n° 15945 | Fiche technique | 22141 caractères | 22141Temps de lecture estimé : 13 mn | 08/12/13 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Marc va jouer au détective ; il va aller de surprise en surprise ! | ||||
Critères: ffh rousseurs voir lingerie cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Libero |
Marc : le narrateur
Cécile : ma copine
Camille : ma fiancée
Cloé : l’amie de Cécile
Antoine : le mari de Cloé
Irène : la call-girl
Aujourd’hui, j’ai beaucoup de mal à me concentrer sur mon travail ; Cécile, ma collègue, n’arrête pas de m’envoyer des messages en me faisant des grimaces derrière la séparation en verre de mon bureau. J’aime bien Cécile, elle est très sympa et rigolote. Depuis quelques semaines, j’ai pris l’habitude d’aller déjeuner avec elle à la cafétéria ; elle me fait rire ! De plus, c’est la principale animatrice de « Radio Langue de Pute », radio imaginaire que nous avons créée pour nous raconter les derniers cancans de notre entreprise où travaillent quand même presque 500 personnes.
Nouvel échange de mail avec Cécile :
« Déjeuner dans 20 minutes ! Scoop number one au programme ! »
« J’ai hâte, j’espère un scoop très chaud ! »
« Obsédé ! »
Je fais tourner mon siège, et par ma fenêtre j’aperçois un bout de la Grande Arche de la Défense. Il faudrait quand même que je vérifie si quelqu’un espionne le courrier électronique, dans cette boîte ! J’ai seulement 28 ans et j’y travaille depuis deux ans, après de longues études ; bon salaire, boulot intéressant. Il faut que je fasse attention, je ne veux pas le perdre. Camille, ma fiancée, serait furieuse !
À la cafétéria, j’ai déjà mon plateau à la main, mais toujours pas de Cécile ; elle est en retard ! Je ne veux pas m’asseoir tout seul car il y a le risque que quelqu’un d’autre veuille me tenir compagnie et je ne pourrai pas discuter tranquillement. La voilà ! Elle court presque. Rousse, chevelure frisée et abondante, yeux verts, plutôt petite avec des formes féminines ; elle porte toujours des talons. L’autre jour, elle m’a déclaré qu’en dessous d’un mètre 70, une personne n’est pas considérée.
Arrivés au dessert nous ouvrons « Radio-Langue-de-Pute ». Tu sais qui couche avec qui ? Tu ne sais pas la blague qu’untel a faite ? Etc. J’adore l’écouter, elle me fait rire ; elle devrait faire un one woman show ! Puis, thème récurrent, elle commence à me parler de Cloé, sa meilleure amie, presque sa sœur tellement leur amitié est fusionnelle.
Elle me donne un petit dépliant rouge avec une superbe blonde aux longues jambes vêtue d’un minuscule bikini blanc dans une pause lascive. « Irène, rencontre discrète » avec un numéro de portable comme contact. En dessous, écrit à la main :
« 28 juin, 21 heures, pavillon Bois Comeau… »
—ooOoo—
Je regarde le plafond de la chambre en faisant semblant d’écouter Cécile qui n’arrête pas de parler en élaborant la stratégie de notre filature. Je suis allongé sur le lit à côté d’elle. La villa est une sorte d’hôtel de luxe dans la grande banlieue de Paris ; elle a réservé une chambre sous un faux nom. Évidemment, elle m’a convaincu. Incroyable ; je me suis laissé embobiner dans cette galère, mais au fond de moi je suis super excité à l’idée de faire quelque chose qui sort de l’ordinaire, quelque chose d’interdit. À commencer par le gros mensonge à Camille, ma fiancée : « Ce soir je reste au bureau ; il faut absolument que je termine mon rapport, je dois le présenter demain matin, je suis angoissé… Tu me comprends, hein ? »
Nous sommes arrivés en avance et attendons l’arrivée d’Antoine, le mari de Cloé, en observant la cour de l’hôtel que j’aperçois d’ici. Irène, la call-girl, elle, est déjà arrivée et s’est installée dans la chambre – enfin, plutôt une suite, car elle est composée de deux pièces et d’une grande terrasse – où nous pourrons les espionner et faire des photos.
Une heure plus tard, la nuit est tombée et nous enjambons discrètement la séparation de la terrasse. Heureusement, il y a un petit paravent derrière lequel nous nous tassons pour nous cacher. Nous apercevons parfaitement l’intérieur de la chambre car la porte-fenêtre et les rideaux ne sont pas complètement fermés. Antoine et Irène sont installés dans les fauteuils et semblent discuter autour d’une bouteille de champagne, mais je n’entends rien. Cécile me chuchote à l’oreille :
Tout à coup nous entendons frapper à la porte. Que se passe-t-il ? Cécile me pince l’épaule et me regarde, stupéfaite. Antoine se lève pour aller ouvrir et laisse entrer Cloé, sa femme ! Ça va barder…
Mais non, elle étreint son mari avec un sourire et se dirige vers Irène qui s’est levée et l’embrasse sur la bouche, doucement et longuement…
Nous observons la scène un moment, mais ils ne font que discuter. Je fais signe à Cécile que nous devons retourner dans la chambre, mais elle se penche vers moi et me murmure à l’oreille :
Avec un petit signe, j’acquiesce. Heureusement, car moi aussi, très troublé, j’ai envie de rester. Tout à coup, Antoine se lève et sort sur la terrasse. Cécile se recroqueville et s’encastre contre moi ; nous nous cachons du mieux que nous le pouvons derrière le paravent. Il sort une cigarette qu’il allume en aspirant fortement la fumée ; serait-il lui aussi stressé par cette situation ? Au bout de quelques minutes, il rentre dans la chambre, à notre soulagement. Nous osons regarder à nouveau et nous découvrons Cloé, jupe relevée, allongée sur le lit à côté d’Irène qui, avec sa main glissée dans sa culotte, la caresse vigoureusement tout en l’embrassant. Antoine se déshabille et s’assoit sur le lit à côté des deux femmes. Il prend son sexe et commence à se masturber tout en introduisant sa main sous la robe d’Irène pour lui caresser les fesses.
Regarder un porno, c’est quelque chose ; en voir un réellement, c’est autre chose ! Cécile, qui elle aussi semble fascinée par ce spectacle, m’a attrapé la main qu’elle serre de toutes ses forces. Je réalise soudain que son dos est collé contre ma poitrine et s’appuie de plus en plus contre moi.
Le spectacle continue : Irène s’est déshabillée et ne porte plus que ses bas ; elle a retiré la culotte de Cloé et a enfoui son visage entre ses jambes écartées. Antoine, lui, continue à se masturber en caressant alternativement les deux femmes.
Je ne me contrôle plus et mon sexe se raidit dans mon jean ; je sens le cœur de Cécile battre à tout rompre tandis que son souffle se fait de plus en plus court. Petit à petit, mon visage se niche dans son épaisse chevelure rousse ; le parfum de son shampoing se répand en moi
Dans la chambre, la scène est d’une lubricité totale ! Antoine est allongé sur le lit ; Cloé s’est empalée sur le sexe de son mari tandis qu’il lèche le vagin d’Irène accroupie sur son visage. Les deux femmes, face à face, s’embrassent énergiquement en se caressant les seins. Juste devant moi, je vois le sexe tendu d’Antoine entrer et sortir du fourreau humide de sa femme.
Je ne me maîtrise plus et je saisis avec mes deux mains les seins généreux de Cécile par-dessus l’étoffe de son corsage. Elle commence à se tortiller et tourne la tête vers moi pour un baiser d’une ferveur sans équivoque. On ne va quand même pas faire l’amour ici, on va se faire prendre ! Je l’entraîne dans notre chambre. Face à face, nous nous déshabillons hâtivement, nos vêtements volent dans la chambre ; elle n’a pas le temps de retirer sa culotte que je la pousse énergiquement sur le lit. Je plonge brusquement mon visage entre ses jambes pour goûter son sexe ; elle remonte ses jambes vers elle pour me faciliter la tâche. Ma langue court de son vagin à son anus parmi quelques poils roux coupés court qui me chatouillent le nez. N’en pouvant plus, ma bouche quitte son sexe brûlant pour ses lèvres tandis que je la pénètre brutalement.
Les images du trio défilent dans ma tête. Je sens les jambes de Cécile se refermer dans mon dos et ses mains attraper mes fesses pour cadencer mes pénétrations de plus en plus profondes. Au bout de quelques minutes, elle se dérobe et sans un mot me fait signe de m’allonger sur le dos ; puis, m’enjambant, elle attrape mon sexe et l’introduit en elle avec un long soupir. Je regarde ses seins bouger en cadence ; je les caresse avec volupté, j’en emprisonne les pointes avec mes doigts. Je n’ai pas l’habitude, car ceux de Camille, ma fiancée, sont très petits. Puis elle s’écroule sur moi tandis qu’un orgasme puissant nous prend, nous laissant épuisés l’un contre l’autre.
Tout à coup elle se retire et disparaît dans la salle de bain ; elle en ressort habillée quelques minutes plus tard.
—ooOoo—
Quatre jours ont passé depuis notre aventure. Cécile et moi, nous nous évitons ; nous sommes en fait très gênés et je crois qu’elle comme moi ne voulons pas évoquer ce qui s’est passé. Le retour s’est fait presque sans un mot et nous nous sommes laissés avec un très simple « Ciao, à demain ». Je n’arrête pas de penser à cette soirée et des vagues de désir me submergent quand des images défilent dans ma tête. Durant le week-end, avec Camille nous avons fait l’amour plusieurs fois ; elle m’a même complimenté sur mon énergie sexuelle. Stupidement, je lui ai demandé si elle aimerait qu’on le fasse avec une autre femme et je me suis fait traiter d’obsédé :
Puis pour me provoquer gentiment :
—ooOoo—
Il faut absolument je clarifie la situation avec Cécile, nos déjeuners me manquent. Je me lève de mon siège, et avec le langage des mains je lui fais signe : « On mange ensemble ? »
Quelques minutes plus tard, nous déjeunons face à face comme si de rien n’était.
Je la regarde dans les yeux et une peur soudaine me noue le ventre : elle va me dire qu’elle est amoureuse de moi !
« Pas mal, pas mal… Ça devient intéressant… » Je les imagine, et une vague de désir monte dans mon corps ; j’en oublie complètement de manger.
Des images du corps d’Irène défilent dans ma tête.
Je la regarde dans les yeux ; mon cœur bat la chamade et je me mets à réfléchir.
—ooOoo—
La semaine suivante, je suis en train de déboucher une bouteille de champagne dans mon petit appartement de la rue Lecourbe. C’est incroyable ! Mais non : Camille est assise dans le canapé et nous attendons « Cécile la call girl », réservée sur Internet et recommandée par un collègue de travail qui, bien sûr, n’existe pas. Ensemble, nous avons choisi ses vêtements : une fine culotte blanche, une courte jupe et un top moulant ses petits seins ; elle a attaché ses cheveux en queue de cheval. Elle est très agitée et n’arrête pas de me dire qu’elle est folle d’accepter une chose pareille ! Je ne dis rien, de peur qu’elle change d’avis.
On sonne ! Camille se lève d’un bond et ouvre la porte ; sans un mot, elle s’écarte pour laisser passer Cécile vêtue d’une petite robe vert bouteille sans manches et très courte. Elle a relevé ses cheveux roux en un chignon très élégant. Avec un grand sourire, elle se présente :
La tension est très forte. Cécile la regarde dans les yeux, s’approche d’elle, la prend dans ses bras et délicatement pose sa bouche sur la sienne.
Ma fiancée, déboussolée par ce baiser, vient s’asseoir auprès de moi tandis que Cécile s’approche de nous.
J’ouvre doucement les boutons dans son dos que mes doigts effleurent au fur et à mesure que je descends. Sa petite robe glisse sur le sol, et tandis qu’elle a toujours les bras en l’air, je décroche son soutien-gorge qui tombe lui aussi par terre. Sa lourde poitrine parsemée de taches de rousseur s’affaisse à peine. Toujours derrière elle, je glisse mes pouces de chaque côté de sa petite culotte en dentelle que je tire vers le bas, découvrant ses fesses pleines et son sexe complètement épilé cette fois. Camille semble fascinée par ce spectacle tandis que je me rassois sur le canapé à côté d’elle.
Cécile s’approche et se penche pour l’embrasser sur la bouche. Je les observe : ma fiancée frissonne sous les caresses tandis que leur baiser se fait de plus en plus appuyé. Cécile, avec ses mains, retrousse petit à petit la jupe de sa partenaire qui se soulève un peu pour l’aider dans son entreprise puis, tout en continuant à l’embrasser, glisse sa main sous le léger tissu de la culotte pour commencer à la masturber. Les mains de ma fiancée commencent à s’activer sur les seins et le dos de Cécile. Tétanisé, j’observe en silence ce divin spectacle.
Quelques minutes plus tard, « Cécile, la call-girl », très entreprenante, nous a pris par la main pour nous entraîner dans la chambre et, toujours sous sa direction, nous nous sommes déshabillés.
Je suis maintenant allongé sur le lit, les jambes écartées ; Cécile, à ma gauche, au-dessus de moi, frotte son corps et son sexe sur ma cuisse tout en m’embrassant. Camille fait la même chose sur ma droite. Nos trois bouches, nos trois langues se mélangent avec des baisers passionnés entrecoupés de soupirs. Je sens leur liqueur intime mouiller la peau de mes cuisses. J’entreprends avec ardeur leurs fesses et leur intimité tandis que je sens des mains jouer avec mon pénis en pleine érection. Avec ma main gauche, j’introduis un doigt dans le vagin de Cécile cependant qu’avec la droite, c’est l’anus de Camille que je pénètre. Bien sûr, c’est impossible de me contrôler et j’éjacule longuement sur le dos de mes partenaires.
Cécile se jette littéralement entre les jambes de Camille pour la lécher avec ferveur. J’observe sa langue se glisser entre les petites lèvres du vagin tandis qu’avec ses doigts elle lui caresse le clitoris. J’introduis ma main entre les fesses charnues de Cécile pour la caresser et introduire deux doigts dans son antre brûlant. Après quelques minutes de ce traitement, elles sont prises toutes les deux d’un orgasme puissant et bruyant ; j’espère que les voisins ne sont pas chez eux !
Tous les trois assis sur le lit, nous dégustons le champagne qui n’est plus très frais et j’ai droit à quelques sarcasmes de mes partenaires sur ma piètre performance. Nous échangeons peu de paroles jusqu’à ce que Cécile reprenne l’initiative en se penchant entre mes cuisses pour engloutir mon sexe qui retrouve rapidement sa vigueur. Ensuite, elle me demande de m’allonger sur le lit puis s’agenouille au-dessus et face à moi en s’empalant presque brutalement sur mon pénis dressé. Elle fait ensuite signe à ma fiancée de s’asseoir au-dessus de moi pour l’embrasser et lui caresser les seins. J’attrape les fesses de Camille des deux mains pour approcher son sexe de mes lèvres ; elle m’encourage en ouvrant avec ses doigts sa fente brûlante où ma langue se délecte de son nectar. Mes deux partenaires se trémoussent, se caressent les seins et s’embrassent à pleine bouche. Après quelques minutes de ce traitement, Camille est prise d’un orgasme et s’écroule sur le côté du lit ; j’écarte aussi Cécile et lui demande de se mettre à quatre pattes. Je me positionne derrière elle et la pénètre en agrippant sa taille ; ses fesses viennent cogner contre mon bassin en m’encourageant à entrer plus profondément. Autour de son anus, quelques petits poils roux on échappé à l’épilation ; j’y introduis mon index troglodyte, j’accélère mes va-et-vient jusqu’à ce que je jouisse puissamment sur son dos.
Nous restons quelque temps allongés sur le lit pour récupérer, jusqu’à ce que Cécile disparaisse dans la salle de bain pour prendre une douche et se rhabiller. Camille se colle contre moi et m’embrasse affectueusement.
Pendant que nous attendons le taxi en bas de l’immeuble, Cécile me prend dans ses bras et me déclare avec passion :