Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16020Fiche technique30325 caractères30325
Temps de lecture estimé : 16 mn
24/01/14
corrigé 30/05/21
Résumé:  Julius est marié. Sur le net, il entretient avec des correspondantes des conversations érotiques qui compensent un peu sa fidélité à sa femme. Et ces amies se révèlent sous un jour qu'elles se refusent à montrer lors des rencontres "de routine".
Critères:  f h ffh revede exhib fmast hmast fellation cunnilingu jeu lettre -internet
Auteur : Eurydice Jenkins  (J'aime écrire sur le sexe !)            Envoi mini-message
Sylvie a dit

Dans Deux maîtresses femmes (n° 15985), je vous ai donné à lire une histoire issue d’une anecdote authentique vécue par mon ami Julius. Quoi qu’en disent certains, le début de l’histoire était absolument vrai. La suite ? Un peu moins, d’accord… mais pas tout à fait inventée.


Après lecture dudit texte sur Revebebe, Julius m’a fait parvenir un fichier contenant des dialogues « épistolaires via Internet » qu’il a maintenus il y a quelque temps avec plusieurs « correspondantes » successives. Il m’a autorisé à les modifier et à les agrémenter à ma guise pour vous les présenter. Mais je n’ai pas eu grand-chose à faire. J’ai bien sûr modifié quelques tournures trop « orales », quelques erreurs et fautes de frappe dues au fait que les protagonistes, à certains moments, ne disposaient que d’une main à poser sur le clavier… Et j’ai aussi retiré quelques détails qui auraient permis d’identifier les personnages, au cas où, par hasard ou par bon goût, les différents conjoints viendraient lire ces textes sur notre site préféré. J’ai également supprimé les « lol » et autres « mdr » ne laissant que quelques indications de temps de silence le cas échéant.


Voici donc le premier d’une série de textes présentés sous la forme sous laquelle ils ont été écrits, donc par dialogue sur le net au moyen d’un logiciel de messagerie instantanée. Et à chaque texte une interlocutrice différente. Note importante : Julius connaît personnellement ses interlocutrices. Toutes sont majeures et vaccinées !


Le présent texte n’est pas le premier échange entre Sylvie et Julius. En effet, ce dernier n’avait pas eu l’idée, à l’origine, de conserver ces échanges. Ce n’est qu’à partir du troisième qu’il les enregistra afin de renouveler son plaisir en les relisant plus tard.

Il suffira au lecteur de savoir que le jour où les lignes qui suivent sont écrites, les deux complices ont déjà, en une autre occasion, échangé des messages très chauds ayant mené à une masturbation simultanée.




Julius dit :

– Bonsoir, êtes-vous là ?

Sylvie dit :

– Je suis là.

… (attente)


Sylvie dit :

– Vous êtes absent ? Alors je me déconnecte.

Julius dit :

– Non ! Je suis là.

Sylvie dit :

– De toute façon je n’ai pas la « pêche » pour discuter de choses légères ! Bonne soirée à vous…

Julius dit :

– Mom !

… (attente)


Sylvie dit :

– Hou-hou ?

Julius dit :

– Interrompu par le téléphone… Je reviens de suite.

… (attente)


Julius dit :

– De retour. Pas la pêche ? Qu’y a-t-il ?

Sylvie dit :

– Moi non plus n’ai pas la pêche, c’est vous qui m’avez demandé si j’étais en ligne.

Julius dit :

– Non, j’ai mis un point d’interrogation : VOUS n’avez pas la pêche ? Pourquoi ?

Sylvie dit :

– Pour plein de choses. Je cogite à 1000 tours par seconde, pour le travail, pour ma vie sentimentale, pour… le reste.

Julius dit :

– C’est quoi les points de suspension ?

Sylvie dit :

– Je suis déçue par certaines personnes en ce moment ! Mais je vais vite me reprendre… Le temps orageux empire mon état de nerfs.

Julius dit :

– Effectivement, on est tous tendus. C’est chargé électriquement. J’arrive de Paris, j’y ai passé la journée pour le boulot, je suis assez fatigué, même en train c’est lourd ! Le bruit, les gens… Ce matin il y faisait froid et il pleuvait !

Sylvie dit :

– Je prends le train tous les matins dans l’autre sens, sur la ligne secondaire, souvent il n’y a pas un chat, ça me fait peur parfois avec tout ce que l’on voit dans les journaux.

Julius dit :

– Je dois ressortir dans pas longtemps, donc une conversation « légère », comme la dernière fois, ne pourrait pas aboutir. Dommage. Cela vous aurait probablement fait du bien…

Sylvie dit :

– Effectivement, je n’aurais pas peur d’une conversation un peu moins légère…

Julius dit :

– Pas compris.

Sylvie dit :

– Plus « légère ». Ne faites pas attention, je vais mal.

Julius dit :

– Que vous faudrait-il pour aller mieux ?

Sylvie dit :

– Il me faudrait un vrai câlin avec un minimum de sentiments.

Julius dit :

– Ça se comprend de deux façons, votre phrase…

Sylvie dit :

– En général homme = plan cul et pas de sentiment !

Julius dit :

– Soit un câlin intense avec un tout petit peu de sentiment, soit un câlin romantique avec du sentiment, mais sans le reste. Alors ?

Sylvie dit :

– Un câlin romantique avec du sentiment. Avec du sexe mais avec quelqu’un qui m’aime. Pas juste un mec qui veuille se vider les bourses et qui m’utilise comme… bref, vous m’avez comprise.

Julius dit :

– De deux choses l’une : soit je ne suis pas un homme, soit tous les hommes ne sont pas identiques. Le plan Q sans sentiment, ce n’a jamais trop été mon truc. Pour tout dire, dans ce genre de circonstances je ne suis pas très performant.

Sylvie dit :

– Comment ça ?

Julius dit :

– Comme ça s’écrit : je ne suis pas performant. Si vous me passez l’expression, je ne bande bien que s’il y une forte attache sentimentale. Ou une entente érotique très affirmée. Mais le plan « tiens, on n’a rien à faire, si on baisait ? » avec une dame qui ne m’inspire pas vraiment, eh bien c’est l’échec. Je baisouille, je fais les choses mais sans véritable engagement. Psychologiquement, je bande mou… La dame peut se dire satisfaite, moi je sais que j’aurais pu mieux faire.


Sylvie dit :

– OK alors on y va ? Hop, au lit !

Julius dit :

– Ah ah, je vois, vous me mettez au défi ? Voir où en est notre relation ?

Sylvie dit :

– Je blague… hélas. Nous portons tous les deux des chaînes… Et nous n’avons d’autres moyens que le clavier… Nous voir à l’extérieur serait fabuleux mais tellement risqué dans une petite campagne comme la nôtre… Où aller sans être immédiatement vus et reconnus ? Seul un vrai déplacement… Mais vous allez au sud quand je vais au nord…

Julius dit :

– L’ironie est que nous si nous habitions à des milliers de kilomètres l’un de l’autre, grâce au net ce serait alors même chose. Et pourtant en fait nous ne sommes qu’à moins de dix kilomètres l’un de l’autre. Mais sans pouvoir nous rencontrer, sauf par hasard, deux fois, au supermarché…

Sylvie dit :

– Ce qui ne répond pas à ma question : est-ce que vous banderiez dur ou mou, même psychologiquement, avec moi ?

Julius dit :

– Dur, sans aucun doute : il y a entre nous une entente érotique certaine et très affirmée. Nos échanges antérieurs l’ont prouvé, n’est-ce pas ?

Sylvie dit :

– Hummmmm.

Julius dit :

– D’après ce que nous avons déjà fait par ordinateur interposé, je suis persuadé que cela serait pas mal du tout… dans le cas d’une rencontre réelle.

Sylvie dit :

– Je le pense aussi… et votre sourire de samedi dernier me dit que… wahou.

Julius dit :

– C’est amusant que nos seuls échanges « dans le monde réel » se soient passés jusqu’ici au supermarché… Hélas vous et moi étions accompagnés… J’espère que vous avez lu dans mes yeux l’envie que j’avais de vous…

Sylvie dit :

– Oui. J’ai bien senti votre regard descendre tout le long de mon corps, mes seins, mes jambes…

Julius dit :

– Et le reste… Et quand vous vous êtes éloignée, j’ai bien regardé votre derrière…

Sylvie dit :

– Je préfère que vous disiez « vos fesses ».

Julius dit :

– Vos fesses, donc, qui me semblent très agréablement dessinées, fermes… J’avais envie d’y passer les mains…

Sylvie dit :

– J’ai ressenti alors à cet instant une forte chaleur entre les jambes et je dois avouer que je ressens de nouveau la même chose…

Julius dit :

– Une question : quand l’avez-vous fait la dernière fois ? Votre dernier orgasme ? Je sais, c’est indiscret, mais je vais devoir sortir dîner chez des amis, ça va être extrêmement ennuyeux et j’aimerais bien emporter cette idée avec moi, afin d’y penser si le temps se fait trop long, vous imaginer en train de vous caresser…

Sylvie dit :

– La dernière fois avec un homme, c’est à dire mon mari, ou toute seule ?

Julius dit :

– Toute seule. L’idée de vous imaginer avec votre mari ou un autre homme que moi ne me plaît pas. Seule, ou alors avec une copine, mais ça je n’y crois pas beaucoup…

Sylvie dit :

– Ça remonte à… je ne sais plus… Quant à mes copines, désolée de vous décevoir mais rien de physique entre nous. Nous parlons des mecs qui nous font souffrir, ou nous cherchons celui qui nous aimerait pour ce que l’on est… Je suis fleur bleue n’est-ce pas ?

Julius dit :

– Non, c’est parfaitement naturel ! Pas de complexe, nous avons tous ce côté romantique ! Et il est bon d’avoir des gens avec qui parler !

Sylvie dit :

– Oui vous avez raison, parler cela dédramatise… Que puis-je vous dire pour que votre dîner soit plus épicé ? Vous dire qu’à cet instant je vous imagine en train de me caresser, à genoux devant moi en train de me sucer les pointes de seins ?

Julius dit :

– C’est gentil. Bonne idée, et je laisse la chose à votre talent et votre créativité… J’aurais bien aimé pouvoir faire quelque chose maintenant, mais cela sera impossible. Et vous ?

Sylvie dit :

– Faire quelque chose ? Dites le mot, pour me faire plaisir…

Julius dit :

– Me caresser, me branler, me faire jouir, gicler mon jus…

Sylvie dit :

– Merci. Imaginez donc ce qui se passerait si j’étais assise près de vous pendant ce dîner et que ma jambe frôle la vôtre ?

Julius dit :

– Ça serait sans aucun doute super. Mais saurais-je ne rien laisser apparaître sur mon visage ?

Sylvie dit :

– Justement, le challenge serait de ne rien laisser apparaître.

Julius dit :

– Je ferais l’impossible. Mais soyez persuadée que non seulement mon cœur battrait, mais que d’autres réactions seraient évidentes…

Sylvie dit :

– Lesquelles, par exemple ? Vous ne dites pas les mots, j’aime pourtant les lire…

Julius dit :

– Je ne veux pas vous choquer, on dit que les hommes sont trop directs… Mais d’accord : ma queue gonflée déformerait mon pantalon au point où cela serait visible…

Sylvie dit :

– Voilà, comme ça… Cela me fait de l’effet… J’adore l’idée que vous bandiez pour moi… Ensuite je trouverais un moyen pour que ma petite main maladroite s’égare sur votre cuisse… La nappe étant un peu trop longue, personne ne pourrait voir que mes doigts atteindraient directement votre sexe en érection, mais rien ne devrait apparaître sur votre visage… Même pas quelques perles de sueur.

Julius dit :

– Jusqu’au moment où je ne pourrais plus me contenir… Et alors… ?

Sylvie dit :

– Alors, vous inventeriez un appel téléphonique que vous auriez oublié de passer vous partiriez dans les toilettes vous calmer, avant que la « chose » ne libère son nectar sous la pression de mes ongles.

Julius dit :

– Pour me finir moi-même, tout seul ? Négatif ! J’imagine autre chose : je me dresse, je vous prends par la main, vous fais lever, je saisis votre jupe, la remonte en découvrant votre culotte, que j’arrache. Je vous assieds sur la table, jambes écartées, et je vous pénètre et possède là, devant tout le monde y compris ma femme, et vous criez bien fort de plaisir, autant de la pénétration que du spectacle que nous offrons. Vous aimez être vue en plein plaisir, j’en suis persuadé…

Sylvie dit :

– Je ne sais pas… Je préfère vous garder à moi… Les convives ne doivent s’apercevoir de rien… Ça c’est jouissif. Je prétexterais une envie d’aller me rafraîchir et je viendrais vous rejoindre et vous sucer dans un recoin quelconque…

Julius dit :

– Et votre plaisir, vous le prenez comment ? J’aimerais avant cela vous caresser de façon cachée, et vous jouiriez sans que personne ne s’en aperçoive… tout en maintenant une conversation avec votre voisin ou votre voisine de table… Vous en croyez-vous capable ?

Sylvie dit :

– De jouir sans qu’un spectateur ne s’en aperçoive ? Non, absolument pas, et en plus je jouirais plus encore si l’on me regardait, vous aviez raison…

Julius dit :

– Donc vous me rejoindriez…

Sylvie dit :

– … je vous sucerais pour que vous bandiez encore plus dur. Ensuite vous me prendriez par derrière ou sur vos genoux, avec votre doigt qui vient caresser mon petit trou, à l’arrière, j’aime cela… Ah oui j’oubliais, nous avons mis dans la confidence une serveuse plus très jeune mais qui viendra me lécher pendant que… À vous la suite !

Julius dit :

– Donc nous serions au restaurant ou dans une réception avec des extras… Vous m’excitez en écrivant ainsi… Je ne sais pas si je commence à me caresser ou pas, est-ce que cela vous ferait plaisir ? Bien, je reprends l’histoire au vol… Mais au fait, la serveuse qui vous lécherait, pourquoi ne voulez-vous pas qu’elle soit jeune, tant qu’à faire ?

Sylvie dit :

– J’espère que votre sexe est en érection et que vous le tenez bien en main. Si ce n’est pas encore fait, ouvrez votre pantalon et sortez votre queue bien dure… Quant à la serveuse, parce que je préfère qu’elle ne soit pas plus jeune et plus jolie que moi, qu’elle ne vous tente pas…

Julius dit :

– Je bande ferme, mais ma queue est toujours au chaud… Un instant… Voilà, elle est à l’air libre… Mais je ne la touche pas… D’accord pour la serveuse. Mais comme vous le savez, mon envie n’est pas de le faire avec deux femmes, mais de voir deux femmes ensemble. Donc il n’y aurait pas de risque d’être tenté par une autre que vous, dès l’instant où vous profitez d’elle…

Sylvie dit :

– Je pense qu’elle me lècherait mieux en étant un peu plus âgée… Plus d’expérience… Elle s’appliquerait. Si elle ne me satisfaisait pas, je le repousserais et elle ne pourrait pas assister à votre pénétration profonde dans mon sexe brûlant et gorgée d’un nectar tout aussi brûlant. Ne voulez-vous pas prendre votre sexe en main ? Et si je mordillais et griffais vos tétons pendant qu’elle lèche avidement mon sexe et mon petit trou, pensez-vous que votre jouissance serait plus forte ?

Julius dit :

– Oh oui, mes tétons avec vos ongles… Que désirez-vous que je fasse ? Cela va m’exciter beaucoup, et comme je ne pourrai pas me soulager, je porterai cette excitation toute la soirée.

Sylvie dit :

– Cela va être très bon… Vous allez subir cette envie, cette presque douleur toute la soirée en pensant à moi. Puis vous vous soulagerez lorsque vous le pourrez. J’espère que vous me raconterez.

Julius dit :

– Vous m’avez bien excité, effectivement. Avec votre description, je me demande combien de temps je peux tenir en vous en imaginant dans une telle situation, les jambes écartées, offrant votre chatte à une autre femme… Je suis vraiment idiot, je me fais bander sans aucune chance de pouvoir jouir… C’est assez cruel mais j’adore cela car c’est vous qui me mettez dans cet état…

Sylvie dit :

– Le principal est que vous et moi jouissions à un moment ou à un autre. Moi aussi je suis trempée… Ma petite chatte est toute mouillée. Je vais m’enfoncer deux doigts en pensant que votre sexe me pénètre. Je suis brûlante. Je vais attendre un peu et faire cela dans la baignoire pendant que je prendrai ma douche. Quant à vous, dès que vous en aurez l’occasion…

Julius dit :

– Peut-être pourrais-je demander à mon épouse de finir le travail ?

Sylvie dit :

– Hem… Je n’aime pas trop allumer un homme pour qu’une autre l’éteigne… Mais j’accepte qu’elle vous suce ou vous branle, à condition qu’elle ne prenne pas son plaisir à cette occasion…

Julius dit :

– Ma femme suce, mais n’avale pas ni ne prend le jus en bouche…

Sylvie dit :

– Est-elle sotte… Qu’y a-t-il de meilleur que de dominer un homme à ce point, de le sentir s’abandonner totalement ?

Julius dit :

– Vous vous moquez… Dans notre dernier échange, vous m’avez dit ne pas aimer le sperme… « Avoir une queue dans la bouche, j’adore, mais pas jusqu’au bout » sont vos propres mots, je crois. Alors pourquoi ce changement d’avis ?

… (attente)


Julius dit :

– Êtes-vous toujours là ?

Sylvie dit :

– Oui… D’accord, je ne vous ai pas dit toute la vérité, et je ne devrais pas me pousser du col. Effectivement, je n’aime pas cela. Mais… je ne peux m’empêcher de trouver l’idée d’un homme explosant dans ma bouche excitante… quoique je n’arrive pas à le faire sans m’étrangler…

Julius dit :

– Étrange… Comment expliquez-vous cela ?

Sylvie dit :

– Mon premier petit ami… Il me demande de le sucer. C’est la première fois. Je suis encore vierge. Je suis assise, il est debout. Il me présente son sexe tendu. Je le prends en bouche. J’aime la sensation. Il gémit, place l’une de mes mains autour de son membre, l’autre autour de ses bourses… Il s’agite un peu, commence à avoir des mouvements de reins. Il me prend par les cheveux et m’attire vers lui. Je respire par le nez, je ne sais pas ce qui va vraiment se passer, je m’en doute mais… et là, il jouit. Je n’aime pas cela. Alors mes mains se serrent, je lui écrase presque les boules, il crie de douleur en même temps que de plaisir, recule, son dernier jet tombe sur ma poitrine tandis que ma bouche déborde… Ensuite il m’a demandé pardon, il ne savait pas que je faisais cela pour la première fois… mais depuis je n’y arrive plus vraiment… Mon mari le sait et n’exige pas que je le suce à bout. Je le lèche, sur le côté et le dessous, jusqu’à ce qu’il jouisse…

Julius dit :

– Et l’excitation, dans tout cela ?

Sylvie dit :

– Je ne sais pas pourquoi, mais ce soir-là, je me suis caressée après le départ de mon ami et j’ai joui comme une folle en revivant le moment où sa queue déchargeait dans ma bouche… J’ai un peu peur d’apprécier la contrainte…

Julius dit :

– Nous pourrions explorer cela ensemble…

Sylvie dit :

– Peut-être… Enfin bref. Si votre épouse vous finit, vous connaissez ma consigne… Et, si possible, jouissez dans sa bouche par surprise, sans la prévenir… J’aimerais assez un jour vous voir faire cela pour de bon… Qu’elle vous suce devant moi et vous fasse crier pendant que nous nous embrassons…

Julius dit :

– Vous m’excitez au plus haut point, j’ai failli jouir, j’aurais explosé si j’avais juste effleuré mon gland gonflé qui dépasse de mon pantalon… Me feriez-vous un énorme plaisir, de passer votre doigt dans votre fente mouillée et de le lécher ensuite ?

Sylvie dit :

– Non.

Julius dit :

– Ah bon… Dommage… OK, pas de problème. Je comprends.

Sylvie dit :

– Ah ah ah. Vous y avez cru… Mais si j’avais dit oui, vous auriez probablement giclé…

Julius dit :

– Probablement. Alors faites-le maintenant…

Sylvie dit :

– Je verrai… Je le ferai peut-être plus tard et je vous raconterai ensuite. Et vous, passeriez-vous votre langue dans ma petite fente toute poisseuse ?

Julius dit :

– Si vous m’excitez suffisamment, je pourrais le faire, et même, peut-être, faire pire… avec mon propre plaisir… mais bien entendu si vous me le demandiez et si cela vous excitait.

Sylvie dit :

– Si un jour j’ai envie de vous voir lécher votre propre jus, faites-moi confiance, je saurais vous exciter pour que vous y réussissiez… Croyez-moi, je suis capable de vous rendre fou à un point tel que vous ne sauriez me refuser quoi que ce soit… Mais pour l’instant j’aimerais vous lécher avec beaucoup d’application, faire le tour de votre gland avec ma langue et vous demander de me caresser ma petite chatte fendue avec votre sexe… puis vous sucer encore, maintenant mouillé de mes propres jus… Et peut-être même, un jour, irai-je vous sucer la queue alors que vous venez de jouir dans la chatte d’une autre femme… Ou mieux encore : j’ai le visage posé sur son ventre à elle, je vous regarde entrer et sortir et lorsque vous commencez à gicler, vous sortez votre sexe de la femme et me l’enfournez dans la bouche pour finir de jouir… Ah, je me touche, je suis chaude… J’ai dû retirer mes doigts d’où ils étaient sinon j’allais jouir. Ma petite culotte est à tordre…

Julius dit :

– Bien, soit je continue cette conversation, je risque l’accident et je devrai me changer avant de sortir, soit je garde toutes ces jolies images pour le dîner… Me promettez-vous de vous caresser le plus vite possible ?

Sylvie dit :

– Gardez ces images pour la soirée ! Moi je vais aller finir de retirer mes vêtements et me caresser dans ma douche. Tant que je suis encore seule à la maison… Bonne soirée.

Julius dit :

– J’aime à vous imaginer nue sous la douche, la main entre les jambes, vous caressant… Ou peut-être avec le jet de la douchette serrée entre vos cuisses dirigé directement sur votre sexe, tandis que vous vous caressez les seins avec les mains… Donc je garde tout cela en mémoire. Et je me branlerai dès que possible. Peut-être même me lèverai-je de table pour m’isoler un instant afin de penser très fort à vous… Et j’espère que la prochaine fois que nous « échangerons » ainsi par le Net, nous pourrons jouir ensemble comme nous l’avons déjà fait… Je vous souhaite beaucoup de plaisir et une bonne soirée.

Sylvie dit :

– Merci à vous aussi…

Julius dit :

– Je vais devoir couper. Amitiés.

Sylvie dit :

– Et surtout, si vous trouvez une autre invitée pour vous sucer… Pensez à moi très fort au moment de décharger dans sa bouche…

Julius dit :

– Est-ce un conseil… ou un souhait ?

Sylvie dit :

– Que vous vous fassiez sucer par une autre ? Ni l’un ni l’autre : je vous donne simplement l’autorisation de me tromper… Si j’ose dire ! Jouissez fort mais ne lui donnez que le minimum de plaisir…

Julius dit :

– Je comprends.

Sylvie dit :

– Et si elle vous plaît et qu’elle n’est pas trop jolie… Pensez à me l’amener…

Julius dit :

– On m’appelle. J’ai failli jouir à votre dernière phrase. Sans même avoir à me toucher…

Sylvie dit :

– Failli ? Zut, raté… J’aurais été plus rassurée si vous étiez parti dîner plus calme… Parce que maintenant, la première salope venue vous fera du gringue ou du genou et vous essayerez de la sauter…

Julius dit :

– C’est possible… Mais ne vous en faites pas, je vous raconterai tout en détail…

Sylvie dit :

– J’y compte bien… Et demain je vous dirai combien de fois j’ai joui ce soir…

Julius dit :

– Je n’en attends pas moins de vous. Je vous souhaite une bonne soirée

Sylvie dit :

– À vous également. J’espère que vous avez bien bandé, que cela va tenir une bonne partie de la soirée. Et pensez bien à moi dans quelques minutes… Je me déconnecte…

Julius dit :

– Jouissez bien fort… Je coupe. À demain.

Sylvie dit :

– À demain.