Pour des raisons professionnelles, j’avais loué une chambre d’hôte dans l’arrière-pays niçois, un beau mois de juin 2013. La maison était très grande, ma chambre aussi, avec toutes les commodités. Salle de bain, toilette, télé écran plat, la totale, quoi. J’étais le seul client, et me retrouvais donc avec la maîtresse de maison, Cécile, et sa fille d’une quarantaine d’année comme moi, Chantal. Au bout de quelques jours, j’étais traité comme le fils de la maison. Il faut dire que Cécile, la soixantaine bien sonnée, était adorable. Le soir, nous jouions à la pétanque le long de la maison, en profitant de la relative fraîcheur du soir.
Quant à Chantal, elle avait un caractère bien trempé, pour ne pas dire qu’elle était une râleuse compulsive. Rien ne lui convenait. Fait trop chaud, trop froid, le vin pas assez frais, trop de mouches, bref… Ceci étant, physiquement, une brune d’un mètre soixante environ, hanches très fines, fesses très larges, et une petite poitrine assez sympathique. Bref, elle m’attirait un peu, malgré son caractère de cochon. Ceci expliquant peut-être le fait qu’elle soit toujours célibataire ? Cela étant, je me masturbais de temps à autre en imaginant lui faire l’amour… et particulièrement en rêvant que je la sodomisais. Son fessier m’attirait vraiment… Mais bon, c’était un fantasme, rien de plus.
Ce dimanche, après le repas de midi pris en commun, et encore une fois succulent, Cécile nous a indiqué qu’elle avait voir une amie au village, et qu’elle ne rentrerait que vers 18 heures.
- — Dites-moi, Julien, vous aviez prévu de sortir peut être ?
- — Non, du tout, je pensais faire la sieste, la semaine a été longue.
- — Ah tant mieux, je suis toujours inquiète quand Chantal est seule à la maison, on ne sait jamais…
- — Maman, arrête de t’inquiéter tout le temps, je suis grande depuis pas mal de temps déjà !
- — Oui, je sais, mais une femme seule, on sait jamais. Enfin, si vous restez, Julien, ça me rassure, je serai plus tranquille. C’est très gentil à vous.
- — Oh mais de rien, c’est avec plaisir.
Ça y est, elle est partie… À moi la sieste !
- — Julien ? je peux te demander un truc ?
- — hmmmm… quoi ?
- — Plutôt que de faire une sieste de fainéant, je voudrais que tu m’apprennes à tirer.
Ah la barbe… moi qui voulais me reposer…
- — Heu, je ne suis pas un spécialiste, loin de là, et…
- — Non, tu tires bien, c’est chiant en partie, alors pour équilibrer, faut que tu me montres comment on tire juste. En plus c’est l’occasion, il fait beau, on est tranquille. Allez, on y va !
Chantal tout craché… Elle s’en tape que je veuille aller faire la sieste, et elle va me casser les pieds tout l’après-midi si je dis non…
- — Bon, ok. Mais tu m’écoutes bien, comme ça, ça va vite, et je pourrai aller me reposer après.
- — Quel flemmard tu fais ! Allez, on y va !
Et nous voilà partis pour le terrain de pétanque. Je prends le grand seau contenant les boules, une bonne quarantaine de boules ! Il pèse comme un âne mort…
- — Bon, Chantal. Avant toute chose, il faut que tu corriges ton mouvement de lancer. Comme tu n’utilises pas les muscles de ton dos, tu forces sur ton bras, et du coup, niveau précision, c’est moyen…
- — Allez, montre-moi comment je dois faire.
Je jette une boule cible à 8 ou 9 mètres.
- — Tu armes bien le bras en arrière, paume de la main vers le bas. Tu te penches en avant et en te redressant, tu lances ton bras, lâches la boule en la retenant à peine avec le bout des doigts, et hop ! tu tombes à côté de la boule sans forcer. Entraîne-toi déjà à faire ce geste, on s’en tape si tu rates la cible pour l’instant.
- — Je lance toutes les boules ?
- — Oui, une par une.
- — Andouille ! Bon, ok.
Et voilà donc Chantal qui lance une par une les boules du seau, en direction de la cible. Ping !
- — Ouais, je l’ai eue !
- — Tu vois, ça rentre. Vise une autre, la noire, sur le côté.
Je me suis mis derrière elle. À chaque lancé, elle se penche en avant, et j’ai ses magnifiques fesses qui se tendent vers moi… Je profite qu’elle ne me voit pas pour contempler cette merveille…
- — Voilà, j’ai tout lancé. Mince, je ne l’ai tapée qu’une fois !
- — Aucune importance, le tout, c’était que tu trouves ton mouvement pour lancer sans forcer. Maintenant, la précision. Aide-moi à ramasser les boules, on les remet dans le seau.
Changement de côté effectué, seau rempli.
- — Maintenant, il faut que tu trouves ton « viseur ». Moi, je mets le bras à l’horizontale, voire un peu vers le haut, et quand ma main cache la boule cible, je suis bien aligné. Après, reste le dosage du lancé… Essaye.
Hop, une boule cible lancée. Chantal se positionne. Ping !
- — Ça marche. Tu es génial !
- — Attends, tires-en d’autres, on ne peut pas se baser sur un seul tir. Vise celle de gauche, dans l’herbe…
Ping !
- — Trop génial, je sais tirer…
- — La grise, à côté ?
Ping !
Là, elle m’épate…
- — Maintenant, le truc, c’est la pression. Tirer à l’entraînement, c’est bien, il faut le faire. Mais en jeu, avec un enjeu, c’est plus difficile, car on a la tête prise par le stress, généralement le score…
- — Et on peut s’entraîner aussi, pour le stress ?
- — Ben faut trouver un truc stressant, puis essayer de passer outre…
- — On peut faire quoi ?
- — Un truc simple. On tire chacun son tour. Celui qui rate file 10 euros à celui qui réussit.
- — Ah non, pas de fric, j’ai pas envie d’en perdre !
Oui, c’est vrai, elle est près de ses sous, la miss…
- — Alors, on fait une série de tir, et le perdant fait un gage ?
- — Pff, pas marrant… je ne sais pas, essaye d’avoir une bonne idée ?
- — Tu peux m’aider, Chantal, tu peux aussi proposer des trucs…
- — Hmmm… le perdant fait le repas ce soir ?
- — Bah, il est déjà prêt, ta mère a fait la pâte à crêpes tout à l’heure… J’ai bien une idée, mais tu vas refuser.
- — Laquelle ?
- — Tu vas refuser, je te connais. Laisse tomber.
- — Non, dis-moi, maintenant tu as trop parlé, tu dois aller au bout !
- — Le perdant de chaque série enlève un vêtement. Par contre, on s’arrête aux sous-vêtements, c’est juste pour la mise en condition de stress.
- — Non, pas d’accord !
- — Tu vois, je t’avais dit que tu refuserais… Mais on va trouver autre chose…
- — On ne s’arrête pas aux sous-vêtements. Le perdant termine à poil !
Là, elle m’a scotché ! Je voulais juste la taquiner, vu que manifestement, le sexe lui passe au-dessus de la tête… enfin, je crois ?
- — Heu, on pourrait nous voir…
- — Nan ! Pas possible, y’a les arbres et la maison. Tu te dégonfles, tu as peur que je voie tes petites fesses et ta queue ? En plus, t’es pas mal, comme mec… Je suis sûre que tu en as dans la culotte…
J’étais abasourdi. Chantal qui tenait un tel langage !
- — Heu, attends, rien ne dit que je vais perdre. Si je gagne, c’est toi qui te retrouves les fesses à l’air, ma vieille !
- — Nan, je tire trop bien. Tu verras pas mon gros cul, désolée pour toi…
En plus, elle me chambre ! Bon ok, allons-y.
- — Ça marche. On fait des séries de cinq tirs, et celui qui frappe le moins enlève une fringue. En cas d’égalité, on refait une série. Ok ?
- — Attends, tu as combien de fringues, toi ?
- — Heu… T-shirt, short, caleçon, sandales… cinq.
- — Moi, T-shirt, soutif, culotte, short sandales… six. J’ai un petit avantage.
- — Alors enlève un truc déjà ?
- — Nan. Mais comme tu es le prof, tu as un handicap, c’est normal. Allez go, on joue.
- — Tu commences ?
- — Ok.
Je lance une boule cible, pendant que Chantal sélectionne cinq boules de tir.
- — Allez, c’est parti, Chantal. Mais si tu perds, t’as intérêt à respecter les règles !
Première boule… raté. Ouf !
Deuxième… Ping !
Je vais remettre la boule cible en place.
Ping !
Houlà, je vais terminer tout nu, moi, si ça continue…
Quatrième et cinquième, raté !
- — Ok, Miss, à moi. Tu me mets la boule en place quand je la vire ?
- — Si tu la vires… Ok. Faut que tu la touches deux fois pour l’égalité.
- — Ou trois fois pour te faire enlever le T-shirt.
- — Même pas en rêve…
Première boule… Ping !
Deuxième… raté.
Troisième… Ping !
- — À un point du bonheur…
- — Tu vas les rater.
Quatrième… raté.
Cinquième… Ping !
- — Et voilà le travail, tu peux enlever ton T-shirt.
- — Non, une sandale !
Et merde… Bon pas grave…
Deuxième série, elle gagne 3 à 2. J’enlève une sandale aussi…
Troisième série, elle gagne 4 à 3. Damned ! L’autre sandale va rejoindre sa congénère…
Quatrième série… 2 à 1 Je commence à perdre mes moyens, moi… Hop ! plus de T-shirt…
- — Bientôt à poil, le Julien…
- — Attends, ce n’est pas fini, Miss.
Cinquième série, je gagne enfin, 4 à 1.
- — Trois point d’écart, tu devrais enlever trois fringues, dis !
- — Nan, on a dit une par défaite !
- — Ok, ok…
Elle est pieds nus.
Sixième série, je gagne 2 à 1.
Elle enlève son T-shirt. Elle a un soutien-gorge noir du plus bel effet, et sa poitrine est assez agréable, en fait…
- — Putain, fait chier…
- — Heu, pas la peine d’être vulgaire, en plus, tu as une jolie poitrine, que tu vas très prochainement libérer en plus…
- — Ça, mon œil…
Sixième série, elle gagne 4 à 2.
- — Allez, Juju, deux fringues !
- — Ah non, on a dit une, tu as refusé tout à l’heure !
- — Allez, le short !
Et je me retrouve en caleçon devant ma belle-sœur… Le fait de la voir en soutif, en plus, me provoque une bosse sur le devant, j’espère qu’elle ne s’en rend pas compte…
Septième série. Je commence à avoir mal au bras, moi… Je gagne 3 à 1.
- — Allez, le soutif maintenant, que je voie tes seins…
- — Nan, le short.
Petite culotte noire assortie au soutien-gorge. La situation se développe dans mon caleçon, je commence à être gêné…
- — Joli !
- — Faut plus que je perde, maintenant, sinon, tu vas exploser ton slip, dis donc !
Ah la vache, elle a vu mon état… Il faut dire que le bout de mon sexe dépasse de l’élastique…
- — Ben, c’est vrai, j’avoue, tu me fais un peu d’effet.
- — Un peu ? Tu bandes comme un âne, cochon ! On n’est pas là pour ça, c’est pour gérer le stress, tu as oublié ?
- — Non, non, t’inquiète, mais ça se commande pas. Ça va passer…
- — Allez, on s’y remet.
Huitième série, match nul.
Neuvième, elle gagne, 1 à 0.
- — Allez, Julien, à poil, j’ai gagné !
J’enlève mon caleçon, j’ai mon sexe à moitié bandé.
- — Ouah, tu as une belle queue, j’en étais sûre !
- — Attends, ce n’est pas fini, je dois perdre là, à nouveau pour que tu gagnes, je peux encore faire match nul !
- — Tu n’as aucune chance. Si tu perds, tu me laisses faire ce que je veux ?
- — Heu, ça dépend… quoi, au juste ?
- — Je sais pas, je trouverai bien. Allez, chiche ?
- — Hum… bon, ok, mais correcte, hein ?
- — Ouais, t’inquiète.
Dixième série, je gagne 2 à 0.
- — Allez, Miss, le soutif ou la culotte…
Elle dégrafe son soutien-gorge et le pose sur le banc. Je confirme, petit seins, mais bien toniques, fermes manifestement, avec de gros bouts… Là, je bande complètement !
- — Ben dis donc, tu es dans un état, toi !
- — Pas de ma faute, ce sont tes seins qui me font cet effet-là.
- — Tant mieux, j’ai l’avantage, tu vas rater tes tirs.
Onzième série… Très serrée… 3 à 2. Je gagne encore. Elle enlève sa culotte, et je peux enfin contempler son cul… magnifique. Je suis à la limite de jouir. Il ne faut pas que je touche mon sexe… En plus, elle a une toison noire fournie… j’adore ! Quand elle se penche en avant pour faire passer ses pieds de la culotte, j’ai une vue sur son fessier… je dois me retenir pour ne pas lui sauter dessus.
- — Voilà, on est à poil… C’est maintenant qu’un de nous va gagner…
Elle se rapproche de moi. Sa main gauche attrape mon cou, elle colle son front contre le mien, et sa main droite empoigne mon sexe…
- — Et je vais tout faire pour gagner, tout !
En disant cela, elle me masturbe… Elle y va gaîment ! De temps en temps, elle enserre mes testicules et les malaxe, puis reprend mon sexe à pleine main, en faisant des va-et-vient des plus intenses.
Je viens de jouir… Mon sperme gicle sur son ventre, ses seins, sa toison…
- — Ah ben bravo, tu m’en as mis partout, espèce de cochon !
Effectivement, elle en a partout.
- — Désolé, tu m’as pris par surprise, et vu l’état où j’étais, je n’ai pas pu me retenir…
Elle continue à me branler, comme pour sortir tout mon sperme…
- — C’était fait pour, faut que je te déconcentre si je veux gagner, moi… Allez, dernière manche, pour un gage et un vainqueur ! Attends…
Elle s’agenouille devant moi, prend mon sexe dans sa bouche, et entreprend une fellation de première… Je sens mon sexe qui durcit à nouveau. Elle lèche soigneusement le bout, puis la hampe, et même les testicules.
- — Voilà, tout propre. Attends, je m’essuie, tu m’as aspergée !
Elle prend son T-Shirt et s’essuie avec. Elle le repose sur le banc.
À mon tour, je lui saisis le cou, et ma main droite empoigne son sexe. Avec mon majeur, je déloge son clitoris et commence à le masser.
- — Ahh ahhh, mais tu fais quoi ?
- — À mon tour de te branler, la miss, y’a pas de raison.
- — Ahhh ahhhhhhh ahhhhhhh…
Elle se penche en avant, en écartant les jambes, pour ouvrir son sexe à mes caresses. J’en profite pour enfoncer mon index dans son vagin humide. Ma main gauche lâche son cou pour descendre le long de son dos, puis sur ses fesses, que je malaxe. D’un coup, j’enfonce mon majeur dans son petit trou, juste quelques millimètres, elle est sèche de ce côté, et je ne veux pas lui faire mal, j’ai d’autres idées…
- — Ahhhhhhhhhhhhh, mon salaud… Putain, tu m’as fait jouir !
- — C’était l’idée, on est quitte maintenant. Allez, la finale, maintenant. Attends, bouge pas…
À mon tour je m’agenouille devant elle, et entreprends de lui lécher la chatte. Elle est trempée de sa jouissance, et dégage une odeur enivrante… Je suis à nouveau en érection.
- — Voilà, nickel toi aussi. On continue ?
- — Si tu gagnes, c’est quoi le gage ?
- — Tu veux vraiment le savoir ? Ça va te mettre trop de pression j’en ai peur…
Pendant que nous discutons, je lui caresse les fesses, et avec un doigt, je recommence à lui masser son anus.
- — Allez, dis-le-moi !
- — Ok. Si je gagne, je t’encule. J’ai trop envie de ton cul, il est trop sublime…
- — Ah oui, c’est ton truc, toi ?
- — Et toi ? Si tu gagnes ? Ce qui m’étonnerait, mais bon…
- — Tu as envie de m’enculer, donc ? Tu veux te faire mon gros cul…
- — Oui… Tu as un cul fait pour ça, il est trop beau… Et puis depuis tout à l’heure je te doigte les fesses et manifestement tu aimes ça.
- — Ouais… Mais tu vas me faire mal avec ton chibre !
- — Mais non, on va y aller doucement, avec du gel, tout ça… Je vais bien te préparer. Au contraire, tu devrais prendre beaucoup de plaisir. Et si ça te fait plaisir, je te baiserai aussi. Au point où on en est maintenant… Ne me dis pas que ça ne te dit pas !
- — Putain, mais faut que je te trouve un gage hard, moi… Si je gagne, je…
- — Oui ?
- — Je t’encule aussi, avec mon gode. On sera quitte comme ça.
Oh putain, faut pas que je perde, moi… Tiens, elle a un gode… Manifestement, je me suis trompé sur son compte, concernant sa sexualité…
- — Chiche ?
- — Il est comment, ton gode ?
- — Moins large que ta bite, mais plus long.
- — Hum, bon, ok…
Douzième série.
Je commence. 3 boules sur 5. Ouf, j’ai un peu d’avance.
Chantal se met en place, se penche en avant… Quel cul… j’en bande à nouveau. Pourvu qu’elle perde…
Ping !
Raté.
Raté.
Ping !
Dernière boule, dans quelques secondes, l’un d’entre nous va enculer l’autre.
Ping !
Match nul.
- — Ah mince ! On fait quoi, Julien ? On annule le pari, égalité ?
- — Non, on fait la treizième série.
- — Non, le 13, ça porte malheur.
- — Oui mais bon, égalité, dans l’état où on est… ce n’est pas drôle.
- — Ah, tu as envie de mon cul, toi… ben tant pis pour toi.
- — Là, t’es moche…
- — Ou alors… J’ai une idée. Tu veux la connaître ?
- — Oui ?
- — Tu me baises pour qu’on décompresse tous les deux. Après, tu fais connaissance avec mon gode, et si ça te dit toujours, après, tu m’encules. Ok ?
Je lui attrape la main, la plaque contre moi. Je sens sa poitrine sur la mienne, et mon sexe s’appuie sur sa toison. Je l’embrasse. Elle me force la bouche avec sa langue. Je lui palpe les fesses, puis glisse un doigt entre…
- — On peut dire que quand tu as une idée, tu t’y tiens, toi… Allez, viens, on va dans ma chambre.
Une fois arrivé dans sa chambre, je la bascule sur le lit, sur le dos, monte sur elle, la pénètre sans autre forme de procès, et la lime avec des mouvements amples et rapides. J’y vais gaîment, il faut dire qu’elle m’a mis en condition ! Je transpire, les gouttes de sueur lui tombent sur la poitrine. Elle s’accroche à mon dos, et me serre fort. Son sexe est trempé, tout chaud. Elle m’enserre les hanches avec ses jambes, qu’elle croise autour de moi, en serrant. Je la pénètre profondément, le plus que je peux. Finalement, nous arrivons à l’orgasme, qui nous secoue en même temps…
- — Ah putain, la vache… qu’est-ce que tu m’as mis !
- — Je dois avouer que c’était super.
Je lui attrape les seins, et m’amuse à les malaxer, à pincer la pointe… Je sors mon sexe de son ventre, et me frotte contre sa toison. C’est divin. Sa langue a encore investi ma bouche. Je me soulève un peu, glisse un doigt dans son intimité pour la lubrifier, puis sans autre forme de procès, lui enfonce dans les fesses.
- — Ahhh… trop bon ! Il te plait, mon cul…
Je répète plusieurs fois l’opération, son anus est bien lubrifié, profondément. Mon doigt glisse tout seul.
- — Oui, il me plait… Allez, à quatre pattes, Chantal, s’il te plait.
- — Ça y est, Monsieur va m’enculer, donc… allez, fais-toi plaisir, Juju, encule la petite Chantal !
Elle s’exécute, et cambre les reins. Son cul est vraiment divin, large doux… Ses seins pendent, ils sont magnifiques. Je les empoigne et les serre dans mes mains.
- — Dis, mets-moi le gode avant, avec plein de gel… j’adore ça… Et puis ça va faciliter les choses…
- — Il est où ?
- — Dans le deuxième tiroir, dans la salle de bain.
Je vais le chercher. Effectivement, un gode long, couleur bleue. Je prends le flacon de gel. Je m’agenouille à côté d’elle, et lui enduis soigneusement de gel son petit trou. Puis, je présente le gode, que j’enfonce doucement. Il rentre facilement.
- — Putain de salaud, tu aimes enculer, toi… vas-y, enfonce-le… Putain c’est bon… Enfonce-le bien dans mon gros cul.
Mon sexe est à nouveau dur et droit. Chantal passe une main entre ses jambes et commence à se branler.
Le gode est rentré complètement, je commence à faire des va-et-vient lents, tout en rajoutant un peu de gel au fur et à mesure. Chantal commence à onduler d’avant en arrière, la scène est d’un érotisme torride. Je lui caresse les fesses, je me régale.
- — Juju, mets-la-moi dans la chatte, j’en peux plus… Mets-moi ta bite, vite !
Je me positionne derrière elle, cale le bout du gode contre mon ventre, et la pénètre. J’enfonce mon sexe dans son vagin, et mon ventre pousse le gode dans ses fesses. Je sens le gode appuyer sur mon sexe. Elle est bien remplie, la miss…
- — Ah putain c’est bon… Vas-y, baise-moi…
J’accélère les mouvements. Mon sexe est serré à cause du gode, mais ce n’est pas désagréable.
- — Ahhh je… ah putain… ahhhhhhhhhhhhh !
Et voilà, elle a encore joui.
- — Alors, Chantal, tu prends ton pied ?
- — Putain trop bon… J’en peux plus.
Elle s’affale en avant, couchée sur le ventre, mon sexe sort de son ventre. Elle a le gode qui dépasse de ses fesses. Je le sors doucement. Je lui caresse le dos, les fesses, pendant qu’elle récupère un peu.
- — C’était trop bon… Si tu veux m’enculer maintenant, vas-y, mais sois pas trop brusque…
- — Ok, mais lève-toi, je vais te prendre debout.
- — Comme tu veux.
Elle se lève, va dans la salle de bain, s’appuie sur le lavabo en se penchant en avant.
- — Comme ça ? Allez, vas-y, prends mon cul, tu l’as bien mérité, mon salaud
- — Oui, comme ça… Tu as vraiment un cul fantastique, tu sais !
Je suis derrière elle. Je mets un peu de gel sur mon gland, le présente devant son trou, et d’une seule poussée, la pénètre à fond.
- — Ah putain ! tu me remplis ! Doucement !
J’accélère le rythme, je ne vais pas tenir longtemps… Je lui empoigne les seins et les malaxe, pince les bouts, les tire vers le bas…
- — Ah l’enculé, putain, tu y vas, dis donc…
- — C’est trop bon, Chantal… trop fort… Hmmmm…
Je sens le plaisir monter… Et c’est trop fort, j’éjacule… je continue à la pilonner, tout en jouissant !
- — Ah c’est chaud, putain, c’est tout chaud… vide-toi, vas-y, fais-toi plaisir…
Je me plaque contre elle, en arrêtant tout mouvement. Mon sexe perd de sa dureté, et commence à sortir.
- — Ah Chantal, c’était trop bon… tu es super.
- — Il est pile poil pour mon cul, ton sexe… Il est rentré tout seul. Alors, heureux ? Il a bien enculé sa copine, le Juju ? En tout cas, il lui a bien défoncé l’anus, je te le dis !
- — Oui, c’était vraiment géant, merci la miss !
Mon sexe sort de ses fesses. Je le re-calotte.
- — Allez zou, à la douche tout le monde ! On y va ensemble, tu vas me frotter le dos, Julien.
Nous entrons dans la grande cabine de douche. On fait couler l’eau quelques secondes, pour qu’elle soit à bonne température. Quelle bonheur de prendre une bonne douche ! Je me savonne soigneusement, puis commence à la savonner. J’insiste particulièrement sur sa chatte et ses fesses.
- — Doucement, j’ai un peu mal aux fesses, là… Il faut dire que tu m’as bien bourré le cul, dis donc…
- — C’était divin… Je dois dire que j’avais plusieurs fois fantasmé sur toi et sur tes fesses… et je n’ai pas été déçu, bien au contraire !
- — Oui, moi aussi, j’ai quelques fois utilisé le gode en imaginant que c’était ton sexe… Je ne suis pas déçue non plus. Mais bon, j’aime bien quand on me baise la chatte aussi… Et qu’on me lèche…
- — Ah mais à ta disposition, si tu veux que je te fasse jouir en le léchant, pas de soucis !
- — Bah on verra, mais là, je suis un peu crevée, et j’ai mal au cul aussi… Il va se calmer, le Julien ! En plus, tu m’as arnaquée, dis donc…
- — Quoi ?
- — Oui, tu avais dit ok pour que je t’encule avec le gode, et on l’a pas fait !
- — Ah oui… ben là, ça me dit plus trop, vu que j’ai joui trois fois, je suis plus trop excité. Mais pourquoi pas plus tard, si ça te dit toujours ?
- — Ah ben, j’y tiens ! Je veux bien être défoncée, mais j’aime aussi défoncer les mecs ! Y’a pas de raison, c’est l’égalité des sexes qui est en cause, non mais !
- — Ok, ok, râle pas, dès qu’on a l’occasion, no prob.
- — Cette nuit, quand maman dort, je viendrai te rejoindre, et je t’enfilerai le gode dans le cul, non mais ! Chacun son tour ! Et tu voudras bien que je fasse une photo ? Ça me ferait plaisir, pour pouvoir me branler devant plus tard…
- — Heu, tu ne la diffuseras pas, promis ?
- — Promis juré craché, rien que sur mon téléphone, elle n’ira nulle part ailleurs. J’ai hâte de te voir à quatre pattes, les couilles qui pendent, et le gode enfiché dans le cul ! Putain comme tu m’excites, mon gars… j’adore. En plus, t’es plutôt pas mal du tout, comme mec.
Décidément, elle a un langage de camionneur, la miss… Mais c’est assez excitant, dans certaines circonstances…
- — Et tu te branles souvent, toi ?
- — Ah bah, presque tous les soirs, dans mon lit. Hier, je me suis branlée en pensant à toi juste avant le repas, je t’avais vu passer en short, ça m’avait excitée. Je suis allée dans les chiottes…
- — Alors, qu’une chose soit claire, miss… Tu fais tes photos, tu me sodomises, tout ça, mais sache qu’après, moi je te défoncerai grave… Tu vas couiner, crois-moi !
- — Pff, paroles, paroles ! Une fois que je t’aurai enculé et branlé, il sera tout mou, le Juju… Allez, on se rhabille, pas un mot à maman, ok ?
- — Ok, pas de risque ! Mais prépare ton petit cul, tu n’as encore rien vu !
- — Ah, des promesses, maintenant ? Va falloir assurer, bonhomme…
Au final, je suis resté beaucoup plus longtemps que prévu dans la maison d’hôte… Et nos enfants ont très tôt appris à jouer à la pétanque !