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n° 16037Fiche technique26913 caractères26913
Temps de lecture estimé : 16 mn
05/02/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Ma femme se lâche et dépucelle notre jeune voisin au cours d'une relation tarifée.
Critères:  fh fplusag couple prost fdomine entreseins fellation préservati pénétratio init -inithf -tarifé
Auteur : Patrick      Envoi mini-message
Ma femme se lâche

Ma femme et moi sommes de fervents lecteurs des histoires de Revebebe et j’ai voulu raconter ici une histoire qui nous est arrivée et qui a été en grande partie déclenchée par les récits que nous trouvons ici.


Tout d’abord, je vais nous présenter, je m’appelle Patrick et j’ai 46 ans. Je suis assez grand, brun et assez sportif. Ma femme, Cécilia, a 43 ans, est brune avec des yeux marron. Elle mesure 1,69 m pour 60 kg et est encore très bien conservée. Ses fesses sont rebondies et ses seins (90C) pointent encore fièrement vers l’avant. Nous sommes un couple libéré et avons plusieurs fois pratiqué l’échangisme. Mais si nous couchons avec quelqu’un d’autre, il faut toujours que l’autre soit d’accord. Et la plupart du temps, l’autre assiste à l’acte.


Après avoir lu de nombreux récits sur ce sujet sur votre site, ma femme m’a avoué qu’elle aimerait beaucoup dépuceler un jeune homme et lui faire découvrir ce qu’une femme « mûre » sait faire ! Mais autre chose la tentait aussi : faire l’amour contre de l’argent. Nous avons bien déjà réalisé des scénarios entre nous où elle jouait une prostituée et moi le client, mais elle voulait vraiment que quelqu’un paye pour la baiser. Pourquoi alors ne pas mêler ces deux envies en une seule fois ? Restait à trouver un puceau, prêt à payer pour coucher avec ma femme, en toute discrétion bien entendu…


Au bout de quelques semaines, nos espoirs se sont reportés sur le fils de nos voisins, Grégory. En terminale, âgé de 18 ans, nous ne le voyons jamais accompagné de filles. Un peu enrobé, il ne ressemblait pas à un sex-symbol mais cela ne dérangeait pas ma femme. Au contraire, elle était ravie de lui rendre ce « service », tarifé bien sûr ! Il fallait déjà s’assurer qu’il était puceau, et ensuite le convaincre de participer à notre aventure.


Je discutais souvent avec lui et au détour d’une conversation, j’eus la confirmation de sa virginité et je sentis bien qu’il n’attendait qu’une chose : la perdre ! Mais était-il prêt à le faire avec une femme mûre ? Ou voulait-il le faire avec une minette de son âge ? Il m’avoua qu’il était attiré par plusieurs filles de sa classe mais aucune ne voulait de lui, ne le trouvant pas assez attirant.


J’imaginai donc un stratagème pour le mettre devant le fait. Je lui demandai de venir m’aider à tailler mes haies un samedi après-midi ensoleillé. Alors que nous étions en plein effort sous la chaleur du début juillet, ma femme sortit en maillot de bain deux-pièces et vint s’allonger sur sa chaise longue à quelques mètres de nous. Grégory fut surpris de la voir sortir si peu vêtue mais ne dit rien. Je fis comme si rien ne s’était passé et nous continuâmes à travailler. Je m’arrangeai pour qu’il soit toujours placé avec une vue imprenable sur ma compagne. Elle nous surveillait de derrière ses lunettes de soleil et s’enduisait d’huile solaire de manière assez provocante. Elle croisait et décroisait des jambes de façon la plus sexy qui soit.


Je voyais bien que Grégory était de plus en plus troublé. Cécilia enleva même son haut de maillot avant de s’allonger sur le ventre et de nous présenter son joli derrière. Grégory bloqua sur ses seins et eut du mal à se remettre au travail. D’autant plus que sa culotte lui rentrait un peu dans les fesses… Au bout d’une heure, Cécilia se redressa et remit son soutien-gorge et s’approcha de nous pour voir comment nous avancions. Elle se planta bien devant le jeune homme et nous discutâmes quelques minutes. Puis elle rentra dans la maison en roulant bien des fesses. Alors qu’il allait reprendre le travail, je me lançai et interrogeai Grégory :



Devant son silence, je me lançai :



Grégory resta muet comme une carpe, tellement surpris par ma proposition.



Je le regardai s’éloigner l’air songeur et terminai de tailler ma haie. Me voyant seul, ma femme vint me voir pour savoir ce qu’il en était. Je lui racontai toute l’histoire. Une fois au courant, elle me dit qu’elle pensait qu’il accepterait et partit vers la salle de bain pour se préparer. Entendez par là une petite séance d’épilation intime…


L’après-midi s’écoula sans nouvelles de notre jeune voisin. Vers 18 h mon téléphone sonna pour m’avertir que j’avais reçu un texto venant de Grégory :


OK pour ce soir. Je viens vers quelle heure ?


J’avertis aussitôt ma femme et nous convînmes d’un rendez-vous vers 21 h. Je répondis donc : « 21 h. Viens avec l’argent en liquide et une boîte de préservatifs. » Réponse : « OK ».


Ma femme était aux anges mais aussi un peu anxieuse de savoir comment ça allait se passer. Nous dînâmes légèrement et ma femme but plusieurs verres de vin blanc pour se donner du courage et se désinhiber. Alors que je préparais le matériel vidéo dans la chambre, ma femme se prépara. Dix minutes avant, je la vis descendre dans le salon en string et soutien-gorge en dentelle noir et rouge ainsi qu’avec un porte-jarretelles et des bas noirs.



Elle ressortit de la cuisine et revint au bout de quelques minutes avec un joli tablier blanc avec des liserés rouges, qui lui moulait très bien le corps et s’arrêtait juste au-dessous des jarretières.



À 20 h pile, la sonnette retentit. J’allai ouvrir. Grégory était là, vêtu d’un jean et d’un polo, l’air stressé. Je le fis entrer dans le salon. Ses yeux s’écarquillèrent quand il vit ma Cécilia.



Je ne lui fis pas l’injure de compter et glissai les billets dans mon pantalon.



Il en sortit six d’une autre poche.



Nous suivîmes tous les deux Cécilia qui roulait du cul comme une salope dans l’escalier. Je me dirigeai vers l’emplacement prévu pour filmer alors qu’elle le fit approcher du lit.



Il s’exécuta et découvrit un sexe au repos de taille fort acceptable. Je vis bien au sourire de ma femme qu’elle était ravie de son nouveau jouet.



Elle s’agenouilla devant lui et commença à le branler. Au bout de quelques minutes, elle le prit en bouche et le suça avec application mais son sexe restait mou. Cécilia le regarda avec dépit.



Je vins alors derrière ma femme et défis la lanière de son tablier qui passait autour de son cou, dévoilant ainsi son soutien-gorge que je dégrafai aussitôt. Cécilia se retrouva alors les seins à l’air, avec les tétons qui pointaient devant elle. Grégory en restait bouche bée.



Effectivement, son sexe commença à se dresser. Cécilia l’emboucha à nouveau et elle put sentir sa verge continuer à grossir dans sa bouche. Le garçon était très bien monté, à vue de nez au moins 20 cm. Je lançai la caméra puis profitai de la scène. Ma femme le suçait comme une experte, léchant chaque partie de sa verge et de ses testicules, alternant mouvements lents et rapides. Malgré ses efforts, elle avait du mal à le prendre entièrement en bouche. Je voyais bien que le garçon ne pourrait pas supporter longtemps ce traitement, Cécilia aussi et tint à le rassurer.



Rassuré par cette annonce, Grégory lui annonça sa jouissance proche. Elle accéléra donc les mouvements de sa bouche sur son gland et quelques secondes après, il éjacula dans sa bouche. Tout en continuant à le sucer, Cécilia avala le sperme qui inondait sa bouche. Elle le lécha le temps que son sexe ramollisse, nettoyant les traces de sa jouissance.



Cécilia se redressa et fit glisser son string le long de ses jambes, découvrant son sexe complètement rasé. Elle ne portait plus que ses bas et son porte-jarretelles. Elle s’allongea sur le lit, écarta légèrement les jambes et fit venir son jeune camarade à elle. Il s’allongea au-dessus d’elle et voulut l’embrasser mais elle tourna la tête :



Il commença par l’embrasser dans le cou puis ses baisers descendirent pour arriver entre ses seins. Un peu hésitant au début, il prit vite de l’assurance et couvrit sa poitrine de baisers. Il caressait ses seins, léchait ses pointes, titillait ses tétons. Je voyais bien à son visage que Cécilia appréciait le traitement. Au bout de plusieurs minutes, elle lui demanda de descendre plus bas. Il s’exécuta et sa bouche se déplaça lentement pour arriver à son sexe. Toujours un peu hésitant, il se mit à embrasser son sexe puis glissa sa langue entre les lèvres de ma femme qui s’écartaient sous ces caresses. Cécilia avait l’air d’aimer et poussait de petits soupirs de plaisirs. Au bout d’un moment, elle se mit à le guider, lui disant comment faire et lui prodiguant des conseils avisés qu’il mettait immédiatement en œuvre pour le plus grand plaisir de sa partenaire. Ce petit jeu dura bien dix minutes puis Cécilia se rendit compte qu’il bandait à nouveau. Elle attrapa sa tête et le fit remonter vers elle :



Grégory se précipita vers son pantalon et prit un préservatif qu’il sortit hâtivement de son emballage et déroula sur son sexe. Il revint se mettre au-dessus de ma femme qui attrapa le sexe tendu et le présenta à l’entrée de son vagin. D’un coup de reins, il se glissa en elle. Malgré sa taille, en trois va-et-vient, son sexe se retrouva complètement glissé dans le vagin de ma femme. Les jambes autour de sa taille, les deux mains tenant ses fesses, Cécilia laissa faire son jeune amant, le laissant profiter de sa première pénétration. Il effectuait des mouvements rapides et Cécilia poussait de petits cris à chaque coup de reins. Bien qu’il ait déjà éjaculé, il fut rapidement près de jouir. Ma femme s’en rendit facilement compte quand il commença à ralentir la cadence :



Soulagé, il reprit sa cadence initiale et, proche de la fin, il accéléra encore plus. Quand il se vida en elle, ma femme crispa ses mains sur les fesses du jeune homme et cria d’un coup plus fort. La connaissant bien, je savais qu’elle simulait sa jouissance, voulant faire plaisir à son « client ». Il arrêta d’un coup ses mouvements et s’écroula sur Cécilia. Elle lui laissa reprendre son souffle puis le repoussa un peu.



Grégory s’exécuta et s’allongea à côté d’elle. Il retira la capote de son sexe, la noua et la remit dans l’emballage.



Alors que je laissai ma caméra et me rapprochai du bord du lit, Cécilia s’approcha de moi à quatre pattes. Je baissai mon pantalon et sortis mon sexe raide devant son visage. Elle ne se fit pas prier pour le prendre en bouche. Cécilia me suçait comme une furie. Ces premiers ébats l’avaient beaucoup excitée et elle était complètement déchaînée. Grégory nous regardait faire, n’en perdant pas une miette. Sa langue allait et venait sur ma verge et sur mes bourses et par moments, elle avalait mon sexe en entier dans sa jolie bouche. Puis elle se redressa et approcha ses seins de mon bas-ventre. Elle cracha entre ses globes puis les écarta. Je vins loger mon sexe entre et elle les pressa autour et s’agita.


J’ai toujours adoré qu’elle me fasse une branlette espagnole mais là, devant notre jeune spectateur qui recommençait à bander, c’était royal ! Alors que je me sentais prêt de l’éjaculation, je la fis remettre à quatre pattes et attrapai sa tête à deux mains. Mon sexe dans sa bouche, je donnais des coups de reins et lui violait littéralement la bouche. Je faisais attention de ne pas trop rentrer en elle pour ne pas qu’elle tire au cœur et Cécilia me laissa faire, stoïquement. Rapidement, je me déversai dans sa bouche et elle avala consciencieusement toute ma semence. Ma femme me lécha le sexe quelques minutes pour bien le nettoyer et quand mon érection fut redescendue, elle me fit un petit clin d’œil et retourna vers notre jeune voisin qui attendait sagement, allongé sur le lit.



Cécilia vint se placer au-dessus de lui, en position de 69 et appuya son sexe détrempé sur son visage.



Il ne se fit pas prier. Il écarta largement son sexe avec ses deux mains et introduisit sa langue dans son vagin. Elle se contenta de branler lentement son sexe encore mou et profita des caresses de son jeune amant. Elle l’encouragea à glisser un puis deux doigts en elle, ce qui la fit crier encore plus fort. La branlette de ma femme sur son jeune amant suffit à lui rendre une dureté très convenable mais elle continua à profiter de ses caresses. Puis, toujours aussi gourmande, elle reprit la verge tendue en bouche tout en plaquant son sexe sur la bouche de Grégory qui lécha avidement son clito tout en agitant ses doigts dans son vagin. Ce petit jeu ne s’arrêta qu’au bout de quelques minutes quand Cécilia se releva pour attraper un nouveau préservatif. Elle défit l’emballage et déroula la protection sur le membre de Grégory. Puis elle vint se placer au-dessus de lui pour le chevaucher et s’empala sur lui.



Cécilia s’agitait sur Grégory, alternant les rythmes et les angles de pénétration. Rapidement, elle ne se préoccupait plus que de son plaisir, le faisant monter lentement en elle vers la jouissance. Mais cela n’était pas pour déplaire à son jeune camarade de jeu qui lui caressait les seins les fesses ou encore les cuisses au rythme des cris et soupirs de ma femme. Puis, au bout d’un moment, elle plaqua son bas-ventre contre celui de Grégory et commença de rapides mouvements circulaires du bassin, faisant bouger la verge en elle alors que son clitoris frottait contre l’os pubien de Grégory. Connaissant bien mon épouse, je savais qu’elle ne faisait cela que quand elle était prête à jouir. Elle attrapa les mains qui couraient sur son corps et les plaqua sur ses seins. Entre deux soupirs, elle le supplia :



Ce qu’il fit avec plaisir. Les cris redoublèrent d’intensité alors que les mouvements étaient de plus en plus rapides. Cécilia finit par exploser, criant violemment sa jouissance. Puis, une fois le plaisir retombé, elle s’écroula sur Grégory, cherchant à reprendre son souffle.

Ils restèrent ainsi quelques minutes puis Cécilia se redressa, haletante.



Cécilia se souleva pour sortir le sexe qui était encore en elle puis vint se placer à quatre pattes face à moi. Le sourire qui ornait son visage me montrait le réel plaisir qu’elle prenait à cette situation.



Grégory vint se planter derrière elle et la pénétra rudement. Il entama de grands va-et-vient en elle. Il la tenait par moments par les hanches, allant parfois saisir ses seins, laissant aussi glisser une main vers le clitoris de Cécilia qui répondait à ces caresses diverses par des cris ou des soupirs. Puis il la saisit fermement par les hanches et entama de rapides mouvements en elle. Cécilia serrait les draps entre ses mains crispées et prenait de plein fouet les coups de boutoir qu’il lui prodiguait, pour son plus grand plaisir bien sûr !


Assez vite, je vis à l’expression du visage de Grégory qu’il était proche de l’explosion. Effectivement, il se crispa sur les hanches de ma femme qui cria plus fort en sentant arriver l’orgasme de son compagnon. Il se vida une nouvelle fois dans le préservatif, continuant ses mouvements jusqu’à la dernière goutte de son éjaculation et resta quelques secondes bien enfoncé dans le sexe de ma femme. Puis, sentant son sexe ramollir, il se retira et ôta la capote pleine, la noua et l’envoya rejoindre la première. Cécilia me fit un signe et je coupai la caméra. Elle se leva et alla chercher une robe de chambre de soie qu’elle enfila et noua autour de sa taille. Ses tétons encore durcis par l’excitation pointaient fièrement à travers le tissu. Elle revint vers son camarade de jeu qui attendait nu, assis au bord du lit :



Je m’approchai de ma femme et la pris dans mes bras.



Il me serra la main et s’approcha de Cécilia. Elle prit sa main et la plaqua sur son sexe encore humide.



Il descendit l’escalier et nous l’entendîmes claquer la porte. Cécilia vint se coller à moi et m’embrassa.



Alors que nous nous embrassions, mes mains courraient le long de son corps, s’attardant plus sur ses fesses.



Elle alla s’allonger sur le ventre sur le lit, les jambes légèrement écartées et la croupe relevée. Je me déshabillai rapidement et vins m’allonger au-dessus d’elle, glissant mon sexe entre ses cuisses.



À ces mots, ma verge rentra dans son sexe trempé. Je commençai de lents va-et-vient en elle puis j’accélérai mon rythme. Elle commença à pousser de petits soupirs qui se transformèrent peu à peu en cris de plaisir. Quand je sentis que j’approchai de ma jouissance, je la fis se relever pour se retrouver à quatre pattes et je me mis à la pilonner de grands coups de reins. Ses cris suivaient les mouvements de mon sexe et, alors que je me répandis en elle, nous jouîmes ensemble. Épuisés tous les deux, nous nous écroulâmes sur le lit et nous endormîmes aussitôt, mon sexe toujours dans le sien.


Le lendemain matin, nous nous réveillâmes et visionnâmes la vidéo de la veille et fîmes à nouveau l’amour, mais ceci est une autre histoire…