n° 16025 | Fiche technique | 13161 caractères | 13161Temps de lecture estimé : 8 mn | 28/01/14 |
Résumé: Une après midi d'été ordinaire suivie d'une soirée un peu coquine débouche au petit matin sur une belle séance d'amour. | ||||
Critères: fh extracon cousins piscine campagne intermast pénétratio fsodo -cousins | ||||
Auteur : FCG38 |
Cette histoire s’est déroulée cet été au mois d’août à l’occasion d’un repas de famille organisé par le cousin de mon épouse. Nous étions conviés ainsi que d’autres membres de leur famille à passer l’après-midi dans leur grande propriété (près de 3500 m◊), avant de prendre le repas du soir. Nous avons donc pu profiter de leur piscine, et je n’ai pas manqué de remarquer parmi toutes les femmes présentes, Ghislaine, l’épouse du cousin de ma femme, qui se distinguait par sa prestance et ses formes généreuses mises en valeur par un maillot de bain ne cachant pas grand-chose. Je me suis d’ailleurs fait la réflexion que le cousin ne devait pas s’ennuyer au lit.
L’après-midi s’est déroulé tranquillement, même si parfois alors que nous étions presque tous dans l’eau, Ghislaine s’est frottée à moi d’une manière qui aurait pu paraître fortuite et innocente. Vers huit heures du soir, après nous être changés, tout le monde ou presque ayant revêtu un tee-shirt et un short pour les hommes et des minijupes et débardeur pour les femmes, nous avons commencé à prendre l’apéro. Le punch frais à souhait descendait comme du petit lait et le temps passant, tout le monde a commencé à montrer une certaine euphorie.
Aux alentours de neuf heures et demie, le maître de maison nous a conviés à nous mettre à table. Nous nous sommes donc assis sur des bancs disposés de part et d’autre d’une table très longue, ce qui fait que mon épouse et moi nous nous sommes retrouvés chacun d’un côté de la table, relativement éloignés. Par hasard, j’avais comme voisine Ghislaine, et un parent à nos hôtes que je connaissais peu. J’ai donc surtout adressé la parole à Ghislaine. Comme de plus j’avais, du fait de son débardeur largement échancré, une vue directe sur sa poitrine libre de tous soutiens, et qu’elle semblait être de bonne taille (95, me semble-t-il), et ferme, je n’ai pas fait beaucoup d’efforts pour parler avec quelqu’un d’autre.
Au bout d’un moment, j’ai senti une main dans mon dos commencer à me caresser les reins. N’ayant guère de doute sur l’identité de la personne qui me caressait, je n’ai pas bronché, faisant semblant de ne m’apercevoir de rien. Petit à petit, la main est descendue jusqu’à soulever l’élastique de mon short, et la caresse s’est alors carrément concentrée sur mon fessier. Bien qu’à cet instant, je mettais encore son attitude équivoque sur l’effet de l’alcool, car je l’avais vu au cours de l’apéro avaler plusieurs verres, l’effet de ses caresses commençait à se faire ressentir au niveau de mon sexe.
Les minutes passaient, et la caresse ne ralentissait pas. Tandis qu’elle me caressait, nous parlions comme si de rien n’était. À un moment, un peu de nourriture est tombée de sa fourchette sur ses cuisses largement découvertes, sa minijupe ayant petit à petit remonté vers le haut. Sous l’effet de la chaleur de cette nourriture le compas de ses cuisses s’est largement ouvert, me permettant de voir que rien ne semblait protéger son sexe qui, m’a-t-il semblé, était déjà bien humide. C’est alors que, certainement grisé moi aussi par l’alcool ingurgité depuis le début de la soirée, je lui ai murmuré à l’oreille :
À peine avais-je fini ma phrase que sa main glissant sur mes flancs s’est emparée de mon sexe et une lente et douce masturbation a alors commencé. Heureusement que la nappe en papier débordait largement des bords de la table, car personne ne pouvait se rendre compte de ce qui se passait. Ce petit manège dura cinq bonnes minutes, jusqu’à ce que, le repas se finissant, les convives commencent à bouger et se lever. Ghislaine dut abandonner son œuvre à mon grand soulagement car j’étais au bord de l’explosion du fait de la caresse et de l’insolite de la situation. Une fois debout, elle me dit en se penchant à mon oreille :
Nous étions alors tous réunis et, l’heure étant avancée, certains invités ont commencé à prendre congé. Ghislaine et moi ne pouvions plus être près l’un de l’autre, étant chacun accaparés par les adieux à ceux qui partaient. Au bout d’un petit moment, ma femme et moi avons manifesté le désir de partir également, ayant une bonne cinquantaine de kilomètres à faire pour rejoindre notre domicile. C’est alors que le cousin de mon épouse accompagné de Ghislaine m’a dit :
Devant nos dénégations, Ghislaine et lui ont insisté jusqu’à nous faire plier. Il est vrai que c’était le plus raisonnable, surtout qu’il nous fallait franchir un carrefour où les gendarmes font très fréquemment des contrôles d’alcoolémie. Nous sommes donc tous allés nous coucher. L’effet de l’alcool certainement, conjugué aux événements du repas, a fait que je me suis endormi très vite.
À six heures moins le quart, j’ai émergé. Il faut dire qu’en règle générale, je dors peu et me réveille donc très souvent à l’aube. Je me suis donc levé, et me suis dirigé vers la cuisine pour me faire un café. Le jour commençait à poindre et c’est alors que j’ai distingué au loin dans le terrain une forme semblant se diriger vers la piscine. Intrigué, j’ai donc quitté la cuisine et me suis moi-même dirigé en direction de la piscine. Sur place, il n’y avait personne et j’ai donc poussé la porte du local technique proche.
À peine avais-je pénétré, que la porte s’est refermée derrière moi, et qu’une forme féminine, en l’occurrence Ghislaine, s’est précipitée sur moi, et une bouche sensuelle s’est emparée de mes lèvres. Bien que surpris, j’ai répondu à ce baiser. Sous l’effet de ce baiser qui dura quelques minutes, et des caresses que me prodiguait Ghislaine, mon sexe s’est aussitôt dressé. C’est alors que Ghislaine se détachant de moi a entrepris de m’enlever mon tee-shirt et empoignant mon short et mon slip, elle a tout tiré vers le bas. Je me retrouvais donc entièrement nu, le sexe droit comme un mât, et c’est alors qu’elle-même se débarrassait de ses vêtements et me dit :
Ses mains couraient sur tout mon corps et se sont très vite emparées de mon sexe tendu et m’ont masturbé frénétiquement. De mon côté, je ne suis pas resté impassible et glissant ma main entre ses cuisses, j’ai introduit un, puis deux doigts, dans son vagin et l’ai moi aussi masturbé. Au bout d’une minute ou deux de cette masturbation mutuelle, Ghislaine s’est écartée de moi et s’est allongée sur le dos sur une table proche tout en m’attirant contre elle. Ayant largement écarté ses jambes, et me pressant contre elle, mon sexe s’est retrouvé à l’entrée de son vagin. Elle me dit alors d’une voix tremblante de désir :
Vu ma position, je n’eus qu’un petit mouvement de bassin à faire pour la pénétrer. Vu l’état de lubrification de son sexe, j’ai été instantanément tout au fond de son vagin. J’ai alors entamé d’amples mouvements, et chaque fois que je m’enfonçais en elle, un râle profond s’échappait de sa bouche. Heureusement que la piscine est éloignée de la maison, car vu l’intensité de ces râles, il aurait été difficile de ne pas entendre quel plaisir elle prenait. Au bout de quelques minutes, sentant que je ne pouvais plus tenir longtemps, dans un éclair de lucidité je lui dis :
J’ai donc continué mes pénétrations et au moment où ne pouvant plus rien maîtriser mon sperme a jailli, Ghislaine a joui en râlant tellement fort que je ne me rappelle pas avoir déjà entendu une femme prendre autant de plaisir. Un peu sonné par l’intensité de nos ébats, j’ai commencé à me retirer, et mon sexe a donc vite perdu de sa superbe. Ghislaine s’étant elle aussi relevée, nous nous trouvions à quelques dizaines de centimètres de distance. C’est alors que m’entourant de ses bras, elle m’a empêché de m’éloigner davantage et m’a dit :
C’est alors que Ghislaine se laissa glisser à mes pieds et engloutit mon sexe bien ramolli dans sa bouche pour une fellation frénétique. Au bout de quelques minutes, mon sexe a commencé à retrouver une certaine raideur. S’en rendant compte Ghislaine m’a alors dit :
Il est vrai qu’elle savait y faire, et mon sexe se dressait de plus en plus, et j’avais de plus en plus envie de la reprendre. Estimant sans doute mon érection satisfaisante, Ghislaine me relâcha alors, et avisant un matelas piscine près de nous elle s’est alors mise à quatre pattes telle une chatte s’offrant au mâle. M’agenouillant à mon tour, je saisis ses hanches et commençais à pointer mon sexe, maintenant bien raide, vers elle. Alors que j’allais m’enfoncer dans son sexe, d’une main elle me retint et me dit :
J’ai donc introduit un, puis deux doigts, dans son anus, et ai commencé à la masturber de plus en plus frénétiquement, ce qui lui a progressivement fait pousser des cris de plaisir de plus en plus forts. Au bout d’un petit moment, son anus était complètement dilaté, et elle m’a alors dit :
J’ai donc positionné mon gland à l’entrée de son anus, et commencé à pousser par petits coups dans cet orifice dont la plupart des hommes rêvent. Petit à petit, encouragé par Ghislaine qui m’implorait, j’y allais de plus en plus fort, le sphincter s’est peu à peu relâché, et à un moment mon sexe a été entièrement avalé, tandis que Ghislaine poussait un rugissement de plaisir, à moins que ce ne fût de la douleur. Étant maintenant bien en place j’ai alors attaqué les pénétrations qui à chaque fois déclenchaient les râles de contentement de ma partenaire. Mon sexe bien serré dans cet orifice étroit m’imposait des mouvements amples et mon plaisir n’a pas tardé à se manifester. Au bout d’un temps indéfinissable, j’ai éjaculé dans son anus, ce qui a provoqué chez Ghislaine un râle de plaisir aussi fort que le précédent. Je me suis alors retiré, la tête vidée par le plaisir. Nous nous sommes mis debout, et alors que nous commencions à nous rhabiller, Ghislaine m’a dit :
Nous avons rejoint la maison, après nous être plongés dans la piscine pour éliminer le plus possible les odeurs de transpiration, et de stupre.
Effectivement, trois semaines après, à l’occasion d’un déplacement professionnel près de chez eux, nous avons pu nous revoir un après-midi dans un hôtel de passe. Nous avons durant deux heures baisé comme des fous et là encore j’ai pu profiter à loisir de tous ses orifices et même si nous y avons pris tous deux beaucoup de plaisir, nous avons convenu que le charme était rompu, et qu’il valait mieux cesser notre relation adultère, ce que nous avons pu faire jusqu’à ce jour, même si secrètement nous espérons un jour peut être retrouver les conditions de cette journée d’été. Qui sait ?