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Temps de lecture estimé : 34 mn
03/02/14
Résumé:  Martine se venge de l'infidélité de son mari, mais elle choisit une voie qui la conduit hors des sentiers classiques.
Critères:  fh fhhh extracon vengeance fellation cunnilingu préservati sandwich fsodo gangbang attache yeuxbandés confession
Auteur : RobertAnne      
Retour de bâton

SMS du 06 "" "" "" "" au 06 "" "" "" "".

Lucas.

Connecte-toi au lien ci-dessous. J’ai laissé un document pour toi.

Http : //www. Ephemere. Com/fichier/Martine/12584-2569

Martine




Chéri.

Je profite de ton voyage en Asie pour faire le point entre nous.

Tu te souviens du jour où tu avais oublié ton smartphone ? Ce jour où tu m’avais demandé de le porter à ton travail car il te le fallait absolument ?

Moi, c’est comme hier. Ton téléphone qui annonce un SMS alors que je sors de la maison. Le SMS que je regarde, par réflexe, et qui apparaît sur un fond bleu. Le texte que je relis une seconde fois, croyant une erreur.


Chéri, Je t’attends dans la salle du sous-sol, à 13 h. Je suis toute chaude. Mon petit trou baille déjà. Il attend ton bâton. Ta petite Salope.


Tu vois, je m’en souviens très bien. Je me souviens aussi de tous les autres messages découverts, que tu avais échangés avec "Ta petite Salope", cette femme qui n’a pas peur d’utiliser tout ce vocabulaire que tu me laissais penser vulgaire. "Bite, queue, enculée, suceuse de foutre, etc."

Cette révélation m’a fait hurler de douleur. Toi, une maîtresse ! Une maîtresse avec qui tu faisais des choses que jamais tu ne m’avais demandées. Moi, je ne suis bonne que pour élever nos enfants. Mère, mais pas maîtresse. Tu ne mélanges pas les genres. Alors qu’il aurait suffi d’un mot et je me roulais à tes pieds pour accepter tous tes caprices, tous les plaisirs.


Salaud ! Voilà ce que tu es !

Ah, "Salope", voilà un mot que vous, les hommes, déformez à votre convenance.

Il peut être la pire injure si la femme est une connaissance, voire votre femme qui trompe.

Il peut être un compliment, voir affectueux si vous lui associez l’adjectif "Petite". C’est une femme aussi, mais votre maîtresse, dans ce cas.


Mais je me disperse.

Te souviens-tu, qu’à la même époque nous avions entrepris de gros travaux dans la maison ? Mais si ! C’était au même moment, et chaque soir, tu rouspétais que c’était "le bordel" et que le chantier n’avançait pas. Pourtant c’est moi qui me chargeais de tout et lorsque tu rentrais, tard, les ouvriers étaient partis depuis longtemps. Nous avions choisi juillet car les enfants étaient chez ma mère et nous laissaient ainsi le libre accès à leur chambre.

Les ouvriers ! Tous étrangers. Polonais, Roumains, Magrébin, Africains. La plupart jeunes, sans famille ou ayant laissé leur femme "au pays".


Mon premier a été "Roméo", cela ne s’invente pas. J’ai eu de la chance pour mon premier pas de "Salope", pour la première étape de ma vengeance programmée.

Quoi, tu pensais que je resterais sans réagir ?

Donc, Roméo était resté seul, les autres ayant quitté le chantier dès 17 h tapante. Il terminait d’étaler du béton pour la dalle de notre terrasse actuelle. En ce mois de juillet, même en fin d’après-midi, la chaleur était suffocante. Il était torse nu, en short informe et son corps luisait de sueur. Des marques blanchâtres, du ciment séché, ponctuaient sa peau sombre. Oui, Romeo, originaire de Côte d’Ivoire, a la peau noire. D’un noir que je dirais "d’ébène" si les racistes et esclavagistes n’avaient pas sali ce mot.


Je me souviens parfaitement de ce moment et peux le revivre par l’esprit.

Je suis en maillot de bain car j’attends toujours le départ des ouvriers pour profiter du jardin. Bien évidemment, la bourgeoise que je suis encore ne va pas s’exposer devant ces hommes. J’ai du respect pour eux, leur offre le café, des rafraîchissements. De leur côté, ils me saluent par des "Patronne" ou des "Madame".

C’est en le voyant que cela est devenu une évidence. Le destin le place sur mon chemin. Il ne me voit pas, entièrement concentré sur sa tâche. Je retourne à la cuisine, prend de l’eau et en m’approchant de lui.



Sa surprise de me voir en maillot alors que je suis toujours en teeshirt et pantalon ! Son regard est un cadeau. Moi, la femme de cinquante ans, je peux donc faire briller les yeux de ce jeune homme. Il boit goulûment le verre tendu.



Pensant qu’il me dérange, il s’excuse mais je m’empresse de le rassurer.



Quelques minutes plus tard, il me suit. Il hésite pour entrer dans la pièce.



Je l’entraîne au fond du couloir dans notre salle de bain.



Il attend un moment, pensant que j’allais le laisser seul. Mais je reste dans la pièce.

Ce n’est pas parce qu’il est ouvrier et noir qu’il n’est pas intelligent. Il a compris bien sûr. Mais j’imagine qu’il a encore la crainte de se tromper et de se retrouver dans une situation délicate. Allez savoir ce qui se passe dans sa tête. Peut-être n’est-il pas en règle ?


Mais mon sourire le rassure. Étrangement il se tourne pour enlever son short et son slip. J’ai une vision parfaite sur ses fesses avant qu’il entre dans la douche. Le verre teinté ne me laisse plus voir qu’une silhouette qui disparaît dans la buée.

Enfin, la vitre pivote. Il réapparaît, habillé maintenant de gouttes de pluie. Un pas et il est dans la pièce. Nous nous regardons. J’ose baisser les yeux et découvrir sa verge. Elle pend, longue tige sombre dont le bout semble plus clair. Je suis fascinée par ce sexe d’homme, si différent de ce que je connais. Mais qu’elle expérience ai-je de cela ? Un Mari ? Quelques amis avant mon Mariage ?


La tige semble bouger. Mais oui, elle frémit. Elle paraît plus longue et surtout donne l’impression de vouloir se dresser. Ainsi c’est vrai, je suis capable d’émouvoir ce grand diable. Juste d’un regard !

Cher Mari, c’est vraiment à cet instant que tu as perdu ta femme.

Je m’approche lentement, m’agenouille telle une vestale devant son dieu païen et avance mes mains pour vérifier que ce n’est pas un rêve. Non, il est bien là, encore plus grand et maintenant c’est déjà une queue dure que je tiens. Oui, cher Mari, moi aussi je peux dire ces mots. Ce sexe s’est mué en bite tendue vers le ciel. J’ose approcher mes lèvres pour découvrir la peau si fine du gland dégagé de toute protection. Ainsi, c’est cela un sexe circoncit.


Je goûte à la sucette rose. Ma langue cherche la base du gland, renfoncement bien dégagé. Bien vite ma bouche est pleine et le vit bute au fond de ma gorge. Je l’explore par l’extérieur, descendant lentement jusqu’aux bourses, des couilles bien remplies. Quelques poils frisés apportent une touche exotique. Je remonte, absorbe à nouveau le dard, le couvre de salive, le pompe de mon mieux.

Roméo se saisit de ma tête. Ses mains rugueuses frottent mes oreilles. Il m’impose maintenant un va-et-vient sur son mât.

Cher Mari tu devrais être content. Il me traite en salope, en bouffeuse de bite. Après tout, c’est ce qu’il doit penser de cette bourgeoise qui l’invite. Il s’enfonce si fort que des larmes coulent de mes yeux. Mais je me laisse faire. Après tout c’est ce que j’ai cherché. Ainsi, c’est cela !

Il accélère. Il ne va tout de même pas venir déjà. C’est trop vite, j’ai d’autres plans. Mais si ! D’un seul coup une giclée de foutre – c’est bien comme cela que l’on doit dire Cher Mari ? – frappe mon palais. Je ne vais pas pouvoir… Mais Roméo ne me laisse pas le choix. Pour lui, la bourgeoise doit avaler. Avaler ! Je n’ai pas le choix, ses mains me bloquent. Les giclées succèdent aux giclées et le sperme remplit ma gorge. Mourir étouffée par le foutre ! Voilà ce que les journaux vont dire demain. Une bourgeoise meurt sous les assauts d’un ouvrier. On va l’accuser de viol.

J’avale, voilà c’est fait. Ce n’est pas terrible comme goût, mais je m’attendais à pire. Consciencieusement en "Bourgeoise Salope" je m’applique à nettoyer la queue, attendant qu’il débande.

Mon amant se retire.



Et il me laisse. Une minute plus tard, le revoilà avec une boite de capote à la main. Que je suis conne, je n’ai même pas anticipé ce besoin. Sous mes yeux je le vois en installer une sur sa verge encore raide.

Mon Cher Mari tu ne m’as pas habituée à tant de vigueur. Mon amant lui, n’a même pas débandé.

Il se plaque contre moi. Je ne suis qu’une petite chose de 50 kg devant ce gaillard qui doit bien faire le quintal et qui me pousse doucement contre le meuble. Mon haut de maillot de bain se détache facilement en tirant sur la boucle de tissu. Il a sous les yeux mes deux lobes de chair laiteuse que j’ai toujours protégés du soleil, surtout depuis que j’ai fait faire une augmentation de volume.


À ce propos, Cher Mari, tu ne t’es jamais posé la question de savoir pourquoi j’avais fait cela ? Une lubie d’une femme vieillissante ? Chirurgie de l’âme, plus que du corps.

C’était pour toi, pour que tu t’intéresses un peu plus à moi. Cherche l’erreur.

En tout cas Roméo, lui, apprécie. Ses mains s’emparent de mes seins fermes et ronds, en apprécient la tenue, la rondeur, la délicatesse de la peau. Ses lèvres sucent mes tétons, pointes érigées et preuves de mon excitation.


Puis il me soulève comme une plume et m’assied sur le marbre rafraîchissant du meuble. Ma culotte n’est qu’un simple morceau de tissu qui tombe à mes pieds. Son regard se porte vers ma chatte. Est-il habitué à ce spectacle, ce sexe d’occidentale, qu’aucun poil ne protège du regard ? Mais oui, le dernier duvet que je conservais est dorénavant un souvenir.


Une salope se doit d’être totalement libre, offerte et disponible. N’est-ce pas, cher Mari ? Je suis certaine que ta "Petite Salope" t’offre ce spectacle depuis longtemps.

Eh bien ta femme l’offre maintenant à Roméo. Et lui, l’apprécie. Sa bouche se place naturellement pendant que ses doigts tordent mes tétons. Il insinue sa langue dans ma fente, comme pour goûter mon odeur. Je suis certaine que les hommes de son pays et de sa culture sont plus sensibles que nous au goût des choses. Sa langue rose explore, suce, lèche et me procure une sensation divine.

Cher Mari tu pourrais prendre des leçons de cet homme. Crois-tu que ta maîtresse, cette "Petite Salope", resterait avec toi si elle goûtait à ce plaisir. À moins que tu sois plus entreprenant avec elle qu’avec moi. Que je suis bête, bien sûr !


Je n’en profite que plus. Mais toutes ces excitations demandent plus fort, plus puissant. Mon Roméo doit le ressentir aussi. Il se redresse. Il se place. Je regarde son dard qu’il dirige de la main vers ma chatte. Le bout rose est maintenant terni et écrasé par le latex, mais il fait son office. Il écarte mes lèvres et s’invite en moi. Lentement, je vois et je sens la hampe suivre. J’ai l’impression que je ne pourrais pas l’accueillir en entier. Mais si, presque tout disparaît.


Mon amant se saisit de moi. Ses mains sous mes fesses me soulèvent à nouveau et je n’ai que le temps de m’accrocher à son cou pour ne pas tomber. Je suis maintenant rivée à son pieu, enchâssée à fond. Mes bras ne me servent qu’à ne pas basculer en arrière. Mon amant se charge de tout. Il marche, déambule dans la pièce, me soulevant de ses mains puissantes pour me laisser retomber dans un mouvement lent et violent. Dans le couloir, il m’appuie un instant contre le mur pour me baiser longuement. Mon sexe est en feu. Il me pistonne sans relâche. Il reprend sa marche. Les escaliers, il descend les escaliers au risque de nous rompre le cou. Mais que c’est bon, ces secousses qui s’ajoutent à la marche. Il continue. Jusqu’où va-t-il aller ? Je suis dans un tel état, qu’il pourrait sortir dans la rue du moment qu’il ne cesse pas.


Mais il s’arrête. La fatigue ? En tout cas, arrivé dans le salon en plein chantier, il me détache de sa cheville de chair pour me reposer sur les pieds. D’un mouvement il me fait tourner. Sa main appuie sur mon dos, pour que je me penche. Une barre de l’échafaudage se présente à moi. Je m’y accroche. Juste à temps car le pieu m’envahit à nouveau. Ses coups de butoirs sont des caresses. Il tire sur mes cheveux pour me faire cambrer le plus possible. Il va me casser. Il va me brûler, tellement son pieu va en moi. Mes orgasmes se succèdent pour éteindre l’incendie.

Enfin, un cri. Il se retire et je devine qu’il retire la capote. Des brûlures sur mes reins. Ses jets sont comme des jets de lave. Mais c’est bon, c’est bon, que c’est bon.

Que c’est bon d’être une "Salope".


Le lendemain. Car il y a un lendemain, mon Cher Mari, donc le lendemain matin, tout se déroule comme toujours. À l’ouverture, Roméo à la délicatesse de ne pas se faire remarquer. Mais il ne faut pas trop en demander, d’ailleurs je n’avais pas exigé le secret. C’est au cours de la journée que je constate que le regard des ouvriers a changé. Oh, toujours très respectueux avec le "Patronne" ou le "Madame" convenu, mais l’œil contredit la parole. Il est évident que mon amant d’un soir a vanté ses prouesses. J’ai basculé de la "bourgeoise inaccessible "à la "bourgeoise salope".

Il faut assumer, non ? Je ne détourne pas le regard, continue de faire des remarques sur le chantier. Salope, oui ! Mais cliente exigeante, toujours.

C’est le petit Mehdi, qui en me croisant ose me dire, vérifiant que personne ne le voit :



Tout cela sous le couvert de la confidence et du sacrifice. Il est rigolo le petit. En apprentissage, si j’ai bien compris. Le contraire d’un Roméo. Petit, fluide et se faisant rembarrer par les autres pour ses erreurs. Je sais qu’il a à peine 19 ans. Comme je le trouvais trop jeune et que je craignais une embauche au noir, j’avais demandé à vérifier son contrat.

Toute la journée j’ai hésité. Chaque heure qui passait le rendait renfrogné. Mais, même une Salope a-t-elle le droit de coucher avec un garçon à peine plus âgé que son fils ? Non, je n’ai pas pu. En plus, je sais qu’il a une copine. Je n’ai pas osé lui dire mon refus, de peur qu’il se sente humilié.

Ce soir, ils traînent et ne quittent le chantier que lorsqu’ils comprennent que je resterai seule. C’est dix minutes plus tard, alors que je me prépare pour ma séance de bronzage que la sonnette retentit.

C’est Medhi, tout sourire. Je n’ai même pas le temps de lui dire non, qu’il entre.



Et il me montre un petit bouquet acheté au fleuriste au coin de la rue. Des fleurs ! C’est gentil. Cela fait des années que mon Mari ne m’en a offertes en dehors des célébrations officielles, anniversaires et autres. Je ne vais pas le rabrouer.



Le temps de mettre ses fleurs dans un vase, de charger un plateau et je le rejoins. J’ai pris soin de mettre une robe sur mon maillot de bain. À peine ai-je posé le plateau que mon portable sonne.

C’est toi, mon Mari qui annonce, sous je ne sais plus quel prétexte, que tu ne pourras pas rentrer coucher. Plus cela va, plus tes excuses sont improbables. Je me souviens t’avoir répondu assez sèchement.

Medhi qui a assisté à notre échange a bien remarqué le malaise de cette conversation et sans doute pour détendre l’atmosphère, lance.



Sa blague me fait sourire et je réponds.



Je continue de sourire. Il doit prendre cela comme une invitation et dit.



Il avance.



Il est tout près. Il tend ses mains vers ma tête. Il attrape le bandeau qui m’aide à fixer mes cheveux pour dégager le front et éviter les marques de bronzage disgracieuses, pour le faire glisser sur mes yeux.



Il me susurre dans l’oreille alors que ses lèvres caressent mon cou, juste sous le lobe de l’oreille qu’il suce doucement. Je frissonne. Il s’enhardit. Ses lèvres viennent au contact des miennes. Il sent la menthe. Étrangement il ne m’embrasse pas, mais couvre mon visage de baisers, du front au menton dans une série de caresses si tendres qu’elles me surprennent. Enfin ses mains se posent sur moi. J’ai déjà rendu les armes. Au diable sa jeunesse. Au diable mon mari et sa poufiasse. C’est un amoureux qui est avec moi.

Notre premier baiser est d’une délicatesse inégalable. Moi aussi je le tiens dans mes bras. C’est progressivement que la sensualité monte. Sans nous quitter, chacun défait les vêtements de l’autre. À chaque morceau de tissu qui saute, c’est une surface de peau qui vient contre une autre.


Nous sommes nus, nos langues sont maintenant des serpents déchainés et les amants sages sont devenus fougueux. Son sexe est un bâton contre mon ventre. Ma main va le chercher et l’explorer, découvrant une tige longue et étroite que je branle doucement. Lui joue avec mes seins, s’insinue entre mes cuisses, poussant même un doigt explorateur dans ma fente. J’ai vingt ans. Mon amant aussi. Il est délicat et expérimenté. Pas de mouvement grossier ou de main trop intrusive. Je veux aller goûter son bâton. Mais il me retient.



C’est une voix qui a perdu le timbre de la jeunesse. C’est un homme mûr qui me parle.

Il me guide. Quelques pas et je bute contre la table de jardin. Il me fait pencher sur elle. Mes seins ressentent aussitôt la chaleur emmagasinée par le bois. Mon amant dirige chacune de mes mains pour qu’elles viennent s’accrocher au bord, de chaque côté de la table. Je suis plaquée, bras en croix. Il ne manque que les jambes écartées pour devenir une femme soumise, attendant la saillie. C’est la tête de Medhi qui s’en charge. Ses mains m’écartent, sa bouche court tout au long de ma fente et remonte jusqu’à l’anus. Il s’attarde longuement sur lui, redescend, remonte. Sa langue me caresse divinement. Il a la connaissance du corps de la femme. Il sait où jouer, où frotter, où sucer. Je vais jouir. Je me tortille comme une chienne en chaleur.

Waouh, que c’est bon. Une bouche inconnue mais experte et je grimpe aux rideaux.

Déjà il m’abandonne, il me laisse un instant, mais bien vite son corps vient contre le mien. Il me couvre. Sa tête est contre la mienne.



Un instant je panique. Jamais on ne m’a "enculée" ! C’est bien comme cela que l’on dit ? Hein, Cher Mari !



Il se redresse. Je sens qu’il humidifie mon petit trou avec de la salive. Son bâton est maintenant en position. J’angoisse, mais me rassure en pensant à la "Salope de Maîtresse" que mon mari doit être en train de bourrer. La douleur est presque inexistante. Merci à Venus de m’avoir donné un amant à la queue fine et pénétrante. Je suis surprise de le sentir tout contre moi, me couvrant comme on couvre une chienne. Ainsi, c’est déjà fait. Ce n’est pas la peine d’en faire un plat.

Une sonnerie. Un téléphone. Ce n’est pas le mien. C’est un "allo" déformé que j’entends. Pas croyable, Medhi répond au téléphone alors qu’il me prend. Il me chuchote même à l’oreille. "C’est ma copine". S’en suit une longue conversation en arabe. Pendant ce temps mon amant bouge doucement en moi.



Ils discutent. Medhi pose le téléphone sur la table. Enfin, il me revient. Pendant tout ce temps il est toujours aussi dur et s’active dans mon cul. Il s’agrippe à mes hanches. Les coups sont de plus en plus forts. Chaque mouvement me fait frotter la chatte contre la table. Le plaisir est aussi dans mon cul. Est-il possible de jouir par-là ? En tout cas la vague monte. Je gémis. Je crie, en pensant que les voisins sont en vacances. Mon amant termine par des coups de reins qui font bouger la table.

Il s’écroule et m’écrase de tout son poids.

Allo ! Le téléphone parle. Je comprends qu’il ne l’a pas coupé et que sa copine a été le témoin de nos ébats. Incroyable. Quelle génération ! Il lui parle.



Comme je ne réponds pas, il insiste.



Moi aussi, je voudrais bien connaître cette fille qui écoute au téléphone son copain enculer une autre et s’en vanter.



Lorsque j’ouvre la porte, une heure plus tard, j’ai failli refermer car je ne m’attendais pas du tout à cela. Mais c’est bien elle, cette "Assia". Sauf que celle qui sonne n’entre pas du tout dans l’idée que je me fais d’un couple libertin. Elle porte un voile sur la tête et même s’il ne fait pas austère du fait de la couleur, le reste de la tenue, robe grise, se charge de donner une impression de rigueur qui hurle "Hors de mon chemin".



Medhi est juste derrière moi. Ils s’embrassent. Elle enlève son voile et la robe austère. Je découvre une jeune femme fière de sa féminité et qui l’affiche par une tenue moderne, chemisier et jupe.

Ainsi, j’ai devant moi la parfaite représentante du choc des cultures. Voilée mais sexuellement libérée avec son ami. Libérée mais refusant sa virginité même si elle donne en contrepartie son petit cul à Medhi.

Contradictions !

Elle nous suit dans le jardin. En l’attendant, j’ai préparé un en-cas avec l’aide de Medhi. Medhi que je regarde d’un autre œil. Medhi qui n’a cessé de se coller à moi, de m’embrasser, de me cajoler. C’est très agréable. Maintenant qu’Assia est avec nous, il est plus sur la réserve.



Je ne m’attendais pas à une telle crudité de langage. Mais sans nous laisser le temps de réagir, elle se tourne vers moi.



Je vais répondre sèchement que ce ne sont pas des manières, mais je me retiens, consciente du ridicule de ma réaction bourgeoise après ce qui vient de se passer. La fille, tourne autour de moi. On dirait un maquignon évaluant une vache, ou une maquerelle estimant une nouvelle recrue.



Et elle me palpe.



Joignant le geste à la parole elle m’enlève le chemisier, libérant ma poitrine.

Ses mains se font plus douces et jouent avec mes seins.



Comme je ne dis rien, honteuse, non en réalité curieuse de la suite, elle enlève le reste de mes vêtements. Me voilà nue, dans mon propre jardin, objet ou les regards se concentrent.



Le pauvre Medhi est entre deux feux. Reconnaître qu’il a eu du plaisir avec moi, c’est froisser son amie. Approuver les remarques d’Assia, c’est se comporter en goujat. Il se tait.



Assia me tire par le cou. Elle s’assied sur la table de jardin, baisse sa petite culotte et me fait pencher sur son intimité.



De maîtresse de maison, bourgeoise qui reçoit chez elle, me voilà transformée, par la seule volonté d’une gamine, en gourgandine, encore que ce mot ne signifie pas grand-chose pour ces jeunes.


La première chose qui me surprend c’est la forêt de poils, à la fois fins et frisés. Dieu m’est témoin que je n’ai jamais approché de si près du sexe d’une femme. Jamais je n’ai eu l’occasion ou l’envie de me… Tais-toi, pensé-je ! Tu n’as jamais rien fait qui puisse te sortir du chemin tout tracé d’une vie calibrée de mère de famille et d’épouse aux bons soins d’un mari censé apporter le nécessaire et le superflu dans le ménage. Une telle conception du mariage doit être à cent lieues de celle des jeunes de maintenant.


La seconde c’est l’odeur. J’y retrouve celle que mes culottes conservent après un usage de la journée. Souvent je me surprends à renifler ce parfum, signe que la lingerie doit passer au lavage. Un éclair me fait comprendre qu’en réalité, sous l’excuse de l’hygiène, je sentais cette odeur pour la sensation. En réalité je retrouve chez Assia un parfum enivrant qui me trouble.


Sa main me force au contact avec sa chatte mais je n’ai pas besoin de cette contrainte. C’est naturellement que je hume cette flagrance si caractéristique. Je me plonge avec délice dans ces buissons où chaque brindille garde la trace de sa maîtresse. Je lèche. Je suce. J’aspire. Pour un peu, j’y plongerais les doigts afin de récolter le suc intime. Seule la pensée de cette virginité préservée, pour qui, pour quoi, me retient.

Assia change de comportement. Ses mains abandonnent ma tête pour se porter sur mes seins qu’elle malaxe et torture à l’envie. Même ses cuisses s’écartent pour me laisser un libre accès à son sexe.


Soudain, je sens que derrière moi quelque chose se prépare. Medhi a dû retrouver sa vigueur par notre spectacle. Sa queue trouve le chemin de ma chatte, boulevard largement ouvert et glissant que son vit découvre. C’est autrement plus ouvert que mon petit cul qui a été honoré par lui pour une première fois.

Il me bourre maintenant sans retenue, encouragé par son amie qui a retrouvé la parole.



Peu importe. Elle fait la maline mais ce qui coule de sa chatte et que je déguste pour la première fois de ma vie, n’est pas de la transpiration. Non, c’est plus crémeux, plus odorant, presque huileux. Ainsi, c’est cela le jus de la femme ! Je me promets de goûter le mien dès que je pourrai.

Medhi s’active toujours. Ma bouche glisse entre les cuisses de son amie sous ses coups de piston. Il se retire et l’instant suivant c’est dans mon cul qu’il entre. Là, c’est une autre musique. Le chemin est plus étroit et je sens parfaitement son vit avancer et reculer. C’est plus fort, plus intense que dans mon vagin que la maternité a laissé un peu distendu. Je voudrais qu’il ne s’arrête jamais. Je sens maintenant que la jouissance monte et que mon cul peut être plus sensible que le chemin classique.


Enfin il se libère dans sa capote. Oh ! Combien j’aurais aimé sentir son foutre se rependre dans mes entrailles. C’est un plaisir qui m’est refusé. Et toi, Mari volage, as-tu toujours été assez prudent pour ne pas me polluer par ta bassesse et ce que ta poufiasse pourrait te transmettre. J’espère que jamais tu ne t’es laissé aller à la facilité, au risque de me contaminer par ses virus. Assia aussi jouit. Un flot de jus vient se joindre à sa cyprine. Nouvelle saveur. Nouveau goût. C’est bon.


Ils repartent fourbus et me laissent pour un repos bien mérité.

Tu vois, Mari Chéri, ce que tes SMS pouvaient déclencher !

Je considérais que nous étions quittes, mais encore une fois tu m’as déçu. Je trouve dans ta valise une lettre anonyme et un paquet. Idiote que je suis, je pense que ce paquet est un cadeau pour moi. Mais non, la lettre se charge de me détourner de cette pensée. J’en ai fait une photocopie.

Une piqûre de rappel ?

Voilà…


Ma "Petite Salope".

Comme tu le sais, je vais être avec des clients toute la journée.

Je te retrouverai dans ta chambre. Dans le paquet tu trouveras de la lingerie que je voudrais que tu portes. Aussi un bandeau pour mettre devant tes yeux. Un mignon plug pour ton petit cul. Enfin des menottes.

Vers les vingt-deux heures installe-toi sur le lit avec la lingerie et le bandeau. Si tu veux me faire plaisir place-toi à genou, les reins bien hauts qui devraient mettre en évidence, à travers la dentelle de la petite culotte, la pierre du plug dans ton petit trou et les bras immobilisés par les menottes dont j’ai gardé les clés.

Je serai peut être seul, peut être avec un client auquel je proposerai tes services s’il a signé le contrat prévu. C’est le fardeau du directeur commercial de devoir partager sa maîtresse pour les affaires.

Rassure-toi je resterai après son départ.

Ton "Matou".


Je commence à voir "Ta Petite Salope" sous un autre jour. Aurais-tu l’infamie d’utiliser ta maîtresse comme pute pour tes affaires ? Cette femme est-elle ta maîtresse par choix ou par obligation ? Je te soupçonne d’utiliser ta position pour profiter d’elle. Non. Je me fais un cinéma. Peut-être que cela fait partie de vos fantasmes. Offrir ta maîtresse à un autre, est-ce que cela s’appelle aussi le candaulisme ? Pourquoi, alors que je suis apaisée faut-il que tu me défies, sans le savoir, à nouveau ? Ma décision est prise. Je vais frapper un grand coup et je vais te le faire savoir. D’abord acheter de la lingerie, de celle qu’on ne trouve que dans des boutiques spécialisées. Le bandeau et le plug aussi. Un appareil photo. Oui, un appareil car je veux immortaliser ma vengeance et si tout se passe comme j’ai prévu alors, tu verras ta femme dans les mêmes conditions que ta maîtresse. J’ai prévenu Roméo et Medhi de rester après le pot de fin de chantier que j’ai organisé. Pour conserver un reste de pudeur, je leur ai demandé de partir avec les autres, mais de ne pas pousser la porte entièrement afin de revenir discrètement. Il est convenu qu’ils me retrouvent dans ma chambre.


Cher Mari, j’ai suivi tes instructions. Je les attends, agenouillée, en petite tenue, le plug enfoncé dans mes reins et les yeux bandés. Tu ne m’en voudras pas si je n’ai pas mis les menottes, mais on ne sait jamais, je ne veux pas prendre le risque de rester immobilisée si un imprévu arrivait. J’entends du bruit. C’est une drôle de sensation d’être volontairement aveugle. Tout paraît étrange, inconnu, presque angoissant.



Je reconnais la voix de Roméo.



Je sens que Roméo me prend dans ses bras, me soulève et me porte avec lui. Je ne proteste pas, bien que cela change le scénario mais mon Cher Mari ne m’en voudra pas. La suite ? Tu peux la connaître en regardant les photos. Medhi et Roméo ont décidé de partager, de Me partager avec leurs collègues. J’ai fait sensation avec le plug dans mon petit trou. Sur le moment j’ai pensé tout arrêter mais après tout cela me faisait une expérience et j’ai pensé que cela me ferait une vengeance à la hauteur de mon humiliation.



Voilà.

Tu as ma confession et les preuves de ma vengeance.

Bien sûr j’ai pris quelques précautions car je ne voudrais pas que tu puisses utiliser tout cela pour me forcer à un divorce "pour faute" alors que Tu es le responsable. Ce site ne garde qu’un temps limité les fichiers et pour être vraiment sûre, j’ai flouté le visage de mes partenaires, le mien et même le décor. Mais je sais que tu vas me reconnaître…






Ma Chérie.

J’ai bien reçu ton message et tes photos. Il n’était pas nécessaire de prendre toutes ces précautions. Je n’aurais jamais l’idée de les utiliser pour un divorce. Mais qui parle de divorce. En tout cas, pas moi.

Tu as raison, je suis un salaud. Mais surtout, je suis un con. Oui, un con de ne pas me rendre compte que j’avais à la maison tout ce que je pouvais souhaiter.

Une femme aimante, parfaite maîtresse de maison et s’occupant parfaitement de nos enfants et de leur éducation.

Une maîtresse, "Salope" comme tu le soulignes, que ta vengeance me révèle. J’ai été chercher ailleurs ce que j’avais dans mon lit et que je n’ai pas su faire éclore.

Mais, d’un malheur, le bien peut venir. Mon infidélité a déclenché un tsunami que tu as cherché à endiguer avec ces hommes.

J’en suis heureux ! Oui, tu lis bien, j’en suis heureux. Je rêve de devenir un amant qui pourra reproduire tous les plaisirs que ces hommes t’ont donnés.

Si tu veux bien de moi, je suis prêt à tout accepter. Devenir ton amant, partager ton corps avec d’autres, enfin tout ce que tes sens demanderont.

Il te suffit d’un mot.

Puis je compter sur un "Oui". Un "Oui" de pardon réciproque et de plaisirs futurs.

Je suis impatient de lire ta réponse. Ma Chérie. Mon Épouse. Ma Maîtresse. Ma tendre Coquine. Ma douce Salope. Mon Amour.






Le message de mon Mari m’a surprise. Je m’étais faite à l’idée de divorcer, malgré ce saut dans l’inconnu qui me terrorisait. Surtout après ma vengeance revendiquée. Mais la vérité n’est pas celle que j’ai décrite. Ce que j’ai décrit est faux. Pas d’adultère, d’amants noir, vert ou jaune. J’ai tout inventé. Les photos montrées sont fausses. Tout est montage. J’ai récupéré, sur le net, des photos. Il m’a fallu un temps fou pour sélectionner celles où on pourrait m’imaginer, une fois le visage de l’actrice flouté. J’ai dégradé intentionnellement la qualité pour ne pas permettre de faire le rapprochement avec ma maison. Pour le texte, j’ai brodé, à partir de ces photos et du fait que nous avions réellement eu des ouvriers à la maison pendant tout le mois de juillet.


Mais je me suis faite prendre à mon propre jeu. Pour mon mari, je suis maintenant une femme sexuellement libérée. Pire une vrais salope, capable de se faire un bataillon d’ouvriers.


Deux solutions :

Soit je refuse et nous divorçons. À moi les joies de la pension alimentaire, des fins de mois difficiles et de la solitude.

Soit j’accepte et retrouve mon mari. Cet homme qui m’avait séduite et que j’ai aimé. Que j’aime encore. Sinon, pourquoi avoir fait tout ce cinéma. Mais alors, il va falloir assumer. Pour lui je suis devenue une experte, que la fellation et la sodomie réjouit.


Il faut voir… ! Je réponds oui. Qu’ai-je à perdre ?


Lucas répond aussitôt.



  • — Je serai de retour vendredi soir. Peut-être pourrais-tu envoyer les enfants en Week-end chez tes parents. Nous serions ainsi seul pour nous retrouver. Nous avons tellement de choses à nous dire. Tellement de choses à faire pour un nouveau départ.



Vendredi.

Il est 18h, on sonne. Un coursier avec deux énormes bouquets de fleur. Plus que les fleurs ce sont les quelques lignes que Lucas, mon mari a fait mettre qui me touchent. Des mots d’amour, de tendresse.

19 h, on sonne à nouveau. Un traiteur envoyé par Lucas a pour mission de dresser la table avec tous les produits raffinés qu’il apporte.

Décidemment Lucas a décidé de mettre les petits plats dans les grands. Pour se faire pardonner ? Pour séduire une femme, la sienne, que mes récits ont créée de toutes pièces.

Un moment j’envisage d’avouer. Un comble ! Avouer que je suis la même ! Non. Jamais. Plutôt mourir. Je dois tenir mon rôle.


Enfin, 22h et tu rentres chez toi.

Quelques questions pour savoir si tout a été livré. Bien sûr, je te remercie. Nous osons nous embrasser. Chastement. Comme des inconnus. Des inconnus qui vivent sous le même toit depuis tant d’années mais qui se découvrent.

Chacun examine l’autre. Je me sens idiote, adolescente comme pour une première fois. À quoi pense-t-il ? Voit-il en moi une femme perdue ou une amante ? N’est-il pas choqué par ce que j’ai écrit, par les photos plus que suggestives de mes exploits inventés ? Et si je lui avouais la vérité ? Non, une fois encore, mon orgueil me retient.

Il va prendre une douche. Pour enlever la transpiration du voyage ou se laver du parfum de sa maîtresse ?


J’attends dans la chambre. Pense-t-il à Roméo, cet amant inventé qui s’est douché aussi ?

Il ne dit rien en revenant. Je ne peux m’empêcher de le regarder, de le redécouvrir dans sa nudité. Il est resté mince, pas de bourrelets disgracieux. Je comprends qu’il puisse avoir du succès avec les femmes. Cinquante ans, l’argent, le pouvoir.


Moi aussi je décide de me doucher. J’ai soudain le besoin de faire table rase du passé. Lorsque je reviens, il n’est plus dans la chambre. Sur le lit, une robe noire est étalée. À côté, des dessous d’une blancheur virginale dont la dentelle si fine est transparente. Un plug aussi, en verre translucide et une pierre sombre. Au moins, tu as eu la délicatesse de choisir de la lingerie et un gadget différent de ceux que j’avais découverts dans ta valise.


Heureusement, j’ai eu la prévoyance de préparer mon petit trou et un peu de gel suffit pour que le plug prenne sa place. La dentelle est une merveille et me va comme un gant. Mais comment sais-tu mes tailles ? La robe me moule mais me donne une touche sensuelle que j’accentue en mettant des chaussures à talons. Je te retrouve dans le salon. J’aime le regard que tu me portes. Ainsi, maintenant je ne suis plus transparente, tu me redécouvres. Tu me complimentes et je sais que tu es sincère.


Pendant tout le repas nous bavardons, évitant soigneusement les sujets sur les enfants, ne parlant que de choses futiles. Régulièrement ta main touche la mienne et remonte sur mon avant-bras, déclenchant la chair de poule. Enfin, tu te lèves pour mettre de la musique et venir m’inviter à danser. Depuis combien d’années n’avons-nous pas été l’un contre l’autre, enveloppés par une mélodie charmeuse et sensuelle ? Quelques pas et tu t’écartes mais c’est pour passer derrière. Un foulard apparaît devant mon visage.



Un battement de tête et le foulard vient sur mes yeux. Tu le positionnes longuement, en double épaisseur, me rendant totalement aveugle. Nous dansons à nouveau mais maintenant le lent chaloupement se transforme en préliminaires sexuels. Tu me caresses lentement, détachant la longue fermeture Éclair de ma robe et la faisant glisser dans un bruit soyeux. Je suis devant toi, en petite tenue, plus impudique que si j’étais nue. Je sens ta main qui passe mes fesses pour aller vérifier la présence de ton gadget. Tu tires même, comme pour l’extraire, mais laisse le plug regagner sa tanière dès que tu relâches la pression. Je m’évertue à batailler avec tes boutons de chemise afin que, même si je ne peux te voir, toi aussi te retrouve nu. Mais, d’un geste tu me retiens.



Et sans violence, mais avec conviction tu tires mes bras dans le dos et les immobilises avec des menottes.



Comment pourrais-je bouger, aveuglée et ligotée ? Il me semble que la musique est plus forte, mais ce n’est peut-être qu’une impression. J’attends. Quelques secondes. Une minute. Deux peut être. J’ai l’impression d’être abandonnée. Je ne résiste pas d’appeler.



Rien.



Je sens sa peau contre moi. Il est nu, son sexe frotte mes reins. Ses lèvres caressent ma nuque dans une glissade sensuelle pendant que ses mains enveloppent ma poitrine. Je ne résiste pas au plaisir de tortiller du cul pour mieux le sentir.



Il me pousse pour que j’avance. Il est mes yeux et je fais quelques pas avant de sentir le bord du canapé. Prévenant, il m’aide à m’y asseoir. Je suis si malhabile avec les mains dans le dos. Aussitôt installée mes lèvres ressentent le contact de ce que je devine être le sexe de Lucas.



Je sens dans ces paroles comme un défi et même presque comme un reproche. J’imagine que Lucas a en mémoire mes aveux ou je disais avoir sucé Roméo et plus encore des nombreuses fellations dans les photos truquées. Je ne peux pas me défiler. D’ailleurs je n’en ai pas envie. Combien de femmes ai-je vu, lors de mes recherches sur le net, pomper leur amant ? Et que dire du blog de "Eva Mazone" où elle décrit l’art et la manière de mener une fellation parfaite.


J’entrouvre mes lèvres pour laisser un gland conquérant entrer. Il me paraît assez gros, totalement décalotté, triangle dont la base fait le lien avec la hampe. Finalement je connais peu la queue de mon mari. Elle est entrée si souvent en moi que je n’y faisais plus attention et le peu de fois où j’ai essayé de le sucer nous étions dans le noir. Je suis dans le noir aujourd’hui mais c’est un état qui exaspère mes autres facultés. L’odeur d’abord qui me surprend. La douche aurait dû retirer toute odeur intime, mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas désagréable. Difficile à définir.


Le toucher aussi. Ma langue et mes lèvres sont d’une sensibilité extrême et je découvre la douceur de cette peau si fine et délicate. La petite goutte qui baille du méat me donne un avant-goût de ce qui va suivre. Car je sais ce qui va suivre. On ne peut pas dire impunément à son mari que sa femme suce et pompe la queue des autres pour que lui ne veuille profiter de l’aubaine.


D’ailleurs Lucas prend ma tête entre ses mains. Il pousse maintenant son vit, que je découvre gros et noueux, entre mes lèvres pour l’amener au plus profond de ma gorge. Je vais protester mais n’ose pas, me rappelant les phrases crues et détaillées que je lui ai envoyées pour décrire mes exploits imaginaires.


Ma gorge s’habitue à cette intrusion et grâce aux conseils d’Eva Mazone je m’évertue à répandre un maximum de salive autour du mandrin de plus en plus dur, de plus en plus long. Ma bouche résonne de ce ressac que je découvre excitant. Je n’aurais pas pensé ressentir du plaisir à ce genre de pratique. Je comprends mieux que certaines… Je ne suis qu’une gorge qu’il utilise à sa guise. Je m’efforce de glisser ma langue vers ses couilles lorsqu’il est au plus profond. J’entends aussi des grognements que je ne lui connaissais pas. Ce bruit qui semble gronder de son ventre et qui sort de sa bouche comme un plaisir impossible à retenir. Sans l’avoir vécu avant, je sais reconnaître les signes avant-coureurs. Cette dureté dans la verge, ces secousses bizarres.



Je n’ai pas le temps de m’étonner de cette voix rauque et si éloignée de celle de Lucas au quotidien, que le sperme jaillit. Plusieurs giclées souillent ma gorge. Je prends sur moi pour accueillir ce que mon mari doit considérer, comme une juste revanche, et me gratifier de sa liqueur. Mes explorations sur le net m’auront aussi appris combien le geste d’avaler le sperme est un signe de reconnaissance des femmes "expertes et salopes". Moi aussi je déglutis. Ostensiblement. Comme une offrande acceptée. Le liquide tiède et crémeux n’est pas si mauvais, contrairement à ce que je craignais. Un goût étrange mais pas désagréable. Et ce n’est pas que pour faire plaisir à mon mari, que je nettoie son sexe. Encore une appréhension qui disparaît.



À nouveau, je suis une marionnette entre ses mains. Il me fait lever, détache mon haut, fait glisser mon bas et retire dans un bruit obscène le plug qui commençais à faire partie de moi. Je me sens étrangement vide sans ce gadget dans mes reins. Penchée en avant, uniquement en appui sur la tête je subis les assauts de mon mari qui joue de sa langue et des mains pour jouer avec mon intimité. Il est partout, au four et au moulin comme on disait à une autre époque. Ses doigts glissent en moi comme pour vérifier que je suis chaude. Je suis assouplie, distendue et ne demande qu’une chose, c’est qu’il vienne maintenant pour me prendre et me faire jouir.



Il me redresse. Je suis une poupée entre ses mains. J’imagine qu’il s’assoit sur le canapé car maintenant il me guide pour venir sur lui. Ce n’est pas facile de l’enjamber mais toujours sa main m’aide. Quelques contorsions et je sens un bâton qui se dresse entre mes cuisses. Il est à nouveau dur, comme si ma fellation comptait pour du beurre. Pourtant, combien de fois aurais-je voulu qu’il me possède à nouveau lors de nos séances d’avant. À croire que la nouvelle Martine, femme délurée et salope l’inspire. C’est un jeu d’enfant que de me glisser sur ce bâton dressé. Tout en me tenant bien droite pour ne pas perdre l’équilibre je m’empale sur lui. Délice de se sentir envahie par cette verge maritale, vigoureuse et longue comme un jour de printemps. Pas possible, mais il est si long que je pense ne pas en toucher le bout. Mais si, enfin le gland qui avance est stoppé par les couilles contre ma fente.

Je me sens bien. Cette queue me fait du bien, juste par sa présence. Et que dire si je bouge sur elle, juste en jouant du bassin. Que du bon. Que du bon.


Il m’attire à lui. Je me retrouve allongée, prisonnière de ses bras. Maintenant c’est lui qui joue avec sa queue pour me la faire bien sentir.



Il s’active en moi. Je sens ses mains sur mes fesses. Il les flatte, les écarte, glisse un doigt dans mon petit trou.



Que répondre d’autre, venant d’une femme qui est sensée s’être fait prendre par plusieurs hommes.



Le temps que cette remarque fasse son chemin dans mon cerveau englué par le plaisir, je sens que quelque chose se passe derrière moi.



Trop tard. Immobilisée par des bras puissants, fixée sur le dard de Lucas, je n’ai d’autre choix que de subir. Subir la pression d’un sexe qui force le passage de mon anus et qui s’engage dans mon cul. Il va me déchirer mais je ne sens que la puissance de deux mandrins qui s’affrontent en moi, occupant le plus petit espace disponible. Protester ? Trop tard. L’ami est en moi. Étrangement pas de vraie douleur, juste cette impression que je vais exploser devant les conquérants.


Heureusement ils restent immobiles me laissant le temps de m’adapter. Ainsi c’est cela. Le lire, le décrire pour affabuler c’est une chose. Le vivre en est une autre. Je bouge un peu. Ils sont bien là. Je suis prisonnière de ces deux sexes, écrasée contre mon mari dont je sens le souffle contre mon cou.



Au ton de sa voix je comprends que ce que je lui ai raconté à tout de même du mal à passer. Un instant je vais pour lui avouer mon subterfuge, mais une fois encore j’ai le souvenir de tout ce que j’ai enduré par sa traîtrise et je renonce.



Et, au même moment, un sexe envahit ma bouche. Je ne peux pas le refuser, plaquée que je suis contre Lucas. Je comprends que mon mari n’a peut-être pas vraiment pardonné et qu’en réalité il cherche à se réapproprier la femme qu’il a vue soumise à plusieurs hommes. C’est une sorte d’exorcisme. Il nous faut en passer par là. Au moins, il considère que j’ai pu aller jusque-là pour me venger.


Je fais ce que la femme sur les photos montrait. Je suce cette queue. Mais aussi je m’agite sur les deux sexes en moi. Lucas relâche la pression de ses bras, je peux bouger plus facilement. Je vais lui montrer que je peux être une Salope, pour son plaisir, et le mien.


Combien de femmes ont été dans ma situation ? Certainement pas beaucoup. En plus moi, je passe du statut de mère de famille à Salope pour son couple. Oh, mon dieu que c’est étrange cette sensation de plénitude alors que chaque fois que je recule, les deux pieux avancent de concert, dilatant mes entrailles, repoussant chaque fois un peu plus loin les zones inexplorées. Aussi, lorsque j’avance, me libérant provisoirement, c’est ma gorge qui se fait entreprendre.


Lequel est le sexe de mon mari ? Celui dans ma chatte ? Oui, certainement. Les autres ? Les amis sont-ils de mes connaissances ou bien des partenaires de coucherie avec mon mari ? Mais je suis heureuse de ne rien voir. C’est une autre qui se baise et qui pompe le dard gluant de salive.


Mes grognements ne sont pas les seuls bruits que l’on peut entendre. Le premier à jouir est celui qui m’encule. Il tressaute, donnant des coups de rein qui désorganisent mes mouvements. Puis, c’est Lucas qui vient. Je suis juste étonnée de ne pas sentir son sperme jaillir dans ma chatte, pourtant les secousses sont sans équivoque. Il a dû enfiler une capote, peut-être effrayé, de mes baises supposées ; pourtant les photos montraient des sexes protégés. Enfin celui qui jouit dans ma bouche, lui, me déverse son foutre avec vigueur. Pour la deuxième fois de la soirée on m’honore ainsi. Pour un peu, j’y trouverais du plaisir.


Un moment se passe. On bouge. On m’installe sur le divan pendant que j’entends des bruits, vêtements, portes. Certainement les amis s’en vont. Je ne connaîtrai donc pas leurs visages, mais dès que je pourrai, je demanderai à Lucas. Enfin on me détache. C’est moi qui enlève mon bandeau. Quelques secondes sont nécessaires pour m’habituer à la lumière. Je cherche Lucas, mais il n’est pas à côté de moi. Je le trouve devant la télé. Quelle drôle d’idée d’allumer la télé dans un moment pareil.


Tiens. Il s’est déjà rhabillé. Quelques secondes et il vient s’asseoir sur un fauteuil, pas à côté de moi. Je me sens bien seule, nue, dans mon canapé. Apparaissent alors des photos sur l’écran. Il me faut un moment pour réaliser que ce sont des photos de moi. Moi qui suce un inconnu. Moi qui me fais prendre par un homme. Je regarde vers Lucas, mais il regarde l’écran, fasciné. Le diaporama continue. Je comprends alors qu’aucun des hommes n’était mon mari. Il m’a livrée à d’autres pendant qu’il ne faisait que photographier. Il apparaît seulement sur quelques-unes et je réalise que c’était juste pour me faire entendre le son de sa voix et me faire croire qu’il était avec moi.



Anéantie, je trouve pourtant la force de lui demander. Son regard est méchant, haineux.



Vous voyez que j’avais raison avec l’interprétation du mot Salope, suivant les situations. Je suis à peine étonnée de la réaction de mon mari. Tout paraissait si simple, trop beau pour être vrai. Mais… Je me réjouis à l’idée de lui montrer les vraies photos, celles de l’actrice porno avec ce bataillon d’ouvriers. Il va bien voir que celles que je lui ai envoyées ne sont que des montages pour lui faire croire que c’était moi. Je souris à sa réaction lorsqu’il va se rendre compte de ce qu’il a fait. Livrer sa femme à trois hommes. J’ai des frissons à l’idée du moment où il va me demander pardon pour son erreur et les conséquences.


Après, ce n’est qu’une question de temps et de doigté. Lui faire quitter sa maîtresse. Glisser un mot équivoque pour dire je peux la remplacer dans toutes les circonstances. Faire passer le message que je suis prête à tous les sacrifices pour le garder. Oh, oui ! Des sacrifices. De ceux qui font qu’une femme accepte de se soumettre au bon vouloir de son mari. Des sacrifices ? Pas sûr ! Des plaisirs nouveaux ? Certainement ! Il serait dommage de ne pas profiter des expériences récentes. Déjà, je rêve de parties à deux, trois, quatre…