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n° 16013Fiche technique14618 caractères14618
Temps de lecture estimé : 10 mn
21/01/14
Résumé:  J'offre un cadeau à ma femme qui réalise son fantasme.
Critères:  fhh couplus grossexe fellation pénétratio sandwich délire -couple+h
Auteur : Calvino            Envoi mini-message
Un cadeau pour elle !

L’histoire que je vais raconter m’est arrivée il y a quelques années et je m’en souviens comme si c’était hier !


À cette époque, cela faisait une dizaine d’années que nous étions en couple avec ma femme. Elle c’est Magali, 1m65, mince, brune et vraiment très jolie. Nous sommes sportifs tous les deux et on peut dire que nous allons bien ensemble. Moi, Marc, 1m80, brun, mince et aussi musclé. Avec Magali, on s’entend plutôt bien sur le plan sexuel.


De temps à autre, je plaisantais sur le fantasme d’une relation à trois. Magali me disait à chaque fois : « Non mais n’importe quoi ! » ou bien « Ouais avec un autre mec, si tu veux ! » pour me faire enrager. Bref, je sentais qu’elle n’était pas tout à fait prête, mais quelque chose me disait qu’elle aimerait quand même le faire.


Ce que je savais aussi, c’est qu’elle appréciait particulièrement mon ami Alex. Ami de longue date, il était venu plusieurs fois à la maison et je voyais bien que Magali appréciait particulièrement sa présence. Ils discutaient souvent tous les deux et s’entendaient bien sur le plan amical. J’en faisais la remarque à Magali de temps à autre. Elle ne pouvait pas dire le contraire et se contentait d’un : « Il est sympa, Alex, je l’aime bien… »


Disons-le tout de suite, voir ma femme faire l’amour avec un autre homme ne me branchait pas spécialement. J’ai un caractère plutôt jaloux et je ne suis pas prêteur. Évidemment, si elle me proposait un plan à trois avec une de ses copines, je ne serais pas le dernier à refuser ! Je suis comme ça…


Donc l’idée de faire ça avec mon ami Alex ne m’est pas venue tout de suite. J’avais des images dans la tête et je sentais que cela aussi m’excitait. L’idée faisait son chemin, insidieusement… et puis je voulais lui faire plaisir et réaliser un de ses fantasmes.


Il faut que je vous parle quand même de mon pote Alex. Alex adorait rigoler et n’était jamais le dernier pour faire la fête. Grand (1m95), gabarit de rugbyman, costaud, mais sans être gros. Une masse de muscles. Le genre de type que tu ne branches pas ! Et surtout, la chose devenait intéressante quand tu le voyais en caleçon. On allait souvent à la piscine tous les deux et je voyais bien qu’il était correctement outillé. Sans avoir vu son sexe directement, la forme de son caleçon trahissait la dimension exagérée de l’outil. Moi, de mon côté, j’étais plutôt bien loti sans être hors gabarit comme lui.


Bref, cette idée commençait à m’obséder et j’étais en train d’accepter doucement ce plan à trois avec mon pote. Évidemment, j’en parlais de plus en plus souvent à Magali, toujours sur le ton de la rigolade. Plusieurs fois, après un repas un peu arrosé, quand on allait se coucher un peu éméchés, je la sentais bien excitée et j’en profitais pour remettre ça sur le tapis. Et là ça faisait son petit effet. J’insinuais qu’Alex aussi l’aimait bien et la trouvait attirante. Là dans nos étreintes, elle ne disait plus non, même si sa réponse n’était pas franche et claire…


Je ne désespérais pas et me dis que cela finirait aussi par faire son chemin.


Un jour, elle me demanda l’air de rien si j’avais des nouvelles d’Alex. Je lui dis qu’il était revenu de vacances et qu’il donnerait sûrement de ses nouvelles. Je ne dis rien de plus, mais je savais qu’elle avait entrouvert une porte et que ceci nous conduirait du côté obscur !


Quelques jours plus tard, en rentrant du boulot, je lui dis qu’Alex m’avait contacté et qu’il viendrait ce week-end nous parler de ses vacances. Magali me dit en rigolant : « Ah oui, c’est pour ton plan à trois ! » Là je saisis la balle au vol et lui dis du tac au tac en souriant : « Oui, ma chérie ! C’est pour ça… » Elle me regarda en souriant sans rien dire, et cette fois, elle ne protesta pas. Elle avait vu mon regard qui était à la fois sérieux et malicieux… J’étais sûr maintenant qu’elle était d’accord. Restait donc à organiser notre soirée.


Le lendemain, je voyais Alex et lui expliquai toute l’affaire, sans détour. Il fit une drôle de tête, mais je voyais bien qu’il souriait. Je le connaissais bien et j’étais sûr que l’idée lui plaisait. Toutefois, il me demanda si moi j’étais vraiment d’accord et, surtout, si Magali était partante. Je lui déclarai que j’étais sûr et que mon souhait était de réaliser le fantasme de Magali. Je rajoutai en souriant : « Tant qu’à le faire, je préfère que ce soit toi ! ». Mon pote est de nature joyeuse et insouciante et il me sourit franchement en me disant que ça lui ferait plaisir de me rendre service, en ajoutant que ce n’était d’ailleurs pas vraiment un service ! Bref, je lui expliquai ce que je voulais qu’il fasse lors de cette soirée…


Les jours qui nous séparaient du fameux soir étaient étranges et je sentais bien que Magali était un peu angoissée à l’idée de la venue de mon ami. Angoissée, mais aussi excitée que moi. Je lui dis simplement qu’Alex avait hâte d’être là… Elle souriait sans rien dire, cela me confortait dans l’idée que j’avais bien fait d’organiser tout ça !



Deux jours plus tard, Alex arrive enfin. Comme à son habitude, il entre dans la maison de bonne humeur et en rigolant. Il est bronzé et en pleine forme. Magali est magnifique, ce soir. Petite jupe courte et moulante, un peu de maquillage, un chemisier qui met vraiment ses formes en valeur. Alex la complimente, elle essaie de prendre un air naturel, mais je sens une légère inquiétude dans ses yeux. Je m’approche d’elle et lui murmure un petit mot tendre pour la détendre. De toute façon, Alex a toujours des histoires impossibles à nous raconter et se charge à lui tout seul de détendre l’atmosphère.


La soirée se poursuit tranquillement et nous bavardons, comme à l’accoutumée, de choses et d’autres. Nous mangeons, buvons, parlons et nous ne voyons pas l’heure tourner. Les quelques verres que nous avons bus nous ont finalement complètement détendus. J’avais bien remarqué que Magali remplissait souvent son verre. Ce n’était pas dans ses habitudes (sport oblige), mais ce soir elle en avait besoin, je crois. Elle avait les yeux brillants et je savais ce que ce regard cachait.


Magali se lève pour commencer à débarrasser la table, mais Alex lui prend la main et lui dit qu’il allait s’en charger. J’avais l’impression que le contact de leurs mains avait duré plus qu’il ne fallait. Alex avait envoyé un signal. Il se lève donc et commence à empiler les assiettes sur la table. Puis il se dirige vers la cuisine en chantonnant. Je regarde Magali et lui dis : « J’ai envie de toi tout de suite ! » Sans rien répondre, elle se lève et me saisit la main : « Viens dans la chambre… » J’entends Alex qui s’affaire dans la cuisine au milieu des casseroles, et ce que ne savait pas Magali, c’est que mon plan était en marche.


Arrivés dans la chambre, on se précipite sur le lit et d’une main, pendant que Magali m’embrasse, j’allume une petite veilleuse près de la table de chevet. Elle éclaire à peine, mais suffisamment pour distinguer ce qui se passe dans la pièce. C’est une ambiance de rêve. Magali se jette sur moi et m’embrasse fougueusement. Je sens ses lèvres brûlantes sur ma bouche. Sa langue s’enroule autour de la mienne. Elle retire son chemisier, et sans effort sa jupe glisse sur ses mollets. Je détache son soutien-gorge et embrasse ses seins qui pointent déjà. Elle est douce et chaude, ma Magali.


Je la trouve plus excitée que jamais. Mes mains se posent sur ses fesses musclées. Elle est sur moi et son bassin appuie sur mon sexe tendu au travers du pantalon. Je retire ma chemise à mon tour et Magali m’aide à me déshabiller complètement. Je me retrouve nu sur le dos, mon sexe fièrement dressé. Magali m’embrasse le cou, la poitrine puis descend lentement le long de mon ventre. Quand elle arrive près de mon sexe, elle l’embrasse doucement, puis donne quelques coups de langue. Je sens la douce chaleur de sa bouche quand elle l’entoure progressivement. Ses lèvres descendent lentement le long de ma verge. Hmm, que c’est bon ! Un va-et-vient tout en douceur commence. Avec une main, je lui retire sa culotte et lui caresse les fesses. Ma main descend le long de ses cuisses et remonte entre ses jambes. Je passe mes doigts entre ses lèvres et m’aperçois qu’elle est trempée comme jamais. Elle pousse un long gémissement aux passages de mes doigts sur sa fente. Ma main est recouverte de sa liqueur. J’en ai partout sur la main.


Soudain, je sens une présence dans la pièce. Comme je l’avais prévu, Alex est venu nous rejoindre. Il devait nous observer depuis un moment, car je le vois sans ses vêtements, il n’a gardé que son caleçon. Magali n’a pas bougé, elle sait qu’il est là, mais elle continue sans rien laisser paraître. Le fait qu’Alex soit là m’excite davantage et je fais un effort pour ne pas tout lâcher. Je sens bien que Magali mouille de plus en plus. Les mouvements de sa bouche trahissent son excitation.


Je vois Alex qui s’approche. Magali a les fesses en l’air et mon ami ne doit rien perdre du spectacle. Il tend une main, et la pose doucement sur les fesses de Magali. Je l’entends gémir, elle doit être au comble de l’excitation. Puis avec sa main, il commence à caresser son entrejambe. Magali se contracte légèrement en gémissant. Je vois Alex ôter son caleçon et distingue son énorme verge gonflée et luisante. Effectivement, ce que je vois est bien conforme à ce que j’avais imaginé. Alex pose ses genoux sur le bord du lit et sa verge tendue est à quelques centimètres de l’antre de Magali. Il s’approche et vient poser son gland au bord de ses lèvres. Ses deux mains sont posées sur ses fesses. Il pousse légèrement. Magali s’est figée. Mon sexe est prêt à exploser dans sa bouche et je fais un effort énorme pour ne pas venir. Alex pousse encore. Magali relève la tête et pousse un râle de plaisir.


Avec ses mains de géant, Alex maintient Magali dans l’axe de son sexe. Un dernier mouvement le fait entrer complètement en elle. Elle doit littéralement dégouliner tant il est entré facilement. Puis, lentement, il commence des va-et-vient. Magali halète et respire fort. Alex accélère le mouvement. Magali est bien cambrée, maintenant, et je vois qu’il la tient bien entre ses mains. J’entends ses fesses claquer contre le ventre d’Alex. Elle crie comme une folle. Elle est en train de jouir en poussant des cris comme jamais je ne l’ai entendue. Elle me serre la main et pose sa tête contre mon sexe en gémissant. Alex continue de plus belle. Magali crie aussi. On dirait que son orgasme ne va jamais s’arrêter.


Après quelques minutes de ce traitement, Alex finit par ralentir la cadence. Magali reprend ses esprits. Elle m’embrasse le ventre et le torse. Alex n’a visiblement pas fini, et d’ailleurs moi non plus. Il pousse Magali pour qu’elle se mette sur le dos et, sans prévenir, la pénètre à nouveau. D’où je suis, je peux vraiment tout voir. Magali se tord de plaisir. Alex la pilonne de plus belle. Je vois son sexe énorme rentrer et sortir. Puis il passe ses bras autour de sa taille et la soulève comme une poupée. Magali est toujours plantée sur son pieu et visiblement prête pour une autre séance.


Je souhaitais moi aussi participer activement à cet épisode. Je prends dans le tiroir un tube de lubrifiant et en répands abondamment sur mon sexe. J’étale le gel et me rapproche de ma douce. Alex la tient par les cuisses et la soulève comme si elle n’était qu’un jouet entre ses mains, tant elle paraît menue contre lui. Elle le tient par le cou et coulisse sur sa verge en poussant des cris de plaisirs. Je me colle à elle. En sentant ma présence derrière elle, elle fait ralentir Alex de manière à ce que je puisse m’introduire en elle par son autre antre.


Je pose mon gland sur sa rondelle et commence à appuyer. Magali m’aide en écartant elle-même ses petites fesses. J’appuie davantage et rentre sans problème. Son trou me connaissait déjà. Je commence des petits va-et-vient, et puis c’est au tour d’Alex de donner le rythme. Il la soulève et la redescend jusqu’à ce que nos deux sexes disparaissent complètement en elle. Elle est complètement coincée entre nous deux. Mon torse appuie dans son dos et son ventre est collé à celui d’Alex.


La vitesse s’accélère et Magali souffle de plus en plus fort. Je sais qu’elle va venir rapidement. Maintenant elle gémit de plaisir et murmure : « Allez-y, les mecs, plus fort ! » Je la sens littéralement liquéfiée. Elle ondule son corps chaud et tient bon Alex par le bassin. Alex la tient fermement et la prend à fond avec une force incroyable. Les mouvements que l’on fait produisent des bruits de succion. Elle se remet à crier et pousse un immense râle de plaisir. Elle jouit de nouveau. Son orgasme est encore plus fort que le précédent.


Moi je suis au bord de l’explosion. Encore quelques va-et-vient et, n’en pouvant plus, je me libère à mon tour en longues giclées de sperme. Je sens également Alex qui se lâche en poussant un cri rauque. Il explose dans Magali tout en continuant de la pénétrer violemment. Magali n’arrête pas de crier. Je sens du liquide chaud couler sur ses fesses et se répandre sur mes jambes. Elle est agrippée à mon bras et son orgasme continue encore quelques minutes.


Puis, lentement, notre rythme ralentit et nos souffles se calment. Alex repose Magali au sol. Elle vient vers moi toute tremblante et nous nous allongeons tous les deux sur le lit. Alex a déjà remis son caleçon. Il nous regarde en souriant et fait demi-tour. Il sort de la pièce sans rien dire. C’était le contrat.


Magali se blottit contre moi. Elle m’embrasse tendrement. Je ramène la couette sur nous et éteins la lumière. Magali me dit juste ce mot : « Merci ! »


La prochaine fois, je vous raconterai comment Magali me rendit la pareille et me fit à son tour un très beau cadeau.