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Ma chérie et le patron du bar

Depuis longtemps, j’ai des fantasmes candaulistes. L’idée de partager ma chérie, de la savoir excitant d’autres hommes, qu’elle me raconte ensuite si je ne suis pas avec elle, et encore bien d’autres idées me rendent dingue ! Ces dernières années, j’ai vécu avec une femme qui partageait ces fantasmes et avec qui nous en parlions très librement. J’avais pris l’habitude de lui écrire parfois des histoires pour l’exciter. Elles sont parfois sous forme de lettres que j’adresse ou de récits de situations que j’imagine. Nous sommes aujourd’hui séparés pour des raisons qui n’ont rien à voir avec nos fantasmes et l’écriture de ces récits me manque alors j’ai décidé de les partager avec vous.

En ce qui concerne les rencontres potentielles auxquelles ce site peut mener… Vous l’aurez déjà compris, la femme idéale pour moi serait joueuse, ouverte d’esprit et nous devrions partager en toute transparence car c’est, selon moi, une condition indispensable au bon fonctionnement d’une relation candauliste. Le candaulisme, je le perçois comme un partage, une ouverture et non comme une soumission.

Maud et moi étions en vacances dans le sud de l’Espagne. Pratiquement tous les soirs après le dîner nous sortions dans un bar très sympa avec une piste de danse. Dès le premier soir nous avions bien remarqué qu’elle avait tapé dans l’œil du patron. Maud le trouvait plutôt pas mal également et nous l’avons évoqué plusieurs fois en faisant l’amour de retour à notre hôtel. Elle sait combien ça m’excite quand elle me dit qu’elle trouve un homme à son goût et elle ne s’était pas gênée. Alors pendant qu’elle me faisait une gâterie le premier soir, je lui avais suggéré d’imaginer que ce n’était pas moi mais le patron du bar qu’elle était en train de sucer. Pour mon plus grand bonheur, elle y a mis beaucoup d’ardeur…

Les soirs suivants, cela a stimulé Maud à lancer quelques sourires au patron, pour mon plus grand plaisir. Une ou deux fois, il est venu nous dire quelques mots, se présenter – Javier – et s’assurer que tout allait bien. La nuit je continuais à l’évoquer pendant que nous faisions l’amour et ça excitait terriblement ma chérie lorsqu’elle imaginait son sexe la pénétrer plutôt ou en plus du mien.

Le dernier soir avant notre départ, alors que Maud allait se préparer avant de sortir, je me suis approché d’elle, je l’ai enlacée et je lui ai glissé à l’oreille… Et si ce soir tu te laissais séduire par Javier… Elle a souri et n’a rien dit… Je me suis éloigné pour la laisser à ses préparations. Elle est enfin apparue devant moi portant une longue robe en tulle très légère et un peu transparente. Il n’y avait aucun doute sur le fait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge et juste un mini string en dentelle. De plus la robe était fendue très haut sur le côté et laissait voir sa jambe droite bronzée dès qu’elle s’asseyait. Pour couronner le tout, elle portait des sandales à talons fins et très hauts.

Je crois que si je n’avais pas eu envie de savoir jusqu’où nous allions aller, nous ne serions jamais sortis de la chambre et j’ai eu bien du mal à calmer mon érection. Nous sommes arrivés au bar et comme nous étions vendredi soir, il y avait beaucoup plus de monde que d’habitude et aucune table n’était disponible. Alors que nous nous dirigions vers le bar, Javier est arrivé vers nous et nous a présenté des excuses, qui n’étaient pas nécessaires, mais a insisté pour nous offrir une bouteille de champagne pour s’excuser de ne pas avoir de table pour accueillir des clients maintenant réguliers et, en particulier, la si jolie Maud…

Ma chérie a vu tout de suite l’opportunité de commencer un rapprochement et s’est empressée de déposer un baiser presque sur ses lèvres pour le remercier de sa gentillesse et de ses compliments. Javier est resté discuter avec nous le temps d’une coupe en dévorant Maud et les sourires qu’elle lui lançait, puis il a été appelé par un des serveurs. Nous avons continué à profiter de la bouteille de champagne tout en évoquant la situation. Maud m’a dit en souriant qu’elle pensait effectivement lui plaire et que vraiment il était charmant… et en me faisant un clin d’œil. Avec un grand sourire, je lui ai répondu que, clairement, Javier ne savait pas où regarder entre ses seins et ses jambes. Et j’ai ajouté que la voir déposer un baiser si près de sa bouche n’avait pas manqué d’avoir un certain effet sur moi. Elle s’est penchée vers moi et m’a déposé le même baiser qu’elle lui avait donné un peu plus tôt.

C’est ce moment que Javier a choisi pour réapparaître, s’excusant cette fois de sa disparition et en nous commandant une autre bouteille. Maud lui a répondu sur un ton très sérieux qu’elle était très déçue de sa conduite ! Puis elle a laissé un blanc. Au moment où Javier, déstabilisé, allait répondre, elle a continué en disant qu’il ne serait pardonné que s’il l’invitait à danser. Le sourire du bel espagnol est revenu immédiatement et il m’a regardé. Il a trouvé un sourire encourageant alors il a proposé son bras à Maud.

À ce moment, j’ai su que ma salope était là. C’est le nom qu’elle aime que je lui donne dans ces moments et que je lui répète avec plaisir. Elle m’a à nouveau donné ce baiser si proche des lèvres avant de s’avancer vers la piste de danse au bras de Javier. Pendant un bon moment je les ai regardés danser, se frotter, et une fois la main de Javier est même passée dans la fente de la robe de Maud pour aller se positionner sur ses fesses sans qu’elle ne l’arrête.

Les danses se sont enchaînées, leurs corps toujours plus proches. Je leur lançais des sourires et je bandais fort de voir ma chérie si belle et de voir ma salope chauffer Javier. Ils sont revenus vers moi, cette fois Javier avait son bras autour de la taille de Maud. Il a constaté que j’avais bien avancé dans la consommation de la bouteille de champagne et a proposé que nous en prenions une autre dans son bureau. Maud m’a regardé et avec un grand sourire j’ai répondu que Javier avait déjà été si aimable et généreux et que c’était avec plaisir ! Nous l’avons suivi vers son bureau.

L’endroit était insonorisé, avec pour seules lumières une faible lampe et celle venant d’une glace sans tain qui laissait voir le bar. Javier a mis de la musique et est parti chercher une bouteille. J’ai pris Maud dans mes bras et je lui ai dit que c’était à mon tour de danser un peu avec elle. Je l’ai serrée fort contre moi en l’embrassant à pleine bouche. Javier est revenu et a préparé des verres et ouvert la bouteille. Pendant ce temps, j’ai orienté Maud pour qu’il puisse voir ses fesses et j’ai commencé à tirer sa robe depuis le haut de la fente pour les lui dévoiler. Sans m’arrêter, Maud m’a demandé ce que je faisais. Ses fesses maintenant complètement à l’air. Moi, tenant le pan de sa robe sur le côté, j’ai simplement répondu en demandant à Javier s’il ne voulait pas venir nous rejoindre. Il a hésité un court instant avant de s’approcher et de venir se coller contre Maud.

Pendant un moment nous avons dansé de la sorte. Ma chérie entre nous deux. Moi, sentant ses seins durs et ses tétons pointant, elle, sentant sans aucun doute l’érection de Javier contre ses fesses. J’ai demandé :

• — Tout va bien, ma chérie ?

Elle m’a répondu dans un soupir :

• — Oui… Très bien même…

J’ai continué en lui faisant remarquer que d’habitude quand elle me répond comme ça c’est qu’elle me sent bander très fort derrière elle. Avec un nouveau soupir, Maud a répondu, oui… et faisant comme s’il n’était pas contre elle, elle a continué :

• — Mais là c’est Javier qui bande très fort contre les fesses de ta salope…
• — Tu as envie de lui, ma salope ? repris-je.

Tout en poussant ses fesses encore plus contre lui, Maud me répond avec un nouveau soupir : Oui… Puis elle m’embrasse goulûment avant de tourner la tête sur le côté pour l’embrasser à son tour à pleine bouche.

Après avoir alterné ces baisers entre lui et moi, elle s’est mise à soupirer et à se presser contre Javier. Je me suis alors éloigné pour les regarder. La main de Javier en a profité pour passer devant et caresser les seins de ma salope. Il en a sorti un de son décolleté. Il a joué avec son téton. Il l’a fait gémir encore. Elle se cambrait de plus en plus pour mieux sentir son sexe contre ses fesses. Il a descendu sa main pour la passer dans la fente de la robe de Maud. Aux soupirs que poussait ma salope, je savais qu’il était en train de jouer avec son clito.

Comme je m’y attendais, très vite ma salope n’a pas pu résister et elle a commencé à trembler de son premier orgasme. Puis elle s’est tournée pour faire face à Javier, elle a sorti son sexe en un rien de temps avant de s’accroupir pour le prendre en bouche. Après bientôt une semaine que nous en parlions et qu’elle l’imaginait, elle était enfin en train de sucer le bel espagnol. Elle l’a sucé doucement puis fougueusement et doucement à nouveau, s’attardant sur le frein en lui caressant la base en même temps. À tel point que j’ai cru qu’il allait jouir et que je n’ai pas pu me retenir de sortir mon sexe pour me caresser en les regardant. Ma salope s’est redressée et l’a entraîné vers un fauteuil proche de celui dans lequel j’étais assis en lui disant :

• — Je veux te sentir en moi…

Il s’est assis, elle a remonté sa robe, enlevé son string, il a enfilé un préservatif et elle s’est assise sur lui me faisant face. Je me branlais vigoureusement en regardant la bite de Javier pénétrer Maud de plus en plus profond.

Une fois bien au fond, elle a commencé à remuer sur lui mais sans le laisser sortir. Elle m’a regardé droit dans les yeux :

• — Ça te plaît, mon chéri, de me voir si salope ? Ça te plaît de me voir faire bander les autres hommes ? Ça te plaît de me voir me faire prendre ?

Le souffle court, mon excitation décuplée par ses mots, je n’ai pu répondre qu’un : « Oui… Oui, j’adore te voir si salope… » Elle a alors commencé à monter et descendre sur la bite raide de Javier qui allait profond en elle et m’a demandé de venir près d’eux pour qu’elle me suce.

• — Tu sais combien ta salope aime avoir une bite dans la bouche pendant qu’elle se fait prendre.

Difficilement, je me suis levé pour m’approcher. Maud a commencé par me branler en commentant :

• — Oui, comme tu es dur… C’est vrai que tu aimes quand je me fais prendre par un autre. Et qu’est-ce que j’aime ça aussi !

Puis elle a commencé à me sucer avec ardeur. Le pauvre Javier (si on peut dire…) qui ne devait pas s’attendre à ce déroulement de la soirée n’a pas mis longtemps à se crisper, à chercher à pénétrer Maud plus profondément et à exploser. Avec son dernier coup de boutoir il a également fait jouir ma salope très fort. J’étais à deux doigts d’éjaculer aussi en entendant son plaisir mais elle a su s’arrêter à temps en me disant :

• — Maintenant prends-moi.

Maud a attrapé un coussin derrière Javier, s’est mise à quatre pattes dessus, la tête entre ses cuisses, prête à le sucer à nouveau pendant que je serais en elle. Ce moment indescriptible que j’aime tellement était arrivé. Pénétrer Maud après un autre homme, pénétrer son sexe déjà dilaté, déjà chaud, encore ruisselant de désir. Sentir comme elle réagit encore du plaisir qu’elle vient d’avoir. Je savais déjà que je ne pourrais pas résister longtemps avant de jouir, d’autant que ma salope avait retiré le préservatif de Javier et avait déjà sa bite dans la bouche.

Quelle autre vision de rêve ! Un sexe en train de reprendre de la vigueur sous les coups de langue de Maud, sous ses caresses expertes. Il a rebandé à toute vitesse rendant le spectacle encore plus excitant pour moi et la gâterie encore meilleure pour ma salope. Très vite, je n’y tins plus et j’ai déchargé tout ce que je pus. Je suis resté en Maud pour encore quelques va-et-vient car je la sentais proche elle aussi. C’est Javier qui a explosé à nouveau et qui a sans doute déclenché son nouvel orgasme. Donner du plaisir aux hommes l’excite tellement.

Javier lui a donné de quoi s’essuyer le visage, puis nous a servi un verre. Maud l’a embrassé, lui a donné son string « en souvenir » et lui a dit qu’on reviendrait certainement l’an prochain… Nous sommes rentrés à l’hôtel, non sans que Maud prenne tout son temps pour traverser le bar, sentant mon sperme couler entre ses cuisses, sous les regards se tournant vers elle qui ne portait, de façon évidente, plus rien sous sa robe fine. Une fois arrivés, nous avons à nouveau fait l’amour en parlant de la soirée, de ses sensations, de son désir pour Javier et du plaisir que j’avais eu à la voir avec lui.