner un maximum de temps, alternant les passages à la salle de bain. Véro prêta un grand tee-shirt à Géraldine… au ras des fesses et une fois tous en condition, chaque couple gagna sa couche.


Au petit matin nous fumes réveillés par des gémissements provenant du salon. Géraldine était entreprise par son homme, ce qui nous donna, avec Véro, envie de copuler nous aussi sans nous soucier des sons émis. Un peu plus tard, nous rejoignîmes nos amis dans le salon et après une bise d’usage, nous déjeunâmes tranquillement, les filles en tee-shirt, les gars en slip.


Avant de nous quitter, nos compagnes prirent leur douche ensemble, ce qui nous permit de commenter ce qu’elles pouvaient faire de leurs mains. Cela nous amusa d’imaginer qu’elles se masturbaient mutuellement tout en se savonnant… Ce que me confirma Véro après le départ de nos amis.


Dominique n’avait pas été jaloux en me voyant m’occuper de sa compagne. Cela nous motiva pour recommencer ultérieurement à nous aimer tous les quatre, et amener Géraldine à essayer un sandwich bouche-vagin et une double pénétration, mais cela… c’est une autre histoire… que je conterai plus tard.