n° 15925 | Fiche technique | 8045 caractères | 8045Temps de lecture estimé : 6 mn | 27/11/13 |
Résumé: Un jeune dessinateur de nus se met en tête de représenter le plaisir sur ses dessins. Pour ça, Emma serait un modèle parfait. Va-t-elle se prendre au jeu ? Igor réussira-t-il à la faire jouir et à dessiner son orgasme ? | ||||
Critères: fh jeunes fépilée lingerie fmast intermast fellation cunnilingu 69 init exercice conte | ||||
Auteur : Igor Envoi mini-message |
Je m’appelle Igor, j’aime dessiner et toutes les semaines, je me rends dans un atelier où je dessine des nus. Mais depuis quelques temps, l’exercice consistant à reproduire simplement les formes d’un corps ne me suffit plus. J’aimerais qu’on voie du désir et de la vie dans mes dessins. Mais pour ça, il faudrait que le visage du modèle s’anime et que son corps immobile se réveille.
Hier, le modèle était une jeune femme particulièrement belle. Sa silhouette et sa peau, parfaite, ses seins délicieux, ses cheveux blonds et le fait qu’elle se transforme ici en objet me font penser à une poupée. Elle est allongée sur le côté, elle nous fait face. Son coude est plié et sa tête repose dans sa main. Ses jambes sont légèrement entrouvertes de sorte qu’elle nous dévoile toute son intimité. Son pubis soigneusement épilé est mis en valeur par une rose tatouée sur l’intérieur de sa hanche.
Alors que je reproduis ses courbes sur ma feuille, je me mets à rêver de pouvoir effleurer la peau de cette belle inconnue. Resterait-elle aussi calme et immobile si une main s’invitait dans sa crinière et descendait doucement jusqu’au bas de son dos ?
Crac ! J’ai cassé mon fusain. Alors que je recommence mon dessin en m’efforçant de rester concentré, je suis à nouveau troublé par la puissance sensuelle que dégage cette créature. Je suis plus frustré que jamais de devoir me contenter de cette pose académique et de l’absence d’expression sur son visage. C’est alors que son regard croise le mien et à tort ou à raison, j’y vois un signe de séduction. Ça ne dure qu’un instant mais c’est suffisant pour allumer une flamme en moi. Cette flamme qui vous fait agir de manière déraisonnable et qui vous empêche de penser à autre chose qu’à l’objet de votre désir.
Ma décision est prise, je dois aller lui parler, en savoir plus sur elle. Je l’attends donc à la sortie en prenant soin de laisser les autres participants s’éloigner. Je suis surpris en la voyant s’avancer vers moi : c’est elle qui vient me dire bonjour ! Elle me dit qu’elle a remarqué que j’étais agité pendant la séance, je lui avoue avoir été troublé par sa beauté. Je lui dis que j’ai un projet dont j’aimerais beaucoup lui parler. Elle accepte.
Ravi de l’efficacité et de la simplicité de notre rencontre, je me permets de lui demander son prénom et si nous pouvons nous tutoyer. « Emma » me répond-elle doucement.
Arrivés à destination, nous nous asseyons à la terrasse, il fait encore bon en cet après-midi de fin d’été. Je lui vante un thé vert aromatisé à la rose, à la camomille et au bleuet qu’elle commande. Je choisis une infusion à base de miel, de gingembre et de citron.
Elle trouve mes dessins de bonne qualité mais partage très vite avec moi l’idée qu’il manque une étincelle de vie à ces corps. Des émotions seraient les bienvenues pour que le rendu soit vraiment saisissant. Après quelques échanges agréables sur ses motivations à poser nue et sur nos goûts artistiques, je lui dévoile mon projet :
Elle rougit. Ai-je été maladroit ? Va-t-elle fuir ? Je décide de parler d’autre chose pour dissiper son malaise. Alors que le moment arrive de devoir nous quitter, je lui dis qu’elle m’inspirait beaucoup et que je serais heureux de pouvoir la revoir et la dessiner plus souvent. Elle me sourit et me répondit après un court instant de réflexion avec un peu de mystère dans la voix :
C’est ainsi que deux jours plus tard Emma accepte de venir chez moi pour tenter cette expérience artistique. Elle est d’accord pour me servir de modèle. La responsabilité de faire jaillir le plaisir de sa nudité la séduit. Malgré la fraîcheur de notre rencontre, il n’y a déjà plus de gêne entre nous.
La veille du rendez-vous, nous amusons même à nous exciter au téléphone. Elle suit mes instructions. Je lui dis de baisser son pantalon. D’enlever son soutien-gorge. De mettre sa main dans sa culotte. D’imaginer que je la caresse. Elle m’avoue qu’après quelques minutes, elle est tellement prise au jeu que c’est comme si sa main était mienne. J’imagine alors son majeur glisser entre les lèvres de son vagin comme je le lui demande et son autre main palper sa poitrine. « Je mouille » me dit-elle en chuchotant « Si je continue, je vais jouir ». Je suis submergé par notre excitation, je lui dis simplement « Moi aussi. À demain Emma. »
Ma franchise concernant mon projet et notre échange téléphonique torride effacent toute ambiguïté sur sa présence chez moi aujourd’hui. Elle est venue pour jouir devant moi.
Elle me fait un baiser rapide sur le coin de mes lèvres.
Elle se met à l’aise. Mon pupitre est tout près. Je veux pouvoir la toucher en dessinant. Mon organe de virilité déforme déjà mon pantalon et tend ma braguette. Elle le remarque et pose sa main dessus. Je la prie de rester comme ça et je me mets à dessiner sa silhouette. Elle me regarde en continuant de me caresser à travers mes vêtements.
Elle avait devancé ma pensée. Je dégrafe sa chemisette de soie en guise de réponse. Elle continue lentement à se dévêtir sans me quitter des yeux. Sa bouche luit et m’attire comme un aimant. Elle n’a à présent plus que sa petite culotte en dentelle blanche sur elle. Je l’embrasse. Nos langues jouent ensemble et je savoure ce baiser comme un dessert délicieux. Ma main se pose sur elle. La chaleur de son corps et l’accélération de sa respiration me mettent le feu. Je sens ma raison défaillir, je deviens l’esclave de mon corps. C’est à présent mon seul désir qui dicte mes mouvements. Alors que mes doigts s’enivrent du plaisir de palper sa vulve humide, elle essaye d’accéder à mes joyaux de famille sur le point d’exploser dans mon caleçon. Elle y parvient. Je me relève, mes doigts continuent leur aventure dans le mont de Vénus dont je prépare l’éruption.
Son visage est à la hauteur de ma taille dont dépasse à présent mon membre en érection qu’elle tient doucement dans sa main. Elle me sourit et je lis enfin clairement du plaisir sur son visage. Reprenant mes esprits, je saisis mon fusain et je fais apparaître sa langueur sur mon dessin. Mon travail prend forme. Je me perds dans ses beaux yeux bleus. Alors qu’elle entretient son plaisir en se masturbant et en me regardant lutter pour ne pas mugir, je reproduis sa bouche entrouverte en faisant apparaître les ombres avec mes doigts encore mouillés. Je n’en peux plus de la voir comme ça à ma merci. Le désir entre nous montre encore d’un cran. Je sais qu’elle a envie de moi car elle a posé mon gland sur sa langue. Je sens la chaleur de sa respiration haletante. Elle me suce à présent. Je m’allonge au bord du canapé en faisant basculer Emma au-dessus de moi. Sans m’être retiré de sa bouche je peux dans cette position lui lécher sa douce petite vulve. Je la lèche en savourant chaque coup de langue. Je tiens ses deux fesses fermement entre mes mains. Nous jouissons. J’ai oublié mon dessin.