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n° 15979Fiche technique32504 caractères32504
Temps de lecture estimé : 19 mn
03/01/14
Résumé:  Un homme rencontre par hasard une jolie brune dans un train, ils poursuivent leur rencontre au bar de l'hôtel.
Critères:  fh hplusag hotel caférestau voyage train noculotte fellation pénétratio fsodo conte
Auteur : Anne Honyme      Envoi mini-message
Un voyage en train

Il est tôt ce matin, lorsque vous prenez place dans ce train encore froid, parce qu’il vient juste de sortir du hangar dans lequel il est resté toute la nuit. Peu vous importe, vous portez votre veste d’hiver. Votre état somnolent ne vous fait pas faire la différence entre l’extérieur et l’intérieur du train. Vous avez quitté votre appartement alors que le soleil se levait entre les immeubles de votre quartier. Vous êtes monté dans un taxi, vous avez composté votre billet, vous vous êtes dirigé vers le quai et êtes monté dans le train presque machinalement. L’habitude aidant vous connaissez tous les recoins de la gare. Vous croisez quelques visages connus : le chef de gare, la guichetière qui semble vivre ici. À chaque fois que vous partez en mission, c’est elle qui vous délivre le précieux sésame vous permettant de vous installer dans ce train silencieux, encore sombre et vide.


Vous êtes parmi les premiers à vous installer. Vous voyez passer devant votre place assise, dans ce wagon, toutes sortes de gens. Les businessmen pressés, les mères de famille quittant le foyer tôt pour être à l’heure ce soir pour chercher les enfants à la sortie de l’école, les étudiants fatigués qui écoutent la musique d’un lecteur MP3 dernière génération dans un casque énorme non sans rappeler ceux que leurs parents devaient porter dans les années 80.


Et puis, à la fin de ce défilé de personnes, vous remarquez l’entrée d’une frêle jeune femme. Elle doit avoir entre 25 et 30 ans. Ses cheveux châtain foncé à peine ondulés tombent en cascade sur ses épaules, sa doudoune blanche l’enserre et ne permet pas de dévoiler ses formes. Elle porte un pantalon noir serré et des bottines basses avec un talon assez haut. Vous avez du mal à définir la hauteur du talon mais vous vous posez la question : « Comment fait-elle pour tenir debout et marcher avec ce genre de chaussures ? »


Le train s’est rempli de voyageurs, il ne reste que peu de places assises. Le hasard veut qu’elle s’assoie juste face à vous, dans un des deux sièges, placés l’un en face de l’autre. Vous êtes ravi de ce hasard mais ne le faites pas savoir ; aucun sourire sur votre visage, aucune fébrilité montrée dans vos gestes.


La jeune femme vous adresse soudain la parole :



Très naturellement vous répondez :



Et elle procède. Elle place sa petite valise dans les rangements prévus à cet effet au-dessus des fauteuils du wagon et s’assoit. Elle pose son sac à main à côté d’elle et commence à feuilleter son magazine féminin. Vous observez les gens s’installer autour de vous. Le train a démarré et la gare commence à s’éloigner. Vous voyez les immeubles et les maisons alignés le long des voies ferrées, et puis le début de la campagne s’annonce. Vous voilà parti pour un long voyage de trois à quatre heures. Ça ne paraît rien, mais en train ce trajet semble toujours durer une éternité. Vous sortez de votre petit sac de voyage, posé à côté de vous, un livre assez épais qui raconte des histoires pour adultes, de chevaliers-guerriers, de patientes princesses, de vilaines sorcières et des épreuves à réussir pour le preux chevalier.


Vous êtes totalement absorbé par ces histoires, plongé dans ce livre dont vous avez commencé la lecture il y a quelques jours à peine. Concentré sur votre lecture, vous n’avez pas remarqué que la jeune femme vous observait depuis des longues minutes déjà. Elle se racle doucement la gorge à plusieurs reprises. Vous finissez par faire attention à son manège destiné à attirer votre attention. C’est chose faite. Vous relevez la tête de votre roman historico-épique.



Le temps passe… Vous vous replongez dans votre lecture, la jeune femme s’occupe entre lecture, consultation de son portable, les réseaux sociaux probablement… et l’écoute de musique grâce à ses écouteurs. Soudain, une gare se présente sur le trajet. Il était prévu que le train y fasse une halte. Vous quittez votre lecture, levez les yeux et vous adressez à cette jeune femme.



Avec étonnement, elle lève la tête prestement.



Et vous sortez du wagon et vous rendez à l’intérieur de la gare et allez chercher deux cafés à emporter vendus dans l’un des kiosques des franchises qu’on voit fleurir partout en France. Elle a à peine le temps de se perdre dans ses pensées au sujet de cette nouvelle rencontre que vous revenez face à elle et lui tendez un café noir brûlant dans un gobelet en carton.



Le reste du voyage se passe entre silences et courtes conversations polies. La gare de destination s’annonce, le train ralentit et les voyageurs commencent à quitter leurs emplacements pour se diriger lentement vers la sortie. Vous rassemblez vous aussi vos affaires et enfilez votre veste. Vous vous levez pour aider la demoiselle à descendre sa petite valise de son logement, vous laissez passer la jeune femme devant vous et descendez tous deux du train arrêté depuis quelques secondes. Ensemble, parmi les voyageurs, vous marchez le long du quai et descendez les escaliers qui mènent sous les rails de la gare, continuez votre chemin et enfin sortez de la gare sous un ciel très lumineux.

Elle se dirige naturellement vers la tête de station de taxis. Un peu étourdi, vous la suivez.



Et vous vous quittez ainsi. Pendant que vos pas vous mènent vers votre lieu de villégiature simple et temporaire, dans votre tête tournent plusieurs questions… Et si elle ne vient pas ? Si elle vient mais que nous n’avons rien à nous dire ? Et si elle venait mais qu’elle repartait quasiment aussitôt ? Je ne sais même pas si elle est en couple, ni ce qu’elle fait précisément dans la vie…


Vous arrivez devant le bâtiment imposant probablement construit entre la fin du 18e et le début du 19e siècle, sous l’influence tardive du Baron Haussmann comportant certains détails de la période « art déco ». Derrière le desk en bois massif de l’accueil, la réceptionniste, une femme d’une cinquantaine d’années, les cheveux châtain clair coupés court, les yeux noisette, d’apparence athlétique voire mince, vous sourit timidement.



Vous commencez à vous diriger vers les escaliers quand vous vous retournez vers la réceptionniste.



Et vous gravissez les escaliers. Votre chambre est comme prévue, spartiate mais les couleurs sur les murs sont chaleureuses et la lumière importante sans être aveuglante. Vous posez votre valise sur une chaise en bois près du lit et inspectez la douche. Vous vous déshabillez lentement, vous vous dites que ces longues heures, coincé dans ce train, méritent bien une bonne douche délassante et tonifiante, nécessaire pour poursuivre la soirée dans des dispositions favorables.


Une fois sorti de la douche, vous prenez soin de vous raser, de passez un peu d’after-shave et de déodorant, avant de revêtir tranquillement un pantalon noir et une chemise bleue. Vous passez le pas de la porte de votre chambre, vous pensez être à l’heure, voir un peu en avance. Comme vous vous en doutez, la demoiselle sera en retard comme toutes les jeunes femmes qui se respectent. Et elle aurait raison, les personnes de qualité se font attendre, dit-on. Mais vous ne croyez ni aux légendes urbaines ni aux vieilles citations.


Vous descendez les escaliers, traversez le hall d’accueil, poussez la porte sur votre gauche et vous entrez dans une pièce assez sombre, éclairée à l’aide des bougies disposées sur les trois, quatre tables de la salle à manger. Vous faites quelques pas à l’intérieur de cette pièce et vous remarquez une femme assise au bar, vous n’êtes pas sûr mais… Pas le temps de réfléchir, elle se retourne, c’est elle !


Elle est superbe, davantage que dans votre souvenir tout frais, davantage que lors de vos premières paroles échangées. Elle s’est aussi changée. Elle porte une jupe noire courte, près du corps, un chemisier noir en satin qui semble flotter sur ses hanches, ses cheveux sont relevés en chignon tel qu’une danseuse le ferait. Vous vous approchez à grandes enjambées mais pas trop vite pour ne pas donner l’impression d’un jeune loup affamé se jetant sur sa proie innocente.



Vous vous asseyez sur un des sièges juste à côté d’elle et commandez deux verres au serveur derrière le bar.



Elle sourit largement et rougit un peu.



Et vos lèvres se touchent.



Vous posez une main ferme mais délicate et légère sur sa cuisse pour vous approcher encore. Elle ne manifeste aucun geste de recul signe de désapprobation. Encouragé, vous continuez votre visite de sa jambe en remontant encore sur sa cuisse, ses hanches… Pendant ce temps, vos lèvres ont quitté les siennes et vous embrassez ses joues, le creux de son cou sous ses oreilles, vous sortez votre langue pour embrasser langoureusement le lobe de son oreille. Une petite respiration et un souffle vous laissent penser que l’instant est apprécié et aussi délicieux pour elle que pour vous. Elle tend son cou pour vous faire savoir qu’elle veut que vous alliez plus loin, qu’elle apprécie cette caresse.


Vos mains passent sur ses hanches, les doigts sur ses fesses. Elle approche vers vous son bassin et ce n’est que davantage plaisant pour vous. Vous tendez vos lèvres à la jeune femme qui vous embrasse à pleine bouche très volontiers. C’est un vrai baiser passionné comme on en verrait sur les écrans des salles obscures. Pendant que vous l’embrassez, vous vous êtes rapprochés, debout contre elle. Vous êtes collés l’un à l’autre ou presque. Les mains se baladent sur vos corps en ébullition. Elle peut sentir à travers votre pantalon l’excitation qui monte grâce à ses stimulations physiques néanmoins agréables.


Le serveur, derrière le bar, bien que discret, n’en a pas raté une miette. Il ne va pas tarder à vouloir fermer le bar. Les clients du restaurant ne vont pas tarder à arriver, il doit assurer le service dans la salle. Il se racle la gorge sans trop forcer mais de façon à être sûr de se faire comprendre. Vous vous détachez de la belle, tous deux vous souriez et comprenez qu’il est temps de rejoindre votre chambre. Vous quittez donc la pièce en marchant vite comme deux ados qui se seraient fait prendre par leurs ainés en train de fricoter. Vous gravissez les escaliers menant à votre chambre, vous glissez la clé dans la serrure avec fébrilité, tout en gardant une main câline sur les hanches de la jeune femme debout à vos côtés.


Vous entrez tous les deux dans la chambre, vous prenez la jeune femme dans vos bras et l’embrassez fougueusement tout en vous dirigeant vers le lit double. Vous basculez vos corps emmêlés et finissez par tomber sur le côté, sur le lit juste devant vous. Vous entreprenez de déshabiller lentement la jeune femme, vous remontez vos mains sous sa jupe. Vous déboutonnez la ceinture de ladite jupe ensuite en remontant vos mains sur son ventre, vous déboutonnez également son chemisier noir léger. Elle n’est pas restée inactive. Ses doigts agiles et légers ont défait le bouton de votre pantalon, ont descendu votre braguette lentement. Elle a caressé ce membre à moitié dur qu’elle convoite pour le faire davantage durcir sous ses doigts tout en vous embrassant. Votre pantalon est tombé sur vos genoux, vous soulevez votre bassin pour pouvoir le jeter au bas du lit, dans un même geste, vous avez ôté vos chaussettes.


Vous portez toujours votre boxer noir sur vous. Elle n’en est que plus excitée. Ses caresses sont plus appuyées sur votre sexe dur. Elle remonte sur votre torse, toujours vêtu de votre chemise. Elle entreprend de la déboutonner un à un. Vous voilà nu, vulnérable face à elle. Elle se relève du lit et se dirige d’un pas félin vers la petite salle de bain.


Elle ferme la porte et entreprend de se refaire une petite beauté. Elle se repoudre un peu le visage, elle pose ses vêtements sur le radiateur éteint, elle remonte ses porte-jarretelles et réajuste son soutien-gorge puis ressort de la salle de bain. Vous êtes allongé sur le dos, elle vous rejoint sur le lit et s’assoit juste à côté de vous. Agenouillée, elle se penche vers votre sexe dressé pour le prendre en bouche, pour le caresser avec sa langue, vous rendre dingue de plaisir. Elle commence ses mouvements de va-et-vient sur votre sexe qu’elle apprécie déjà. Elle passe sa langue tout autour en remontant en hauteur sur ce chibre tendu. Une main douce et câline s’empare de ce membre dur, elle vous masturbe lentement… Les va-et-vient ne sont pas brutaux pour le moins du monde, elle fait preuve d’une douceur rarement expérimentée au gré de vos rencontres nocturnes. Vous lui faites remarquer :



Et vous l’embrassez sur la nuque. Elle s’active toujours en masturbation et fellation, elle veut vous entendre jouir, vous entendre vous essouffler après avoir atteint le paroxysme du plaisir. Votre queue tient presque entièrement dans sa bouche. Elle vous avale goulûment, elle salive autour de cette bite bien dure, elle sent votre bassin remonter, votre jouissance est tout près… Encore deux ou trois va-et-vient dans cette bouche humide, accueillante sur ses lèvres charnues et… Vous n’avez pas le temps de la prévenir que vous remplissez sa bouche de votre semence blanche. Elle s’arrête deux ou trois secondes à peine, relève la tête, vous regarde dans les yeux et avale. Surpris par cette réaction, vous restez muet face à une telle spontanéité de la belle.


Elle se couche de tout son long sur vous et dépose quelques baisers tendres dans le cou, remonte sur ses jambes, une de chaque côté et se redresse pour se retrouver dans la position de l’amazone. Vos deux mains câlines se posent sur ses hanches, vous l’approchez doucement vers le haut de votre corps, elle comprend et pour vous aider se dresse sur ses genoux et vous offre sa vulve sur votre bouche. Il n’en fallait pas plus pour vous faire plaisir. Votre langue commence sa salsa habituelle, vous léchez avec gourmandise les moindres recoins de ce sexe imberbe… « Ahhh Dieu que c’est bon ! » pensez-vous tout en continuant de lui procurer ce plaisir.


Votre langue mime à présent la pénétration, vous entrez et sortez de son vagin en donnant des petits coups de langue. Elle soupire, ce doit être très agréable. Vous ressortez votre langue de cet antre très humide. Vous continuez à embrasser ses lèvres charnues, humides appelant au plaisir. Vous finissez par trouver ce petit capuchon de plaisir, le bouton qu’il faut chatouiller pour la rendre folle d’envie, de plaisir. Vous passez vos lèvres près de l’endroit convoité par la jeune demoiselle, elle soupire, vous embrassez ce bouton du bout des lèvres, vous activez votre langue en dessinant des petits cercles en appuyant parfois sur ce capuchon qui ne demande qu’à exploser. Vous pouvez goûter au plaisir qu’elle prend, elle coule de cyprine, vous en avez partout, sur vos lèvres bien sûr, le liquide transparent coule sur vos joues… C’est bon, c’est très, très bon.


La jeune femme est difficile à convaincre… Finalement, il ne vous faut plus que trente secondes de coups de langue bien placés pour la faire craquer. Elle pousse un long soupir de plaisir, son souffle est court et son cœur palpite vite… Elle a atteint le plaisir grâce à vous.



Vous vous relevez lentement sur vos coudes, elle se retrouve à nouveau à genoux entre vos cuisses. Lui lécher la chatte pendant ces quelques minutes vous a redonné de la vigueur. Votre sexe est à nouveau dur. Elle passe une main et vous masturbe pour vous aider à retrouver une belle queue en pleine forme. Vous vous redressez complètement.



Vous vous saisissez de ses hanches, la basculez sur le côté et la placez à quatre pattes en position de la levrette. À genoux derrière elle, vous entrez un doigt délicat dans sa chatte pour vous assurer que son trou est prêt à vous accueillir. Mais ce n’est pas sa chatte que vous allez posséder. Sur votre doigt vous avez récupéré assez de cyprine pour humidifier son petit trou. Hummmmm ce petit orifice qui vous fait fantasmer, le même que vous avez envie de remplir de votre queue depuis votre rencontre dans le train. Et elle se tient là, vulnérable sans bouger, elle se cambre même pour proposer encore davantage son cul. Elle vous veut en elle, au plus profond d’elle, elle veut sentir le va-et-vient de cette queue qu’elle a léchée avec envie tout à l’heure. Cambrée, vous lui caressez ce cul rond, ferme et charnu. Votre main droite claque ce fessier qui appelait à la fessée.



Surprise, mais pas décontenancée pour autant, votre main touche à nouveau cette fesse droite avec une violence toute relative. C’est presque une caresse plutôt qu’une fessée. Elle aime et approche son cul vers votre membre, signe qu’elle veut se faire prendre tout de suite. Une dernière fois, vous vous assurez, en passant un doigt humide, que son con est assez lubrifié, vous ne voulez pas lui faire mal. Vous vous approchez, votre gland se présente à l’entrée et se pose sur son œillet encore fermé. Votre bassin se balance vers elle, votre gland écarte ce trou rose dépourvu de poils, lui aussi, et votre gland pénètre petit à petit, millimètre par millimètre, ce trou qui s’ouvre sous la pression de votre mât de chair.



Ce cri vient de sortir de sa bouche. Entre légère douleur et plaisir, elle a senti votre queue passer dans son trou. Vous commencez des va-et-vient lents pour ne pas lui déchirer l’œillet. Hummmm c’est serré et humide… Vous adorez pouvoir posséder ce trou. C’est si agréable. Pendant vos va-et-vient qui se sont intensifiés, ses petits seins bougent… Vous les empaumez et votre excitation n’est que meilleure. Votre queue, si elle le peut, durcit encore dans ce petit trou. Une main sur sa poitrine, une main sur ses hanches, ses fesses, vous accompagnez le mouvement de va-et-vient. Elle soupire :



Vous reprenez de la vigueur et la limez de plus en plus vite, de plus en plus fort… Elle gémit, elle soupire, elle souffle… « humm c’est bon ».


Tout à coup, vous ressortez de cet orifice si chaud, si accueillant. Elle se retourne et enfourne votre queue dans sa bouche, elle vous suce avec appétit et lèche votre queue en salivant beaucoup.



Vous n’avez pas besoin d’en entendre davantage pour vous remettre tous les deux dans votre position initiale de la levrette. Sa chatte dégouline d’excitation, de cyprine transparente. Il y en a jusque sur le haut de ses cuisses. Le doigt de votre main droite sur son petit bouton, vous profitez de ce liquide pour pousser plus loin le plaisir et l’excitation pour elle. Votre gland pénètre cette chatte humide, vous n’avez aucun mal à entrer en elle, c’est comme une épée dans un fourreau, c’est chaud et doux comme une caresse buccale.


Vous commencez les va-et-vient. Ils sont plus brutaux que les précédents, vous la limez brutalement. De toute façon, elle n’attend que cela, cette petite chienne qui aime se faire baiser le cul par des inconnus. Vos mouvements sont brusques mais ils n’ont pas l’air de la perturber… Elle semble même apprécier.



Vos deux mains sur ses hanches, elle est tenue près de vous. Vous dirigez ses mouvements.



Vos mouvements s’intensifient, votre rythme s’accélère, elle se joint à vous dans vos mouvements. Puis vous ralentissez votre rythme, vous sentez l’expression du plaisir arriver… Vous passez un bras sur le ventre et soulevez délicatement la demoiselle, la basculez sur le côté et l’installez en position du missionnaire… Vous souhaitez atteindre l’orgasme ensemble les yeux dans les yeux. Vous reprenez où vous en étiez. Votre membre n’était pas totalement sorti de son antre humide, vous pouvez la pénétrer facilement. Elle passe ses jambes autour de vos hanches de sorte que ses talons sont posés sur le bas de votre dos.


Et vous reprenez vos mouvements de va-et-vient, plus doucement plus lentement pour l’amener à l’orgasme en même temps que vous. Vous embrassez la belle sur la bouche, vos baisers sont langoureux. Votre pénétration douce et dure à la fois, vous alternez la vitesse pour lui procurer encore plus de plaisir…



Vous savez que le plaisir est atteint pour elle, la cyprine qui coule jusqu’à son trou du cul en témoigne. Encore quelques va-et-vient et voilà que le vôtre arrive. Vos bras qui vous soutiennent tremblent, votre bassin frémit, et… vous chuchotez : « j’arrive » à l’oreille de la belle… Elle se relève un peu sur les coudes, vous embrasse et se retire de votre emprise. Elle se met à genoux face à vous. Vous comprenez ce qu’elle s’apprête à faire. Vous tenez votre queue entre vos mains, vous vous masturbez pour arriver à éjecter votre sperme qu’elle attend avec impatience. Les premières gouttes commencent à perler sur votre gland. Et d’un coup, votre jet de sperme tombe et s’étale entre son visage et sa poitrine.


Vous vous écroulez tous les deux sur le lit à plat sur le dos. Vous soupirez et souriez en complète communion. Vous caressez le ventre et les seins de votre compagne d’un soir. Elle se retire dans la salle de bain pour enlever votre sperme qui est sur elle. Elle revient se glisser entre vos bras. Vous vous embrassez très tendrement, et finissez par vous endormir dans les bras l’un de l’autre.


Épilogue d’une belle rencontre dans un train anonyme.


Que va-t-il se passer ensuite ? À vous d’écrire l’histoire !