Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15934Fiche technique25403 caractères25403
Temps de lecture estimé : 15 mn
02/12/13
Résumé:  Dix ans de vie de couple et le désir qui s'émousse. Je fais part à ma compagne de désirs particuliers et parviens à lever ses réticences.
Critères:  fh fhh hplusag cocus inconnu caférestau
Auteur : Lauriolan      Envoi mini-message
Dérapage incontrôlé




Prologue




Tout était arrivé si brusquement.

Nous sommes mariés Audrey et moi depuis plus de dix ans.

Dans les premiers temps, alors encore étudiants, notre amour effréné faisait de nous un couple quasi fusionnel. Nous avions tellement besoin du contact l’un de l’autre qu’il nous arrivait dans les circonstances les plus diverses de nous caresser, au risque de nous laisser surprendre… ce qui ne faisait qu’attiser notre excitation.


Ainsi lorsque nous invitions des amis, nous nous placions toujours en face à table, afin de pouvoir à loisir flatter notre intimité, frôlant tour à tour l’intérieur de nos cuisses, tout en participant le plus naturellement possible à la conversation. Curieusement ce n’était pas le fait d’accueillir ou de prodiguer de telles caresses en soi qui nous mettait le plus en joie, mais ces brefs moments où nos regards se croisaient. C’était particulièrement vrai en cet instant au tout début du repas où nous devinions que l’autre était en train de se déchausser.


Bien sûr, c’était un jeu entre nous qui était devenu une sorte de rituel. Il fallait ne rien laisser paraître, et cette connivence coquine nous rapprochait de façon si spontanée, que parfois nous ne pouvions résister jusqu’à la fin du repas. Nous laissions alors nos invités quelques instants sous le prétexte de nous affairer en cuisine, pour nous sauter littéralement dessus, affamés que nous étions de nos corps bien plus que de nourriture.


Je ne rentrerai pas ici dans le détail des excentricités auxquelles nous nous adonnions pour parvenir à une jouissance accomplie et tout cela dans un temps qui devait être bref ! Je peux juste évoquer qu’outre nos langues et nos mains, bien des ustensiles de cuisine, des fruits, des légumes ou autres objets de la buanderie nous étaient d’un réel secours pour accélérer nos ébats. Nous n’avons jamais constaté que nos invités aient pu soupçonner notre manège… mais j’avouerais que cela s’est passé si souvent au début de notre relation que je ne m’étonnerais pas que certains aient eu des soupçons.


Qu’il n’y ait pas eu que des aliments qui soient passés à la casserole, avant que nous rejoignions la table, c’est une chose, mais notre folie allait parfois jusqu’à ne pouvoir refréner nos ardeurs, laissant à des hôtes perspicaces quelques indices : des traces suspectes sur le dessert que nous apportions enfin, et bien plus souvent sur une partie de nos vêtements que nous avions bien du mal à dissimuler.


Ainsi, si un jour j’avais une trace marron sur le bas de ma chemise, ce n’était pas le fait de ma maladresse, mais de l’ardeur de ma compagne à sucer mon sexe que j’avais agrémenté précipitamment en l’enduisant ce jour-ci de crème au chocolat. Et si une trace d’humidité était perceptible une autre fois sur sa robe à hauteur de son sein, c’est que je n’avais pu résister ce jour-là à lui dévorer le mamelon au travers du tissu… Changer de vêtements après nos forfaits aurait certainement tout autant éveillé les soupçons… et puis ces petites empreintes que nous étions les seuls à pouvoir décrypter sans ambiguïté participaient à notre jeu pervers. Une fois nos invités éclipsés nous « remettions les petits plats dans les grands » pour des ébats bien plus longs et inventifs, le plus souvent dans le salon où nous avions dîné, imprégné encore de l’odeur de nos convives.


Il semblait alors que notre attirance animale devrait durer toujours… mais avec le temps, une distance vint s’insinuer entre nous.


Au tout début nous ne vivions que l’un pour l’autre et que l’un par l’autre. Nous n’avions aucun désir d’avoir des enfants et de voir ainsi la moindre personne fragiliser notre lien si fort. Mais je m’aperçus avec le temps qu’Aurélie exprimait moins fréquemment ces épanchements affectueux auxquels elle m’avait habitué. Il y avait quelque chose qui se normalisait dans notre relation. Nous avions des relations intimes régulièrement, mais de moins en moins ces coups de folie où nous nous mettions en danger au risque d’être surpris. Surtout, comme il arrive souvent avec le temps, nous renoncions peu à peu à évoquer nos fantasmes de façon explicite, comme nous le faisions si naturellement au tout début.


L’espacement de nos ébats que je ne souhaitais pas, m’incitait à être plus attentif aux moments maintenant trop rares où Aurélie exprimait son désir pour moi. Je constatais ainsi que lorsque nous passions une soirée où il y avait un type que je savais être « son genre », elle s’abandonnait bien plus volontiers le soir à mes caresses ; et elle qui aimait tellement me regarder au début avec tendresse… fermait alors immanquablement les yeux tout en jouissant.


C’était encore plus évident quand nous allions en boîte, ce que je faisais pour lui faire plaisir car ce n’était vraiment pas mon truc, mais je savais qu’après avoir dansé au milieu de ces corps surchauffés, j’avais droit au grand jeu à la maison, comme si nous redevenions l’espace d’un instant, hélas trop furtif, les jeunes amants fougueux de nos jeunes années.


Au fur et à mesure que je voyais s’espacer nos rapports amoureux, je cherchais à savoir ce qui se passait dans la jolie tête de mon brin de femme. J’avais bien mon idée sur l’excitation qui l’animait après avoir vu un « beau gosse », mais je ne savais comment aborder le sujet sans la brusquer et provoquer en elle une distance plus grande encore à mon égard.


Je choisis un jour, le moment apparemment le plus anodin pour évoquer le sujet. Elle parut vraiment gênée que je lui parle du désir qu’elle pouvait éprouver pour d’autres hommes. Je savais qu’elle avait déjà parlé de ça avec des copines, mais entre nous c’était plutôt un sujet tabou. Je voyais bien, comme je le craignais, qu’elle se refermait sur elle-même. En même temps, son attitude me confortait dans l’idée que j’avais vu juste.


Les jours passèrent comme si cette conversation n’avait pas existé… sauf qu’à partir de ce jour, elle refusa d’avoir des rapports avec moi… et il se passa plusieurs semaines d’abstinence qui me parurent des années.




– Acte I – La préparation



Un jour elle me dit que mes propos l’avaient perturbée, qu’elle n’arrivait pas à en parler, qu’elle ne m’en voulait pas, qu’elle m’aimait toujours autant mais qu’elle n’avait pour l’instant plus de désir pour moi, qu’elle ne savait pas ce qui lui arrivait… qu’elle se sentait coupable, comme si je lui avais fait un reproche…


Je lui répondis que je ne lui reprochais rien. Je voulais seulement savoir ce que je devais faire pour qu’elle ait à nouveau du désir pour moi. Ce n’est qu’après un long silence qu’elle me répondit :



Je ne savais pas si je comprenais ce qu’elle me disait…



Bizarrement, je lui ai demandé sans trop réfléchir comme si j’avais besoin d’être rassuré :



Tout se bousculait dans ma tête. Aurélie, plus belle et rayonnante que jamais, me disait vouloir tester sa capacité à séduire au moment même où elle m’exprimait pour la première fois son désir d’avoir un enfant avec moi ! Je ne savais quoi répondre. Et puis, y avait-il une place pour que je réponde quoi que ce soit ? C’était comme ça, et c’est finalement moi qui avais accéléré par mon attitude, cette révélation sur la nature de son désir.


C’était comme s’il fallait pour elle maintenant dépasser le stade de l’adolescence de notre relation immature pour s’accomplir réellement… mais moi, je me sentais plutôt régresser, comme un enfant qu’on abandonne ! Elle n’était pas insensible à la douleur qu’elle me procurait par ses propos.



Elle prit ma main et, dans un geste très maternant la posa sur son sein. Elle m’invita à la caresser, mais en vérité c’était plutôt son mamelon qui caressait la paume de ma main aussi peu assurée que si je la touchais pour la première fois.


Elle m’a dit qu’il fallait que nous trouvions une solution. Elle souhaitait prendre ses distances, mais surtout ne pas se couper de moi. Curieusement, d’un autre côté, je ne pouvais que constater qu’exprimer son désir pour d’autres hommes était dans un premier temps, peut-être le plus sûr moyen pour la retrouver dans mes bras. Je lui ai dit que j’étais d’accord, ce qui était un bien grand mot, mais à une condition : qu’elle me fasse un compte-rendu régulier de ses aventures, sans me ménager sur les détails. Il y avait ainsi pour moi un moindre mal. Celui de ne pas me sentir trompé réellement puisque c’était en partie avec mon consentement qu’elle irait tester son plaisir ailleurs… J’étais prêt à en payer le prix de la douleur. Il y avait une sorte de dignité, en grande partie de façade, qui me faisait dissimuler ma douleur déjà en grande partie bien réelle.


Elle me regarda longuement, comme si elle voulait lire en moi, ce qu’elle n’avait pas fait depuis bien longtemps. Puis elle me sourit avec douceur. Elle approcha sa bouche de la mienne pour un baiser profond qui fit fondre ce qui me restait d’amour-propre. Je sentis des larmes glisser sur mes joues et je me dépêchais de les essuyer pour qu’elle ne se rende compte de rien. Après nous avons fait l’amour comme ce n’était pas arrivé depuis si longtemps. Elle n’avait jamais été aussi caressante et pendant tout ce temps elle fermait les yeux…


Les jours qui suivirent, je ne lui posai pas de question. Nous avions convenu d’un rituel. Si elle faisait une rencontre en vivant une attirance partagée, elle allumerait une bougie sur la table du salon. Ce serait moi qui déciderais du moment propice de ses confidences…


Le temps s’écoulait et rien ne se passa. Une semaine, puis deux…


Elle m’assura un soir qu’elle n’avait rien à me révéler et qu’elle n’éprouvait aucun besoin clairement défini… J’aurais dû être rassuré ou en être fier… mais j’étais presque déçu… et pendant ce temps elle n’exprimait non plus, aucun désir de contact pour moi.


L’attente devenait peu à peu de plus en plus pesante. Je me surprenais à fantasmer sur les rencontres hypothétiques de ma compagne. Je lui inventais les escapades les plus perverses et j’étais avide qu’elle « se livre » à moi avec un luxe de précision. J’en venais à croire qu’elle me dissimulait la réalité, qu’elle s’était jouée de moi et qu’elle se faisait déjà sauter par d’autres types avant même d’avoir conclu ce pacte avec moi. Il s’est écoulé plus d’un mois… et chaque fois que je m’efforçais de m’approcher d’elle, elle se dérobait.


Un jour, elle voulut me rassurer en m’affirmant qu’il ne s’était toujours rien passé et que peut-être ce moment n’était là que pour qu’elle se retrouve en elle-même et qu’elle me retrouve mieux qu’avant. Mais maintenant c’était moi qui avais presque peur qu’elle ne vive pas « son expérience », peur qu’elle s’engage avec moi dans son désir d’enfant, pour me quitter plus tard !

Un jour elle m’a même dit :



Et je lui ai répondu ce jour-là d’une façon assez irréelle :



C’est bien des jours plus tard que j’ai regretté ce que j’avais dit …




– Acte II – Première rencontre



C’était un vendredi soir. J’avais un peu perdu cette habitude de guetter dans chacune de ses attitudes, dans chacun de ses gestes, le moindre signe qui aurait trahi son infidélité. Je n’avais rien remarqué. Ce chaste baiser sur mes lèvres ne trahissait pas plus d’émotion que les autres jours. Après lui avoir demandé comment s’était passée sa journée au bureau, je me suis absenté quelques instants. Quand je suis revenu, il y avait une bougie allumée sur la table…


Ce moment, je l’avais attendu depuis des semaines. J’avais envisagé toutes sortes de réactions le jour où cela devait arriver, puis je m’étais mis à espérer ces derniers jours que cela n’arriverait pas. Mais je n’avais pas perçu à quel point ce serait douloureux, comme un trait qui me traversait de part en part et cette impression de froid soudain. Je crois que j’ai même commencé à grelotter. Je me suis rapproché de la cheminée pour chercher un peu de chaleur près de cette flamme qui me rappelait celle vacillante qui me liait à ma compagne. Elle avait quitté la pièce et était partie se doucher et j’y voyais comme un aveu supplémentaire de son forfait. En revenant de la douche, elle avait enfilée sa nuisette la plus sexy, d’un bleu vénitien légèrement transparent. En dessous, je distinguais sa poitrine superbe sous la dentelle finement ciselée de son bustier. Mais c’était autre chose qui me troublait et me mettait mal à l’aise. Là où je m’attendais à trouver une Aurélie intimidée par ce nouveau contexte, quelque peu honteuse à avoir sa faiblesse vis-à-vis du désir d’un homme, je trouvais une femme radieuse, épanouie, bien éloigné de cette jeune étudiante si timide qui s’était laissée séduire dix ans auparavant.


C’est moi qui fuyais son regard comme si j’avais peur d’y lire une révélation bien plus troublante que ce qu’elle avait à m’annoncer.


Mais quand elle a commencé à parler, je n’ai pu détacher mon regard de ce visage plus beau que jamais qui était décidément bien celui d’une femme qui n’avait soudainement plus peur de ses propres désirs…



Je la regardais en silence, religieusement, comme si je me trouvais moi-même assistant à la scène qu’elle allait me décrire.



Je ne pus m’empêcher alors de regarder ses mains que je trouvais si belles et qui allaient bientôt caresser le corps d’un inconnu qui représentait a priori tout ce que je détestais…



Elle exprimait tout ça sans émotion apparente. Je croyais vivre un cauchemar, un peu comme si elle m’annonçait du jour au lendemain qu’elle me quittait. Pourtant elle ne prétendait pas me quitter. Elle était là face à moi, ne cherchant pas à se dérober et ne paraissant pas craindre de moi le moindre reproche.

Est-ce que tout n’avait finalement pas été dit ? N’avais-je pas accepté ce contrat ? Il était maintenant trop tard pour reculer.


Elle prit ma main, sans chercher pourtant à me réconforter. Elle en avait seulement envie et bien que désarçonné, je ne me dérobai pas. Elle se pencha vers moi pour susurrer à mon oreille son désir que nous fassions l’amour, là, dans le salon, maintenant, à même le sol. Jamais elle ne m’avait parlé comme ça. Jamais elle n’avait exprimé, avec une telle clarté et une telle évidence, son désir. Elle ajouta qu’elle voulait se faire prendre brutalement sur le tapis et qu’elle voulait me sentir profondément en elle. Elle voulait que je la brutalise un peu, ce que je n’avais jamais fait… Nous avons eu une relation, intense, sauvage et terriblement troublante.


Je vivais pour la première fois une forme de sadisme à lui faire payer son infidélité. Mais par ailleurs, j’avais la sensation étrange qu’en faisant l’amour avec elle, elle était déjà en train de me faire cocu. Je ne pouvais pas douter qu’en la pénétrant, elle pensait à cet inconnu ! Aussi, lorsqu’elle s’est endormie, après m’avoir embrassé fougueusement, je n’ai plus pensé qu’à cela. À la douleur de la savoir se faire baiser la nuit prochaine par ce Don Juan sur le retour… Et à ma solitude immense. « Demain, elle ne sera pas même là à mes côtés pour me raconter sa nuit de débauche. Elle sera en train de la vivre pendant que je me laisserai ronger par la cruauté de ma seule imagination. »


J’ai très mal dormi cette nuit-là. Aurélie était, quant à elle, toute guillerette et d’une beauté insolente. Elle semblait vraiment comblée.


J’avais désormais tout le loisir de l’observer alors qu’elle dormait si profondément. J’ai écarté les draps pour découvrir le haut de son corps. Elle était entièrement nue, mais d’une nudité plus évidente encore par l’abandon qu’elle livrait à mon regard. Sa respiration, encore sous les effets de l’effort charnel qui l’avait épuisée, faisait onduler son buste. Sa poitrine oscillait avec une exquise souplesse. J’étais surpris de voir ses mamelons ainsi gonflés… Dans la semi-obscurité j’aurais voulu les caresser, pour mieux en évaluer les reliefs. Mais étrangement, malgré la fougue de notre étreinte, dont la chaleur moite des draps témoignait encore, tout ce que je voyais dans sa radieuse beauté, c’était sa fraîcheur virginale !


J’étais bien sûr bien placé pour savoir qu’elle n’était plus vierge, en repensant aux multiples aventures sexuelles que nous avions partagées, mais j’étais le seul homme qu’elle ait connu jusqu’à ce jour.


Je ne peux décrire l’émotion que j’avais à la découvrir encore davantage, en remontant encore les draps, cette fois pour découvrir ses cuisses. En regardant ce charmant relief au bas de son ventre à peine voilé par de fins poils pubiens, je me laissais enivrer par cette douce contemplation. J’étais comme envoûté par son duvet intime et en fermant les yeux, captivé plus encore par l’odeur familière qui m’enveloppait, alors que j’avais rabattu les draps pour en préserver l’exquise émanation.


À nouveau je regardais fixement le trésor entre ses jolies jambes et je ne pus résister longtemps à l’envie de caresser la délicate toison, tout doucement, car je ne voulais pas la réveiller. Je l’entendais susurrer des mots qu’il m’était difficile de comprendre. Dans ce petit jeu qu’il m’arrivait d’avoir avec elle quand elle dormait, où je cherchais à comprendre les bribes de mots qui sortaient de sa bouche, s’ajoutait une connotation perverse qui malgré moi s’insinuait dans mon esprit.


J’imaginais que c’était la main de l’autre qui effleurait la succulente douceur de sa peau. J’étais comme un aventurier qui s’avançait délicatement dans un paysage qu’il croyait familier, mais en pensant être cet « autre » qui allait bientôt à ma place pouvoir toucher et caresser mon épouse, je découvrais finalement des contrées nouvelles.


J’essayais de me mettre dans la peau de son futur amant et tout cela ne faisait qu’accentuer mon excitation. Je me demandais à cet instant dans son demi-sommeil à qui elle pouvait bien penser… et c’est dans un bref moment où j’ai interrompu mes caresses que je l’ai entendue murmurer :



Je sentis, comme un trait, une flèche me traversant et qui bloqua toute respiration. Il y eut un long silence. Puis je l’entendis à nouveau respirer. En posant ma main à nouveau sur elle et en lui prodiguant ces sensuelles caresses, je savais qu’elle était déjà dans son demi-songe en train de me tromper. J’avais obtenu ce que je voulais : son consentement à satisfaire ce désir si tenace mais j’avais déjà peur d’être allé trop loin. J’étais plus amoureux que jamais de ma ravissante épouse, je mesurais, plus encore maintenant, son pouvoir de séduction et je ne voulais pas la perdre.



À suivre…