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n° 15941Fiche technique22516 caractères22516
Temps de lecture estimé : 14 mn
05/12/13
corrigé 10/06/21
Résumé:  Petite escapade sur une plage naturiste pour Z et son amoureux.
Critères:  fh couple couplus plage amour voir exhib nudisme pénétratio tutu
Auteur : Saje            Envoi mini-message
Première journée à la plage




Petite semaine en amoureux, notre fiston est en classe verte… Météo France annonce un temps clément et même des pics de chaleur, on va avoir un bel avant-goût de vacances ! Du coup, nous décidons de ne travailler que les matins et de chômer les après-midis lorsque le soleil pointera ses rayons, ce qui arrive dès le lundi. Dès la fin de matinée nous prenons la direction de la côte et l’on se déniche un petit restaurant où nous savourons des huîtres arrosées de vin blanc… et comme d’habitude on ne peut s’empêcher de plaisanter sur l’effet aphrodisiaque que ce mélange a sur toi.


En fin de déjeuner, nous décidons d’aller nous faire griller sur le sable, et bien qu’ayant nos maillots sur nous, nous optons pour bronzer dans le plus simple appareil. Il est vrai que depuis que nous nous sommes essayés au naturisme, les petites marques disgracieuses laissées par ces bouts de tissu nous les rendent importuns et nous avons décidé d’éviter autant que faire se peut les « plages textiles ». Une rapide recherche via les technologies modernes nous permet de localiser une plage non loin de notre restaurant. On lui trouve plutôt des avantages : grand parking, à l’écart des promeneurs, sable fin, à l’abri du vent… et seuls inconvénients il faut marcher un bon kilomètre pour tomber sur un panneau à l’entrée qui précise que le naturisme y est toléré… autrement dit non obligatoire… Il en faut plus pour nous décourager, et avec un peu de chance les « textiles » seront en forte minorité. Pari gagné ; il y a déjà quelques personnes à l’heure où nous arrivons, et surprise ! Toutes sont adeptes du bronzage intégral.


Alors que nous arpentons la plage à la recherche d’un coin tranquille pour pouvoir étendre notre serviette, on sent les regards posés sur nous et nous amusons à en croiser quelques-uns. J’aime ce moment de flottement où les personnes alentour déjà nues ne peuvent s’empêcher d’observer les nouveaux arrivants en se demandant s’ils viennent pour mater ou s’ils vont franchir le pas et se dénuder… Cet instant où le poids des regards fait que l’on est presque gêné d’être habillé et l’on se sent en marge du groupe…


Nous prenons tout notre temps pour aménager notre espace, savourant d’être au cœur de l’attention de tous nos voisins de plage. Puis commence l’effeuillage, lent et méthodique… presque au ralenti, comme le premier assouplissement d’une longue série alors que les muscles sont encore froids. Les hauts sont les premiers sacrifiés, puis viennent nos bas respectifs, mon short et ta jupe.

Nous voilà en maillot, debout au milieu de la plage et de ces inconnus qui nous observent… Alors, l’enlèvera, l’enlèvera pas ?


« Je te parie qu’ils ne vont pas le faire… »

« Je me demande s’ils s’épilent… »

« Je suis sûr qu’elle est tatouée…


Toutes ces pensées qui nous parviennent…


Et hop, tombé le maillot ! Nu comme un ver, je mets fin au suspense en ce qui concerne ma petite personne… toujours debout et m’offrant sans pudeur à la vue du plus grand nombre… J’adore ! Je ne me presse pas pour ranger mes affaires, savourant le plus possible cette exhibition, même si j’ai bien conscience que de tous ces regards, la majorité t’est dédiée. Qu’est-ce que j’en suis fier de ma superbe femme dans son petit maillot deux pièces… une vraie naïade ! Je finis d’ailleurs par m’allonger sur ma serviette pour ne pas rater la fin de ton déshabillage, passant ainsi de la tribu des observés à celles des mateurs. Tu es seule en scène maintenant et avec le poids du regard d’un fan supplémentaire… le mien !


Tu enlèves ton haut de maillot libérant tes seins, beaux, fermes ; les tétons très discrets affleurent à peine. Tu commences à t’enduire d’huile de bronzage. Les bras, le ventre, puis tes mains s’attardent sur ta poitrine que tu masses lentement, prenant bien soin de ne pas laisser un seul centimètre carré de cette peau fragile sans protection. Tu passes et repasses sur les tétons qui commencent à sortir de leur aréole. Tu flirtes avec l’érotisme, bien consciente de tous ces regards qui ne t’ont pas quittés une seule seconde et de l’effet que tu dois être en train de provoquer sur les serviettes.


Tu te tournes légèrement et, de trois-quarts dos, tu tires délicatement sur les cordelettes situées de chaque côté de ton maillot. Le triangle de tissu couvrant tes fesses bascule et je ne peux m’empêcher de penser à son homologue, devant, effectuant sûrement le même mouvement… Le maillot reste coincé entre tes jambes serrées, ne cachant presque plus rien… ce « presque » si insupportable et derrière lequel se cache encore l’essentiel… puis tu le laisses enfin tomber au sol…


Ça y est te voilà entièrement exposée ! Je ne peux m’empêcher de te caresser du regard… ta nuque, ton dos, ta chute de reins, tes fesses musclées et rebondies, tes cuisses, tes mollets… tu me jettes un regard par-dessus ton épaule, puis te penches pour ramasser ton maillot… tes fesses s’écartent au fur et à mesure de ta descente me dévoilant ta rosette puis tes lèvres. Tu ramasses le maillot échoué entre tes pieds et remontes de la même façon, refermant petit à petit cette vue des plus stimulantes. Puis tu plonges tes mains dans le sac pour ranger tes affaires et attraper l’huile avec le même mouvement qui t’a permis de ramasser le maillot… tu écartes un peu plus les jambes… en sachant parfaitement l’effet que ce genre de pose produit sur moi, et me jetant un nouveau regard en coin :



Puis tu reprends tes frictions mais sur le bas du corps cette fois. Tu te penches à nouveau pour t’occuper de tes mollets ; devant puis derrière en passant un bras entre tes jambes. Puis tu t’actives sur tes cuisses avec la même méticulosité. Vient le tour des fesses sur lesquelles tu fais de petits cercles ; de temps à autre, quand les mouvements sont en phase, chacune d’elles se retrouve poussée vers l’extérieur, écartant cette petite raie et laissant apparaître subrepticement ton petit œil brun. Quand enfin tu te retournes pour me faire face, je découvre ton sexe parfait, orné des quelques poils que tu as volontairement laissés survivre à une épilation qui te dessine un léger trait dans le prolongement naturel de tes lèvres… un fin et magnifique ticket !


Mon corps trahit alors mon étonnement et mon excitation par une bouche bée et un début d’érection.

Tu commences à enduire d’ambre solaire la peau fragile qui n’est plus protégée par le moindre poil, ton regard faisant l’aller-retour entre mes yeux et ma queue qui se soulève. Tu t’amuses de la situation, n’oubliant pas au passage tes lèvres et finissant le mouvement par un index remontant le long du trait de poils parfaitement délimité.



Ah la parfaite ingénue qui m’a mis dans un état qui ne me permet plus de traverser la plage sans frôler le scandale… car nul doute que nos différents voisins, même s’ils sont à une distance où ils n’ont pas eu droit à certains détails, n’ont rien perdu du spectacle et continuent sûrement de nous mater. Comment rejoindre l’eau sans leur dévoiler mon sexe raidi par l’excitation ?

Continuant sur le registre de la parfaite innocente, tu t’assois en tailleur. Tes lèvres rosées s’écartent me dévoilant leur intérieur qui me paraît bien luisant ; un peu plus luisant que le simple effet de l’huile solaire d’ailleurs et je me plais à penser que ton petit jeu ne t’a pas laissée de marbre.



Et tu t’allonges là à quelques centimètres, le sexe bombé, les seins arrogants pointés vers le soleil, rendant encore un plus difficile ma concentration pour revenir à un état normal.


Au bout d’une dizaine de minutes où j’ai redoublé d’effort pour chasser certaines pensées, ma queue est encore lourde et à demi gonflée ; tu te lèves et m’offrant une magnifique contre-plongée sur ta chatte, me demandes si je suis « suffisamment détendu » pour venir me baigner. Sentant une nouvelle érection poindre, je me lève et nous presse en direction des vagues en espérant atteindre l’eau avant que ma queue n’ait atteint un nouvel angle record. J’ai l’impression qu’elle cherche un peu plus le soleil à chaque pas et c’est avec soulagement que je sens les premiers rouleaux se briser entre mes jambes. Malgré la température plutôt fraîche de l’eau, je ne me fais pas prier pour y piquer une tête, dissimulant ainsi mon sexe gonflé, quasiment à la verticale, que je sens taper sur mon ventre au moment du plongeon.


Mon petit manège ne t’a pas échappé et une fois à ma hauteur, ta main s’aventure sous l’eau à ma rencontre. Tu commences de doux va-et-vient en me tenant bien serré comme si tu avais peur que la température ne fasse faner ce bambou. Tu t’amuses avec son extrémité, puis d’un coup entames une longue descente, retroussant la peau vers la base. Tu vas jusqu’au bout, décalottant complètement le gland, puis tu remontes et recommences. Je ne peux étouffer un petit grognement de plaisir. Tu me connais si bien… puis tu te me sautes dans les bras m’entourant de tes jambes. Nos sexes se frottent, restent en contact quelques secondes puis, me regardant droit dans les yeux, par une légère pression du bassin ta minette avale d’un seul coup ma bite pour moitié. Tu es ouverte, chaude et humide, un vrai bonheur. Tu te dégages doucement puis redonnes un petit coup de reins pour t’empaler complètement cette fois. J’ai un mal fou à me retenir de jouir. Tu restes un court instant puis redescends :



Puis tu nages vers la plage en rigolant. Je me lance à tes trousses et te rattrape à quelques mètres du bord, de l’eau jusqu’à la taille. Je t’agrippe par les hanches en marchant derrière toi :



Pour seule réponse ta main se referme sur ma bite en continuant de marcher vers la plage sans te retourner. Confortablement installé au creux de tes doigts, je te suis jusqu’à ce que je réalise que l’eau m’arrive maintenant aux cuisses et que tout le monde peut me voir me faire promener, tenu par le bout de la queue. Je reste donc planté là, hébété en espérant que personne n’ait aperçu notre petit jeu. Et avec un nouveau coup d’œil coquin :



Accroupi dans l’eau pour éviter l’outrage aux bonnes mœurs, je te laisse t’éloigner sans pouvoir m’empêcher de contempler ton cul se dandinant. J’en suis quitte pour me calmer avec quelques brasses.


En remontant vers la serviette, tu remarques un couple qui s’est installé près de nous pendant notre baignade.

Sans pour autant t’attarder sur leur anatomie, tu remarques qu’ils sont sensiblement de notre âge et plutôt élégants. Tu t’aperçois qu’ils ne te quittent pas des yeux tout du long de ton trajet. Tu ne saurais dire si c’est l’excitation de nos jeux aquatiques, ces corps nus tout autour ou le soleil mais leur regard te fait du bien, et tu te sens belle et désirable. Arrivée à leur hauteur vous échangez un bref mais cordial bonjour.


Allongée sur ta serviette, tu repenses à notre baignade et te demandes s’ils nous ont vus… est-ce pour cela qu’ils t’ont regardée avec tant d’insistance ? Est-ce que ça leur a plu ? Tu es toute à ces pensées lorsque je salue nos voisins, te faisant sortir de tes songes.



Puis posant tes yeux sur mon sexe affecté par la fraîcheur de l’eau et avec ce petit sourire malicieux qui te va si bien :



Je m’allonge pour me faire sécher par les doux rayons du soleil, en me disant que c’est décidément une très belle journée !


Morphée ne tarde pas à m’entraîner dans une sieste profonde alors que tu passes régulièrement de pile à face pour parfaire ton bronzage. Tu lèves la tête de temps en temps et il arrive que tu échanges un regard avec nos voisins. D’allure sportive, ils ont de l’élégance et l’on devine qu’ils s’entretiennent.

Ton dernier coup d’œil t’a un peu troublée et tu ne peux t’empêcher des les espionner discrètement. L’homme est allongé sur le ventre et sa femme lui enduit le dos d’huile solaire, assise à califourchon au niveau de ses reins. Ses gestes sont doux et harmonieux, à chaque remontée de ses mains vers le haut des épaules, tu vois ses fesses frotter sur la peau de son mari dans une danse langoureuse. Elle se cambre légèrement et tu comprends que son sexe aussi participe à la caresse, tu devines ses lèvres frottant sur la peau glissante et luisante d’ambre solaire. Puis toujours à califourchon elle se retourne pour pouvoir masser le bas du corps. Elle te fait presque face, très légèrement tournée, et tu ne perds rien de son ballet ni de son anatomie. Les pieds d’abord, loin devant, la font se pencher avec une grâce voluptueuse… puis les mollets. Elle s’applique encore plus particulièrement à partir des cuisses qu’elle fait légèrement s’écarter par des pressions un peu plus appuyées. Son mari s’ouvre d’un bel angle, dévoilant une belle paire de testicules rasée de près. Les mains palpent l’intérieur des jambes et à chaque mouvement remontent un peu plus vers les fesses. Arrivées sur ces dernières, leurs mouvements continuent dans de jolis cercles s’enchevêtrant et écartant les deux lobes de temps à autre. L’homme soulève alors légèrement son bassin et passe une main vers sa queue que tu supposes prisonnière entre le sable et son ventre gênée dans son érection. Il a d’ailleurs du mal à redescendre essayant de préserver un peu d’espace sous son ventre. Sa femme s’amuse de ce rodéo improvisé et tu les vois échanger quelques mots puis rire. Ses mains ne s’intéressent plus qu’aux fesses maintenant et ont définitivement délaissé le reste. Elles les écartent un peu plus à chaque passage, redescendent bien bas vers l’intérieur, remontent par les testicules puis à nouveau les fesses sans oublier de bien les séparer. Tu aperçois un doigt qui se perd de temps à autre au milieu de la raie, effleurant discrètement le cratère plissé de ses fesses.


Finalement la cowgirl arrête sa chevauchée et vient s’allonger à côté de son étalon qui en profite pour plier une jambe et redonner un peu de liberté à son membre qui en a bien besoin. Tu arrives même à l’apercevoir par l’ouverture que fait sa jambe avec le sol. Sa femme se tient de côté sur un coude et continue ses caresses de sa main libre, le même circuit… Départ de l’intérieur des cuisses puis légère montée des bourses, col de la raie avec survol de l’entrée de la grotte, décrochement sur la droite pour le faux-plat du bas de reins, légère descente du haut de cuisse qui s’accentue franchement pour rejoindre le point de départ… puis un nouveau tour… Au bout d’un certain nombre, lasse de tourner en rond sur la même piste, elle décide d’explorer de nouvelles contrées et plonge droit vers le ventre par le dessous. Dans un léger tremblement, le bassin se soulève un peu pour lui laisser un passage. La petite fenêtre délimitée par le sol, la cuisse et l’entrejambe de monsieur, passe d’entrebâillée à ouverte et tu vois ressortir la main entre les cuisses. Elle malaxe les deux boules entre ses doigts fins, les lâche puis engage le majeur entre les fesses qui se contractent puis se rouvrent avec un nouveau soulèvement du bassin. La main fait alors le chemin inverse, repasse sous le ventre et tu la devines se refermer sur une queue dure et à l’étroit… ce que te confirment les allers-retours du bras de la cowgirl. Tu crois distinguer son regard derrière ses lunettes noires et serais prête à parier qu’elle t’a vue les épier.

Tu enfonces la tête dans ta serviette sans attendre de savoir si ta crainte est justifiée et trouves que décidément le soleil cogne très fort aujourd’hui… jusqu’à avoir chaud dans le bas de ton ventre, c’est dire !


C’est le moment que choisit le marchand de sable pour me libérer, et à peine ai-je ouvert les yeux, que tu exprimes l’envie de partir. Tu es un peu rouge et je mets cela sur le compte de l’exposition prolongée. Nous nous rhabillons et plions rapidement nos affaires et tu ne peux t’empêcher de jeter de petits coups d’œil furtifs vers nos voisins que tu as l’impression de connaître un peu mieux. Les caresses ont cessé, ils sont allongés sur le dos légèrement en appui sur un bras en train de papoter. Tu aperçois la queue de l’homme. Elle est comme tu l’avais imaginée, et fidèle à son image, élégante bien proportionnée. Tu n’y avais pas prêté attention lorsque vous vous étiez salués, mais son pubis est entretenu, poils bruns épars et coupés très court. Décidément très élégant. Une nouvelle vague de chaleur monte au fond de ton ventre.

Ils ne nous lâchent pas du regard et nous gratifient d’un « Bonne fin de journée ! » accompagné d’un franc sourire, lorsque nous arrivons à leur hauteur. Tu es encore toute rouge, décidément on devra prévoir une crème avec un indice plus fort…


Après un bon quart d’heure de marche dans le sable, nous rejoignons le parking. Nous chargeons nos affaires et au moment de partir, tu me demandes d’attendre trente secondes que tu puisses soulager une envie pressante. Tu jettes un coup d’œil alentour, personne en vue, tu te places entre les buissons et le capot de notre auto. Tu soulèves ta robe et fais descendre ta culotte en me souriant. Puis tu disparais en t’accroupissant et commences à laisser filer le jet avec un soulagement certain. Tu regardes amusée les dessins qui se forment dans la terre à tes pieds. À mi-vidange tu relèves la tête et oh surprise ! Là trois voitures plus loin, face à toi, notre voisine de plage est en train de faire la même chose. Vous êtes en parfait miroir dans la même positon. Tu tentes de tout stopper par une violente et subite contraction de tout ton ventre. Rien à faire ! La pression est trop forte et impossible de stopper aussi vite. Elle t’adresse un chaleureux sourire et ne semble pas gênée le moins du monde, bien au contraire. Vous êtes sur le point de finir et tu ne peux t’empêcher de jeter un œil vers celle qui pourrait être ton reflet… tu regardes sa chatte, avec de belles lèvres bien dessinées et écartées par la position accroupie. Elle est complètement glabre comme tu l’avais vu lors du massage sur la plage. Une petite goutte perle et tombe au sol, point final aux arabesques tracées à ses pieds. L’indécence de la situation t’a rendue toute humide et c’est ensemble que vous vous redressez, avec les mêmes gestes. Vous vous observez, debout, la robe relevée en dessous du nombril, offrant l’une à l’autre une vue imparable sur vos minettes respectives. Un dernier sourire puis d’une voix douce :



Hébétée, tu ne réponds rien. Tu la regardes partir, puis me rejoins dans la voiture. Je n’ai rien vu de ton reflet dissimulé par les autres autos et devant ton air absent me dis une fois de plus que le soleil t’a vraiment étourdie cet après-midi. Tu es perdue dans tes pensées. Ce « À demain… ? » était-ce une question ? Une invitation ? Est-ce que tu as rêvé, est-ce un tour joué par la chaleur ? En tout cas tu as bien pris un coup de chaud, c’est sûr ; et tu sais parfaitement où il est localisé. D’ailleurs toutes les images de l’après-midi se bousculent dans ta tête… nous, nus, nos petits jeux érotiques, les autres corps dénudés, ma queue, ton cul, sa bite, sa chatte… tu es trempée…


Arrivés à un feu, tu sors de ta torpeur et poses sur mes genoux ta culotte que tu n’avais pas remise. Surpris je ne peux m’empêcher de te sourire. Puis tu relèves doucement ta robe faisant apparaître ton ticket de métro. Tu écartes légèrement les jambes me dévoilant complètement ton sexe vers lequel tu glisses une main. Tu te caresses, joues avec ton petit bouton gonflé par le désir. Et ces images qui ne te quittent pas… Un de tes doigts disparaît, avalé par ta chatte et ressort tout mouillé. Je suis sur le point de parler quand tu le poses sur mes lèvres en me chuchotant :



Puis tu me le donnes à sucer. Hummm ! Je me délecte de tes saveurs…


La fin du trajet me semble durer une éternité, tant mon short est tendu. Arrivés à la maison, sans échanger un mot, nous nous précipitons au lit et faisons l’amour comme des fous.


Juste avant de m’endormir, je ne peux m’empêcher d’avoir une petite pensée pour le soleil, le remercie silencieusement pour cette douce insolation… et croise les doigts pour qu’il fasse aussi beau demain.