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n° 15965Fiche technique18240 caractères18240
Temps de lecture estimé : 11 mn
22/12/13
Résumé:  Juste le récit d'un jour normal.
Critères:  fh amour pénétratio jouet confession
Auteur : Albert      
A la maison

La chaleur me saute au visage, les lunettes se couvrent de buée. Cela fait du bien de retrouver le chaud après cette longue promenade dans ce froid glacial. Les chaussures retirées, la veste, le bonnet et les gants enlevés, je pousse la porte du couloir. La chambre est fermée. Lucie doit faire une mini-sieste. Cela lui arrive, surtout les jours de gym où exercices et papotages avec ses amies la fatiguent. Je referme la porte, lance un café et vais le déguster devant la télé qui, à cette heure de l’après-midi, nous gave de reportages que seuls les retraités comme moi ont le temps de regarder. Je ne vous parle pas des pubs, sur les douches italiennes, les poignées, les ascenseurs d’escalier, sans oublier les couches pour vieux.


Merci ! Nous, pour l’instant, n’avons pas besoin de tout cela.


J’ai dû m’assoupir mais j’entends tout de même des « Chéri… » qui proviennent de notre chambre. Je m’y dirige et découvre ma femme, Lucie, en petite tenue qui me prend tout de suite à partie.



J’ai donc le charmant spectacle de ma femme uniquement revêtue de l’ensemble que je lui ai acheté il y a à peine trois mois. J’avais vu le modèle exposé en vitrine et il m’avait tout de suite tapé dans l’œil. Après une recherche dans ses sous-vêtements pour découvrir les bonnes tailles, je me suis précipité pour les acheter. C’est un peu coquin, en dentelle noire transparente, avec le soutien-gorge qui moule parfaitement ses petits seins fermes, les tétons doucement écrasés par le fin tissu. La petite culotte aussi est transparente, avec une coupe qui met en valeur ses petites fesses. Seule la partie intime est opaque. Quel dommage…


Ce n’est pas la première fois que je lui achète des sous-vêtements. Il m’est même arrivé d’en commander certains sur le net, sur des sites spécialisés ; mais à chaque fois le résultat n’était pas au rendez-vous. Les photos aguicheuses montrent les produits sur des corps que seule la chirurgie peut sculpter.

Seins, à la fois fermes, généreux et défiant la pesanteur. Fesses cambrées comme des héroïnes artificielles de scènes érotiques.


J’avais aimé le soutien-gorge, fendu pour laisser pointer les tétons. Mais il était trop grand.

Celui à demi-bonnets, rehausseur, allait mieux, bien que trop grand. Il permettait pourtant de laisser poindre ses tétons.

Vous avez compris que je suis un fan inconditionnel des seins, des tétons de ma femme. Je les adore…

Pour remédier aux inconvénients des tailles, il aurait fallu que j’entraîne ma Lucie dans une boutique spécialisée, mais je n’osais pas.


Donc elle est devant moi, désirable, provocante, avec ses airs d’innocente. Bien sûr, je la rassure, affirme qu’elle n’a pas pris un gramme. Lui demande de tourner devant moi, de se pencher. Je l’aide à ajuster une bretelle, replacer la petite culotte, vérifier que le tissu ne se glisse pas dans son intimité.

Ah ! La petite culotte… J’aurais aimé lui offrir un string avec un triangle si petit que le prix au kilo en aurait été indécent, une ficelle qui disparaîtrait dans sa fente et que je pourrais extraire avec ma bouche et aussi ses deux lobes de chair ferme offerts à mes caresses. Mais je n’avais jamais osé.


Elle est face au miroir, cherchant les défauts. Je suis derrière elle, me plaquant lentement pour lui faire sentit ma verge que le désir transforme lentement en bâton. Il fut un temps où la réaction était immédiate, subite, transformant mon sexe en un rocher sensible, trop sensible, si sensible que je pouvais jouir d’un rien. Ce temps est passé, avantage non négligeable de l’âge. L’érection est plus lente, plus mesurée, moins spontanée. Elle demande quelquefois un peu d’aide, des lèvres, d’une main.


Après lui avoir fait sentir mon désir – le plus bel argument muet contre le questionnement sur la cellulite – je l’abandonne un instant, le temps de me déshabiller.

Je m’assois sur le lit. Elle sait, complice de tant d’années, ce que je souhaite. Maintenant elle s’assied sur moi, me tournant le dos, plume légère que mes cuisses supportent sans protester. Les cinquante kilos ne sont que du pur bonheur. J’aime penser qu’elle apprécie aussi cet instant. Maintenant, bien calée contre moi, je m’aventure. Mes mains enveloppent ses seins. Il me suffit d’un toucher pour les reconnaître, déjà gonflés d’envie. Il me suffit de les presser pour qu’elle gémisse. Oh, pas ces cris que vous décrivez de vos maîtresses, soupirs vulgaires et exagérés. Non, juste des feulements discrets accompagnés par des mouvements de hanches.

Je palpe et malaxe lentement à travers le fin tissu qui est maintenant un obstacle à mon exploration. Plutôt que de risquer d’abîmer la précieuse dentelle avec mes mains aventureuses, je préfère faire sauter le crochet dans le dos, libérant le sous-vêtement que ma femme aide à tomber au sol.


Enfin mes paumes peuvent ressentir le contact sublime de la peau douce et fine de sa poitrine. Sans tissu, ses seins restent deux promontoires que beaucoup pourraient lui envier. Deux lobes gonflés et dressés qui m’offrent leur téton. Une pression des doigts et elle s’emballe. Si j’adore sa poitrine, elle aime aussi les caresses sur elle. Souvent je me suis demandé si, avec un peu de patience, je pourrais l’amener à l’orgasme uniquement par ce jeu. Je n’ai pas la patience. Peut-être une autre fois.


Je tords ses deux tétons. Je les martyrise, les abandonnant uniquement pour caresser ses seins. Elle gémit doucement, tout en retenue. Mais ses fesses se frottent sur mes cuisses, se mesurant à ma verge dressée qui cherche sa place dans le sillon.

La main que je glisse entre peau et tissu de sa culotte déclenche des frissons d’attente. Son minou n’est qu’une masse exacerbée qu’il suffit de lutiner pour qu’elle se cambre.

Longuement – je veux prendre le temps – je caresse un sein et aventure un doigt dans son intimité. Elle bouge, gémit, réagit, se cambre, et Dieu que j’aime cela !


Je l’aide à faire descendre sa petite culotte. Elle est nue, face à moi. Je suce ses tétons. Je glisse un doigt dans son intimité, découvre le début d’une humidité prometteuse.

Elle se baisse, s’agenouille dans la position d’adoration que tout homme attend. Rêve de jeunesse ? Rêve de macho ? Rêve de plaisirs nouveaux ? Peu importe.

Naturellement, ses lèvres se dirigent vers ma verge. Moment divin. Mon gland disparaît et la peau si sensible en cet endroit apprécie chaque mouvement. Les lèvres qui glissent ! La salive qui vient. La langue qu’elle garde en réserve et qui ne lèche que lorsque je dis « Avec la langue. ». Elle me suce. Elle me pompe. Je n’ose demander trop fort ce privilège de peur de la faire fuir, me jugeant pervers et dépravé de demander une telle caresse.


A-t-elle déjà échangé des confidences avec ses copines sur leurs habitudes avec leur mari ? Les femmes ont la réputation de parler entre elles de ce genre de chose alors que, nous les hommes, étrangement, sommes beaucoup plus réservés sur ce qui se passe dans notre lit. Ou alors, que des fanfaronnades qui sont censées montrer notre virilité.


Je reconnais son envie à la façon dont elle bouge et ondule du bassin pendant que sa bouche s’active à me caresser. Moi, je me penche un peu en arrière pour profiter du spectacle de ses lèvres qui me sucent. Mais je reviens pour m’emparer à nouveau de ses seins que je presse pour en faire jaillir les tétons que je tords consciencieusement, attendant le gémissement de plaisir que la bouche occupée par mon sexe transforme en grondement.


Je me dégage pour attraper le jouet sexuel qu’elle aime. Ce jouet – comme les autres – c’est moi qui l’ai acheté. À leur vue, Lucie s’est écriée à chaque fois « Mais pourquoi tu achètes cela ? On n’en a pas besoin ! ».

L’hypocrite… Si, lors de nos ébats, je lui propose d’en sortir un, elle accepte presque toujours, mais en disant « Si tu veux. ». Comme si elle n’y prenait pas de plaisir ! Moi, j’aime bien ces accessoires ; je les trouve terriblement érotiques.


Maintenant que j’ai le jouet en main, je vais m’agenouiller derrière Lucie restée en place, face au bord du lit que je viens de quitter. Alors que je me place tout contre elle, mon sexe dur et droit vient se caler contre ses fesses. Je lui tends le jouet rose pour qu’elle le suce un peu et le recouvre de salive.

C’est moi qui le conduis à la porte de sa chatte. Il entre facilement et glisse en elle avec toujours un petit cri de bienvenue. Je déclenche le vibro de la partie qui est maintenant plaquée contre son clitoris. Voilà, c’est parti. Il ne me reste plus qu’à laisser l’autre extrémité du gode reposer sur le sol. À elle de se donner du plaisir avec. Elle peut choisir la profondeur avec laquelle le jouet la possède en fléchissant ou écartant plus ou moins les jambes.


Moi, je suis au spectacle, toujours derrière elle, toujours ma verge dressée contre ses fesses et qui quelquefois se glisse sous elle lorsqu’elle remonte un peu trop haut. Elle ondule. Ses hanches chaloupent de droite à gauche, d’avant en arrière pour toujours rechercher le meilleur contact du gode dans sa chatte et de l’excroissance contre son petit bouton.

Je ne me lasserais pas de la voir ainsi. C’est toujours le moment où elle parle le plus. Oh, pas ces cris vulgaires dont je parlais tout à l’heure ; non, juste des « Oui », des « C’est bon », des « Oh » à peine formés, juste susurrés. Je promène mes mains sur sa taille, ses hanches, ses fesses, les glissant dessous lorsqu’elle se soulève un peu pour son plaisir.

Parfois emportée par son élan, elle laisse le gode sortir de sa chatte et je dois le lui réintroduire. Elle ne le touche pas. C’est toujours moi qui m’en charge. C’est mon travail, mon plaisir.


J’apporte ma contribution en m’occupant de ses seins. Toujours le même plaisir de les envelopper de mes mains et de jouer avec les tétons. Je commence par des effleurements de ma paume, partant du bas pour remonter et frotter le téton qui peut se glisser entre deux doigts tendus. Cette caresse répétée a le don de l’exciter. Elle le dit. La façon qu’elle prononce « Ça m’excite… » vaut toutes les récompenses. Je répète le mouvement de nombreuses fois et elle se dandine de plus en plus.


La femme réservée, prude dans la vie courante, se laisse aller. Elle bouge de plus en plus vite, cherchant le contact de mes mains, se frottant au gode et son vibreur. Ma verge est littéralement massée et branlée par ses fesses pendant tout ce temps. Je la positionne de la main pour mieux en profiter. Quelquefois elle semble partir en avant pour toucher le gode, son concurrent de plastique. Si je l’écoutais, elle essaierait de trouver un autre chemin, l’autre chemin, celui de derrière, celui du petit trou, mais il n’est pas autorisé. Ma verge doit attendre son tour, mais plus pour très longtemps.


Mes mains se transforment en étaux pour serrer les seins et faire jaillir les tétons. Je les laisse ainsi, attendant que d’autres mains viennent s’en emparer. Lucie se caresse. Elle fait rouler ses tétons entre le pouce et l’index. Je peux la voir dans la glace qui est sur le côté. C’est toujours délicat et tendre.

Je sens que son plaisir arrive. Elle bouge de plus en plus. Je chasse ses mains et m’empare des tétons pour les tirer et les tordre avec vigueur. Elle adore. « Oui… Encore… » Que c’est bon d’entendre cela ! Elle jouit. Toujours elle jouit en silence. Peut-être a-t-elle honte de s’être laissé emporter.


Je l’aide à se relever. Le gode brillant est abandonné sur la moquette. Elle s’allonge tout au bord du lit, jambes pendantes. C’est à moi. Ma verge se transforme en bâton d’amour. Elle entre dans la chatte désirée depuis un moment. C’est chaud, humide, ouvert. Toujours cette petite surprise lorsque je viens buter sur ses fesses, bien enchâssé en elle. Chaque fois, elle dit « Oh ! » comme si c’était la première fois qu’elle découvre le grand méchant loup.

Je m’active lentement, profitant de l’instant, tantôt bien à fond, tantôt par de petits mouvements de mon gland contre ses petites lèvres.

Je sais que je vais durer longtemps.

Je le sais, car ce n’est pas la première fois aujourd’hui. Ce matin, alors que nous étions encore au lit, Lucie a demandé en chuchotant :



J’étais réveillé, le jour passait par les interstices du volet.



Je sens le matelas bouger, elle se rapproche. Un mouvement et je sens sa main sur mon ventre. Sa main qui descend, soulève l’élastique du pantalon de pyjama et vient s’emparer de mon sexe. Je reste immobile. Il est très rare que Lucie me sollicite ; en général, c’est toujours moi qui fais le premier pas. Mon sexe, lui, ne reste pas immobile. Le simple contact de la main le fait grandir et durcir, comme le sont les érections du matin. Lucie bouge à nouveau ; elle se soulève, dégage la couette, tire sur mon pantalon pour dégager mon sexe et vient s’asseoir sur moi.

La suite, vous la devinez. Voilà pourquoi je vais être performant. À mon âge, deux fois la même journée – en tout cas pour moi – est un record.


C’est ce que je me dis tout en m’activant et regardant ma femme m’accueillir, concentrée sur mon action, les yeux fermés. Deux fois. C’est rare. Il faut une occasion particulière, surtout que c’est Lucie qui, les deux fois, a pris l’initiative.


« Merde ! Je sais. C’est notre anniversaire de mariage… » Voilà pourquoi elle a été si audacieuse. Je lui reproche quelquefois de ne pas l’être assez alors que j’aimerais qu’elle soit plus « demandeuse ». J’ai compris. C’est son cadeau.

« Merde ! Moi, j’ai oublié. » Je panique. Il n’en faut pas plus pour me déconcentrer et que je sente que le bâton dur se transforme en baguette souple. Mais il me suffit de la regarder pour que la nature revienne.

Je vais la faire grimper aux rideaux. Si je n’ai pas de cadeau à offrir, au moins je dois faire honneur au sien.

Je me saisis de ses jambes pour les monter et les faire appuyer sur mes épaules. Je gagne ainsi en profondeur et mon gland découvre des régions rarement explorées. J’alterne mouvements brusques, claquant mon pubis contre ses fesses, et plus lents.



C’est vrai que j’adore ce petit clapotis. C’est vrai aussi que je dois le dire à chaque fois. Que voulez-vous, il est difficile de se renouveler. En tout cas, je ne m’en lasse pas. Lucie accompagne mes avancées par des soupirs et son visage montre des crispations. Au début, je croyais que j’étais trop ardent et que mon bâton la faisait souffrir, mais elle me rassurait lorsque je la questionnais.


Je vais et je viens ! C’est bon. Je le dis.

Je fais pivoter ses jambes sur le côté. Maintenant, mon sexe est plus serré, presque à l’étroit dans cette possession de biais. Mais je ne m’attarde pas.



C’est ma question traditionnelle lorsque je sens que mon plaisir annonce les prémices. Quelquefois je m’allonge et elle vient me chevaucher, d’abord de face, puis de dos. Elle aime bien, de dos. Ma verge doit frotter dans des zones encore plus sensibles, surtout lorsque je bande fort et que le ressort naturel cherche à la rapprocher de mon ventre. C’est même parfois douloureux.



Par derrière. En levrette. J’adore cette position ! J’ai toujours adoré posséder ma femme ainsi. La vision sans doute de son dos, de ses hanches et des fesses. L’accès facile à ses seins que je peux caresser et tordre au rythme de mes coups, sans doute. Mais surtout la vision de ma verge qui entre et sort de sa chatte. Au début, je me tiens bien droit, laissant Lucie prendre l’initiative et se posséder sur mon bâton. Son sexe me masse, me branle grâce aux mouvements lascifs de ses reins. Chaque fois je pense que je pourrais la filmer dans son art. Elle verrait alors combien elle est sensuelle dans ses mouvements, érotique pour ma libido, coquine dans ses déhanchements qu’elle condamnerait si elle les voyait dans un film exécuté par une autre femme.


Alors mon plaisir devient pressant. Je plaque mes mains sur ses hanches, ses tétons m’étant interdits car devenus trop sensibles par les caresses et sa jouissance. Je la pistonne avec entrain. Par moments je chatouille son petit bouton avec mon gland que je frotte aussi sur ses petites lèvres.

Mais c’est bien en elle que je laisse se déverser mon sperme, accompagnant ma jouissance par des « C’est bon… ».

Quelques minutes plus tard, j’ai ma récompense.



Je les traduis par « C’était très bien. J’ai bien joui. Bravo ! ».


Bon anniversaire !