n° 15923 | Fiche technique | 17454 caractères | 17454Temps de lecture estimé : 11 mn | 26/11/13 |
Résumé: Pendant les vacances, Carine me donne un micro-bikini. Je m'exhibe sur la plage, je me retrouve nue et je fais l'amour avec elle en public. | ||||
Critères: ff jeunes vacances plage exhib nudisme cunnilingu 69 confession | ||||
Auteur : Chloe |
Je m’appelle Chloé, et je me suis décidée à raconter ma première expérience d’exhibition sur une plage. Ça s’est passé il y a quatre ans. J’avais 19 ans, je venais de passer mon bac, et j’habitais sur la côte Atlantique. Je suis plutôt un petit gabarit : 1,57 m, taille 36, des cheveux châtain clair coupés courts, des seins en pomme 85b (je les trouve un peu trop petits), et une chute de reins cambrée.
On se retrouvait régulièrement pour aller à la plage avec deux copines, Carine et Sarah. Sébastien, le petit ami de Sarah, nous accompagnait souvent. Nous allions sur une plage très fréquentée, où il n’y avait presque aucune femme topless, et je portais des deux-pièces triangles. Pour éviter les marques de maillot, je dénouais souvent les liens de mon slip, ou mon soutif lorsque j’étais allongée sur le ventre, ce qui amusait Carine et Sarah.
Il faut dire que, depuis l’année précédente, j’avais pris l’habitude de bronzer intégralement, dans un coin du jardin familial, à l’abri des regards. La chaleur du soleil sur mon corps nu m’excitait, et il m’arrivait de me caresser. Je cherchais aussi à retrouver cette sensation en sortant en robe ou en jupe, sans slip, et parfois sans soutien-gorge. Mais je n’imaginais alors pas aller plus loin.
Un après-midi où je m’appliquais à maintenir mon slip dénoué pour qu’il ne glisse pas, Carine me lança avec un sourire :
La proposition me tentait, mais m’inquiétait aussi un peu :
Carine prit un air mystérieux :
Sarah me piqua au vif, en pariant que je me dégonflerais, et j’acceptai aussitôt la proposition de Carine. En revenant de la plage, Carine me donna le maillot, enveloppé dans son emballage d’origine, et je ne résistai pas à l’envie de l’essayer dans ma chambre avant de me coucher. En le sortant de la boîte, j’eus un choc !
C’était vraiment un micro-bikini : trois étroits triangles de tissu jaune fluo, ne mesurant que quelques centimètres, coulissaient sur des ficelles. Je mis d’abord le haut, cherchant pendant un bon moment comment mettre les « bonnets » en place, afin qu’ils ne découvrent pas totalement les aréoles (pourtant petites et claires) de mes seins. Pour le string, ce n’était pas mieux. Il masquait juste les lèvres de mon sexe. Heureusement, j’étais épilée complètement ! Je me regardais dans la glace, en remontant haut sur mes hanches les liens noués du string : j’étais hyper sexy, mais je ne me voyais pas paraître comme ça en public…
Je dormis mal, et je me demandai si je ne devais pas renoncer. Mais le lendemain, au moment de partir, ma fierté reprit le dessus. J’ai enfilé le micro-bikini, une tunique de plage et, pour m’ôter toute possibilité de faire machine arrière, je n’ai mis aucun autre maillot dans mon sac.
En voyant le lien jaune fluo noué derrière ma nuque, Carine fit un petit signe à Sarah, qui comprit que j’avais relevé le challenge. Nous montâmes dans la vieille Clio de Seb, pour prendre la route de la plage.
Nous nous sommes garés sous les pins, derrière les dunes, près d’une quinzaine d’autres voitures. Nous avions l’habitude de laisser nos vêtements dans la voiture, ce qui voulait dire que j’allais devoir enlever ma robe sur ce parking sauvage, devant les occupants d’une BMW qui venait de s’arrêter…
Carine et Sarah ne me quittaient pas des yeux. Je respirai un grand coup, je saisis le bas de ma tunique, et je la fis passer au-dessus de ma tête. La pointe d’un de mes seins était découverte, et je replaçai tant bien que mal le minuscule triangle jaune… J’étais le point de mire de tous les regards, je ne savais plus où j’en étais, j’étais écarlate, la gorge nouée… Et puis, je me suis ressaisie.
Nous avons récupéré nos sacs et nos serviettes, et nous avons pris le chemin qui menait sur la plage. En marchant, je commençais à apprécier la chaleur du soleil et la caresse de la brise sur ma peau. Je goûtais aussi le trouble étrange provoqué par le frottement de la ficelle de mon string au creux de mes fesses nues.
Nous sommes arrivés sur le sable, à un endroit non surveillé. Si ce n’était pas la foule, il y avait quand même beaucoup plus de monde que je ne l’avais espéré ! Un peu plus de seins nus que sur la grande plage, mais pas un string en vue. Sans doute pour me mettre mal à l’aise, Carine et Sarah choisirent, pour installer nos tapis de plage, une place entre deux autres couples, à côté de mecs seuls qui me dévoraient des yeux, incrédules.
Je me suis allongée sur le dos, appuyée sur les coudes, pour observer ce qui se passait, et je vis avec un certain plaisir que Carine enlevait son soutien-gorge. Elle était brune, avec une peau mate, et ses seins pointus avaient une belle couleur ambrée, presque sans marque de maillot : elle devait donc bronzer topless en cachette.
Comme sur pas mal de plages, quelques voyeurs déambulaient pour mater les filles. Petit à petit, j’ai été surprise de sentir ma gêne disparaître, remplacée par une sensation inconnue et agréable lorsqu’un regard prolongé se posait sur ma poitrine et mon petit cul.
Au bout d’un quart d’heure, Seb proposa que nous allions nous baigner. En chahutant et en riant, nous avons marché lentement jusqu’à l’océan, entre les estivants installés sur leurs serviettes. J’avais gardé mes lunettes de soleil, ce qui me permettait d’observer leurs réactions. L’excitation montait en moi, et mes tétons, déjà très saillants, pointaient encore plus à travers le tissu.
Nous avons joué et nagé un bon moment dans les vagues, et j’étais régulièrement obligée de remettre en place mon bikini pour cacher – un peu – mon anatomie.
Nous sommes ensuite sortis de l’eau, dégoulinants, et nous avons repris le chemin de nos serviettes. Je voyais les gens autour de moi qui me regardaient encore plus, avec une expression de réprobation chez les femmes.
Je n’avais plus que quelques pas à faire, quand je compris la cause de cet intérêt : mouillé, mon maillot devenait presque transparent, les pointes de mes seins et les lèvres de mon sexe se dessinaient nettement ! Durant une fraction de seconde, une panique idiote m’envahit, et je m’allongeai rapidement sur le ventre.
Je ne fis rien paraître de mon émotion devant Carine et Sarah et, petit à petit, je me calmais, pendant que mon minuscule bikini retrouvait son opacité.
Un des couples près de nous s’était rapproché, et des voyeurs s’étaient installés, pour nous mater.
Nous avons continué de bronzer tout en discutant, et Carine me demanda si je ne me sentais pas mal à l’aise, en me montrant dans cette tenue.
Carine ne dit rien, mais Sarah, qui portait toujours son sage deux pièces répondit que non, elle n’imaginait pas s’exhiber, quasiment nue, devant tout le monde. J’avais envie de me venger de Sarah, et j’insistai.
Seb approuva et Sarah se sentit en danger :
Carine intervint :
À mon tour, je m’affolai :
Sarah crut pouvoir se tirer d’affaire à bon compte :
Seb trouvait la situation excitante : sa nana en micro-bikini, sa copine dans le plus simple appareil, offertes toutes les deux à tous les regards… « Ah maintenant, tu as dit chiche, si elle enlève son maillot, tu dois t’exécuter ! »
Finalement, je n’en étais pas consciente, mais j’avais envie de cette séance d’exhib’ avec une autre fille. Sans un mot, je me mis à genoux, je me débarrassai de mon soutif, et je le tendis à Sarah. Elle devint toute pâle, mais Seb avait déjà dégrafé le haut de son maillot.
Sarah avait la peau claire d’une blonde, de jolis seins en poires avec des aréoles plutôt larges, et elle eut toutes les peines du monde pour placer les deux triangles qui cachaient juste les pointes roses.
Elle était terrorisée en me voyant dénouer les liens de mon string. Elle s’entortilla dans sa serviette pour enlever son slip et enfiler le minuscule triangle. Seb tira la serviette, et Sarah dévoila sa petite toison presque transparente, qui ne trouvait évidemment pas sa place dans le string.
Tous les gens autour nous regardaient. J’étais trop absorbée par le strip improvisé de Sarah, pour être vraiment consciente de ma nudité. La situation devait sans doute plaire aussi à Carine, car je m’aperçus qu’elle avait changé son slip contre un string (plus pudique quand même que le mien).
Une énorme bosse déformait le bermuda de Seb, et il voulut que nous retournions nous baigner. Carine était d’accord et, sans attendre notre réponse, ils nous prirent Sarah et moi par la main pour nous entraîner.
Passer complètement à poil entre tous ces gens qui me mataient m’excitait encore plus que tout à l’heure. Je crois que jamais mes seins n’avaient été aussi durs, et leurs pointes dressées à ce point, je sentais un peu de sève couler de ma chatte trempée, et je fis durer le plaisir en rentrant doucement dans l’eau.
Sarah, quant à elle, se jeta dans les vagues, espérant s’y cacher. Mais lorsqu’elle en ressortit, elle constata à son tour que le bikini mouillé ne cachait plus rien. En cherchant à dissimuler ses seins et sa chatte avec ses mains, elle repartit en courant jusqu’à sa serviette et, furieuse, elle se dépêcha de remettre son maillot.
Nous l’avons rejointe en riant, et je remarquai au passage quelques mecs me photographiant avec leurs portables. Je trouvais ça plutôt flatteur. Sur mon tapis, le micro-bikini m’attendait, mais je me contentai de remettre seulement le string. Je m’allongeai sur le ventre, et je demandai à Carine de me passer de l’huile solaire.
Elle commença par me masser les épaules, et je sentis ses mains descendre, très sensuellement, le long de mes reins. Je savais que Carine était très portée sur le sexe avec les hommes, mais ne détestait pas les filles, bien qu’elle ne m’ait jamais fait d’avance. Je poussai un petit soupir de satisfaction lorsqu’elle atteignit mes fesses, que je remuais imperceptiblement, et elle comprit que j’acceptais ses caresses.
Elle passa consciencieusement de l’huile sur mes cuisses, insistant à l’intérieur, près de mon minou, qui s’humidifiait de nouveau. Alors, sans attendre qu’elle me le demande, je me suis retournée, en lui demandant de continuer, d’une voix rauque.
Elle repartit des épaules, pour redescendre très vite sur ma poitrine. Elle joua un long moment avec mes seins gonflés, ses mains glissèrent lentement sur mon ventre, ma respiration devenait plus courte… Je sentis son majeur effleurer mon abricot en feu à travers le triangle fluo… Toute retenue m’avait abandonnée et, sans réfléchir, je fermai les yeux et je dénouai les liens de mon string, que je jetai sur ma serviette.
Les doigts de Carine écartèrent avec douceur mes lèvres gonflées, et je sentis la chaleur du soleil sur mon clito découvert. Elle commença à me caresser, m’arrachant de petites plaintes que j’essayai de contenir, et elle me dit, sur un ton amusé :
Je rouvris les yeux, et je me soulevai sur les coudes. Tous les gens autour me fixaient, et plusieurs mecs s’étaient plantés près de nous, debout, pour mieux profiter du spectacle. Le couple près de nous s’était levé aussi, et le mari, collé dans le dos de sa femme topless, la caressait en essayant de lui enlever son slip.
Au lieu de m’inhiber, la situation décupla mon désir, et je répondis à Carine, à mi-voix :
Elle ne se fit pas prier. Je sentis deux de ses doigts investir ma fente inondée, et son index titiller mon petit bouton. J’étais déchaînée, et je fis sauter les attaches plastiques qui retenaient le string de Carine. Elle aussi se retrouvait à poil, et je me mis à caresser ses fesses cambrées.
C’était trop excitant, et un orgasme soudain me tétanisa dans un petit cri.
Mais Carine ne voulait pas être en reste. Elle m’abandonna, s’allongea sur le dos, et me tendit le flacon d’huile solaire.
Je me mis à la masser, avec des gestes érotiques sans équivoque. Sa toison était épilée en ticket de métro, Je lui fis écarter largement les cuisses, jambes repliées, pour que les voyeurs puissent admirer à loisir sa chatte offerte. À son tour, elle gémit lorsque je commençai à jouer avec son clito, et je lui dis :
Elle se redressa, me fit étendre sur le dos, et vint au-dessus de moi, en 69. Sa tête plongea entre mes cuisses, et je sentis sa bouche et sa langue explorer mon sexe.
J’avais sa fente à quelques centimètres de mon visage, et je me relevai un peu pour embrasser son clito. Elle se cambra à ce contact, et se mit à onduler des hanches, tout en me léchant et en faisant aller et venir ses doigts dans ma vulve et dans mon petit trou.
Nous ne savions plus où nous en étions, absorbées par la poursuite de notre plaisir, qui nous emportait régulièrement comme des lames de fond.
Après un long moment de folie, nous avons repris notre souffle. Sarah, livide, nous regardait avec des yeux ronds, mais un des voyeurs nous alerta : il avait aperçu, au loin, ce qui ressemblait à une patrouille de police : ronde de routine ? Ou avaient-ils étaient alertés par des estivants aussi scandalisés que Sarah ?
Sans plus attendre, Carine remit son maillot en catastrophe, je m’enveloppai dans ma serviette, et nous ramassâmes nos affaires. Nous avons repris tous les quatre le chemin nous ramenant à la voiture de Seb.
Je regrettai qu’il ne se soit pas joint à nous, lors de notre petite séance de sexe : j’aurais bien aimé qu’une grosse queue me ramone aussi devant les voyeurs… Mais, de toute évidence, il valait mieux que je ne parle pas de mon fantasme devant Sarah !
Durant le trajet, Carine avoua qu’elle n’aurait jamais imaginé que j’étais aussi exhibitionniste.
Je lui répondis :
Elle se mit à rire, et nous raconta comment elle s’était libérée de tous ses tabous.
Arrivés en ville, nous nous sommes séparés. Je suis rentrée chez moi, et j’ai commandé deux autres micro-maillots sur internet…