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n° 16005Fiche technique39266 caractères39266
Temps de lecture estimé : 24 mn
16/01/14
Résumé:  Qui a dit que la fraternité entre les pays européens avait disparu ?
Critères:  fh fhhh collègues intermast fellation cunnilingu pénétratio double sandwich fdanus fsodo -fhhh
Auteur : Bouzi      Envoi mini-message

Collection : Histoires au travail
L'auberge espagnole

Je m’appelle Marie, la trentaine fringante et, d’après ce que je vois dans les yeux des hommes, je suis plutôt à leur goût. Dans la rue, au bureau ou même au restaurant, je sens leurs regards sur mes jolies fesses, bien galbées, ou dans mon décolleté.


Je suis mariée avec François depuis trois ans mais nous sommes en couple depuis plus de dix ans et je crois bien que cela fait presque six ans que je ne me suis pas retrouvée seule, vraiment seule, sans mon mari. Alors, lorsque mon patron m’a proposé une mission de six mois à Londres, j’ai d’abord pensé refuser. Mais après réflexion, j’ai accepté.


Quelques petits coups sur la porte de ma chambre et celle-ci s’ouvre.



Un jeune homme entre dans ma chambre.



Il se dirige automatiquement vers ma bouilloire électrique et, après avoir vérifié qu’il y a assez d’eau, la met en route.



Stephen est un collègue suédois et il vit dans le même hôtel que moi. En fait, nous vivons dans cet hôtel depuis deux mois, depuis que ma société a décidé de créer un groupe de travail international à Londres. Nous sommes cinq personnes issues de pays différents dans cette équipe. Nous sommes tous logés dans cet hôtel. L’ambiance, l’éloignement me rappellent mes années à la fac, sympa mais un peu étrange aussi.


Donc, ça fait un peu plus de deux mois qu’Enzo (l’Italien), Dieter (l’Allemand), Stephen (le Suédois), Juan (l’Espagnol) et moi (la Française) nous nous sommes retrouvés en groupe restreint. Ce qui est marrant, c’est le sous-nombre de nanas dans notre équipe : quatre garçons et une fille, moi.


Du coup, comme je suis la seule femme, c’est dans ma chambre qu’ils viennent se confier, chercher de l’aide ou qu’ils débarquent à vingt-trois heures pour boire du thé, puisque je suis la seule à avoir pris une bouilloire. Je suis une couche-tard, je ne dors jamais avant deux heures. Du coup, ils savent qu’ils peuvent s’incruster dans ma chambre jusqu’à tard dans la nuit.


Voilà comment je me retrouve à avoir presque tous les soirs dans ma chambre un de mes quatre compagnons d’exil, et si ce n’est pas l’un, c’est l’autre ou les quatre à la fois. Je les aime bien ; on passe des soirées sympas où on se marre en écoutant de la musique et en buvant un verre de rhum/Martini-gin ou même un thé ou un café de temps en temps. Mais c’est très dur aussi de les avoir constamment. D’abord parce que, même si je m’entends bien avec eux, j’ai besoin d’une présence féminine, quelqu’un avec qui partager des discussions de femmes…


Mais ce qui devient le plus dur, c’est de rester fidèle à mon mari. Lui est resté à Paris. Oh, je l’aime, je suis même folle de lui. Le problème, c’est qu’au bout de deux mois, le manque de sexe est de plus en plus présent ; il se transforme presque en une espèce de besoin bestial qui fait frissonner mon corps dès qu’un homme se rapproche de moi ou qu’il me touche.

En plus, ces hommes que je côtoie tous les jours et qui viennent régulièrement squatter ma chambre sont charmants, voire très charmants. Enzo est très grand, barbu, cheveux très noirs avec des yeux bleus, d’une douceur et d’une sensualité incroyable ; Dieter est sec, pointu, avec des yeux noirs perçants. Autant Stephen est l’archétype du Suédois, grand costaud, blond aux yeux bleus, autant Juan n’a rien du stéréotype espagnol : il est châtain, plutôt pâle de peau mais il respire le sexe et la sensualité, celle qui influe sur vos pensées et vous fait le regarder avec un regard de gourmande.


En deux mois d’abstinence, mon vibro est devenu mon meilleur ami ; tous les soirs il me tient compagnie.


Seulement, mes compagnons d’aventure, eux, sont tous célibataires et nous avons tellement de travail qu’ils en sont à bien plus de deux mois d’abstinence. Et toutes nos conversations finissent par dériver sur le sexe. Au début, c’était drôle et innocent, puis j’ai commencé à les trouver lourds ; aujourd’hui, chaque allusion m’émeut et me fait mouiller comme une pucelle.


Hier, après une visite de Juan et une discussion très orientée cul, je me suis retrouvée à fantasmer sur lui. Mon rêve a été torride :


Juan approchait sa tête de mes seins et commençait doucement à lécher ma peau, avant de faire sortir le sein impudique de son écrin de tissu pour mordiller mon téton durci par l’excitation. Il glissait sa main entre mes cuisses pour poser sa main froide contre mon antre chaud. Ma bouche entrouverte laissait échapper un gémissement. Je venais m’asseoir à cheval au-dessus de lui. Ma jupe remontait et mon string en dentelle était directement en contact avec son entrejambe. Il passait sa main droite sur mes fesses et appuyait sa main gauche dans le creux de mes reins pour me coller contre lui. Sa bouche était proche de la mienne, je sentais son souffle chaud passer tout contre la mienne, je sentais son haleine à l’odeur du thé que nous avions commencé à boire, et chacun de mes sens vibrait. Une main s’alourdissait dans mon dos, l’autre me griffait doucement ma fesse. Ses yeux étaient plantés dans les miens et, lentement, il approchait sa bouche entrouverte de la mienne, jusqu’à un frôlement, qui devenait appuyé. Sa langue entrait dans ma bouche comme un sexe chaud, et je me sentais complètement défaillir tant j’avais envie de lui, tant cela me semblait réel.


Il me semblait que nos corps se touchaient ; je sentais mes pointes se durcir contre le tissu de mon soutien-gorge, mon souffle était court. Il avait vu mon émoi et restait là contre moi, juste pour me rendre folle. Je me collais un peu plus contre lui. Je passais mes mains sous son tee-shirt et touchais sa peau pour la première fois. Elle était bouillante. Je le griffais un peu, et il me mordait la lèvre en retour.


Puis il m’attrapait et m’allongeait sur le lit, m’arrachait mon string sous ma jupe relevée. Il me pénétrait d’un seul coup tant j’étais trempée. Les mouvements de bassin de Juan me comblaient, je sentais sa queue me remplir. Je gémissais, tentant de ne pas faire trop de bruit, pour que personne ne m’entende.


J’étais en train de revivre mon rêve quand Stephen est entré. J’essaie de ne pas montrer mon trouble et essaie d’avoir un air dégagé.



Il s’installe sur mon lit, à moitié affalé, son verre à la main. Nous discutons boulot, puis de fil en aiguille de la nouvelle stagiaire qui le rend dingue. Elle passe la journée à l’allumer mais quand il se rapproche d’elle, elle fuit.


Je me sers un verre et m’assois sur le fauteuil en face de lui ; je suis légèrement tournée vers lui pour le regarder parler. Je vois sa bouche esquisser un sourire.


« M… ! J’ai oublié de mettre une culotte. » Perdue dans mes pensées après ma douche, j’ai passé ma robe directement sur la peau, sans rien d’autre. Quelle gourde ! À ma décharge, il m’arrive de me balader sans culotte et sans soutif. Mon mari adore. Mais c’est en vacances ou en week-end. Pas au boulot ; je ne suis pas une allumeuse !


Je comprends maintenant son sourire béat. Le rustre a une vue directe sur ma chatte épilée. En plus, mes lèvres intimes sont encore mouillées de mes rêveries lubriques.


Il se lève. C’est vrai qu’il n’est pas mal du tout. Carrure d’athlète. Hanches étroites et petit cul. Il faut que j’arrête de le détailler ; je ne suis pas discrète.

Il est debout. Je suis paralysée par ce qu’il va faire, immobile sur ma chaise alors qu’il se rapproche. Ses bras puissants me soulèvent, il me plaque contre le mur. Je me laisse faire. Il tire sur ma robe pour me laisser nue. Sa main explore mon corps, d’abord ma lourde poitrine, traçant des sillons de chair de poule. Puis ses lèvres glissent doucement sur ma peau ; je suis tout émoustillée par ses attouchements. Je ne suis pas la seule d’ailleurs car je sens bien contre ma hanche une raideur d’une taille impressionnante. J’ouvre les yeux. Son visage est tourné vers moi, presque inquiet de sa propre audace. Je le rassure d’un sourire.

Je me mets à genoux pour faire tomber le pantalon du grand blond. Le sexe de Stephen est grand, son gland sort de son boxer. Prise d’une envie, je fais tomber son boxer pour prendre son sexe dans ma main. Doucement, j’imprime un va-et-vient avec mon poignet, puis la gourmandise m’emporte et je passe ma langue sur son gland. Un frisson le parcourt et il m’attrape les cheveux. Je me laisse faire, offerte à cent pour cent. Il me baise la bouche.


Sentant son orgasme venir, il arrête ses va-et-vient. Il me soulève comme une plume et me coince contre le mur de la chambre. Mes jambes cherchent un appui en enveloppant ses larges hanches, et la plume que je suis devenue descend lentement pour venir buter contre son sexe érigé. Et il m’envahit, m’investit. Ma chatte est pleine, si sensible de l’abstinence de deux mois. Je suis plantée sur le pieu. Des coups de reins de mon envahisseur montrent son impatience et la raideur de son hommage. C’est bon de n’être qu’une chatte crucifiée contre un mur. Chaque coup est une joie, une envie retenue qui se libère.



Il continue à me pistonner tout en me portant jusqu’au lit, puis m’y dépose. D’un geste, il me demande de me tourner. À quatre pattes sur le lit, ses mains me soulèvent pour me tirer sur le bord. D’un coup, sa queue retrouve le chemin de ma chatte. Chaque avancée est accompagnée d’un « han ! » de bûcheron et je l’accompagne dans sa mélodie. Ses mains agrippent mes hanches avec brutalité, me tirant à lui autant que lui s’avance. Le choc des chairs accompagne le délicieux « floc-floc » du piston dans mon conduit maintenant dilaté et ruisselant.


C’est le moment choisi par Dieter pour entrer dans ma chambre. Passée la surprise de me voir dans cette position, il reprend vite ses esprits et se rapproche, bien décidé à profiter de la situation et de moi.


Rapidement, il défait son pantalon et présente son sexe devant ma bouche ; il bande très fort. Je le prends en main, le branle énergiquement, toujours animée par la sauvage pénétration. Je glisse ma main sous les testicules, les serre doucement, attire le gland vers ma bouche. Ma langue le lèche, mes lèvres avalent toute la tige. Je suce ce nouveau sexe avec toute mon énergie. Je suce sa verge avec application et gourmandise. Sa bite est ma sucette que je lèche tout le long jusqu’à ce que les bourses trouvent le chemin de ma bouche où je les gobe entièrement l’une après l’autre.


Stephen n’est pas immobile. Tout en me pilonnant, il me caresse les seins et le clitoris. Une queue entre les lèvres, l’autre dans la chatte, je suis chaude à brûler. Ma fente coule. La queue de Stephen me bourre à fond, cheville énorme qui me dilate.

Dieter ne tarda pas à avoir des convulsions et explose dans ma bouche, libérant tout son sperme. Il a lâché une telle quantité de sperme que je n’arrive pas à tout avaler ; une partie coule sur son menton et mes seins.

Je me fige, subissant toujours une pénétration de plus en plus violente. Stephen finit par céder, et dans un dernier coup dans lequel je me sens perforée, il jouit.


Quelques secondes passent, je ne bouge plus. Stephen s’enlève délicatement de ma chatte. Il nous faut bien 3 minutes pour comprendre ce qui vient de se passer. Les deux garçons me regardent, me sourient tout en se rhabillant. Ils s’en vont assez vite, dépassés par la fureur de l’instant, me laissant seule dans ma chambre.


N’importe quelle femme honnête aurait mis ces deux hommes à la porte. Je ne l’ai pas fait : suis-je une femme honnête ? En tout cas, je ne suis plus une femme fidèle. Et si je suis honnête avec moi-même, je ne regrette pas ce qui vient de se passer. J’ai même un petit goût d’inachevé.


Je prends une douche après la visite de mes collègues et maintenant j’ai faim ! Mais il est vingt-deux heures trente passées ; c’est trop tard pour sortir dîner. Le restaurant de l’hôtel est peut-être encore ouvert. Le temps d’enfiler des sous-vêtements, une jupe et un tee-shirt et je descends.


Le restaurant est fermé, mais gentiment le réceptionniste m’envoie vers le bar où le serveur pourra me faire des sandwichs. À mon deuxième sandwich, je commence à regarder autour de moi. Pas foule ! Quelques hommes et femmes, pas très jeunes. Soudain mon regard se porte sur une table de deux hommes sirotant des cocktails. Je mets quelques instants à reconnaître Enzo et Juan en pleine conversation. Au même instant ils me voient et m’invitent d’un signe de la main à venir les rejoindre à leur table. Après ce qui vient de se passer avec Stephen et Dieter je me sens un peu gênée : ont-ils eu le temps de parler avec eux, de leur raconter comment ils m’ont possédée tout à l’heure ?


Au bout de quelques secondes, je suis rassurée : ils ne sont au courant de rien. La conversation va bon train ; nous passons un bon moment à parler et à rigoler. Malheureusement, le bar ferme et nous devons regagner nos chambres. Juan et Enzo, tout à leur délire, décident de négocier avec le barman afin de pouvoir remonter trois verres à vin avec la bouteille de rouge à peine entamée dans leur chambre. Le barman les leur donne avec joie et leur souhaite une bonne fin de soirée, avec un clin d’œil équivoque.


Les garçons décident que, pour une fois, nous finirons la soirée dans l’une de leurs chambres. Je les suis avec un peu d’appréhension. Je suis toujours excitée par ce qui s’est produit tout à l’heure, et je ne sais pas de quoi je serai capable s’ils jouent avec moi.


Nous sommes installés dans la chambre d’Enzo. Nous avons repris le cours de notre conversation ; l’humeur est toujours joyeuse et, suite à un éclat de rire, je renverse mon verre de vin sur la moquette.

Enzo se retourne sur sa chaise pour prendre des serviettes. Je me mets à quatre pattes sur le sol pour essayer de nettoyer la tache de vin. Quand Enzo revient dans sa position initiale pour me tendre les serviettes, je relève la tête et mon buste ; je suis alors face à lui, mon décolleté ne cachant absolument plus rien de ma poitrine.


Il déglutit, les yeux sur mes seins. Il faut dire aussi que j’aime la lingerie et que je n’ai que des sous-vêtements sexy. Là, je porte un ensemble blanc en dentelle transparente, très chic, très sexy surtout.

La tête et le buste ainsi relevés pour le regarder accentuent sans le vouloir ma cambrure. Juan lance un sifflement. Il faut dire que d’où il est placé, il ne doit rien manquer de mon anatomie, ma jupe étant trop courte pour cacher quoi que ce soit dans cette position. Alors je me rassois sur le lit, le rouge aux joues. Les garçons se jettent un regard complice. Enzo glisse sa main sous mes fesses. Dans un réflexe, je tente de me lever mais en même temps Juan a posé une main ferme sur ma cuisse qui m’immobilise. Je me retourne vivement pour le repousser ; mais avant que j’aie pu faire le moindre mouvement, il a glissé son autre main dans mon cou et m’attire vers sa bouche sans que je puisse lui résister. Je me sens prise au piège, et cela m’excite terriblement. Nous nous embrassons à pleine bouche.


Enzo m’attire à son tour vers ses lèvres. Juan profite que je me suis tournée pour passer ses mains sous mon tee-shirt et ainsi accéder à mes seins. En voyant cela, Enzo m’aide à enlever complètement mon tee-shirt. Après m’avoir retiré mon haut, ils enlèvent leur chemise avant de continuer à me caresser. Je sens leurs mains sur mes fesses, mes seins, mon ventre, mes cuisses. Ils m’embrassent et me lèchent, je suis sur une autre planète. M’abandonnant, ils se relèvent comme un seul homme. Je comprends ce qu’ils veulent.


Toujours assise sur le lit, je me penche vers Enzo, je fais descendre son pantalon et son boxer. Son sexe se dresse face à moi droit, long et lisse. Je prends son sexe dans ma bouche, couvre son gland de ma langue ; ses mains emprisonnent ma tête et, d’une traction, amènent ma bouche vers sa verge. Nulle violence. Juste un souhait formulé. Je le prends entièrement dans ma bouche ; ma main caresse ses bourses, je le suce frénétiquement puis je me tourne pour recommencer mon petit manège avec Juan. Mais celui-ci ne m’a pas attendue et je me retrouve nez à nez avec une spectaculaire queue. Elle est énorme, bien au-delà de tout ce que j’ai connu. Un regard à Juan suffit. Il s’avance d’un pas vers moi. Je tends la main vers lui, ou plutôt vers son sexe. Je retrouve les sensations que j’aime à tenir le sexe d’un homme : la douceur de la peau, la chaleur qui en émane, cette impression de poids, de densité…


Je renforce ma prise ; mes doigts peinent à en faire le tour. Je la sens complètement dure. Je suis émerveillée par la taille et la forme de cet instrument. La hampe parfaitement cylindrique et ce gland décalotté pareil à une fraise gourmande. J’avance la bouche vers ce gros bâton d’amour. Juan avance encore un peu pour me faciliter cette nouvelle découverte. J’aime goûter sa bite, l’embrasser, la lécher, sentir son gland contre mon palais et son frein sous ma langue. Je m’étonne de la prendre aussi facilement entre mes lèvres. Je fais quelques allers-retours avant qu’il ne me repousse pour me relever.



Ils me déshabillent lentement, profitant pour caresser, palper, embrasser chaque partie de mon corps. Mes seins sont libérés, mes tétons se dressent fièrement vers mes deux amants. Enzo, fasciné par mes seins, les prend en bouche. Sa langue semble froide tant j’ai chaud ; il mordille mes seins. Les mains douces de Juan me retirent mon string.



Ça m’excite, j’aime quand on me parle. Je suis aussi mentale que physique, et ces paroles m’échauffent.

Il glisse un doigt entre mes lèvres ; mon corps réagit en ayant un sursaut. Puis il le retire pour mieux le replonger en appuyant au passage sur mon clitoris.

Entre mes seins qui se font malmener et les doigts farfouilleurs, je sens qu’un orgasme est prêt à se déclencher. Tout à coup, une vague me submerge. Mon ventre se contracte, mon corps se tend et se recouvre de spasmes pendant que je jouis en gémissant et en haletant.


Juan s’arrête net, alors qu’Enzo continue de caresser mes seins ; il profite de ce que Juan a retiré ses doigts pour me pénétrer à son tour. Je gémis de plus en plus fort alors qu’il joue avec mon sexe de ses doigts agiles.

Je demande une pause ; j’ai besoin de reprendre mes esprits et boire de l’eau fraîche.



Il me fait presque peur, mais c’est l’excitation qui prend le dessus. Que va-t-il faire ? Me prendre comme une chienne ? Me violenter ?

Il se jette sur moi, m’écarte les jambes avec violence et force. Il me regarde dans les yeux.



Juan se baisse vers ma chatte, un sourire gourmand sur les lèvres, puis son visage se perd entre mes cuisses. Et me voilà ainsi repartie vers des sommets de jouissance. Sa langue est habile et appuie sur mes zones sensibles ; il mord gentiment mon clito et le lèche. Un truc dingue. Un peu comme ces manèges dans les parcs d’attractions. Comme dans un Grand Huit, les sensations sont si fortes qu’on hésite entre l’envie que ça continue et celle que ça s’arrête. Cette alternance de phases où la conscience est au paroxysme et celles où l’inconscience est toute proche.


Je ferme mes yeux pour mieux profiter du travail de cette langue qui fouille mon sexe et excite son clitoris. Enzo se met à genoux sur le lit et me présente son sexe devant ma bouche. Je l’ouvre en grand et le gobe entièrement. J’entreprends une fellation énergique, aspirant avidement le sexe dans ma bouche. Ma langue joue avec le gland, puis s’aventure vers les couilles sans cesser de lécher le beau morceau de chair. Je n’ai que rarement pris autant de plaisir à prodiguer une fellation, même si je sais que mes mouvements doivent être saccadés et désordonnés à cause de l’autre mufle entre mes cuisses. Malgré tout, au moment où je demande grâce, Enzo me demande d’arrêter aussi.


Après une courte pause, mes amants d’un soir échangent leur place. Enzo se jette sur ma chatte trempée et moi sur l’incroyable mandrin de Juan. Je joue avec, ma langue explore chaque centimètre, je titille le méat, descends vers les bourses bien gonflées. Avec mes lèvres, j’essaie de les gober mais la position ne s’y prête pas. Le mandrin est beau, doux, délicat, et j’aime cette odeur d’homme qui en émane. Enzo ne reste pas inactif : ses doigts prennent possession de ma chatte et j’ai un frisson, délicieux prélude au plaisir, lorsque sa langue découvre mon clito. Il sait comment jouer de la langue et de la bouche pour me caresser. C’est si bon que j’oublie un instant de m’occuper de la bite de Juan. Il me rappelle à l’ordre avec sa main sur ma tête et exerce une douce pression de rappel vers l’objet du débat. La langue d’Enzo glisse de mon sexe à mon anus. Il m’administre une magistrale feuille de rose ; sa langue, tel un sexe, pénètre ma rondelle. Sa langue force l’étroit passage, revient dans mon sexe pour mieux retourner vers mon anus. Il se régale, moi aussi. Mon plaisir ne m’empêche pas de sucer la verge avec application et gourmandise. Je dois défendre la réputation des Françaises, championnes de l’érotisme et de la sexualité. Mon Espagnol apprécie et m’encourage dans sa langue. Tandis que la mienne joue une farandole autour de sa queue et de ses bourses gonflées de désir.


Enzo regarde et Juan, sans un mot, arrête ses caresses buccales et me fait me lever. Je suis debout ; on s’embrasse, ma bouche passe de celle de Juan à celle d’Enzo, nos corps bouillants les uns contre les autres. Debout dans cette chambre d’hôtel, nos corps vibrent à chaque mouvement, à chaque caresse. Je sens leurs membres vigoureux m’encercler ; mon corps nu est entre ces deux éphèbes, ne demandant qu’à vibrer sous leurs coups de boutoir.



Enzo me prend la main et m’entraîne à sa suite sur le lit. Je suis au-dessus de son membre ; je sens les gouttes du méat se répandre sur les grandes lèvres de mon sexe pourtant déjà trempées. Juan se place derrière moi ; son sexe est collé à mes fesses ; je sens ses mains sur mes seins et les mains d’Enzo sur mes hanches. Je me laisse tomber sur son sexe, et au moment où je le sens rentrer, je sens les doigts de Juan contre mon anus. Il introduit trois doigts dans ma rosette dilatée, cherchant à toucher à travers sa fine membrane interne le sexe en moi. L’effet est immédiat. L’orgasme me transperce le ventre, les vagues de plaisir montent en moi, telle une houle puissante. Mes bras se dérobent. Je me retrouve la tête sur la poitrine d’Enzo, la bouche grande ouverte, cherchant ma respiration. Des orgasmes d’une telle puissance sont rares.


Ils viennent de me faire jouir intensément ; je sens que maintenant ils vont désormais se préoccuper de leur plaisir. Et je suis prête à l’accepter totalement. Je veux m’offrir à eux complètement, encore plus que ce qu’ils pourraient espérer.


Je sens le sexe de Juan contre mes fesses ; les doigts qui ne m’ont pas quittée m’écartent les fesses pour faire entrer le phallus. La main de Juan s’appuie sur ma nuque, et je sens son sexe à l’entrée de mon cul. Je vais me retrouver doublement prise. Sur le moment, repensant à la taille du sexe de Juan, j’ai un moment d’hésitation, un petit « non… » timide sortant de ma bouche. Je tente vainement de tourner la tête pour voir Juan, lui montrer ma peur naissante, mais la main sur ma nuque m’en empêche. Son mandrin entre en moi, sans hésiter, lentement. Je le sens sur toute sa longueur, au point de pouvoir en détailler les reliefs. Seul le claquement de son ventre sur mes fesses stoppe le mouvement. Je suis comme électrocutée par cette nouvelle sensation. C’est ma première double pénétration. Emplie de partout, je suis comblée. Je ne bouge plus, mais je crie sans retenue. Jamais je n’ai ressenti pareil plaisir.



Ils commencent à onduler en cadence. Mon corps réagit instantanément. Comme s’il était fait pour ça. Il répond à la moindre sollicitation. Enzo empaume mes seins. Il joue avec les tétons, les pince, les étire, les agace.

Je sens une main dans mes cheveux, dans mon dos, sur mes fesses, sur mes seins. J’ai l’impression d’une foule qui abuse de moi. J’ai une soudaine prise de conscience. « Que fais-je ? Que m’arrive-t-il ? Je ne leur refuse rien. Telle une fille facile, telle la dernière des salopes… » C’est à ce moment que la furie s’empare de nous, annihilant toute prise de conscience. Je suis coincée entre deux hommes, subissant leurs assauts de plus en plus virils. Ils bougent en alternance ; mon anus et mon sexe sont pénétrés de plus en plus profondément. Je me suis accrochée au cou d’Enzo pour me soulager. Je bouge aussi, pour amplifier encore les mouvements des sexes qui me pilonnent.


Je sens une première décharge dans mon cul. Une chaleur se diffuse dans mon ventre. La semence m’envahit totalement. Enzo explose à son tour. Mes deux amants déchargent sans discontinuer en moi, libérant toute la tension accumulée. Tout mon corps brûle. Partie dans mon délire, je m’exclame :



Aussitôt, Juan enfile son pantalon et sa chemise et sort de la chambre.


Seule avec Enzo, je me redresse et d’une main libère le sexe maintenant mou. Je le saisis et approche ma bouche pour le gober. La verge a retrouvé une taille qui me permet de la faire disparaître entièrement entre mes lèvres. Mais rapidement, mon traitement fait effet : son mandrin se gonfle et prend une dimension toujours surprenante. Mes lèvres retrouvent la queue maintenant bien dressée. Je joue avec, ma langue explore chaque centimètre ; je titille le méat, descends vers les bourses gonflées. Avec mes lèvres, j’essaie de les gober ; j’aime cette odeur de sperme qui perdure.

Enzo ne reste pas inactif ; ses mains courent sur mon corps. Sa main droite découvre mon clito tandis qu’avec la gauche il introduit deux doigts dans mon anus dilaté. C’est si bon j’en ai un frisson.


Tout à ma fellation, je n’entends pas les autres entrer dans la chambre.


Ils approchent de mon visage, leur sexe dressé réclamant à leur tour ma bouche. Je n’ai jamais vu autant de bites dévouées à mon plaisir. Qu’elles sont longues, qu’elles sont soyeuses, qu’elles sont belles ! Je prends celle de Stephen en main, le branle énergiquement ; je glisse ma main sous ses testicules, les serre doucement, attire le gland vers ma bouche. Je suce maintenant ce nouveau sexe de toute mon ardeur. Les deux autres en veulent aussi. Ils s’approchent plus près de moi. Je prends le mandrin de Juan et Dieter dans chaque main, les branlant énergiquement. J’essaie de visualiser la scène, moi à genoux devant trois hommes bandés, en branlant deux et suçant le troisième ; même dans mes fantasmes les plus fous, je n’allais pas aussi loin. Et c’est sans compter sur le quatrième larron qui me pénètre de ses doigts. Je suis au comble du bonheur sexuel.


Enzo n’a pas trop de cinq doigts pour visiter à la fois mon vagin, ma rondelle et mon clito, qu’il cerne d’un mouvement circulaire et léger qui me rend folle de mouille et de désir. Ma bouche délaisse un instant la bite de Stephen pour prononcer :



Il ne se le fait pas dire deux fois. Il écarte bien mes fesses charnues et entre sans effort. Il marque une petite pause dans le vestibule puis s’enfonce jusqu’à la garde, me sentant gémir d’impatience. Mais dans ma position, la pénétration n’est pas facile. Je stoppe mes gâteries et emmène mes amants d’un jour vers le lit. Dieter s’allonge sur le dos, me prend par la main, m’attire vers le lit et m’oblige à m’asseoir sur sa queue. Elle glisse dans ma chatte et me remplit de sa chair chaude, ardente et vivante. Enzo se rapproche derrière moi, sa queue s’immisce dans mon anus. Le gland d’abord ouvre le chemin, et je sens que mon anneau cède progressivement. Je me cambre autant que possible en attirant Enzo qui achève de me remplir. Oui ! Il est entré ! Non ! Ils sont entrés ! Je me sens comme envahie, occupée, dilatée, déformée par ces deux sexes d’hommes. J’ai l’impression que c’est un seul, mais énorme mandrin qui me possède.

Je suis en train de perdre pied. Je lâche prise. Je suis totalement abandonnée aux plaisirs lubriques de mes quatre compagnons.


Dieter et Enzo commencent leur va-et-vient ; nous voilà partis pour une valse à trois temps dans un mouvement bien réglé. Je suis une turbine besognée par deux pistons bien synchronisés.


Enzo, derrière moi, me tient fermement par les cheveux. Avec toute la bestialité exacerbée par la situation, il me fait comprendre que je ne peux plus m’échapper ; mais le voudrais-je vraiment ?


Stephen monte sur son lit à son tour ; sa verge parle pour lui, tendue à l’extrême. Si proche de moi… Je tends les mains : une qui masse la tige, tire sur la peau pour recouvrir puis dégager le gland pendant que l’autre palpe les bourses. La main d’Enzo, qui emprisonne toujours ma tête, d’une traction amène ma bouche vers le mandrin qui m’attend. Je pompe cette queue avec gourmandise. Ma salive coule sur la hampe. Je lui prodigue une pipe endiablée, une vraie turlute de professionnelle ; je lèche son bâton tout le long jusqu’à ce que les bourses viennent taper mon visage.


Juan ne reste pas immobile. Assis à côté de moi, il assiste à ma prestation mais, en amant confirmé, il me caresse les seins et le clitoris pour décupler le feu en moi. De ma main libre, j’attrape son chibre en même temps qu’il porte sa bouche jusqu’à mes seins en me suçant les tétons. Il s’ingénie à les faire durcir le plus possible ; sa langue agile les excite, sa bouche les mordille.


Si c’est encore possible, la température monte dans la pièce. Une queue entre les lèvres, une autre dans la main, une dans ma chatte et la dernière dans mon anus : je suis une femme comblée. Je comprends ce qu’il me manquait tout à l’heure. Je suis chaude à brûler. Ma fente coule.


Dieter et Enzo accélèrent, je suis trempée de ma propre liqueur. Ce « flop-flop » des queues qui glissent dans ma chatte et mon cul humides est le plus merveilleux des aphrodisiaques. Ils accélèrent encore. Ils m’entraînent dans une danse incontrôlée, sans dire un mot, telle une chorégraphie maintes fois répétée. Mes amants me besognent plus vite maintenant. Le piston dans ma bouche me fait baver. Ma salive s’écoule le long de la hampe raide. On me baise, on me caresse. Mes seins, mes hanches sont des territoires que l’ennemi se partage pour mon plus grand plaisir. Les va-et-vient des deux sexes dans mes orifices me secouent comme un pantin. Je prends un pied phénoménal. Jamais je ne me serais crue capable de cela, me livrer complètement, sans résistance à aucun moment, me laisser guider par les événements et être à la merci de mes partenaires. Les sexes entrent et sortent de tous mes orifices. Personne ne peut dire quand cela va s’arrêter. Les mains parcourent mon corps, l’usant de caresses. Mes seins gonflés de plaisir sont désormais durs. J’ai les oreilles qui bourdonnent. Je ne veux pas perdre conscience, rater ne serait-ce qu’une seconde de ma jouissance qui arrive…


Et je suce Stephen de plus en plus profond, jusqu’à ce qu’il vienne buter au fond de ma gorge. Je pompe comme une affamée ; sa queue disparaît dans ma gorge, ma langue joue avec son gland, mes lèvres serrent sa hampe, ma main libre le branle ou caresse ses testicules.

Je gémis de plus en plus fort sous la double pénétration qu’on m’administre. Je suis obligée de relâcher ma fellation de temps à autre pour reprendre ma respiration. Je suis heureuse, caressée, pénétrée, suçant et branlant. J’ai des sexes partout pour moi toute seule. J’adore.


Concentrée sur mon plaisir, je ne sens pas l’éjaculation de la verge que j’ai justement au fond de ma gorge ; je reçois des jets puissants dans ma bouche du sexe que j’ai pompé comme si ma vie en dépendait. L’orgasme de Stephen me fait exploser instantanément, jouir comme jamais. Le sexe dans ma bouche me noie, m’empêchant de crier librement mon plaisir. Des sons sourds et bestiaux sortent de ma gorge. J’avale tout ce que je peux : c’est mon cadeau, le remercier de ce moment inoubliable.


Enzo et Dieter continuent quant à eux de me prendre. Leurs mouvements sont devenus plus sauvages. Plus personne ne contrôle la situation, chacun s’excitant de la jouissance de l’autre. Ça ne dure pas longtemps non plus. Eux aussi jouissent bruyamment au fond de mes fesses et de ma chatte. Je sens les contractions de ces verges dans mon anus et mon sexe. Ces contractions me refont jouir : d’abord quelques frémissements, puis des ondes profondes, et enfin un cataclysme si bon, si fort et si long que je manque m’évanouir.


L’anus et le sexe béants, du sperme dégoulinant encore sur mon corps, je me lève, saisis le sexe encore bandé de Juan dans ma main et l’entraîne vers un fauteuil. Je m’y installe à genoux, face au dossier ; je tends ma croupe en arrière et lui dis :



Les seins sur l’accoudoir du fauteuil, je me penche encore plus en avant, les fesses en l’air, bien cambrée en attendant son sexe. Je sens quelque chose frotter mon anus et s’y engouffrer lentement. Il se couche un peu sur moi pour atteindre mon clitoris de sa main. Sa bite glisse doucement jusqu’au fond de mon cul, je sens ses poils sur mes fesses. C’est bon. Il commence à aller et venir lentement, et progressivement il accélère. En même temps qu’il me sodomise, Juan caresse mon clitoris de sa main libre. Ma respiration s’emballe, mes gémissements se font de plus en plus insistants. Mon clitoris me procure un plaisir immense, et les grands coups de sexe que je reçois dans le cul l’accentuent encore davantage… Il fait glisser ses doigts jusqu’à ma chatte. Il me doigte, me caresse le clito et m’encule en même temps. Je sens l’orgasme arriver. Ça monte. Je suis bourrée profond dans le cul, Juan a accéléré comme une bête. Ça me fait décoller. Je gueule comme une folle :



Juan continue de me sodomiser et me branler au même rythme ; je deviens folle, je ne sais plus où je suis.



L’orgasme me terrasse. Je crie, alors que mon corps tremble. Juan accélère encore la cadence et me pilonne sans relâche. Je sens son membre se contracter ; alors il s’enfonce une dernière fois et explose en moi en secousses violentes et appuyées, avec une rage à peine contrôlée.


Les autres n’ont rien perdu de la scène. Quand je rouvre les yeux, je peux voir trois belles verges gonflées, ardentes et palpitantes, mais aussi trois téléphones portables tournés vers moi. Ils ont filmé toute la scène. Cela me fait penser que j’ai envie de garder la mémoire de cet instant et je demande aux garçons de mettre leurs téléphones en position caméra et de venir me rejoindre. Je veux garder un souvenir.


À partir de cet instant, je ne me souviens plus très bien des détails. Ce sont les photos et les vidéos que les garçons ont prises qui m’ont permis de reconstituer la scène. Je me suis comportée comme une vraie salope, j’ai pris chacune des bites dans tous mes orifices ; mais ce qui est sûr, c’est que jamais je n’ai joui avec une telle intensité et si longtemps.


Quelques heures plus tard, lorsque je me réveille, les garçons dorment encore. J’ai encore le goût de leur sperme en bouche et j’ai mal partout (surtout au cul). Je me lève sans faire de bruit pour pouvoir leur prendre leurs téléphones le temps de faire des copies des vidéos et des photos sur mon ordi, et surtout je prends soin de bien effacer tous les fichiers qu’ils ont pu enregistrer.