n° 16026 | Fiche technique | 9720 caractères | 9720Temps de lecture estimé : 6 mn | 28/01/14 |
Résumé: Je regarde la télé. Mon amie fait le repassage. Cette situation banale va pourtant nous permettre d'arriver à un incroyable moment de plaisir. | ||||
Critères: fh couple lingerie fellation -couple | ||||
Auteur : Philippe 4 (jeune homme de 32 ans vivant en couple) |
Je prends quelques minutes pour vous raconter mon histoire. Cette histoire est pour moi extraordinaire. Vous la trouverez sûrement banale notamment si vous la comparez à tous les autres récits sur le site où les acteurs ont des corps de rêve, font l’amour avec de splendides créatures et où tout se termine régulièrement en scène de débauche. Je ne peux m’empêcher pourtant de vous raconter ma simple histoire.
Nous sommes un couple comme tant d’autres. Moi, Philippe, 32 ans. J’ai pour particularité physique d’être très grand : 1,98 m et quelques kilos en trop (pour les autres détails, il faudra attendre). Amélie, ma compagne, 32 ans également. Elle ne mesure que 1,59 m. Elle porte régulièrement des talons pour compenser un petit peu cette différence. Comme moi, elle aussi a quelques kilos en trop. Cela ne me gêne aucunement. Bien sûr, elle a un petit ventre mais cela lui permet aussi d’avoir de superbes fesses dans ses jeans et des décolletés généreux (95D).
Nous nous connaissons depuis près de deux ans et vivons ensemble depuis quelques mois. Elle m’appelle chaton et je l’appelle mon cœur. Ce doit être ce que l’on appelle l’amour. L’histoire s’est déroulée samedi dernier. Je regardais un match de rugby de Coupe d’Europe en fin d’après-midi, allongé dans le canapé. Elle faisait le repassage. Je sais, c’est le stéréotype parfait.
Si la semaine, mon métier m’oblige à porter le costume et à être bien habillé, le week-end mon style est beaucoup plus décontracté. Je portais, en l’occurrence, un simple jean et un polo. Amélie, quant à elle, était en sous-vêtements. Cela peut vous surprendre, toutefois tout le monde le sait (en tout les cas les filles), quand on s’active à faire le ménage, on a vite chaud. Amélie se met donc souvent à l’aise en petite tenue pour faire les tâches ménagères.
Je n’hésite alors jamais à la taquiner en lui disant qu’elle n’a qu’à se mettre complètement nue pour que ce soit encore plus confortable. Elle me répond alors systématiquement que je n’ai qu’à venir dégrafer son soutien-gorge. Elle sait que je suis bien trop fainéant pour me lever et venir mettre à exécution mon souhait.
Les sous-vêtements étaient sages. Il s’agissait d’un shorty noir avec un soutif coordonné. Désolé pour vous, lecteur, Amélie ne porte jamais de string. Elle trouve cela désagréable. Cela ne me dérange absolument pas. J’aime bien les shortys ou tangas qui cachent un petit peu plus. Le mystère est plus excitant…
L’histoire a dérapé lorsqu’elle a dû ranger les affaires repassées. Elle devait mettre certaines affaires dans un meuble qui se situait à côté de la télévision. Elle se pencha alors pour ranger dans un tiroir du bas. Au lieu de s’accroupir, elle se pencha sans plier les jambes. Cela eut pour conséquence de tendre à son maximum le shorty. Inutile de vous dire que je ne regardai plus le match. Mon regard était fixé sur ses fesses généreuses. Malheureusement, et en tous les cas trop rapidement à mon goût, elle se releva et repartit vers la table de repassage.
Elle reprit son activité sans s’être rendu compte qu’elle m’avait terriblement excité. J’avais juste eu le temps de m’imaginer la prendre brusquement par-derrière… Mon sexe avait légèrement gonflé à cette pensée. Je me reconcentrai sur la suite du match de rugby. Après quelques minutes de repassage, elle m’annonça gaiement avoir fini son repassage. Elle revint alors au même endroit ranger les derniers vêtements repassés.
De nouveau, sa posture tendit son shorty ; de nouveau, j’imaginai lui enlever son shorty et la pénétrer par-derrière. Je précise que par derrière ne signifie pas sexe anal ; il s’agit juste de la position. J’adore la pénétrer par-derrière comme en levrette. Amélie n’aime pas la sodomie. Pour ma part, je ne suis pas excité par cette pratique, nous sommes donc d’accord sur ce point.
Mon sexe commençait à nouveau à gonfler. C’est alors qu’elle me demanda de lui donner mon pantalon et mon polo pour aller faire une machine à laver. Je refusai prétextant regarder le match. Amélie insista, indiquant que cela lui permettrait de compléter une machine et que sans mes affaires elle ne pouvait pas finir. Je prétextai qu’elle avait bien travaillé, et dans un élan de générosité, je lui dis qu’elle méritait de se reposer et que la machine pourrait attendre le lendemain.
Devant mon refus, elle s’approcha de moi pour me déshabiller contre mon gré. Elle approcha alors sa main du bouton de mon pantalon. Je ne me laissai pas faire et me tournai sur le canapé pour qu’elle ne puisse pas défaire le bouton et me déshabiller. Elle se jeta sur moi pour me forcer à me déshabiller et mit toute sa force pour me retourner. Elle n’y parvint pas compte tenu de notre différence de taille, de poids et de force. Elle réussit tout de même à glisser sa main sur mon entrejambes. En une fraction de seconde, le bouton sautait et la fermeture éclair descendit légèrement. Elle constata une bosse sous mon pantalon. Elle avait compris…
Je répondis que j’avais vu une superbe fille qui cherchait à m’exciter à moitié nue… Elle se releva et se dirigea vers la cuisine. Elle revint deux secondes plus tard avec un bonbon à la menthe. Je compris immédiatement à la vue de ce bonbon que mon match de rugby était terminé et qu’elle avait envie de moi. À peine avait-elle mis le bonbon dans sa bouche qu’elle commença à baisser mon pantalon. Je n’opposai plus de résistance. Elle baissa ensuite mon short et se saisit de mon sexe. Inutile de vous dire que j’étais déjà surexcité : dix-sept centimètres de plaisir…
Amélie commença le traitement par des va-et-vient très lents de la main droite. La main gauche parcourrait mon torse. Sa bouche faisait quelques bisous sur l’intérieur de mes cuisses. Les bisous se rapprochaient dangereusement de mon sexe. Amélie augmenta alors légèrement le rythme de sa masturbation ainsi que la pression en serrant plus fermement.
Elle savait parfaitement que le bonbon pris quelques minutes auparavant avait fait effet. Elle me prit ainsi en bouche. La sensation fut terrible. Cette technique provoque un double effet : la chaleur de la bouche et la fraîcheur de la menthe. J’eus l’impression que mon sexe augmentait encore de taille. Les coups de langue étaient délicats sur le haut de mon sexe. Le bas de mon sexe était tenu maintenant un peu plus fermement par sa main droite qui continuait à me masturber. Je sentis le désir monter très nettement. Mes mains avaient pu dégrafer son soutien-gorge et s’accrochaient à ses seins. Je les sentis durcir m’indiquant qu’elle aussi était excitée au plus haut point.
Consciente que son traitement était intenable à long terme pour moi, elle décida de réduire la cadence en se servant uniquement de sa main pour me masturber. Elle pouvait alors me regarder droit dans les yeux. Avec un grand sourire, elle me demanda :
Contente, elle reprit sa fellation. Toujours avec sa main droite sur la base de mon sexe. Elle engloutit un peu plus profondément mon sexe. Le bonbon à la menthe continuait à faire son petit effet de fraîcheur. Elle décida alors d’aspirer lorsqu’elle faisait ses va-et-vient. Cette aspiration provoque là encore une sensation incroyable : une extase inhumaine (Amélie m’avait dit que cette technique lui venait de sa copine Isabelle qui lui avait conseillé d’essayer).
Je n’en pouvais plus de ce traitement. Je voulais alors m’occuper d’Amélie et lui fis savoir :
Amélie ne s’arrêta pas. Je commençais à m’approcher du point de non-retour. Je me devais de la prévenir :
Je sentis alors que sa main droite, qui tenait toujours mon sexe, serrait maintenant très fort mon sexe. Elle reprit sa fellation alternant entre aspiration, coup de langue, coup de main. Je compris à cet instant qu’elle irait jusqu’au bout de mon plaisir. Cela nous arrive rarement. La fellation est plus un préliminaire qui se poursuit par d’autres positions.
J’essayai une dernière fois de lui proposer de passer à une autre position sans grande conviction. En réalité, je ne voulais plus que ce traitement divin s’arrête. Je sentis en moi monter le début de l’explosion. Amélie dut le sentir aussi, elle serra mon sexe de toutes ses forces de sa main droite. Ma respiration se fit plus forte. Tout d’un coup, je me retirai de sa bouche ; elle se recula légèrement ; je dirigeai mon sexe vers sa poitrine et giclai cinq ou six spasmes de sperme sur ses seins.
Le calme revint doucement après ce moment très intense. Je me dis alors qu’une machine à laver peut être source de plaisir et que les tâches ménagères peuvent se finir agréablement.