n° 15954 | Fiche technique | 12255 caractères | 12255Temps de lecture estimé : 8 mn | 14/12/13 |
Résumé: Un couple a des envies torrides durant un mariage, mais la jeune femme est surprise par un autre homme. | ||||
Critères: fh extracon inconnu fête jalousie pénétratio -extraconj | ||||
Auteur : Gedd (Fan de récits érotiques. Auteur débutant mais créatif.) Envoi mini-message |
Sandrine et moi étions au mariage d’une de mes collègues. Ma petite amie était somptueuse dans sa robe de soirée rouge. Je savais qu’elle portait des dessous affriolants et je n’attendais qu’une chose : la déshabiller.
Les mariés s’étant dit oui, nous nous sommes rendus au vin d’honneur dans une ferme restaurée magnifique. Le mariage était réussi et l’ambiance assez sympa. Des serveurs zélés s’assuraient que nos flûtes de champagne ne soient jamais vides et, le ventre vide, les têtes se sont rapidement mises à tourner.
Sandrine était d’humeur coquine. Elle savait combien elle était belle et désirable dans sa robe et combien j’avais envie d’elle. Elle ne ratait aucune occasion pour venir m’embrasser du bout des lèvres et me taquiner discrètement avec sa langue sensuelle.
Au repas, nous nous sommes retrouvés à une table avec des inconnus. L’ambiance est un peu retombée pour nous. Nous n’accrochions pas trop avec les discussions des autres convives. Par contre, nous nous sommes laissé aller sur le vin. Il était très bon et encore une fois, les serveurs étaient au rendez-vous. Sirotant son verre, ma petite amie laissait négligemment traîner sa main sur ma cuisse sous la table et je rêvais qu’elle la remonte pour toucher mon érection qui devenait douloureuse.
Ce n’est qu’au moment du dessert, lorsque tout le monde s’est levé pour aller se servir sauf moi, qu’elle a compris ce qu’il m’arrivait. Toute souriante, elle s’est rassise près de moi. Elle a regardé autour d’elle si personne ne la voyait puis elle a posé sa main sur ma braguette. Ses doigts ont commencé à me masser doucement. Elle a approché son visage du mien.
Je me suis raidi d’un coup. Ses paroles m’excitaient trop. Je n’avais plus qu’une seule envie : qu’elle me dévore. Sandrine m’a donné un petit coup de langue sur les lèvres puis m’a fait une proposition :
Le soupir de Sandrine en disait long sur son état. Elle regarda rapidement autour d’elle, cherchant un endroit. Je me rappelais avoir vu un escalier près du vestiaire ; l’étage devrait être plus calme.
Sandrine m’embrassa fougueusement. Ma tête tournait encore plus vite. Elle se leva et fila en direction du vestiaire. J’attendis sagement deux minutes. Plus pour laisser le temps à mon érection de se calmer que pour respecter l’horaire prévu.
Je traversai les tables et la future piste de danse qui me séparaient du vestiaire mais je me fis harponner par d’autres collègues sur le chemin, dont mon supérieur. Ils m’entraînèrent pour aller saluer la mariée. Je me retrouvai coincé et forcé de discuter avec Nathalie, la jeune épouse qui, il faut bien l’admettre, était magnifiquement belle. Ce fut d’ailleurs un déchirement pour tout le bureau d’apprendre ses fiançailles et ensuite l’annonce de son mariage.
J’essayais de ne pas trop lorgner dans son décolleté mais c’était très difficile vu l’état dans lequel j’étais et le balcon merveilleux que m’offrait la jeune femme. Je crois d’ailleurs qu’au bout d’un moment, la belle s’en est rendu compte et me redirigeai poliment vers ses amies qu’elle me présenta par la même occasion. Je me suis retrouvé à embrasser des filles magnifiques et tout aussi généreuses qui étaient ses meilleures amies et cousines, je ne sais pas dans quel ordre.
Je commençai à discuter avec elles, oubliant un instant Sandrine tant elles étaient charmantes. En réalité, j’écoutais à moitié ce qu’elles me racontaient. J’avais les yeux vissés sur leur poitrine en essayant de déterminer laquelle était la mieux roulée. Pour la petite histoire, je suis toujours persuadé qu’il s’agit d’une des cousines. Une brune à la peau mate et au regard de braise. Je me dis que j’aimerais vraiment que ma Sandrine ait une paire comme cette fille mais bon, on ne peut pas tout avoir… En plus, j’ai toujours été très content des jolis seins de ma copine.
Je parvins finalement à m’éclipser et rejoignis le vestiaire. Je rebandais déjà alors que je posais mon pied sur la première marche de l’escalier. Je gravis les autres quatre à quatre et me retrouvai en haut. Le couloir était sombre et il fit soudainement plus calme, les bruits de la soirée et la musique semblaient avoir du mal à monter jusqu’ici. Je me plaçai doucement devant la première porte sur ma droite et la poussai lentement, sans faire de bruit. Je passai la tête dans la pièce non éclairée et plissai les yeux. Je percevais des meubles un peu désordonnés et mon attention fut rapidement attirée sur ma gauche. Je percevais également des sons étouffés et il me fallut quelques secondes pour reconnaître la silhouette d’un homme en costume sombre allongé sur un divan. Il était sur le ventre, en appui sur les bras et il bougeait lentement. Je compris qu’il n’était pas seul et que sa compagne, sous lui, était la source des bruits.
Je quittai prestement la pièce et refermai le plus discrètement possible la porte. Apparemment, d’autres avaient eu la même idée que Sandrine… Je continuai mon investigation et ouvris tour à tour les autres portes du couloir. Malheureusement, je ne tombai que sur des pièces vides ou des placards à balais. J’étais sur le point de redescendre lorsque l’envie de repasser la tête dans la première pièce me prit. Je ne sais pas pourquoi ; un mélange d’excitation, de voyeurisme et un je-ne-sais-quoi de curiosité. Je repoussai la porte lentement et discrètement. Je passai la tête. Le couple était toujours en pleine action.
De là où j’étais, je ne voyais que le gars. C’était un gros type baraqué, le crâne rasé, en costume. Il bougeait sur sa partenaire, concentré sur ce qu’il faisait. Je bandais vraiment dur. Moi aussi, j’avais envie de baiser une petite chatte à la sauvette. Mais où était donc Sandrine ? Je me mis sur la pointe des pieds pour apercevoir la partenaire du type. Elle était peut-être bonne. Je ne parvins pas à la voir, elle était cachée par des vêtements. C’étaient des vestes entassées çà et là dans la pièce.
Je me résignais à refermer la porte lorsque, suite à un coup de reins plus appuyé, la fille remonta ses jambes pour les nouer autour de son amant. Elle avait de jolies jambes, mais ses escarpins attirent mon attention. Ils étaient rouges et il me sembla les reconnaître. Je rentrai carrément dans la pièce et m’approchai, attiré comme un aimant. Je m’arrêtai tout près du couple. J’étais dans le dos du gars ; il ne pouvait pas me voir et ne se douta pas de ma présence. Il était complètement allongé sur sa partenaire qui était, elle, sur le dos, les jambes ouvertes. Le type bougeait lentement son bassin d’avant en arrière. Il avait dû simplement ouvrir sa braguette et s’allonger sur la femme pour la prendre car son pantalon n’était pas baissé. J’entendais parfaitement leurs respirations saccadées et les petits gémissements plus aigus de la demoiselle.
Je fis encore un pas sur le côté et me penchai pour tenter de la voir. Le type était vraiment large d’épaules, il la couvrait complètement. Coincée entre la tête rasée et le dossier du canapé, j’aperçus enfin de longs cheveux châtains et bouclés. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine : c’était bien sur Sandrine qu’il est allongé. Je vis le visage de ma petite amie tourné sur le côté. Elle avait les yeux fermés et ses lèvres rouges étaient entrouvertes. Je restai sans réaction. Que faisait-elle là, avec ce type ? Comment était-ce possible ?
Comme si elle avait senti ma présence, Sandrine redressa la tête et son regard rencontra le mien. Elle ne dit rien. Ses joues étaient rouges et ses yeux bleu profond étaient brillants. Beaucoup de choses passèrent dans cet échange et je ne fus pas capable de les comprendre toutes sur le moment. Aussi je restai planté là bêtement à la regarder.
Soudain, son partenaire se rendit compte à son tour de ma présence. Il tourna la tête et me scruta posément de haut en bas puis de bas en haut. Je fus frappé par la dureté de son regard. Après m’avoir jaugé, il reporta son attention devant lui et reprit ses mouvements de bassin comme si de rien n’était. Ma présence n’avait pas l’air de le perturber.
Comme pour me prouver cet état de fait, le type se redressa et prit appui sur ses mains, surplombant de cette manière sa partenaire. En se décollant d’elle, il me permit par la même occasion de mieux la voir. Je découvris sa jolie robe rouge retroussée. Une bretelle était descendue et un sein qui pointait terriblement était dénudé. Mon cœur se déchira. C’était bien ma Sandrine qui était là. Allongée sous un autre. Se laissant prendre par un inconnu. Elle tourna son visage vers le dossier du canapé et laissa son partenaire profiter d’elle.
Le type accéléra la cadence. Je calculai dans ma tête qu’il devait la prendre depuis un bon moment déjà. Le temps que je visite toutes les pièces, il était déjà occupé sur elle, à la baiser comme j’aurais aimé le faire, comme j’aurais dû le faire… Les informations se bousculaient dans mon cerveau. Je voyais les belles jambes de mon amoureuse bouger au rythme des coups de reins de plus en plus puissants de l’homme. Les gémissements de Sandrine s’accentuèrent et le gars se mit à grogner. Il retira soudainement son sexe d’entre les cuisses de ma petite amie et, le tenant fermement dans une main, le dirigea vers elle. Son membre était vraiment large et imposant, et un long jet de sperme pâteux suivi d’un second s’écrasent sur le pubis et la robe de Sandrine. L’homme souffla fort par le nez tandis que sa semence terminait de se répandre sur ma compagne.
D’un geste viril, il secoua sa queue pour faire tomber la dernière goutte et il se releva. Dignement, il se rajusta et referma sa braguette tout en admirant Sandrine souillée de son sperme, la robe troussée et les jambes ouvertes. Il se tourna vers moi et posa une main sur mon épaule.
Il passa la porte et disparut dans le couloir. Sandrine avait resserré ses jambes et elle avait les mains plaquées sur sa bouche. Je m’assis près d’elle alors qu’elle se mettait à sangloter.
Je me suis allongé à côté d’elle pour la rassurer. Elle s’est tout de suite calmée. L’odeur de foutre était assez forte.
Je me sentais aussi fautif qu’elle. En plus, j’avais assisté à une bonne partie de la scène sans réagir. Je lui retirai les mains de sa bouche et l’embrassai tendrement. Elle me fixa droit dans les yeux. Je trouvai son regard fiévreux.
Je restai bouche bée.