n° 15987 | Fiche technique | 8357 caractères | 8357Temps de lecture estimé : 6 mn | 05/01/14 |
Résumé: Je suis un petit homme nu dans votre main de géante, je suis votre chose, votre animal domestique et vous faites de moi ce que bon vous semble. | ||||
Critères: fh hépilé bizarre hsoumis fdomine cérébral exhib conte -contes | ||||
Auteur : AntoinePetitHomme (Antoine petit homme de 38 ans sur Paris) |
Madame,
Je suis votre petit homme, votre distributeur dévoué de crème nourrissante pour vos belles mains maternelles, caressantes et bienfaitrices.
Vous m’avez découvert dans une forêt un matin d’été, nu et inconscient, et vous m’avez accueilli chez vous. Je me suis tout de suite senti redevable de cela et me considère comme votre chose. Je suis à votre service et je me complais dans ce statut. Je me sens comme un petit animal domestique, heureux dans la chaleur de votre foyer.
J’apprécie notamment la douceur mêlée de fermeté de votre attitude à mon égard. Le premier exemple : vous m’avez découvert nu mais c’est pourtant habillé que je vivais. Vous m’avez vite fait comprendre que c’est nu en permanence que je devrais rester. Je suis finalement heureux de cela. Ma nudité est vôtre et rien ne me ravit plus, m’excite plus, que de savoir que mon intimité est à tout instant disponible à votre vue.
Vous m’avez installé dans une cage à oiseau sur la commode de votre chambre. Vous maintenez toujours une douce chaleur pour moi quelle que soit la saison, aussi je n’ai jamais froid. Je suis bien nourri, je mange ce que vous mangez, je dors à mon aise…
Le matin au réveil, j’aime vous observer quand vous vous levez ; vos premiers gestes, vos premiers mots. Les gestes amples et langoureux de votre corps, la féminité qui se dégage de vous ont créé dès le début une fascination qui me rend avide de votre personne. Le résultat est que je suis désireux de vous satisfaire, de vous complaire à tout instant.
Alors comment un petit homme comme moi peut-il vous témoigner sa reconnaissance ? C’est la question que je me suis immédiatement posée.
J’ai rapidement estimé que le meilleur moyen pour moi de vous témoigner de mon attachement et de ma gratitude était de vous présenter le plus ouvertement possible l’effet que votre personne produit sur moi. C’est pour cela que j’ai pris la décision de vous offrir la vue de mon petit sexe en érection comme un hommage et un témoignage pour vous.
Le jour où j’ai pris cette décision, je savais que vous alliez revenir dans la chambre dans les instants à suivre. Je me suis alors mis à penser à vous plus intensément. À vos mains pour être plus exact. Je les ai imaginées caressant mon gland, mon méat, la hampe de mon sexe. L’effet a été immédiat. Mon érection a été forte, intense. J’ai commencé à me masturber et tout mon petit corps a été pris de frissons. J’ai dû ralentir pour ne pas jouir trop vite. Alors je me suis mis à genoux tourné vers la porte de votre chambre, vous attendant, mon petit sexe dur et droit bien en avant, au maximum de sa petite « gloire ». J’ai continué à me caresser par un mouvement doux et long, attendant votre venue. L’érection est restée vive.
La suite vous devez vous en souvenir. Vous êtes entrée dans la pièce, vous m’avez regardé, vous avez souri mais vous n’aviez pas l’air surprise. Vous m’avez dit : « enfin mon petit homme me témoigne sa reconnaissance ». Je dois dire que j’ai été interloqué par cette réponse. Vous attendiez donc cela de moi.
Vous avez ouvert la cage et vous m’avez pris dans votre main droite. Je me suis lové au creux de votre paume chaude. Vous m’avez caressé longuement de la nuque au bas des fesses avec votre autre main, titillant parfois mon anus avec un ongle. Je me sentais en plénitude.
À un moment, vous avez écarté mes jambes pour découvrir mon sexe car je l’avais caché de peur d’avoir été initialement trop impudique. L’érection était cependant toujours là. Vous avez alors commencé à masser délicatement mes testicules. J’aurais ronronné si j’avais été un chat.
Je me suis alors retourné sur le dos, mon petit sexe présenté en plein votre vue. Vous avez caressé plus haut, plus intensément, tout le long de ma petite verge. Vous l’avez saisie délicatement entre votre pouce et votre index et vous n’avez pas été longue à obtenir ma jouissance. Vous m’avez fait jouir sur le bout de vos deux doigts.
J’étais extrêmement gêné de m’être épanché ainsi sur vous mais vous avez trouvé les gestes et les mots pour me rassurer : vous avez souri, vous avez porté vos deux doigts à votre bouche et vous avez léché d’un coup de langue rapide ma semence. Puis vous m’avez dit « bravo, mon petit homme, c’est adorable de ta part et tu es très nourrissant. Tu seras désormais mon petit distributeur de crème. Tiens-toi prêt à la produire dès que je le souhaite. » Je vous ai souri et je me suis endormi dans votre paume.
C’est à partir de là que notre relation s’est vraiment installée. Elle est connue de nous seuls, même à l’insu de votre mari à qui vous avez simplement dit que j’étais votre petit homme de compagnie, voilà tout…
Vous m’avez prévenu que vous me feriez jouir chaque jour à loisir entre vos doigts, sur vos mains, parfois jusqu’à mon épuisement pourvu que je vous procure ma semence. Vous en avez fait votre crème nourrissante pour vos belles mains. C’est devenu mon objectif quotidien, faire en sorte de produire suffisamment pour vous offrir cet onguent.
Le mot que vous employez est celui de me « traire ». J’avoue que ce terme a eu le don de me surexciter dès le départ. Oui c’est tellement ça. Je suis heureux de me faire traire quotidiennement par vous et pour vous. Et parfois me faire traire jusqu’à ce que mon sexe en soit rouge et douloureux…
Pour vous être agréable, je me suis entièrement rasé le sexe afin qu’il soit glabre, lisse et doux pour votre contact. J’entretiens cela avec assiduité.
Le matin, après votre lever, et quelques caresses et calins à votre mari, parfois plus, vous me prenez avec vous dans votre salle de bain, prétextant de me sortir un peu. Vous refermez la porte à clé.
Vous me posez le plus souvent sur le rebord du meuble de salle de bain et vous me demandez de commencer à me masturber bien ostensiblement devant vous pendant que vous vous mettez nue pour votre douche. Je me tiens alors bien droit debout, mon regard cherchant le vôtre avec intensité tout en me caressant avec des gestes lents et appuyés.
Puis une fois nue, vous me prenez dans votre main et m’amenez avec vous sous la douche. Lorsque vous ouvrez l’eau, vous faites bien attention à ce que je n’en reçoive pas trop, puis vous fixez le pommeau de douche au mur pour m’avoir dans vos deux mains libres.
Je suis entièrement mouillé et c’est là en général que vous m’enduisez entièrement d’une huile odorante, bien glissante. Vous la répandez entièrement sur moi en insistant sur mes parties génitales, sur mes fesses, mon anus. C’est un moment de pur bonheur pour moi.
Puis vous me rincez doucement et me faites sortir de la douche le temps pour vous de vous laver. Une fois tous les deux secs, vous vous asseyez sur votre tabouret, moi dans vos mains, et vous me dites : « mon petit homme, c’est l’heure de la traite, j’ai besoin de crème pour nourrir la peau de mes mains ».
C’est le signal pour moi, je me mets à quatre pattes dans votre paume et je glisse mon petit sexe dans le sillon de votre ligne de vie, et je copule avec lui. Plus je copule vite, fort et bruyamment, plus je suis persuadé de vous honorer et de vous plaire alors je me donne à fond jusqu’à la jouissance.
Je répands mon sperme dans le creux de votre main chaude, vous me reposez et je vous contemple alors, un sourire narquois au visage, vous frottez sensuellement les mains avec ma semence de façon à ce qu’elle pénètre bien votre peau. Vous me dites souvent : « C’est bien, mon petit homme, c’est adorable ce que tu as fait ».
Je sais alors que j’ai bien accompli la tâche qui m’est dévolue et qu’il est temps pour moi de me remettre en forme pour la prochaine traite car celle-ci peut intervenir à tout instant.
Si vous êtes cette gentille géante, je serai votre petit homme…
À vous lire…