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n° 16027Fiche technique60116 caractères60116
Temps de lecture estimé : 35 mn
30/01/14
Résumé:  Les collègues c'est bien, les amis c'est mieux.
Critères:  ff ffh fbi copains grosseins hotel cérébral entreseins fellation cunnilingu anulingus 69 fist fsodo fouetfesse -couplea3
Auteur : Bouzi      Envoi mini-message

Collection : Histoires au travail
La fin



Je m’appelle Fabienne, je mesure 1,70 m, j’ai les yeux noisette, les cheveux bruns et la peau plutôt mate. Mais ce qui vous intéresse sûrement plus, c’est plutôt une description physique. Comme je fais de la danse depuis mes 5 ans (j’en ai 29 aujourd’hui) je suis très souple et j’ai un corps musclé : mes fesses sont bien rebondies, mes jambes fuselées et malgré la danse, ma poitrine a très bien poussé. Trop selon moi ; avec mon 90D j’attire beaucoup trop les regards concupiscents des hommes et jaloux des femmes.


Enfin pas de toutes les femmes, Marie, ma meilleure amie, n’a jamais posé sur moi de regard jaloux. Marie et moi sommes amies de longue date. Nous nous sommes rencontrées en Écosse, alors que nous étions toutes deux étudiantes « Erasmus ». Depuis, nos vies se sont séparées, mais nos relations demeurent excellentes. Elle a un an de plus que moi, elle est mariée et moi je suis en concubinage. Pas vraiment par choix, mon copain a horreur du mariage. Nous sommes très proches, nous partageons toutes sortes de choses, et nous parlons assez librement de nos vies amoureuses respectives. De ce côté-là, je dois dire que Marie est bien tombée avec François, son mari, il est gentil, aimant et il sait faire la différence entre sa femme dans la vie et sa femme dans un lit. Il sait mettre du piment et de l’originalité dans leur vie sexuelle. En tout cas, bien davantage que Franck ! De passage chez eux, Marie m’a montré les sextoys, les déguisements et les scénarios qu’il prépare pour eux. Cela a éveillé une certaine curiosité en moi, je dirai même une certaine envie, Franck me « respecte » trop pour me faire ça !


De temps en temps, je me demande à quoi ressemblerait une nuit dans les bras de François. Cela reste du domaine du fantasme, bien sûr, ce qui compte le plus pour moi, c’est mon amitié avec Marie. Mais il est plutôt beau gosse, pas Brad Pitt, mais mignon, et il dégage un truc, quand on est dans la même pièce que lui on ne le remarque pas tout de suite mais dès qu’on l’a vu on ne peut plus faire abstraction de sa présence. Cela ne fait de mal à personne de se laisser aller à ce genre de pensées de temps en temps. J’imagine que je ne suis pas la seule femme au monde à fantasmer sur le mec de sa meilleure amie. Si elle n’était pas avec lui, ou si nous n’étions pas de si bonnes copines, ce serait différent, mais les choses sont ce qu’elles sont et ce n’est pas la peine d’épiloguer sur le sujet. Surtout que demain je pars rejoindre Marie à Londres, pour deux jours entre filles, puis nos compagnons nous rejoindront le vendredi soir.


Marie est venue me chercher à St Pancras. Malgré ses sourires et son enthousiasme habituel je sens qu’il y a quelque chose qui ne va pas, je la trouve ailleurs.



Elle éclate en sanglots et pose sa tête sur mon épaule. Elle pleure comme ça pendant presque cinq minutes sans discontinuer. Elle essaie de me parler en même temps mais rien d’intelligible ne sort de sa bouche.



Après quelques instants je profite d’une accalmie dans ces pleurs pour la conduire dans le bar le plus proche et l’asseoir au fond du bar pour que nous puissions parler tranquillement.



Je reste sans voix. Je ne dis rien, je la laisse continuer.



En même temps qu’elle me raconte ça, elle sort son smartphone et lance une vidéo. Je mets trente secondes à reconnaître Marie avec trois hommes. La vidéo n’est pas de bonne qualité mais je vois très bien ce qu’elle est en train de faire. Elle suce un énorme mandrin alors qu’elle est prise en sandwich par deux autres hommes. La personne qui filme se rapproche du groupe et filme en gros plan les deux sexes entrant et sortant des orifices de Marie. Puis il fait glisser sa caméra jusqu’au visage de Marie déformé par des grimaces de plaisir, l’homme au sexe énorme s’est retiré de sa bouche pour mieux lui éjaculer sur le visage.


Je coupe le film. Je suis abasourdie. Je regarde Marie.



Je réagis au quart de tour, folle de rage.



Un long silence suit ma tirade. Marie me regarde mais ne rompt pas le silence. Elle attend que je continue. Un peu plus calme je reprends.



Elle s’arrête et puis reprend d’un coup avec un je ne sais quoi dans les yeux.



La réponse a fusé, je n’ai pas eu le temps de réfléchir. Marie me regarde sans rien dire. Puis elle se lève.



Ce n’est pas du tout la réaction à laquelle je m’attendais. Je suis perdue et perplexe par rapport au comportement de Marie mais je me laisse guider comme un pantin. Nous voilà donc une heure plus tard à nouveau assises dans un bar. Mais cette fois, le bar est plus animé et notre breuvage beaucoup plus fort en alcool.


Après trois ou quatre shoots de tequila nous sommes toutes les deux beaucoup plus détendues. Marie reprend la discussion de tout à l’heure comme si nous ne l’avions jamais interrompue.



On commande une nouvelle tournée. Puis encore une, histoire d’être sûres.



Encore un long silence qui veut dire : « Vas-y continue, je suis avec toi, je ne te juge pas, tu peux tout me dire ».



Je finis ma phrase en montrant mes seins.



Pendant que je raconte mon histoire, Marie a commandé une nouvelle tournée. Nos verres terminés, Marie m’emmène sur la piste de danse.


Nous dansons entre filles, bien serrées, histoire qu’aucun mec ne vienne s’incruster entre nous ! Et après tous les verres que nous avons bus et la chaleur ambiante aidant, nous nous retrouvons à danser très, très serrées. On se frotte littéralement la poitrine l’une contre l’autre, ce qui fait ressortir impudiquement nos tétons. Mais ça ne nous arrête pas. Je me sens bien, on continue notre danse, ses mains se posent sur mes fesses. Marie me caresse à travers ma robe. Nous sommes seules au monde quand la musique s’arrête.


C’est l’heure de partir, le bar ferme. On sort sans un mot, on monte dans un taxi qui nous ramène à son hôtel.


On arrive dans sa chambre un peu pompette mais en forme. Marie me propose de reboire un coup, elle met de la musique et on se remet à danser, mais plus calme cette fois-ci. Ça devient très vite moins innocent… À un moment, je m’écarte d’elle et prétexte une envie d’aller aux toilettes pour reprendre mes esprits. La situation nous échappe totalement.


Quand je ressors, elle est en train de danser toute seule avec son verre à la main, les yeux fermés. Je la trouve belle et je la rejoins, lui enlève son verre des mains, le repose, pour reprendre notre danse. Rapidement collées l’une à l’autre encore, elle me prend le visage à pleines mains et m’embrasse à pleines lèvres pour le baiser le plus tendre que j’ai eu depuis longtemps… Je me sens chavirer.



Ce baiser et ce murmure suffisent à me liquéfier, je suis maintenant totalement fébrile, à deux doigts de l’apoplexie. Elle profite de mon apathie, elle est maintenant en train de me déshabiller. Elle me descend le haut de ma robe et mon soutien-gorge tout en douceur. Puis elle se retourne pour que je lui déboutonne son chemisier. Fébrile, je défais les boutons un par un, fais glisser son haut et enfin je dégrafe à mon tour son soutien-gorge. Nous sommes maintenant toutes les deux seins nus, en jupe et en talon, frottant nos poitrines l’une contre l’autre, ses tétons sont déjà durs et les miens presque douloureux. Notre baiser devient de plus en plus passionné, sa bouche s’entrouvre, puis nos langues se rencontrent. Nos mains ne sont pas inactives caressant tour à tour les fesses, les cuisses, le dos, la nuque… mon bas-ventre en est tout frémissant et je commence à mouiller. C’est le meilleur baiser que je n’ai jamais reçu, plein de tendresse et de désir.


Ses mains empoignent mes seins pour mieux apprécier la lourdeur de ma poitrine et la « dureté » de mes tétons. Elle se recule un peu pour admirer ma généreuse poitrine bien tenue avec de larges aréoles surmontées de tétons érigés tels des petits glaçons roses. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits qu’elle s’agenouille devant moi pour finir d’enlever ma robe et me la faire glisser jusqu’aux chevilles, approchant son visage de mon string trempé. Elle me l’enlève doucement, passe sa langue le long de mes lèvres intimes puis remonte lentement vers ma bouche. Dans sa remontée, elle en profite pour embrasser et caresser mes fesses, mon ventre et mes seins. Je me retrouve complètement nue au milieu de son salon. Nous reprenons notre danse lascive, plus sensuelle que jamais ! Bouche contre bouche, seins contre seins, mon sexe venant frotter sur sa jambe. Je dégouline réellement, je commence à le sentir à l’intérieur de mes cuisses.



Je ne me fais pas prier et je laisse ma main se promener sur ses seins, mes doigts se rapprochant de leur centre, mon pouce se pose sur l’extrémité de son sein droit, doucement je le tourne, accentuant peu à peu la pression sur son téton. Parallèlement, elle pose ses mains sur ma poitrine. Je sens ses doigts autour de mes seins, c’est délicieux, elle me serre les tétons sans ménagement, Dieu que c’est bon !



J’enferme son téton gauche entre mes lèvres, mes dents se posent dessus.



Pour me montrer qu’elle aime mon traitement, elle avance sa poitrine vers ma bouche en même temps qu’elle attire ma tête sur ses seins. Puis elle me prend par la main et m’entraîne vers le lit. Elle m’allonge doucement, s’assoit sur moi. Ses mains remontent de mes hanches jusqu’à mon visage dans une longue caresse sensuelle. Elle passe son index sur mes lèvres, je ferme les yeux et dépose un baiser sur son doigt, puis ma langue vient à sa rencontre et mouille doucement sa phalange. Elle glisse maintenant sa main vers ma chatte et me caresse doucement l’intérieur des cuisses. Ses doigts se rapprochent imperceptiblement de mes lèvres. Je sens ma chatte gonflée de désir. Elle risque un doigt à l’entrée de mon vagin, je mouille incroyablement.


Pour ne pas être en reste, de sa main libre Marie me prend le bras et le descend vers son entrejambes. Mes doigts se posent sur son clitoris puis s’enfoncent dans son sexe luisant. Mon index et mon majeur sont trempés du jus de Marie. Ne pouvant me retenir je les porte à ma bouche et goûte ce nectar. Marie se met par terre à genoux, elle m’écarte les jambes. J’imagine déjà sa langue sur mon sexe.


Elle a une jolie vue sur mon minou, petit rectangle de poils, mon clitoris déjà gonflé et mes lèvres vaginales humides. Elle utilise ses mains pour me toucher et frotter mon clitoris entre son index et son pouce, ce qui me fait gémir. Elle introduit délicatement un doigt dans mon vagin et le ressort. Elle me regarde quelques secondes puis décide de le porter à sa bouche pour goûter à son tour mon jus intime.


Elle replonge ses doigts vers mon sexe, écarte mes lèvres et avance sa tête pour pouvoir toucher ma vulve avec sa langue. Elle commence par donner des grands coups de langue de haut en bas et de bas en haut, puis alterne en secouant sa tête de gauche à droite. Ma chatte est trempée. Pendant que Marie me lèche, je me caresse les seins, jouant avec mes tétons. Elle essaie d’introduire sa langue le plus loin possible dans mon vagin. Elle a le nez quasiment sur mon clitoris, elle respire les odeurs de mes effluves intimes. C’est à pleine langue qu’elle me tire des soupirs de satisfaction, et de plaisir. J’encourage sa hardiesse pressant doucement son crâne sur mon sexe.


Je sens que je vais bientôt jouir. Elle aussi. Elle stoppe ses caresses buccales. Elle attrape mes jambes et les pose sur ses épaules, écarte mes fesses de ses deux mains et plonge rapidement sa langue vers mon anus. Je ne peux retenir un sursaut de surprise mais, passé l’étonnement, je repousse ses mains pour écarter moi-même mes fesses et lui donner ainsi l’accès intégral à mon anus.



Grisée par cette demande, elle replonge illico sa tête. Sa langue explore là où personne n’est allé et ses doigts caressent frénétiquement mon bouton gonflé. Elle me lèche amplement de l’anus au clitoris m’arrachant à chaque passage des gémissements exaltés. Je suis au bord de l’orgasme. Marie le sent et concentre maintenant ses efforts sur mon clitoris tout en introduisant son pouce dans mon vagin et son majeur dans mon cul. Tout s’accélère, un doigt me sodomise, un puis deux autres me baisent et j’entends le bruit humide de leurs va-et-vient dans mon sexe et une langue caresse mon clito. Je suis déchaînée, je crie, je halète, mon corps se tend et enfin je jouis. Mon orgasme m’entraîne dans d’hystériques et incontrôlables soubresauts.


Il me faut quelques minutes pour récupérer de cette équipée sauvage, quelques minutes pendant lesquelles je me dis que jamais je ne me suis sentie aussi bien. Après ces quelques instants de répit je me rapproche de Marie pour lui rendre la pareille mais elle m’arrête et se dérobe en me souriant.



Le lendemain le réveil est difficile, on a toutes les deux mal à la tête et une espèce de silence gêné s’installe entre Marie et moi. Je me rends alors compte que si nos corps semblent avoir accepté la situation, nos esprits n’ont pas encore traité les conséquences que nos actes viennent de créer. Dans la cuisine, nous ne sommes plus dans la précipitation, dans le feu de l’action, mais dans une atmosphère plus calme, plus posée. Qu’est-ce qu’on dit à quelqu’un avec qui on n’aurait jamais songé coucher, une fois que cela s’est fait ? Qui plus est, lorsque ce quelqu’un est du même sexe que vous et est votre meilleure amie ? La situation est troublante et je cherche désespérément quelque chose à dire afin de briser ce silence. Je lève les yeux de ma tasse de thé et mon regard croise celui de Marie. Je m’apprête à parler mais elle me devance.



Malgré ces paroles et les sentiments qui la perturbent, elle arbore un sourire étonnant. Elle contourne la table pour m’embrasser. Le baiser est rapide mais elle l’a déposé sur ma bouche.


Nos estomacs se rappellent à notre bon souvenir et nous engloutissons le petit déjeuner en discutant de tout et de rien. Après le petit déjeuner nous filons direction Oxford Circus pour faire une folle virée courses. Nous passons la journée dans les boutiques, à rire et nous comporter comme des gamines de seize ans. La journée file sans que nous nous rendions compte. On a fait des folies, on a acheté ou on s’est offert tout ce qui nous plaisait. Il y a eu quelques moments de flottements érotiques lorsque nous nous sommes arrêtées chez Agent Provocateur. Mais ce n’était pas désagréable bien au contraire. Nous terminons la journée sur les rotules mais prêtes à accueillir nos amoureux.


La journée a été tellement trépidante que ce n’est qu’en apercevant le voyant de mon portable sur le lit en train de clignoter comme une guirlande de Noël que je me rends compte que je l’avais oublié. J’ai au moins quinze appels en absence. C’est Franck. Il m’annonce qu’il ne va pas venir me rejoindre, un dossier de dernière minute le retient à Lyon.


Je me mets à pleurer. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. S’il était en face de moi, je le quitterais sur-le-champ. Marie me prend dans ses bras, elle me cajole, m’embrasse tendrement.



En me parlant elle me pousse vers la salle de bain, fait couler l’eau dans la baignoire en y ajoutant du bain moussant et des sels de bain. Elle repart dans la chambre et revient avec son iPod, ses enceintes et des bougies. Elle met tout en place pour que je me détende. Elle me déshabille, je me laisse faire comme un pantin. Je me coule dans la baignoire enveloppée par la musique et l’eau chaude. Je me sens bien, ça me fait oublier ce gros con de Franck. En plus, avec le recul, je me rends compte que je lui fais la gueule alors que je l’ai trompé hier soir.


Je ressors de mon bain une heure plus tard, détendue et prête à faire la fête avec ma meilleure amie (et maîtresse ?). Quand j’arrive dans la chambre, elle m’attend sur le lit, assise à côté d’un grand sac. Elle me fait signe de me rapprocher.



Je reste muette, j’ai peur de comprendre ce qui va suivre.



J’avais bien compris. Je prends une seconde pour réfléchir à ce qu’elle vient de dire.



Là-dessus, elle part dans la salle de bains, tandis que je reste quelques minutes debout devant le lit, les jambes un peu cotonneuses.


Évidemment, sa proposition me trouble : coucher avec François ne serait pas une corvée. Non, ce serait même un vrai plaisir pour moi. Mais faire cela avec Marie et François… Là, j’étais moins sûre de moi. Enfin, je ne voudrais pas créer de problèmes entre Marie et moi, « après ». C’est différent de coucher chacun séparément que de le faire à trois.


Je suis toute nerveuse en attendant qu’elle sorte de la salle de bain. Dès qu’elle sort et je décide de m’ouvrir franchement à elle de mes doutes.



Son ton est assuré.



Ses yeux pétillent.



Perdue dans mes pensées je n’ai même pas pensé à regarder ce qu’il y a dans le sac.



Je sors le contenu du sac : des sous-vêtements, string et soutien-gorge, porte-jarretelles et bas, des talons et des foulards pour nous attacher.



Une fois habillées, nous avons l’air de deux call-girls, mais ainsi vêtue je me sens armée pour être une esclave sexuelle.

Marie me tend une carte et un feutre.



En écrivant je sens, en même temps une boule dans mes entrailles, que je commence à mouiller de désir.



Elle prend dans ses mains les liens et autres ustensiles dans ses mains tout en me parlant et me fixant.



Elle attache mes mains solidement derrière mon dos, avant de m’attacher les chevilles. Enfin elle se lève, avant de se saisir d’un objet que je ne pouvais voir.



Elle acquiesce d’un mouvement de tête.



Elle s’approche de moi, met son bras autour de moi. Elle positionne le bâillon autour de ma bouche.



Puis elle serre le bâillon, et je me retrouve muette. Elle l’a bien attaché ; même si je le voulais, je ne pourrais pas parler.


Marie se place à côté de moi. Elle attache d’abord ses chevilles, puis met en place son bâillon. Enfin elle referme une paire de menottes sur ses poignets, dans son dos. Et nous commençons à attendre.


L’attente n’est pas trop longue mais avec mon trac j’ai l’impression qu’elle a duré trop longtemps. Pendant que nous attendons François, je regarde Marie. Elle est belle, mais elle n’a pas l’air plus rassurée que moi.


J’entends quelqu’un qui essaie d’ouvrir la porte de la chambre. Soudain, je suis pris de panique, et si ce n’est pas François mais la femme de chambre ou, pire encore, le maître d’hôtel. Je n’ai pas le temps d’aller plus loin dans mes pensées que la porte s’ouvre sur François. À ce moment-là, si j’avais pu courir et m’enfuir, je l’aurais fait. Je me sens honteuse, presque nue et attachée sur ce lit ; François est entré dans la pièce, assez distraitement. Puis il nous a vues. Il lui faut une seconde ou deux pour comprendre la situation. Je n’arrive pas à lever les yeux et regarder son visage. Il reste à nous regarder, nous dévorer du regard sans rien faire. Puis enfin il se rapproche. Il prend les cartes dans ses mains et les lit l’une après l’autre avec attention.



Il fait un pas en arrière et nous contemple avant d’ajouter :



Il reprend la carte à mes pieds. Il la lit à haute voix en me regardant droit dans les yeux.



Il me contourne et se positionne devant sa femme et lit toujours à haute voix le texte de sa carte.



Il se déshabille en face de nous, en prenant tout son temps. Il a déjà une érection massive. Son sexe semble gonflé d’impatience. Il s’installe juste en face de moi, il a l’air tellement sûr de lui. Il m’enlève mon bâillon.



J’acquiesce d’un hochement de tête.


Il avance son sexe devant mon visage et l’introduit immédiatement dans ma bouche.

Je me mets à le sucer avec ardeur. Sa bite est dure et fraîche. Je lui fais la meilleure pipe que je n’ai jamais faite. Je m’efforce d’engloutir le maximum de son sexe dans ma gorge. Je m’applique, je suce, je lèche, je branle de la bouche le mandrin de François sous le regard de sa femme. Pendant que je le suce son regard passe de moi à Marie. Il lui caresse le visage et les cheveux ; au même moment il jouit dans ma bouche. Je n’arrive pas à tout avaler, et une bonne partie de son sperme coule sur mes seins, sur mon menton.


François enlève le bâillon de Marie et lui dit simplement :



Marie se penche vers moi et commence à me lécher les seins jusqu’à ce qu’il ne reste plus une trace du sperme. Puis elle remonte vers ma gorge, mon visage. Elle fait exactement ce qu’il lui demande.


Il sourit, et remet mon bâillon en place. Puis il dégrafe mon soutien-gorge, caresse mes seins, pince légèrement mes tétons. C’est bon et très excitant, car je n’ai aucune idée de ce qui va se passer. Il détache mes chevilles, et me dit de me lever. Il détache également les chevilles de Marie, et la positionne à genoux devant moi.



Elle est encore attachée. Naturellement, elle s’y reprend à plusieurs fois pour attraper le haut de ma culotte entre ses dents. Et plusieurs autres avant de parvenir à me la retirer, et à la faire passer par-dessus mes hanches, et jusqu’au sol.

Maintenant je suis complètement nue.


François nous dit :



Il prend mon bras, me fait asseoir sur le lit. Puis il se retourne vers Marie et lui dit :



Marie baisse le regard mais ne répond rien, sa question était purement rhétorique.



Au fur et à mesure que François lui dicte ses instructions, Marie s’exécute. Elle les suit à la lettre pendant qu’il contemple le spectacle.



Marie me regarde droit dans les yeux.



Elle se reprend immédiatement et avec une voix suppliante me demande :



François se positionne derrière moi et, tout en me triturant les seins, me dit :



Je réponds en criant presque.



La langue de Marie remonte vers mes lèvres intimes. Toujours derrière moi en train de me peloter, François se positionne pour avoir une meilleure vue. La langue de Marie entre en contact avec mon clito alors que François reprend position devant moi. Il est dur à nouveau.



C’est bon, trop bon et trop beau.


François appuie sur ma tête m’obligeant à reprendre son sexe dans ma bouche tandis que Marie m’emmène vers le septième ciel. Il force ma bouche comme s’il s’agissait de mon sexe. Il me baise littéralement la bouche alors que Marie me torture impitoyablement, sa langue toujours plus présente sur mon clitoris.


Et soudain l’orgasme me terrasse, j’arrive à me dégager de l’emprise de François pour crier ma jouissance.



Mon orgasme est fort et long. Je tombe en arrière, sur le dos, les yeux clos.

Alors que je me remets doucement de mes émotions, je me rends compte que François est prêt à davantage d’action. Il aide Marie à se relever et la positionne de façon à ce que sa chatte soit au-dessus de ma tête. Puis il s’adresse à moi :



Je m’exécute sans attendre. Mes mains sont encore attachées mais il ne m’est pas très difficile de me mettre en position, et de débuter mon œuvre. Marie, bien excitée par ce qui s’est déjà passé, est très réceptive à mes caresses buccales. Elle mouille comme une fontaine. Je lape sa vulve sur toute la longueur, je déguste son jus au plus profond de sa chatte. Son clitoris ne tarde pas à montrer le bout de son nez. Je me mets à le mordiller doucement et ses gémissements se font entendre de plus en plus.



Pendant que ma bouche et ma langue s’activent sur le sexe de Marie, François glisse ses deux mains pour empaumer ma poitrine. Ses mains sont remplies de mes seins, il prend mes tétons entre ses lèvres, les aspire, les gobe, les mordille.


Les caresses de François ne m’empêchent pas de continuer mon cunni. Ma langue lèche de haut en bas le sexe de Marie, je m’attarde sur son clito et le décalotte pour le sucer de mes lèvres. Les halètements de Marie se font de plus en plus forts, elle est très proche de la jouissance.


François est comme hypnotisé par ma lourde poitrine. Il la maltraite et j’adore ça. Mes tétons sont dressés et pointent vers François attendant impatiemment le prochain assaut de sa langue, de ses mains ou de ses dents. Je n’ai qu’une envie : qu’il continue. Comme s’il lisait dans mes pensées, mon amant presse mes seins avec ses mains pour faire pointer encore plus si c’était possible, mes deux tétons déjà gonflés.



Il avance le long de mon corps, amenant son sexe au niveau de ma poitrine. Il place sa bite dans le sillon qui sépare mes seins. Elle trouve sa place naturellement entre mes seins volumineux et gonflés par le désir. Il presse mes seins l’un contre l’autre, formant un conduit où sa queue disparaît. Il commence ses va-et-vient. À chaque poussée son gland dépasse, je résiste à l’envie de le prendre en bouche et concentre mon attention sur Marie.


Quand je pose ma bouche sur son anus, elle pousse un « Oh ! » cristallin de plaisir. C’est la première fois que je m’occupe de ce côté-là. Je lèche son anus de grands coups de langue, le mélange de sa mouille et de ma salive permet de franchir le passage étroit de son anus. Ma langue rentre et sort comme un sexe puis repart vers sa chatte où elle plonge dans sa vulve trempée. Ses cris vont crescendo vers l’orgasme.



Quand son orgasme la submerge Marie se laisse aller en avant.



François est encore raide et plein d’ardeur. Il nous détache enfin, afin de nous faire changer de position.



Après ce petit intermède pour nous détacher, François me force à me mettre en levrette et positionne un foulard sur mes yeux. Je ne vois plus rien mais j’entends qu’il donne des ordres à Marie. Je sens bientôt des mains emprisonner mes seins tandis que d’autres caressent ma croupe offerte. Un doigt force ma bouche, je le suce comme un sexe. Le doigt se retire de ma bouche et François s’allonge sous moi. Je sens sa bite entrer en contact avec ma chatte. Ce contact m’électrise, il tient sa bite d’une main et la guide dans mon antre, le gland écartant les lèvres. Il me pénètre, lentement, inexorablement, jusqu’à ce que mes fesses touchent ses cuisses. Je pousse un soupir qui se termine par un râle. Il est solidement emmanché en moi, sa queue touche le fond de mon vagin. Il commence alors à accélérer, d’abord doucement ce qui me permet de le sentir encore plus profondément en moi, puis ses mouvements se font plus amples, de plus en plus grands. Quand il redescend, sa bite sort presque entièrement de ma chatte, puis il repart vers l’avant pour m’emmancher au plus profond.


Le doigt mouillé que j’ai sucé se pose sur mon petit trou. J’ai un petit mouvement de recul mais François s’en aperçoit.



Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’une grosse fessée me coupe. Vite suivie d’une deuxième. Elles résonnent dans la pièce en même temps que mes cris.



Implacable, sa main s’abat sur mes fesses qui vibrent sous le choc. Derrière, les doigts de Marie retrouvent ma petite rondelle qu’ils se font un malin plaisir de taquiner. Elle presse à nouveau son index sur mon œillet. Le muscle se relâche et la première phalange de son doigt me rentre dans le cul. Elle prend son temps pour me dilater l’anus, elle fait des mouvements circulaires avec l’index pour en détendre les muscles et en même temps, elle l’enfonce un peu plus.


C’est alors un festival de fessées tandis que Marie agace terriblement mon petit trou François me pilonne autant qu’il me fesse. Je suis à deux doigts de l’orgasme, j’aime cette dualité : plaisir en bas et douleur en haut. Il modère néanmoins ses claques sur mon cul à présent rouge, mais ni les doigts de Marie ni le sexe de François ne me laissent de répit. J’ai le cul, la chatte et les fesses en feu. Je pose ma tête sur le torse de François, la croupe bien relevée, comme pour mieux garder ma position soumise. Je halète, mon plaisir commence à me prendre tout entière. Mes lèvres intimes dégoulinent, ma cyprine mouille mes jambes. Il ne faudra plus longtemps pour que je jouisse ! Je gémis :



Il accentue un peu plus ses claques sur mes fesses écarlates qui vibrent sous les impacts, Marie s’acharne autour de mon anus, elle me doigte, me lèche, elle bave même, mouillant mon mollet. Soudain, j’explose, ma jouissance remplit la chambre, mes ongles s’enfoncent dans les chairs de François. Je crie plusieurs fois puis enfin mon corps se relâche. Alors, sans égard, François me repousse et me jette sur le lit, mon cul rougi en l’air.



Bien que cette pratique m’ait toujours rebutée, à ce moment précis je n’ai envie que d’une seule chose : la bite de François plantée dans mon cul.



Puis s’adressant à Marie



Marie s’exécute sans attendre et se positionne derrière moi. Comme s’ils ne m’avaient jamais quittée, ses doigts et sa langue retrouvent le chemin de mon œillet. Je suis dégoulinante de mouille qu’elle utilise comme lubrifiant pour franchir le passage étroit de mon anus. Elle en masse le pourtour, appuie un peu en son centre, retourne vers le sexe, butine un peu de nectar pour bien lubrifier la petite porte, et enfin me pénètre avec son doigt. Elle fait quelques va-et-vient et le ressort pour mieux me lécher. Je me dis que c’est le paradis de se faire dévorer les fesses ainsi.


Au même moment, François s’agrippe à ses hanches, il prend possession de son sexe d’un puissant coup de reins, qu’elle accueille d’un long râle. Ses coups de reins, vigoureux, font claquer ses fesses contre son bas-ventre. Marie se déchaîne, l’encourageant à aller toujours plus loin, toujours plus fort.



Ses mains viennent servir de réceptacles à sa poitrine et ses paumes l’électrisent uniquement par leur frottement sur ses tétons.



Son sexe lui bourre la chatte avec force alors que ses mains ne lâchent pas ses seins auxquels il s’accroche comme à des bouées. C’est violent, brutal, mais c’est si bon. Marie jouit rapidement et bruyamment. Il continue cependant de la pistonner jusqu’à ce que sa jouissance arrive et qu’un flot de sperme se déverse dans sa chatte. Il s’écroule sur elle, en sueur et à bout de souffle. Nous restons un instant dans cette position, sans bouger jusqu’à ce que son sexe, qui ramollit, glisse hors de son conduit.


François se relève, fait le tour du lit et vient se mettre devant moi.



J’entame une fellation des plus douces, destinée à le remettre en forme. Ma bouche forme un anneau autour de sa verge et je le fais coulisser lentement. Très rapidement, François montre le plaisir que je lui donne par de petits bruits de gorge alors que justement je m’efforce d’engloutir le maximum de son sexe dans la bouche. Je m’applique, je suce, je lèche, je branle de la bouche le mandrin de l’homme sous le regard de sa femme. Nos regards se croisent, elle me sourit et vient se placer sous moi comme pour un 69. Elle me lèche la chatte tout en me doigtant le cul.


Je continue de sucer François. Je suce son gland, je saisis ses testicules dans ma main et par une légère pression je le fais aller plus loin. Je l’accueille presque entièrement, le faisant aller et venir à mon rythme pour le faire durcir encore, au point qu’il s’échappe lorsque je le laisse ressortir. Mais mon idée n’est pas de le faire jouir en moi. Non, je veux qu’il prenne la place des doigts de sa femme qui ont élargi le chemin de mon cul.


François me redemande



Il fait le tour du lit se positionne derrière moi et il introduit son sexe dans mes fesses, avec assez de douceur, jusqu’à ce qu’il me remplisse complètement. Puis il commence à bouger doucement, avant d’accélérer son rythme. Bientôt, il me baise avec force, et ponctue ses efforts d’une claque sur mes fesses de temps à autre. Je crie, à la fois de plaisir et de douleur, la sensation qu’il me procure est avilissante et intense à la fois.



De son côté, Marie suce mon clito et avec ses deux doigts dans mon vagin, caresse le sexe conquérant de l’autre côté de la fine paroi.


Le moment n’est plus à la retenue et la queue de François s’active avec force dans mon cul comme si sa propriétaire avait imaginé cet instant depuis longtemps. Et je participe et je crie mon plaisir de me faire enculer. Pas besoin de me maintenir par les hanches, c’est moi qui viens au-devant. Si le gland ressort, mon trou reste ouvert comme s’il en voulait encore. François m’encourage



Nous bougeons trop, la langue de Marie ne trouve plus le chemin de mon clito et elle retire ses doigts devenus inutiles. Elle me pince les seins comme pour me faire mal, j’aime cette brutalité qui règne dans la chambre. On va jouir tous les deux en même temps !


Explosion ! C’est délicieux, on a joui comme des fous. François éjacule en moi, me remplissant le cul de sperme. Marie, toujours sous moi, lèche la semence qui s’écoule de mon trou. François s’est assis sur le lit pour souffler un peu et observer, fasciné, sa femme me nettoyer méticuleusement. Marie se dégage et remonte avec sa langue sur mon corps jusqu’à ma bouche. Cela se termine par un roulage de pelle en règle, il peut voir des filets de sperme, de mouille et de salive mêlés s’étirer entre nos bouches. Ce spectacle lui redonne une érection d’enfer.



Pas encore rassasiées nous nous dirigeons lentement vers François. Nos deux bouches débordantes de salive le sucent tour à tour. Deux langues l’une contre l’autre qui se tortillent sur son gland, lui mordillent la peau. Il soulève son bassin pour pousser sa bite jusque dans nos gorges. Sa bite passe d’une bouche à l’autre, son gland touchant des dents, des palais, des langues… Nous nous embrassons contre sa queue ultra-sensible. Nous jouons un moment avec nos langues avant de nous embrasser avec passion.



Je branle la base du pénis tout en pompant le gland avidement ; je l’enfonce au plus profond de ma bouche puis le ressors lentement en le serrant fortement entre mes lèvres. Je passe le sexe de nouveau bandé à Marie. Elle le lèche comme une glace, joue à le faire tourner avec sa langue, titille le méat avec la pointe de celle-ci, puis reprend goulûment son aspiration comme une pompe qui voudrait le vider de son suc.



En bonnes soumises, nous ne contestons pas l’ordre. Nous nous glissons à tour de rôle tout son sexe dans la bouche. Pendant quelques secondes, il peut profiter de cette sensation particulière de sentir sa verge entièrement serrée. Il se retire ensuite lentement, laisse le temps d’une respiration, puis glisse à nouveau son membre dans l’une de nos bouches et lime un moment celle-ci comme un sexe. Nous le suçons comme ça pendant cinq minutes jusqu’à ce qu’il m’intime l’ordre de préparer Marie à son tour pour une sodomie.


Elle s’installe à quatre pattes sur le lit, je rentre ma langue dans le petit trou de Marie, le plus profond possible et l’agite. Elle grogne en dodelinant du cul. J’enfonce en même temps deux doigts dans son con, quand je les ressors ils sont pleins de mouille. Tandis qu’elle ondule encore, mes doigts trouvent le chemin de son anus et s’enfoncent sans difficulté. Pendant quelques longues minutes, je m’applique autour de sa rondelle puis attrape le sexe de François pour présenter son gland en face de ce trou qui semble l’appeler ; sans hésiter il s’introduit dans le fondement de Marie. Le mouvement est si brusque que le gland disparaît, suivit par une large partie du mandrin. J’ai sous les yeux le parfait exemple de la souplesse de ce sphincter qui entoure, étrangle ce sexe qui est pourtant entré bien facilement, comme s’il l’attendait.


François est dans la place et sa femme n’a pas l’air de s’en plaindre. Et je vois là, devant moi, pour la première fois, la queue d’un homme envahir le fourreau étroit d’une femme. Ce spectacle m’excite et m’émeut en même temps. Centimètre par centimètre, je vois la hampe disparaître, puis ressortir, pour pénétrer encore plus loin. Marie tourne la tête vers moi. Elle sourit et nos regards se croisent. Elle semble comblée, pleine, empalée. François accélère ses mouvements, Marie vient à sa rencontre, ses seins oscillent et tremblent sous ses coups de boutoir, de plus en plus fort. Elle enfonce la tête dans le matelas. D’une main elle se caresse la chatte et de l’autre elle se touche les seins, elle ne va pas tarder à jouir. François l’encourage, la dirige pour que son plaisir monte, il devient plus grossier et la traite de salope. Le son de la voix de Marie change, plus sourd. Elle est transportée par la pénétration et les paroles crues de François



François jouit à son tour, il crache son jus au fond de son cul. Ils s’écroulent tous les deux, fatigués par cette dernière chevauchée. Je les rejoins pour notre premier baiser à trois, c’est à la fois doux et brûlant quand les deux lèvres viennent toucher les miennes dans un baiser d’une tendresse désarmante. Ce geste si doux me touche car je ne m’attendais pas à une telle délicatesse dans ces circonstances. Mais à bout de forces nous nous endormons tous les trois dans le même lit.


Le lendemain je me réveille la première, je vais prendre une douche et lorsque je pénètre dans la chambre, le drap a glissé, je suis subjuguée par le spectacle de ces deux corps. Ils dorment encore, alanguis, offerts à mon regard. Je m’approche doucement, dépose un chaste baiser sur les lèvres de Marie pendant que mes mains effleurent leurs corps et déclenchent des frissons. Ils ouvrent les yeux en même temps et me sourient. Je glisse sur les draps pour venir vers le sexe de François qu’il m’offre en se retournant.


Ma bouche et ma langue dégustent cette verge si parfumée par nos ébats de la nuit, il soulève son bassin pour que je le prenne encore plus loin dans ma bouche. Je m’applique à lui faire plaisir, retrouvant mes gestes d’hier. Marie se déplace dans le lit pour partager avec moi cette bite tendue, nous la suçons chacune notre tour puis elle se dégage pour venir embrasser mes seins et enfin descendre vers ma chatte. Elle me lèche, elle entreprend de jouer du bout de sa langue sur mon sexe, explorant mes petites lèvres et mon clitoris.


Une onde de plaisir me parcourt, Marie explore mon sexe trempé de sa langue experte puis elle se relève, retire le sexe de François de ma bouche et le présente devant ma chatte. Celui-ci me pénètre tout en douceur. Il reste figé en moi et il se contente de faire des ondulations du bassin. Ses mouvements n’ont pas trop d’amplitude mais toute la surface de sa queue est en contact avec mon vagin. Dieu que c’est bon ! Sa queue s’engouffre dans mon vagin, aussi loin que possible. Il entame un lent va-et-vient, je crochète mes jambes dans son dos pour le guider un minimum et pour qu’il aille le plus loin possible en moi. Je ne suis pas longue à venir, rapidement je secoue la tête d’un côté puis de l’autre en me mordant la lèvre inférieure. Soudain je soulève les fesses, projetant mon bassin vers lui et pousse un « oh oui… Humm… » de contentement et m’arque. Marie s’allonge à côté de moi et me dit en me caressant la joue.



Je l’embrasse à pleine bouche puis embrasse François, heureux de ne plus être considérée seulement comme une amie mais plus comme un des sommets d’un triangle amoureux.


Cela fait plus d’un an que vivons ainsi à trois et chaque sommet de notre triangle amoureux est indispensable aux autres. Je suis plus radieuse, plus épanouie. Et puis, quand j’ai envie d’un câlin, il y a quatre épaules pour me consoler. Et ça, si ce n’est pas le bonheur, ça y ressemble.